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Temps de lecture estimé : 30 mn
15/08/04
Résumé:  Maximin est le fils unique d'une des grandes familles patriciennes de la Rome antique. Pour son anniversaire, ses parents lui offrent un cadeau... inattendu.
Critères:  #historique #initiation fh jeunes hdomine voir fellation
Auteur : Sébastien Antigone  (Jh débutant dans l'écriture, et cherchant à s'améliorer.)      
Un cadeau surprenant


Hier, c’était mon anniversaire. La fête qu’on donnée mes parents s’achève tout juste. Tout Rome était invitée. Toutes les grandes familles patriciennes étaient représentées, ça a été un magnifique succès.

Ce goût amer que j’ai dans la bouche, ce n’est pas le souvenir de vomissures plus ou moins voulues. Cette amertume-là provient de mon cadeau : mon père m’avait annoncé qu’il devait aider à préserver mon indépendance. Et devinez ce que j’ai reçu : une esclave ! Par rapport au cheval de l’année dernière, elle fait pâle figure.

Si encore j’avais reçu un esclave capable de travailler, ou alors au pire, une courtisane qui m’aurait appris ses secrets, comme Alicia !

Enfin, je ne me plains pas trop, mon ami Matthias a reçu un nouveau percepteur, assorti de l’obligation d’étudier quatre heures par jour la philosophie et la rhétorique ! Il ne s’en est pas encore remis…


N’empêche, je me demande ce que je vais bien pouvoir faire d’elle. D’après mon père, elle a à peu près mon âge et vient de Libye, c’était une princesse barbare. Mais elle ne connaît rien à la vie romaine, ni d’ailleurs à la vie tout court. Je lui ai ordonné de me suivre durant toute la réception : j’ai bien vu qu’elle ne savait pas du tout comment se comporter.

D’ailleurs, ce matin, les invités étaient à peine partis qu’elle s’est écroulée, de fatigue sûrement. Je l’ai fait réveiller à coups de claques, elle s’est remise debout en chancelant, les larmes aux yeux : elle ne faisait pas la fière ! Comme je ne savais pas trop quoi en faire, je l’ai tout de même envoyé se coucher en lui disant qu’elle ne valait rien.


Maintenant, je m’ennuie. Je suis dispensé de cours pour aujourd’hui, je suis maussade, et je n’ai envie de rien. Heureusement, un esclave vient m’annoncer la visite de Matthias.

Je suis heureux de le voir, à nous deux, nous trouverons bien un moyen de nous amuser… Evidemment, mes doléances à propos de mon cadeau reviennent vite sur le tapis :

_ Complètement inutile je te dis, je te parie qu’elle ne sait même pas danser !

_ Tu lui as demandé ? Sans rire, si tu n’en veux pas, je te l’échange contre mon lettré. Lui, il est bien trop utile pour le coup !

_ C’est ça, rêve toujours. Mais en attendant, mes parents m’ont fait un sale coup.

Ce qui est bien avec Matthias, c’est qu’il n’est pas bête,… et surtout, qu’il dit ce qu’il pense :

_ En fait, je crois savoir ce que voulais dire ton père : il a peur que tu t’attache trop à une de nos amies. Tu imagines par exemple ce qu’Alicia a dû apprendre à faire ? Elle doit être capable de faire plier n’importe quel homme. Je crois que ton père a voulu t’en protéger. Il veut que tu t’amuses avec ta petite esclave et que tu laisses ainsi nos amies au second plan. D’ailleurs, je ne serais pas étonné que mes parents suivent bientôt son exemple…

Là, je dois dire qu’il m’en bouchait un coin. Pouvait-il avoir raison ? Surtout, cela annonçait des moments…distrayant avec cette petite princesse, et avec sa probable future esclave.

C’est vrai qu’en y repensant, mon cadeau n’était pas si mal fait que ça : une douce couleur ivoire, de petites fesses, des yeux implorants…il fallait que je l’examine :

_ Tu as peut-être raison. Il faut que nous trouvions le moyen de savoir. En attendant, et pour tester un peu mes parents, je te propose de l’examiner de plus près.


