n° 07441 | Fiche technique | 11833 caractères | 11833 2134 Temps de lecture estimé : 9 mn |
11/08/04 |
Résumé: Arrivé dans une ville étrange, notre héros tente de retrouver son passé... | ||||
Critères: #policier #fantastique fh fplusag boitenuit travail pénétratio | ||||
Auteur : Colin |
Bienvenu dans Iq l’imprenable : une ville bâtie autour de pointes gigantesques faites de bois et renforcées avec des plaques en métal. Autour des ces piques se sont construits bâtiments, routes et murailles… c’est dans ces lieux sentant le souffre que je suis arrivé…
Assis dans une taverne de la ville, je sirote ma chope, plongé dans mes pensées. Les seins trop lourds de la stripteaseuse elfique rythment ma réflexion, ponctuée par les éclats de voix des tables voisines. C’est toujours surprenant lorsque les femmes elfes dévoilent leur poitrine, car elles n’ont pas de tétons ! Même si elles sont en général très jolies, il leur manque ce petit truc qu’ont les vrais femmes… enfin…
Mais quelle animation ce soir ! Il faut dire que demain se déroulera la fête du double équinoxe en cette année de l’ogre, paraît-il.
En plus depuis quelques temps, ces mystérieux spectres qui circulent en ville semblent très actifs… ces fantômes sont plus ou moins translucides errant au milieu des passants… personne ne semble s’en soucier ! un vrai mystère. En plus, pas moyen de quitter la ville… il n’y a pas de sortie et ceux qui tentent l’expérience meurent dans de tragiques circonstances à ce qu’on dit.
Je me présente : Ce sera court car je ne suis pas d’ici et pas d’ailleurs, d’ailleurs… en fait je suis arrivé il y a un mois et je ne me rappelle de rien avant cela. J’ai dû prendre un coup sur le crâne, qui m’a également provoqué une cicatrice plongeante depuis le haut du front jusqu’à mon sourcil gauche : ce qui m’a valu le surnom de « Faille ». Lorsque je me suis éveillé, je n’avais sur moi que mes habits déchirés et un médaillon portant une inscription simple : « à mon seul amour : Sadran ». J’étais perdu et j’ai vivoté comme j’ai pu.
Mes recherches pour retrouver mon passé n’ont rien donné. Je subsiste en volant à la tire quelques marchands distraits ou plus souvent, éxécute des besognes humiliantes comme nettoyer des locaux. La patronne du « Sanglier en Rut », Malia, m’a recueilli lorsque je mourrais de faim, errant dans les rues. Mais ma condition s’est surtout amélioré depuis qu’on a découvert ensemble que je savais lire et compter. Depuis je tiens pour elle la comptabilité de l’établissement et transcrit pour elle les lettres dont elle a besoin. C’est une femme dure au travail mais sympathique la plupart du temps.
Il faut dire que cette jeune veuve se sentait seule et son métier, surtout nocturne, ne lui permettait pas de rencontrer des gens intéressants. Si Malia n’était pas de la première fraicheur, elle avait des yeux noirs vifs et le sourire lumineux. Ses mains fines soulignaient encore des mouvements encore souples. Ses longs cheveux blonds, tenu par un chignon, réhaussait sa taille moyenne. Bien qu’ayant un petit ventre naissant et des seins pleins mais tombant, sa silhouette restait très attirante. L’âge avait sur elle approfondi sa beauté. Et comme toujours, elle animait la salle en servant les clients qui criaient au rythme du striptease sur la scène.
Ce soir, je suis en congé. Malia était satisfaite : les clients étaient en nombre et buvaient à gorge ouverte l’hydromel qu’elle leur servait. En passant devant moi elle clignait des yeux malicieusement, confirmant sa bonne humeur.
« Malia, je vais pas tarder, as-tu encore besoin de moi ce soir ? », criant assez fort, bien qu’étant à côté d’elle.
« Pas de problème ! Demain je veux te voir tôt devant le bar, bonne nuit ! », me répond-t-elle affairée à poser des chopes sur une table.
