Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/

Dan apprécie le triolisme

Lorsque Jean lui avait proposé une expérience à trois, Dan avait été terriblement excitée. Jamais encore elle n’avait osé avouer à son amant les nombreux fantasmes homosexuels qui lui trottaient dans la tête, et avait été très contente qu’il fasse un premier pas.

L’idée de baiser avec une autre femme n’était pas nouvelle ; elle avait dans le passé entretenu une liaison lesbienne passionnée avec une compagne de cours et si l’aventure s’était terminée, elle avait toujours regretté le plaisir particulier de jouir sous les coups de langue ou les caresses d’une autre femme. Mais faire l’amour à trois était nouveau. Chaque fois qu’elle y pensait, cela la faisait mouiller. Tout ensuite s’était déroulé très vite.

Quelques jours après leur décision de se lancer dans l’expérience, Jean rentra du boulot tout excité. Dans la banque où il travaillait, il avait rencontré une autre femme avec laquelle il s’était lié d’amitié. Dan devina immédiatement que cette amitié n’est ni récente, ni innocente.

"C’est elle ?"

"Comment ça, c’est elle ?

• — c’est elle que tu vas me faire rencontrer pour notre expérience à trois ?
• — Comment as-tu deviné ?
• — Tu bandes en m’en parlant, je suppose que c’est que tu penses à quelque chose de précis, mon beau salaud. Elle est si bien ?
• — Elle est pas mal : des cheveux acajou coupés courts, des beaux yeux verts, … elle est très sympa.
• — Mais encore ? Elle est sexy ?
• — Oui, assez sexy. Elle est mince, mais elle a des gros seins !
• — Aussi gros que les miens ?"

Dan ne put s’empêcher de ressentir une pointe de jalousie très fugace. Jean s’approcha d’elle, la prit par derrière et lui saisit le sein gauche avec ses deux mains. Elle a des nichons énormes, ronds, fermes, et arrogants.

"Bien sûr que non, c’est toi qui a les plus beaux nichons du monde, et même peut-être les plus gros. Aucune femme ne me fera jamais bander avec ses nibards comme toi tu peux le faire."

Il commença à lui masser le sein gauche. La réaction fut immédiate. Le bout durcit instantanément et se gonfla, atteignant très vite la taille et la fermeté d’une cerise. Dans le même temps, comme chaque fois qu’on lui touche les seins, Dan ne put s’empêcher de sentir une vague de désir l’envahir. Elle cambra les reins, poussa sa croupe vers l’abdomen de son compagnon. Elle sentit son sexe déjà dur, tendu.

"Parle-moi encore d’elle. Comment s’appelle-t-elle ?" demanda -t-elle en saisissant le pénis à travers le tissu. "Elle s’appelle Lara. Elle a 30 ans, elle vit seule, mais je crois qu’elle a pas mal d’aventures. Elle est plutôt allumeuse.

• — Comment ça, allumeuse ?
• — Elle porte toujours des trucs très sexy : des mini-jupes si courtes que tout le monde voit ses fesses -je n’ai jamais vu qu’elle portait autre chose que des strings- , des décolletés terribles pour montrer ses gros seins, des talons-aiguilles… "

Tout en parlant, Jean s’attaqua au sein droit, en saisit le bout à travers le tissu, le pinça, l’étira, le fit rouler entre ses doigts. Dan glissa la main sous sa robe. Elle ne portait pas de sous-vêtements ; sa chatte était déjà poisseuse.

"Dis-moi, qu’est-ce qu’elle portait aujourd’hui ?

• — La première chose, c’est qu’elle ne portait pas de soutien. Elle avait un petit chemisier vert pomme, en tissu un peu transparent. On devinait tout à travers le tissu : ses seins bien ronds, les bouts sombres et dardés qui pointaient ; c’était splendide de la voir marcher dans les couloirs, perchée sur ses hauts talons, avec ses seins qui s’agitaient !"

Dan était très excitée, elle imaginait la jeune femme que Jean lui décrivait, pleine de sensualité. Sans s’en rendre compte, elle avait commencé à caresser sa chatte humide, son clito déjà dur, ses lèvres gonflées. Jean lui massait maintenant les deux seins, en poussant son sexe entre ses fesses.

"Ca m’excite, tu sais, que tu me dises tout ça. Continue, raconte-moi, invente même si tu veux des trucs pour m’exciter.