Après avoir demandé à un esclave de nous l’amener, nous partîmes l’attendre dans ma chambre. Celle-ci occupait l’une des tours du bâtiment principal de notre villa : deux étages, celui du bas était ma salle de réception et d’étude. C’est dans celle du haut que nous nous installâmes, environnés de cousins et de tapis.

Nous attendîmes à peine pour voir entrer mon esclave encore à moitié endormie, poussée rudement par l’intendant.


_ Tu es mon esclave, j’ai donc décidé que tu devais dormir près de moi.

Je laissais ces mots suspendus, pour qu’ils pénètrent bien dans sa tête. Cela me permit de savourer l’éclair fugace d’inquiétude qu’elle laissa échapper. Puis, pour la mettre à l’aise :

_ Installes-toi dans ce coin, là, près de mon lit. Prend cette natte et ces cousins. Je te ferai donner des draps lorsque les nuits deviendront froides.

Elle me répondit d’un timide « Merci, maître », avant de ramasser ses affaires, et de m’obéir. Mais c’est là que nous l’attendions. Alors qu’elle se couchait, Matthias me jeta un coup d’œil et sourit en me voyant ouvrir la bouche :

_ Eh, l’esclave ! Je ne sais quelle est la coutume en Libye, mais ici, on ne dors pas avec les vêtements que l’on porte durant la journée ! Je m’occuperai demain de ce que tu auras besoin. Pour cette fois, tu dormiras nue.


En disant cela, je la dévisageais, et me rendait compte à quel point mon cadeau avait un côté somptueux. Tout, depuis son petit nez en trompette à ses doigts de pieds, était magnifique et parfaitement ciselé. En échangeant un regard avec Matthias, je vis bien qu’il partageait mon avis.

Lorsque je revins à mon esclave, elle n’avait pas bougé. Feignant de n’y attacher qu’une importance secondaire, je lui dis sans la regarder : « Eh bien, tu es sourde ? ».

Immobile, elle se secoua, répondit par un petit « non, maître », et entrepris de dénouer sa ceinture. Matthias et moi faisions toujours semblant d’être absorbé dans la contemplation d’un motif, et nous sourîmes de concert lorsqu’elle se retourna contre le mur en dégrafant la broche qui tenait le haut de sa robe : nous lui ferions vite oublier sa pudeur !

En attendant, son dos dénudé, accaparait toute notre attention. À l’apparition de la naissance de ses fesses, je me senti sur le point d’exploser. Lorsque se dévoilèrent ses magnifiques petites fesses, les premières fesses féminines que je contemplais d’aussi près, seule la présence de Matthias et la crainte de mes parents me retinrent de lui sauter dessus. Je voulais la toucher, me coller contre elle, lui imposer virilement ma présence en la malmenant.


Nous la laissâmes s’allonger tranquillement, sans cesser de la détailler, puis nous descendîmes dans la pièce du dessous, pour discuter tranquillement.

_ Eh bien, mon vieux, je ne vois pas de quoi tu te plains ! Moi, je vais vite raconter à mes parents ton aubaine, en espérant qu’ils suivent l’exemple des tiens !

Les possibilités qui s’offraient à moi, et aussi la vision persistante d’une petite paire de fesses, me laissaient rêveur, je répondis juste :

_ Oui, tu as raison… je dois réfléchir, et savoir ce que veulent mes parents… Et je te demanderai une chose : n’ébruite pas cela autour de toi. Je pense que tu es d’accord pour que nous ne la partagions pas trop.

_ Et comment, comptes sur moi. Allez, il faut que j’aille présurer mon père ! A demain !

_ A demain !


On devait guetter le départ de Matthias, car un esclave vînt aussitôt me prévenir que mes parents m’attendaient dans le bureau de mon père. Ce fût d’ailleurs lui qui attaqua, alors que j’étais à peine entré :

_ Alors, on me dit que tu as fini de bouder… Ton cadeau te satisfait finalement ?

Comme je ne savais encore à quoi m’en tenir, je décidais de tergiverser :

_ Elle est peut-être jolie, mais que voulez-vous que j’en fasse ! Vous ne pouviez pas m’offrir un char de combat, comme les parents de Julius ?!

