n° 07416 | Fiche technique | 17699 caractères | 17699Temps de lecture estimé : 11 mn | 17/07/04 |
Résumé: Rencontre de deux solitudes à l'hotel | ||||
Critères: fh hplusag hotel amour pénétratio fsodo journal | ||||
Auteur : Le Félin (Daniel) |
Il m’est arrivé, il y a quelques semaines, une aventure que je tenais à vous faire partager.
Pour mon travail, je dois assez souvent me déplacer à Toulouse et résider à l’hôtel. Pour ceux qui le connaisse, l’hôtel Ariane est situé dans une zone industrielle au sud est de Toulouse. Sa clientèle est surtout constituée de personnes venants travailler dans les sites industriels des alentours ou bien de représentants de passage.
Un soir alors qu’il faisait beau et chaud, j’avais ouvert ma fenêtre et je me reposais dans le calme du soleil couchant. J’entendais à peine la rumeur de l’autoroute et c’était bien agréable de pouvoir goûter un peu de repos bien mérité en fumant un peu. J’étais détendu. Je voyais de la lumière dans la chambre d’à côté, mais n’y prêtais pas plus d’attention. Au bout de quelques minutes, j’entendis de faibles gémissements, puis de plus en plus fort ! Curieux, je me penche au dehors et dans le reflet de la vitre d’à côté, je distingue une forme allongée sur le lit - une femme d’après la voix – nue ou presque… Je rigole un peu, ma voisine de chambre se masturbe sur son lit ! ! ! Ah ! les femmes, on ne peut pas les laisser seules…
En tant que célibataire contraint et forcé pour une semaine, voilà une occasion à ne pas manquer ! Une femme seule, apparemment excitée au point de se branler , j’aimerais bien courir ma chance !
Je guette les bruits qui viennent de sa chambre, elle a fini de se détendre et prend une douche, en allant dans ma salle de bain qui est contigue, j’entends le bruit de l’eau. Cela s’arrête bientôt, je suppose qu’elle se sèche, je retourne à la fenêtre. Encore un petit quart d’heure, qui me laisse le temps de me préparer, je suis prêt à sortir quand elle sortira aussi… Attention, la lumière s’éteint, elle ouvre sa porte de chambre, je bondis et sors dans le couloir. Je ferme ma porte, elle est en train de se battre pour fermer la serrure…
Elle se retourne sur moi, c’est une femme d’environ 30/35 ans, brune, assez grande (environ 1m70) et très classe. Elle porte une robe rouge grenat du plus bel effet, qui mets en valeur ses jolies courbes ainsi que ses yeux noisette.
J’appelle l’ascenseur. La porte s’ouvre, je m’efface pour la laisser monter, Quand elle passe près de moi, je sens son parfum. Délicieuse…
Elle me regarde, et je la vois rougir à vue d’œil ! Je décide de la torturer un peu…
Elle devient cramoisie. Je lui souris et lui fait un petit clin d’œil., Je la sens se détendre immédiatement, elle à compris que je n’étais pas dupe… Elle me rend mon sourire.
L’ascenseur s’arrête, nous sommes à la réception… Nous devons sortir de l’hôtel pour aller jusqu’au restaurant.
En chemin, je lui propose de dîner ensemble, si elle le souhaite bien sûr !
Et nous partons d’un grand éclat de rire. L’ambiguité de la phrase sans doute…
Nous nous trouvons un petit coin tranquille en tête à tête, lumière douce, pas de voisins proches, l’idéal !