• — Elle portait une mini-jupe verte aussi, en gros tissu, très courte
• — on voyait ses cuisses ?
• — ses cuisses, et son cul aussi, quand elle marchait. Elle ne met que des strings je te dis, et elle a des fesses superbes, musclées, toutes bronzées. . Et j’ai même vu, quand elle s’était assise un moment dans un fauteuil du bureau, que son string était lui aussi presque transparent. On voyait toute sa moule, toute gonflée. Elle est rasée, et elle porte un piercing.
• — Et ma moule à moi, tu veux sentir comme elle est lisse ? Laisse moi ôter ma robe… Regarde comme je mouille : ça dégouline sur mes cuisses. Sors ta queue"

Dan s’empara du membre de son compagnon et s’accroupit pour le prendre dans sa bouche. Elle commença à le sucer, elle joua avec le gland tout en lui caressant les couilles du bout des ongles.

"Elle te fait fantasmer, cette salope. Je voudrais bien qu’elle soit là, tiens, pour voir si elle te suce aussi bien que moi.

• — Non bien sûr.
• — Tu t’es fait sucer ?
• — …
• — Salaud. Tu ne m’as rien dit ! Pour te punir, j’arrête de te pomper, et c’est toi qui va te mettre à genou. Occupe-toi de ma chatte ! Allez, lèche bien dans tous les plis… voilà, très bien. Le bouton maintenant… Ah, j’imagine cette salope en train de te sucer. Elle a été jusqu’au bout, hein ? Je parie que ça t’a tellement excité que tu lui en a mis une pleine giclée. Sur les nichons ou dans la bouche ? Partout je parie, et dans les cheveux, sur le visage. Ohhh. Ça me tue. Viens, enfile -moi maintenant."

Et Jean la prit violemment, lui assénant de grands coups de boutoir qui lui secouaient les nichons, qui lui arrachaient des cris et qui l’avaient rapidement menée à un orgasme puissant.

Suite à cela, Jean avait invité Lara à passer une soirée avec eux, et c’est aujourd’hui qu’elle doit venir.

La jeune fille arrive un peu avant l’heure. Jean n’est pas encore rentré. Dan sort du bain, nue sous un fin peignoir, quand la sonnette retentit. Elle est troublée en ouvrant la porte : elle croyait que c’était Jean qui avait oublié ses clés. Son peignoir est grand ouvert, son corps superbe luit encore de l’huile parfumée dont elle s’est enduite. Elle croise le regard surpris mais admiratif de Lara, et sourit. À quoi bon se cacher. Elle ne tente même pas de refermer le peignoir, cela réchauffera tout de suite l’atmosphère. "Vous êtes Lara, je suppose ? Vous êtes bien plus jolie que ce que Jean a bien voulu dire. Entrez, je vous en prie". Dan est subjuguée. La jeune fille est superbe. Il émane d’elle un réel aura de sensualité. Elle porte un corset de cuir lacé sur le devant, décolleté jusqu’à la taille, qui presse ses gros seins et les fait tellement gonfler qu’on s’attend à chaque seconde qu’ils jaillissent hors de leurs bonnets. L’aréole du mamelon gauche est d’ailleurs à moitié visible. Le nombril, laissé nu, arbore un joli piercing. Elle porte une mini jupe du même cuir, fendue très haut, révélant des porte-jarretelles noirs. Elle est perchée sur des talons très hauts et très fins.

"Jean ne m’avait pas dit non plus que vous étiez aussi belle … ni aussi libérée. Il m’a attirée dans un vrai guet-apens.

• — ça vous déplaît ?
• — non, c’est ce que j’espérais
• — vous êtes perverse
• — c’est vous qui êtes nue pour m’ouvrir la porte
• — vous n’êtes pas nue, c’est pire. Vous ne vous êtes pas fait violer sur le chemin ?
• — vous me plaisez, Dan. J’ai déjà envie de vous."

Elle s’approche. Dan ouvre grand son peignoir, fière de son corps superbe et déjà excitée. Ses seins énormes sont, il est vrai, irrésistibles : fermes, arrogants, luisants. Lara ne peut s’empêcher de tendre les mains pour les toucher.

"Ils sont superbes, je n’en ai jamais vu d’aussi énormes, ni surtout aussi fermes. Opération ?