_ Allons, ne fait pas l’enfant, Maximin. Je crois qu’avec Matthias, vous avez très bien compris le but de ce cadeau. Ta mère et moi nous inquiétons de l’influence que pourraient essayer d’avoir sur toi quelques unes des jeunes filles de ton âge. Tu es solide, mais nous préférons être prudents. Et ainsi, tu resteras toujours véritablement libre, pas comme de cher Maximilius, que sa femme mène par le bout du nez. Aussi, fait ce que tu veux de ton esclave. Je te demande seulement de ne pas l’abîmer, ou la rendre malade. Evite aussi de trop ébruiter cela, tu dois paraître fort devant tous.


Là, je ne savais plus trop où j’en étais : faire ce que je veux… cela demandait réflexion. Je répondis tout de même, bêtement :

_ Je l’ai installée dans ma chambre, seuls moi et Matthias y auront accès. J’essaierai de lui trouver une utilité.

Mais mon père ne se laissa pas prendre :

_ allons, admet qu’elle est très jolie, et ses fesses ! Au fait, lui as-tu trouvé un nom ?

Pour le coup, j’abdiquais, si les parents s’y mettent…

_ Euh, je ne sais pas trop encore… peut-être Aria, c’est simple et rapide.

_ Bien, très bien. Bon, nous sommes invités ce soir au palais. Nous te verrons demain. Une dernière choses : Tes études et ton entraînement ne doivent pas s’en ressentir.

Cette menace à peine voilée n’était pas pour me plaire, mais j’avais encore deux questions :

_ La verrez-vous parfois ?

_ rassures-toi, elle n’est chargée par moi d’aucune mission, et ne nous fera pas de rapports. C’est ton esclave.

_ Bien. Et si j’ai des questions sur la manière de la traiter, euh…difficiles.

_ Tu demanderas à l’intendant ou à sa femme. Pour les questions plus concrètes, je t’enverrai quelqu’un demain ou après-demain.



En rentrant dans ma chambre, une respiration saccadée m’accueillit : le sommeil de mon esclave ne semblait pas très serein. Il faisait noir, mais je m’étais muni d’une bougie. Je pu ainsi contempler encore ces petites fesses qui me faisaient tant d’effet. Rapidement déshabillé, je vînt m’agenouiller à ses cotés.

Sa respiration s’était calmée, la mienne, par contre s’accélérait. Lentement, je saisis mon phallus et le fis glisser le long de sa raie. La sensation procurée me fit frissonner. J’étais conscient de l’avoir à peine frôlée, et je restais émerveillé de l’effet qu’elle me produisait.

Néanmoins, je la préférais éveillée, et j’avais hâte d’être au lendemain, toutes les corvées expédiées. Pour l’heure, je rejoignis mon grand lit ou je m’endormis bientôt, la tête pleine d’images magnifiques.




Le réveil du lendemain fut sûrement le plus rapide depuis fort longtemps : je m’assis aussitôt sur mon lit tout en jetant un œil vers mon esclave. Elle était réveillée, ses yeux grands ouverts me regardaient, mais elle n’osait manifestement pas bouger.

_ Esclave, j’ai décidé de t’appeler Aria. Tu répondras à ce nom. Aujourd’hui, je vais commencer à m’occuper de toi.

Cela voulait dire beaucoup. Et d’abord pas mal de décisions pour lesquelles il me faudrait demander conseil. Mais il y avait une chose que je pouvait commencer : son emploi du temps !

_ D’abord, tous les matins, on vient m’apporter ce plateau à tes cotés pour mon repas. À mon réveil, tu te lèves et tu viens me l’apporter. Fais-le !

_ Aria obéit, hésita brièvement à se couvrir mais n’osa pas, marcha lentement jusqu’à la table située à côté de mon lit, saisis le plateau et s’approcha.

Perdu dans l’admiration de son corps – je la voyais pour la première fois vraiment par-devant, elle dut attendre quelques secondes que je me ressaisisse.

_ Bon, poses-le là, sur mes cuisses, et assis-toi de l’autre coté, au-dessus de mes jambes.

L’idée d’avoir mes jambes au contact presque direct de son intimité me remplissait de délices. La sensation fut délicieuse. Mais c’était surtout une excitation inconnue qui me tenait.