Nous discutons de chose et d’autres, elle m’apprend qu’elle s’appelle Chantal, qu’elle est divorcée depuis quelques mois et que la solitude lui pèse. Elle est représentante en fournitures de bureau et de laboratoire et elle doit rentrer chez elle à Lyon demain dans la journée. Nous n’avons donc que cette soirée et cette nuit pour nous ! Si elle veut bien…
Nos pieds se trouvent sous la table, d’abord de mon fait puis c’est le sien qui vient se frotter à ma jambe, mais à la douceur, je la soupçonne d’avoir ôté sa chaussure ! Nous nous sourions et je lui prend sa main que je caresse tendrement. Je sens qu’elle à vraiment besoin de contact ce soir…
Quand nous sortons du restaurant, il fait nuit et nous nous tenons par la main . Nous prenons tout notre temps pour humer la fraicheur du soir, le ciel est blanc d’étoiles, nous avançons le nez en l’air quand soudain, une étoile filante… Je lui dit :
Nous remontons jusqu’à nos chambres et devant sa porte, nous nous faisons face, nos visages se rapproche, nos lèvres s’effleurent et bientôt nos dents s’entrechoquent tant notre baiser est plein de fougue… Mes mains commence à explorer son corps, ses hanches d’abord, puis ses bras, ses seins, ses fesses…
Un fois dans sa chambre, nous recommençons à nous embrasser sauvagement, j’entreprend de la déshabiller, ce genre de robe à un zip sur le côté ou derrière, je tâtonne… (les hommes n’ont jamais été habile avec les vêtements féminins, ou ceux-ci sont faits exprès ! ! !) Voilà, zzzzzip et hop, la jolie robe rouge tombe en cercle sur ses pieds… Je l’admire, prend un peu de distance pour bien la voir dans ses dessous également rouges. Tout en frottant nos langues l’une contre l’autre, je lui dégrafe son soutient gorge, le fait glisser et libère se deux superbes seins. Je me penche pour en prendre les pointes tour à tour entre mes lèvres, elle ondule sur place et gémit doucement., je l’embrasse sur tout le haut du corps en descendant vers le ventre. Ce qui fait que je peut faire glisser aussi sa culotte vers le bas jusqu’à ses genoux., je continue de descendre et atteint sa toison, brune comme ses cheveux, mais taillée court et bien délimitée. Je lui dépose un baiser sur les poils et continue mon exploration du bout de ma langue, je passe très doucement sur son clitoris, je tourne autour, l’enveloppe, le titille, elle commence à se tordre et ne tient plus debout que parce que je la soutient… Je la tire par la main vers le lit, elle se laisse entraîner en me passant la main dans les cheveux, elle s’allonge au bord du lit, je lui écarte doucement les cuisses, je découvre son sexe, épilé sous sa toison en triangle, ses grandes lèvres brun-beige, les petites, roses pales, son clitoris rose plus soutenu… Ma langue reprend possession de sa jolie fente et en quelques minutes de douce caresse, elle s’envole dans un orgasmes qui la fait frémir des pieds à la tête, elle tremble convulsivement même ! Elle rebondit d’orgasme en orgasme pendant une dizaine de minutes sans arrêter…
Je la masse en partant des pieds, les chevilles, puis les jambes, les fesses, les reins, les dos en finissant pas le cou et la nuque…
Elle se relève, entreprend de me déshabiller à son tour, Quand il ne me reste que mon string, elle écarte celui-ci, prend mon sexe dans sa main et terminer de me mettre nu. Elle fait quelques va-et-vient, caresses mes testicules et finalement me fait une fellation digne d’une star du X. ! ! ! Je me retiens pour ne pas éjaculer tout de suite dans sa bouche… Toujours allongé sur le dos, elle me met le préservatif que je lui tend et vient s’installer à califourchon sur moi, guide mon sexe de sa main et descend sur moi en m’enfonçant au plus profond d’elle. Ensuite, elle bouge les hanches en cercle, c’est délicieux, il n’y a pas de termes pour décrire cette sensation ! Elle est totalement lubrifiée, et je glisse dans son vagin, du bord – elle me fait presque sortir – jusqu’au fond. Son ventre est doux et tiède, j’aimerais que cela dure une éternité ! ! !