• — non, naturels. Mais je les soigne.
• —  ?
• — Le sperme a de nombreuses vertus.
• — Vous alors ! C’est moi que vous traitez de perverse ?
• — Allez, viens, je vois bien que tu as envie d’y toucher - on peut se tutoyer non ?- Et en tout cas, moi j’ai terriblement envie que tu t’en occupes. J’ai aussi terriblement envie que tu me montres les tiens. Question taille, ils me semblent aussi exceptionnels, non ? "

Dan n’hésite pas, elle glisse une main dans le corset et sort le sein gauche de Lara. Le mamelon, orné d’un anneau doré, est dur, gonflé, tout excité. Elle soulève doucement le nichon frémissant et tremblant. Lara délace le corset, et prend elle-même ses nichons pour les offrir aux caresses de Dan, qui ne se fait pas prier pour faire de même. Tenant toutes les deux leur poitrine opulente, elles s’approchent pour les frotter l’une contre l’autre, les presser, les masser et en taquiner les bouts.

"Dan, tout cela va très vite. Tu as déjà baisé avec une autre femme ?

• — ça se devine ?
• — en tout cas tu sais comment caresser mes seins pour me faire mouiller !
• — toi aussi, tu ne sembles pas ignorante de ces choses. Je sens qu’on va s’amuser. Viens, nous allons nous installer sur le divan. J’ai envie que tu me suces les tétons."

Dan s’installe dans le divan, à demi couchée. Tenant toujours ses gros seins, elle écarte largement ses cuisses pour que Lara voie sa belle moule rasée. L’excitation a fait gonfler ses lèvres, son clitoris darde déjà. Lara s’accroupit à côté d’elle, s’empare des ses seins et commence à les masser de plus en plus fort. Puis elle s’empare d’un bout, le mordille, le suce, le lèche. Dan a fermé les yeux et se laisse emporter. Lara sait y faire. Dan n’en peut plus. Sa moule palpite de désir. Elle ne peut s’empêcher d’y porter la main. La moule est poisseuse, dégouline déjà, le clitoris vient à la rencontre de l’index. Elle commence à se branler, se tordant sous les coups de langue de Lara. Elle va bientôt jouir. Elle halète déjà, et lorsque l’intensité de ses petits cris indiquent à Lara qu’elle est prête à exploser, celle-ci abandonne ses seins et se relève.

" continue à te branler, j’aime de voir ça. Tu as une jolie vulve, tu sais !

• — tire ta jupe, je veux voir la tienne, montre-la moi
• — moi aussi je la rase tu sais. C’est tellement plus sexy.
• — Bon dieu, tu m’excites. Regardes comme je dégouline. Tu mouilles autant que moi ?
• — Regarde ! je suis nue sous ma jupe. Mes cuisses sont déjà trempées. Occupes-toi de mon sexe !".

Lara a ôté sa jupe. Les jambes légèrement écartées, tenant ses gros seins dans ses mains, elle approche son pubis du visage de Dan. Celle-ci ne se fait pas prier. Tout en continuant à se masturber, elle approche sa bouche du sexe palpitant et commence à lécher la fente. Lara joue avec le bout de ses seins, les pince, les étire pour les faire durcir encore davantage. Dan suce maintenant avidement, titille le clitoris, taquine l’anneau doré qui orne le pubis, introduit sa langue dans le vagin poisseux. Lara ondule du cul, pressant son sexe contre la bouche de sa partenaire pour mieux se faire lécher. Les deux femmes sont maintenant proches de l’orgasme. Dan sent que le sexe qu’elle suce palpite de plus en plus fort.

"viens, laisse-toi aller, jouis !

• — oui je viens, tu me fais jouir, toi aussi, viens ! branle-toi à fond ! je vais te lâcher mon jus
• — Aah je jouis, je jouis."

Foudroyée par l’orgasme, Lara s’écroule dans un spasme violent. Dan part dans un long plaisir, tout son corps tétanisé et tremblant.

Pendant quelques minutes les deux jeunes femmes restent pantelantes, immobiles, se souriant avec satisfaction. Dan est la première à reprendre ses esprits. Elle s’approche de Lara, l’embrasse avec fougue ; Lara répond instantanément à ses jeux de langue.

"Mon dieu, Jean va bientôt rentrer, rhabillons-nous !

• — Pourquoi se rhabiller ? tu as honte de ce que nous venons de faire ?
• — Non, j’ai eu beaucoup de plaisir
• — Alors laisse-le nous découvrir ainsi, nues, libérées, ouvertes l’une à l’autre et offertes à ses désirs !
• — Tu as raison, Lara, je soupçonne même ce salaud d’avoir pris du retard volontairement pour provoquer ce qui s’est passé. Si tu savais tout ce qu’il m’a raconté hier sur toi pour m’exciter, et pour que j’aie envie de toi.
• — Il a fait la même chose avec moi tu sais, mais je trouve que tu es encore mieux en réalité que dans sa description. Il m’avait dit que tu avais une forte poitrine, mais pas que tu avais de tels obus !"