Le repas, heureusement, fut bref, car la position n’était pas des plus confortable. Mais je ne l’aurai fait bouger pour rien au monde. En achevant, je me résolu tout de même :

_ Je réglerai le reste de ton emploi du temps plus tard. Tu vas ranger tes affaires dans le meuble que tu vois là-bas, j’inspecterai ça en rentrant. Ranges ta robe aussi. Pour aujourd’hui, passe ce linge autour de ta taille, ça suffira. Je ne rentrerai que ce soir. En m’attendant, euh… ce matin, tu met tout de même ta robe, tu l’enlèvera ce midi. Tu iras chercher tes affaires et demande à l’intendant de te faire visiter la villa.


Le reste de la matinée passa lui, très, très lentement. Entre deux leçons, je pus échanger quelques mots avec Matthias. Il avait bon espoir de réussir à convaincre ses parents, cela me fit plaisir. Nous nous demandions tous les deux de quel genre d’esclave il hériterait. Pour le soir, il me rappela que nous étions conviés chez une amie, il n’aurait pas le temps de passer voir mon Aria.

A la pause du déjeuner, je m’enfuis en douce pour aller vérifier que mes consignes avaient bien été suivies. C’était du moins mon excuse officielle.


En entrant silencieusement dans ma chambre, je la découvris encore habillée de sa robe, agenouillée devant le meuble, ses affaires éparpillées autour d’elle.

Lorsque je vins la prendre par les épaules, elle sursauta violement. Lorsqu’elle me reconnu, elle demanda aussitôt pardon : « j’allais l’enlever pour la ranger », preuve qu’elle se sentait coupable.

Pour une première journée, j’étais bien embêté, comment pouvais-je la punir ? Comme je n’avais pas beaucoup de temps, je remis l’affaire au soir. Et je partis en ordonnant :

_ Je verrai cela tout à l’heure. J’ai changé d’avis, arranges-toi pour exposer toutes tes affaires, certaines m’intriguent.


L’après-midi fût comme d’habitude réservé au sport et à l’entraînement militaire. Matthias et moi étions tous deux bien décidés à faire carrière, et nous nous entraînions dur pour être admis dans l’Etat-major d’une légion.

Ces activités laissaient souvent place à la parole, et je pût prendre conseil auprès de Matthias :

_ Je ne sais comment la punir, aurais-tu une idée.

_ Alors là, j’ai plein d’idée… Mais le but, c’est que la punition te plaise, pour que tu n’hésites jamais à en faire usage. D’un autre coté, comme c’est la première, il faut aussi qu’elle soit exemplaire et qu’elle lui fasse entrevoir tout un éventail d’autres punitions possibles.

_ Mouais, je pourrai la laisser exposée nue dans l’atrium toute la journée… Mais je préfère la garder pour moi. Et me parents n’apprécieraient pas trop cette publicité.

_ Tu pourrais simplement la garder nue toute la journée…

_ Trop gentil. Je pourrai faire comme notre écuyer, lui donner des coups de canne.

_ Pffft, ça doit être fatiguant, et tu as intérêt à bien doser ta force. Peut-être devrais-tu demander conseil à quelqu’un dont c’est le métier, ou à un fille. Profite de la fête ce soir !

_ C’est une bonne idée, mais ce sera trop tard, j’ai déjà trop attendu. Je crois que l’idée des coups est la meilleure. Les filles aussi se prennent des coups sur les fesses, après tout.

_ D’accord, tu me raconteras.

La conversation continua bon gré, mal gré, entre les différentes épreuves, mais elle prit un tour de plus en plus guerrier : c’était encore notre principale passion.


Cela ne m’empêcha pas, à la fin de la séance, de me précipiter chez moi. Aria m’avait obéi, un linge à moitié transparent était son seul habit. Je luis dis sèchement :

_ Retires ça et viens par ici.

Elle compris aussitôt, et s’approcha, nue et résignée.

_ Reste debout, et penche-toi en avant. Touche tes orteils avec tes doigts.

Lorsqu’elle fut bien étirée, je me mis derrière elle en élevant la main. Ses fesses reçurent coup sur coup trois gifles retentissantes, et devinrent toutes rouges :

_ J’espère qu’à l’avenir, tu m’obéira aussitôt. Allez, remets ce linge, et montre-moi tes affaires.