Rapidement fatigué par le brouhaha de la salle et blasé par le spectacle, bien que plaisant, je décide de monter au premier dans mes quartiers pour m’isoler. Ma chambre possède un petit balcon donnant sur la rue. C’est une nuit chaude et sans nuage qui m’accompagne maintenant et j’observe avec la faible lueur des lunes jumelles, les murailles qui entourent le donjon d’un des princes régnant de la ville : sa Majesté la Princesse d’Alhkor… je me demande comment elle est…
Les bruits de la salle s’amenuisent et je vois peu à peu les clients rentrer chez eux titubant et sifflant des chants de bonne augure pour cette nouvelle année. Puis le silence, enfin. C’est alors, attiré par un mouvement, que j’aperçois une silhouette sur le balcon voisin, en face de la chambre de Malia, qui se deshabille. Je rêve, ce doit être ma patronne ! La lune déchiffre les lueurs blanches de sa peau, légèrement bronzées. Ses cheveux humides semblent lourds et elle les brosse doucement me tournant, semble-t-il, le dos. Je distingue mal sa silhouette mais je devine le dessin de ses fesses. Mon dieu quel c… ! Pétrifié tout d’abord, je la fixe, curieux du spectacle ainsi donné. Me reprenant, je veux disparaître dans ma chambre, gêné par ce voyeurisme: j’avoue avoir senti une douce chaleur naissante sur mon bas-ventre qui me rappelle à quel point je la trouve désirable. Maladroit, je me tape la tête sur le coin de la porte du blacon et ne peux réprimer un juron, trahissant cetainement ma présence.
« Faille, c’est toi ? » je reconnais la voix de Malia…
Ne chassant que faire, je ne peux que répondre : « Non, enfin… oui ! »
J’entends alors des bruits de pas dans le couloir et quelqu’un frappe à ma porte. Me doutant que c’est Malia, je mis quelques secondes pour lui ouvrir, me préparant psychologiquement à me faire virer pour avoir oser la surprendre dans son intimité… finalement elle ouvre elle-même la porte et entre dans la pièce. La chaleur, l’obscurité et la proximité de cette femme me gênait grandement. Elle s’approche de moi. Depuis la porte fenêtre, la lumière spectrale des astres révèlaient petit à petit sa silhouette presque nue, puisqu’elle ne portait qu’une nuisette légèrement transparente. Son visage restait cependant dans le noir. Elle s’immobilisa dans la pénombre et un long silence s’installa. Je n’entendais que sa respiration faible et régulière.
« Sais-tu que nous avons réalisé une bonne recette ce soir ? » dit-elle sur un ton léger en s’avançant à nouveau, de sorte que son visage seulement restait dans les ténêbres de la pièce.
« Sans doute. Tu as travaillé dur ce soir », répondis-je. Je distinguais maintenant le contour de ses seins et aussi les tétons foncés au centre de ceux-ci.
« oui », acquieça-t-elle, « mais des fois j’ai du mal à trouver un sens à mon travail : je n’ai ni mari, ni enfant et ni famille. »
« Les dieux ne dévoilent pas toujours leurs plans, mais ils en ont toujours un. », trouvais-je pour la réconforter, sans trop croire à ce que je viens de dire.
Elle s’approche encore un peu et cette fois je vois les larmes qui coulent sur son visage triste. Je suis surpris, car je la trouve encore plus belle ainsi, surtout avec ses cheveux défaits. Elle doit s’en apercevoir car elle s’approche davantage et se colle à moi, le visage contre ma tunique. Je ne sais quoi faire car elle doit maintenant sentir mon érection. Sentant ma gêne, elle prend mes bras et les enlace autour d’elle et se serre encore plus fort contre moi. Et là, je craque. Je commence à mouvoir mes bras sur son dos et petit à petit j’ose descendre vers ces fesses qui m’ont si fortement ému. Elle aussi bouge ses mains et tourne maintenant son visage vers le mien. Je m’approche pour l’embrasser, mais elle pose alors son index sur mes lèvres et me dis :
« Pas sur la bouche, je garde ceci pour l’homme de ma vie. »
Surpris, mais comprenant l’importance du baiser pour elle, je l’embrasse sur le front.
« Viens me dit-elle suis-moi ».