Et Dan recommence à caresser les énormes nichons de sa nouvelle compagne, qui pleine d’orgueil, redresse le buste avec insolence.

Une clé tourne dans la serrure. Les deux femmes suspendent leurs caresses. Lorsque Jean pénètre dans la pièce, il découvre le spectacle splendide des deux femmes enlacées ; l’une joue avec les seins de l’autre qui lui caresse le sexe. Il s’approche

"Bonsoir, je vois que vous avez déjà fait connaissance ?

• — Ça t’étonne, gros cochon ? Tu as tout fait pour nous exciter. Eh bien, nous on en a profité, on s’est déjà fait du bien, sans t’attendre. Après tout, tu n’as pas peur qu’on se passe de toi ?
• — Dan, tu sais bien que tu ne tiendrais pas deux jours sans que je t’enfile !
• — Mais tu sais, Lara ne manque pas de moyens de me faire jouir. Et les godes c’est fait pour s’en servir.
• — OK, d’accord, j’abdique. Permettez-moi de me joindre à vous.
• — Oui, viens voir comme elle sexy, Lara. Tu ne m’avais pas dit qu’elle était aussi chaude !
• — Tu peux parler, toi, de chaude : t’es une vrai femelle en rut quand je te suce le bout des seins
• — Tu lui a sucé les seins ? elle aime ça, hein, ça la fait mouiller !
• — Bien sûr que je lui ai sucé les nichons. Comment pourrait-on s’empêcher de s’occuper de nichons pareils ?
• — Et vous vous êtes caressées ?
• — Caressées, sucées, léchées… Qu’est-ce que tu crois ? des jolies moules comme les nôtres, on ne peut pas les laisser s’assécher. D’ailleurs, on allait bientôt s’y remettre, à nos lècheries. Mais je pense que puisque tu es là, tu vas nous montrer comment tu te débrouille. Et tu nous diras laquelle de nos deux moules mouille le plus."

En un clin d’œil, Jean se déshabille. Sa bite dressée entre ses cuisses, il s’approche des deux femmes qui s’installent côte à côte sur le divan en écartant leurs cuisses. Jean savoure le spectacle, et ne sait à laquelle des deux moules rasées il doit d’abord s’attaquer. Lara décide à sa place :

"Occupe-toi d’abord de ta femme : fais lui un bon cunnilingus, pendant que je continue à m’occuper de ses tétons

• — Oh oui, faites-moi jouir, j’ai envie de me laisser faire.
• — Et après quand elle aura joui, on te sucera toutes les deux, et puis tu l’enfileras… je sens qu’on va avoir bon tous les trois.

Jean s’agenouille entre les cuisses de Dan. La vulve légèrement entre-ouverte exhale une sublime odeur de stupre. Dan dégouline déjà, tant elle est excitée. Lorsque Lara s’empare de ses seins, Dan écarte encore davantage ses cuisses et soulève les fesses. Jean plaque sa bouche sur la fente, commence à sucer, à lécher, à mordiller les lèvres. Plus haut, Lara commence à sucer avidement les tétons turgescents. Tout de suite, Dan commence à gémir. Elle sait que chez elle chaque orgasme rend le suivant plus rapide et plus violent. Son sexe fond, palpite de désir. La langue de Jean a trouvé son clitoris et le taquine avec insistance. Elle commence à onduler du cul tout en gémissant de plus en plus fort. Lara également s’excite. Elle a commencé à se masturber, Jean voit ses doigts agiles aller et venir dans son vagin, tandis que son pouce caresse son bouton. Naturellement, Jean bande comme un âne à la vue de ces deux femelles en rut. Il prend sa bite et commence à la branler. Mais très vite, Dan ne peut retenir l’orgasme qui l’envahit. Elle se cambre, lâche un jet de jus au visage de Jean tout en criant son plaisir..

Dan est venue trop rapidement au goût de Jean. Il a vite compris que cette rapidité est due à d’autres caresses que les siennes, et que les deux femmes ont du prendre pas mal de bon temps entre elles déjà. Il se redresse. Dan reprend ses esprits :

"Pauvre Jean, tu es en reste non ? Viens, on va s’occuper de toi.

• — oui viens, donne-nous ta grosse bite, on va l’astiquer, elle a bien mérité une petite gâterie
• — et pendant qu’on te suce, tu pourras continuer à branler Lara, pendant que je lui masse les seins."