Docile mais tremblante, Aria commença par énumérer ses vêtements. Je retins particulièrement une robe très transparente et une autre, blanche, qui s’arrêtait juste au-dessous des fesses. Une autre encore était largement fendue au niveau des seins et des fesses.

Elle possédait aussi divers parures dont certaines devaient se porter seules mais ne faisaient souvent que mettre en valeur ce qu’elles cachaient.

Le dernier ensemble tenait plutôt du bric-à-brac : j’y vis des liens, diverses entraves, des chiffons ; quelques colifichets et une caissette. Ce fût cette dernière qui attira mon attention. Je pensais y trouver des bijoux mais lorsque je l’ouvris, je découvris sur un tapis de velours, trois bâtons taillés en une forme rappelant irrésistiblement le phallus. En me retournant vers Aria :

_ Qu’est-ce que c’est, à quoi ça sert ?

_ Je ne sais pas maître…

_ Enfin, ces objets, d’où viennent-ils ?

_ Ils ont été rajoutés par votre père au trousseau qu’avait constitué le marchand qui m’a vendue.

_ Eh bien, je suis bien avancé !

Aria avait déjà commencé à se recroqueviller, ce qui me fit sourire intérieurement, avec l’impression mâle du devoir accompli.

_ Allez, suis-moi, je vais me laver. Passe d’abord cette robe, la blanche. Rien d’autre.


Les thermes de notre villa me plaisaient beaucoup, et y être accompagné par Aria nue était le comble du bonheur. Mais je ne pouvais sécher l’invitation chez une amie habitant près d’un village distant de quelques stades. D’autant plus que Matthias m’y attendais.

Je mis donc fin à mes ablutions, et après une petite caresse sur ses fesses :

_ Tu peux rester là encore un peu. Puis dîne à l’office et attends-moi dans ma chambre.



Je fus tout de même parmi les derniers à arriver. Et Matthias s’était engagé dans un tournoi d’adresse à cheval.

Quant à moi, j’avais à peine achevé mes civilités et mes vœux que Alicia me mit le grappin dessus. Elle était manifestement bien disposée à mon égard. J’eû droit à un résumé des derniers potins de Rome, à la liste complète de toutes ses doléances et à quelques réflexions bien placées sur les talents de son esclaves. Je dû l’écouter patiemment jusqu’à ce qu’un blanc dans son monologue me permette de placer :

_ Dis-moi Alicia, je me posai une question : qu’est-ce qu’une fille craint le plus.

Pour le coup, elle s’arrêta net, et prit son temps avant de répondre.

_ C’est drôle que tu me demandes ça… Ta question me concerne, ou c’est pour une autre fille ?

Houlà ! Repli stratégique ! Elle serait capable de faire la jalouse !

_ Euh, en fait, c’est un peu spécial. Tu sais que tu es ma meilleure amie. Il n’y a qu’à toi que je puisse poser cette question. Voilà, l’esclave que j’ai reçu en cadeau ne me sert à rien mais je dois savoir comment la punir… sans l’abîmer pour que je puisse la revendre plus tard.

Waouh, ce n’était pas si mal, le mensonge était-il passé ?

_ Ah, oui je comprends… Tu sais, je crois que cela dépend beaucoup des femmes… Si tu veux la revendre lorsque tu seras majeur, il faut que tu prennes un peu soin d’elle. Ne la laisse pas dormir avec les autres esclaves, et prend garde à ce qu’elle ne s’abîme pas. Je suppose qu’elle est vierge… c’est important, elle vaudra bien plus cher…

_ Euh… oui, bien sûr ! …Et pour la punir si elle me désobéit, je fais comment ?

_ Normalement, tu ne devrais pas avoir trop de problèmes, mais tu as raison, il faut se faire respecter. Comme tu veux la revendre, il faut que tu laisses de côté tous les châtiments typiques… Eh bien tu peux toujours la frapper, mais pas trop fort… évite le fouet. Je te conseille de viser les seins, c’est particulièrement douloureux. Pour le reste, humilie-là souvent, c’est à mon avis la meilleure façon d’imposer ta puissance.