Je la suis, forcé, puisqu’elle me tient fermement la main, m’entrainant vers sa chambre. Une fois à l’intérieur, elle ouvre un lourd coffre en bois et en sort une fiole. Remplissant le contenu dans un verre, elle m’explique :
« Mon mari Tamarus, Faille, était un magicien, pas un maître dans son domaine, mais assez doué tout de même. » Sa voix s’enroua à l’évocation de son défunt époux. Elle reprit : « Lorsqu’il partait en voyage pendant de longs mois pour le prince, il savait que ce serait très difficile pour moi de rester fidèle en son absence. Il m’appris donc à faire une potion, qui m’éviterait d’être infidèle en quelque sorte. » Elle me montra le liquide rouge et épais dans sa main. « Ce liquide provoque une hallucination très réaliste : on est capable de voir la personne en face de soi se transformer en l’être qui nous manque le plus à l’instant. Ainsi je ne trompais pas vraiment mon mari. Depuis sa disparition, je continue encore d’utiliser sa potion… me comprends-tu, Faille ? »
« Oui, je crois… »
Elle boit alors le liquide et ferme les yeux pendant quelques instants. Elle les ouvre à nouveau et je constate que ses yeux ont pris un reflet rouge. Elle me fixe puis me sourit : « C’est toi mon amour ? Comme tu m’as manqué… embrasse moi »
Je m’approche et l’embrasse alors longuement. Elle s’abandonne alors totalement. Je la tiens par les bras et l’écarte de moi. Je me baisse juste devant elle et passe sa nuisette par le cou. Ce que je vois me frappe alors : Malia, nue, a 20 ans de moins ! Sans doute un effet de la potion dont elle ne m’a pas parlé ! Ses seins sont fermes et hauts, sa peau lisse et sa silhouette fine et svelte. Je lui sourit.
Elle embrasse mon torse et me deshabille en même temps. Je ferme les yeux d’aise. Ma tunique tombe et je n’ai qu’un pagne qui cache encore ma virilité. Sans hésiter, elle fait tomber ce dernier vêtement et embrasse tendrement le bout de ma verge. Je laisse ma tête tomber en arrière et respire plus rapidement. Malaxant mes fesses, elle me caresse avec ses cheveux. Je crois rêver ! Puis elle se relève et me regarde fixement.
Je comprends alors, la prend dans mes bras et la pose sur sa couche. Je regarde, sans retenue aucune, cette poitrine généreuse et le petit filet de poil qui descend vers son pubis. Son nombril se soulève à chaque respiration et ne demande qu’a être embrassé. Je lui caresse sa hanche puis remonte vers un sein et lui mordille alors son autre téton. Un soupir lui échappe et elle ferme les yeux. Ma main abandonne sa poitrine et tire gentiment les poils de son pubis. Doucement elle écarte les jambes pour laisser passer mes caresses.
Je m’aperçois alors de l’humidité de son intimité et parcours avec l’index de bas en haut sa fente. Appuyant plus fort au sommet, je titille avec douceur ce point si sensible. Malia commence alors à onduler avec son bassin et met ses bras autour de mon cou.
« Viens »
Je ne me fait pas attendre et me positionne au-dessus d’elle. Je caresse son sexe avec le mien avant de la pénétrer. C’est elle qui s’empale d’un coup sur ma verge qui glisse sans peine. Un va-et-vient lent s ’en suit augmentant au rythme de nos respirations. Je glisse une main sous sa nuque et soutient sa tête en la lui massant. Mon autre main remonte le sillon de ses fesses puis resdescent, cette fois vers sa rosette. Mon index se pointe à l’entrée et agace son petit trou. Je la possède complètement. Le feu augmente et nos chairs transpirent abondament.
Dans un profond soupir libératoire ma compagne jouit, me griffant le dos avec ses ongles. Ce qui déclanche à son tour mon plaisir dans un râle étouffé. Après avoir repris mon souffle, je me tourne à côté d’elle et le silence reprends ses droits.
« Je dois te révéler une chose. J’ai souvent observé mon mari travailler dan son laboratoire et j’ai remarqué un cigle sur un livre qu’il avait sur sa table. Or c’est le même motif que tu as sur le bas de ta nuque. Demain je te le montrerai. Merci mon amant, c’était formidable ».
Je reste d’adord immobile. Enfin ! Après un mois de recherche sans aucun résultat, je n’avais même pas remarqué que j’avais un tatouage sur le dos ! Et en plus il y aurait un document qui en parle ! Je tremble, puis enfin je lâche :
« Peux-tu me montrer ce bouquin… heu… tout de suite ? », lui dévoilant mon impatience.
« Si tu insiste… », lassivement elle se lève, passe sa nuisette et me fait signe de la suivre…
…to be continued