Jean s’allonge sur le divan, le sexe dressé. Lara s’agenouille près de lui, les cuisses écartées pour qu’il puisse jouer avec sa moule. Dan s’installe de l’autre côté, se saisit de la queue palpitante et entreprend de la sucer. Elle lèche la bite des testicules jusqu’au gland, qu’elle mouille puis embouche en grognant. Jean triture la vulve trempée de Lara, titillant l’anneau, pressant le clitoris, enfonçant plusieurs doigts dans le vagin. Lara se masse les seins en se tordant de plaisir. Dan lâche le sexe de Jean, et invite Lara à prendre le relais. Pendant qu’elle se penche pour prendre à son tour la bite et la sucer, Dan s’empare de ses nichons et commence à les triturer. Lara gémit, elle s’excite de plus en plus, frémissant de tout son corps. Elle pompe de plus en plus vite, de plus en plus profondément. Jean sent également le plaisir monter. Lara le devance, et jouit en gémissant. Jean se libère de sa bouche, se relève ; il se place derrière Dan toujours à quatre pattes, et l’enfile sans attendre. Il la laboure violemment, fait claquer ses fesses contre son ventre. Les énormes seins de Dan, secoués par les coups de butoir, balancent en rythme entre ses bras, leurs bouts frottent sur le tissu du divan. Dan part dans un nouvel orgasme, et entraîne Jean qui sort son sexe, le branle sec et répand son sperme sur les fesses et le dos de sa compagne. Il s’écroule, laissant la place à Lara qui commence à étaler et lécher le sperme répandu. Elle caresse le cul de Lara, son sexe encore palpitant et dégoulinant. Dan devient folle. Trois orgasmes n’ont fait qu’accroître son envie de sexe. Elle ondule de la croupe, écarte bien les jambes pour que Lara puisse s’occuper de sa moule. Lara ne se fait pas prier. Elle lui caresse le sexe, mais aussi l’anus. Jean observe avec intérêt.

"tu as vraiment une jolie moule toute gonflée, mais tu as aussi une jolie petite rosette !

• — oh Lara, tu me tueras, comment peux-tu deviner aussi facilement mes désirs ?
• — Tu veux que je te caresse l’anus, ma chérie ? Ca t’excite ?
• — Oui, vas-y, enfonce-moi un doigt dans le cul, j’adore ça, ça me fait jouir.
• — Attends, j’ai une autre idée. Caresse-toi d’abord toi-même. Allez, vas-y, enfonce-toi un doigt dans le cul. Voilà, plus profond. Maintenant, branle-toi le cul. Très bien. Je reviens"

Dan s’enfonce un doigt dans l’anus puis deux, tout en se caressant aussi la moule. Jean bande à nouveau, et commence à se branler en l’admirant. Lara revient. Elle a été chercher un gode dans son sac à main. C’est un gode imposant, gros et long, plus gros que le sexe de Jean lui-même. Lara frémit

" Non, c’est trop gros, ça ne rentrera jamais.

• — mais si, ça rentrera, et tu vas voir que ça va te chambouler les sens
• — Jean, ne la laisse pas faire
• — Mais si ma chérie, je vois bien que tu meurs d’envie de te faire sodomiser par ce gode. Il n’y a qu’à te voir t’enfoncer tes doigts dans le cul pour comprendre combien tu aimes ça.
• — Oui, ma petite salope chérie, on voit bien que tu ne demandes que ça, de le sentir dans ton petit cul"

Effectivement, Dan meurt d’envie de sentir le gode lui pénétrer les entrailles. Elle se cambre davantage, le cul bien en l’air et attend d’être sodomisée.

Elle ne peut s’empêcher de laisser échapper un cri. Elle avait beau s’y attendre, elle avait beau l’attendre, le gode qui vient de forcer son anus lui fait d’abord mal. Elle voudrait se dégager, mais Lara lui maintient les épaules et le visage plaqués sur le sol, et le cul en l’air .

Heureusement, très vite, la douleur devient plaisir. Son anus dilaté semble aspirer le gode ; son clitoris a encore enflé, darde entre ses lèvres en palpitant. Elle commence à se branler, tandis que Lara commence ses mouvements de va-et-vient. Quelques pénétrations, et Dan se tord de plaisir, ton son corps est secoué de spasmes, elle gémit de plus en plus fort et finit par littéralement exploser tant son plaisir est intense. Elle s’écroule, terrassée, anéantie. Lara sourit à Jean. L’aventure ne fait que commencer.