Finalement, nous avons fait l’amour moi sur elle, elle sur moi, en levrette, sur le côté… Le temps pour nous était comme suspendu, nous étions dans un état d’excitation incroyable, elle gémissait sans cesse, j’essayais de retenir le flot qui montait au creux de mes reins. Soudainement, elle explosa dans un long râle de plaisir ce qui déclencha mon orgasme, je sentais les contactions anarchiques de son vagin autour de mon sexe entièrement enfoncé en elle, les soubressauts de ses hanches augmentaient encore mon plaisir… Nous ne saurions dire combien de temps dura cet éblouissement, cette quasi perte de conscience… Nous savons maintenant pourquoi on appelle ça « la petite mort » ! Nous restâmes emboités l’un à l’autre en reprenant peu à peu conscience de notre corps, des sensation qu’il nous renvoyait, dans une langueur que nous avions juste envie de prolonger sans faire un seul geste, flottant dans un demi coma… Peu à peu, je caressais son corps d’un geste tendre, pour la cajoler, lui faire du bien… C’était tellement apaisant, que nous nous endormîmes dans cette position.
Quand je me réveillai, il s’était écoulé un peu moins d’une heure, mon sexe était encore un peu fiché dans le siens, bien qu’ayant largement diminué de taille. Je me dégageais pour me lever et la laisser se reposer. Cela à suffit à la réveiller, elle se tourna alors vers moi…
Nous éclatons de rire comme deux enfants.
Je viens me blottir contre elle, je pose ma tête dans le creux de son épaule, mon visage tout contre son sein, elle me passe la main dans les cheveux d’un geste tendre, je suis bien… En étirant ma langue, j’atteins sa pointe, j’en profite pour lui donner quelques coups de langue… Je la taquine…
Elle cesse de me caresser les cheveux, je me tourne vers elle et je vois qu’elle pleure doucement. J’essuie les larmes qui coulent sur sa joue et lui embrasse les yeux. Nous parlons un moment enlacés puis nous nous laissons gagner par le sommeil…
Le lendemain au réveil, nous sommes toujours dans la même position, j’ouvre un œil, me remémore la veille au soir. Mon dieu qu’elle est belle ! Encore plus quand elle dort… Je lui dépose un petit bisou sur le bout du nez, ça la chatouille et elle ouvre les yeux !
J’avise un préservatif sur le chevet. Elle se tourne sur le côté, relève sa jambe pour me livrer passage jusqu’à son intimité, je la pénètre doucement et m’enfonce jusqu’à la garde d’une lente poussée. Je l’embrasse, lui caresse les hanches, les seins, le ventre tout en allant et venant en elle, Chantal pousse de petits cris à chaque poussée, je sens que ce matin, je vais pouvoir me retenir longtemps et ça me ravi, j’ai terriblement envie de lui faire l’amour, jusqu’à midi s’il le faut !
Sa respiration s’accélère, elle a la bouche ouverte sur un cri muet, soudain elle grimace et jouit.
Son sexe se contracte de façon saccadée, quel délice, elle m’offre un petit massage de la verge avec son ventre…
Je continue mon va-et-vient très lentement.
Avec mon sexe, je mouille toute la raie de ses fesses de son lubrifiant naturel et masse son anus avec mon gland…
Nous restons un long moment à reprendre nos esprit, parler de nos sensations réciproques, moi toujours planté dans son cul, elle en train de se caresser le clitoris. Il faut bien se résigner à se lever pourtant ! La journée de travail va commencer et nous sommes déjà très en retard ! Tant pis ! Ca attendra bien…
Nous prenons la douche ensemble en se caressant, en lapant l’eau qui ruisselle sur nos corps. Nous nous savonnons et nous essuyons mutuellement… Et enfin nous habillons. Je dois rejoindre ma chambre pour me raser et me changer, mais je sens que tous les deux, nous repoussons l’échéance de notre séparation ! Je l’embrasse tendrement puis elle s’enflamme et notre baiser devient fougueux comme si sa vie en dépendait… Dans le fond peut être d’une certaine manière…
Je lui sourit, lui envoie un petit baiser du bout des lèvres, lui fait un signe de la main et me retourne pour sortir !
Je la sens au bord des larmes, et moi, je ne suis guère mieux !
Mon dieu que cette journée va être longue et grise !
Il y a peu, j’ai eu un message de Chantal sur mon portable, qui me disait qu’elle avait trouvé un homme gentil avec lequel elle aimerait refaire sa vie.
Mais sa voix était triste ! ! !
Bisous spécial pour toi Chantal, je ne t’oublierais jamais…