Eh bien, elle n’y allait pas de main morte ! Elle ne souhaitait apparemment pas du tout que je m’y attache ! Mais sa réponse m’ouvrait de multiples horizons, dont certains pouvaient être explorés aussitôt :

_ Merci Alicia ! Je savais que je pouvais compter sur toi ! …Et dis-moi, d’une manière générale, de quoi peuvent avoir peur les femmes ?

Au sourire qui naquit sur ses lèvres, je vis qu’elle allait s’engouffrer dans la brèche.

_ Oh tu sais, cela dépend vraiment des personnes et des peuples… Ce que mon esclave craint le plus – tu sais qu’elle est expérimentée – ce ne sont pas les hommes mais leurs inventions, toutes les machines qu’ils peuvent inventer pour punir ou s’amuser. Il faudra que tu me rendes visite bientôt, je te montrerai ma collection !

_ Et sinon, toi par exemple ?

_ Oh, je ne sais trop. Je n’ai pas encore fait toutes mes expériences, j’ai besoin d’un compagnon pour certaines.

Le sourire mi-complice, mi-aguicheur qui accompagna cette dernière remarque avait de quoi rendre fou Mars lui-même. Sûr, elle devait parti de l’une de ces sectes féminines sur lesquelles on racontait tant d’histoires… Mais j’avais besoin de plus de détails :

_ Et sinon, dis-je avec un sourire que je voulais calqué sur le sien, tu me donnerai quelques exemples ?

Là, je crois qu’elle était ravie. Apparemment, elle pensait que je suivais exactement le chemin qu’elle m’avait préparé… J’avais bien envie d’en profiter un peu… pour m’instruire bien sûr.

_ Eh bien… cela a très souvent trait au sexe. Certaines femmes se sentent humiliées dès qu’il ne se passe pas exactement comme elles s’y attendent ; mais le plus souvent, elles ont peur de la douleur.

_ C’est-à-dire qu’il faut les frapper en même temps ?

_ Euh… pas forcément… Tu sais comment ça se passe, non ?

Oups, heureusement qu’elle aussi était un peu mal à l’aise, parce que moi…

_ Oui, oui, bien sûr. Mais j’ai du mal à comprendre tes explications.

_ Bon, éloignons-nous un peu, que je puisse te montrer, ce sera plus facile

Nous étions déjà bien loin dans les jardins de la villa. Et Alicia me fit m’enfoncer au milieu d’un massif touffu. Je distinguais tout juste ses formes, à quelques centimètres de moi. Et c’est surtout au bruit que je compris qu’elle laissait tomber sa cape. Elle ne devait plus porter que son petit tissu autour des reins. Et une parure qui lui couvrait le bout des seins.

_ Voilà, nous serons plus à l’aise. La première chose que je voulais te dire, c’est que normalement, l’homme et la femme sont face à face. Mais tu peux forcer ta partenaire à adopter une autre position. La plus appréciée des hommes est celle-ci : Je me place comme ceci, presque quatre pattes, les fesses bien remontées et les cuisses ouvertes. Là, tu arrives par derrière et tu rentres ainsi, de préférence brutalement. Il s’agit de bien marquer ta virilité. Tu comprends ?

Je n’avais pas trop envie de tenter… et de risquer d’échouer. Ma petite Aria allait m’être bien utile. Sans compter qu’elle était quand même plus agréable que cette truie !

_ Oui, oui. Tu parlais tout à l’heure de douleur ?

_ Ah… oui, tu sais, les supplices les plus raffinés sont ceux qui sont inventés sur le moment. Et c’est là que les objets sont utiles. Un jour, mon esclave a dû galoper toute la journée avec des phallus en bois dans ses orifices. La pauvre… Mais il y a plus simple. Il suffit parfois à un homme que la taille de son phallus rappelle celle d’Hercule pour qu’il inspire crainte et respect à toutes celles qui le croisent : toutes ont peur de la douleur qu’elles pourraient ressentir si il entrait en elles !

Je commençais à être prodigieusement intéressé, mais aussi embarrassé : et si je n’étais pas de la bonne taille ? Il était temps de s’en aller

_ Merci Alicia, tu m’as été très précieuse, dis-je en commençant à me dégager.

Mais Elle ne l’entendait pas de cette oreille, elle s’était débarrassée sans bruit de sa parure, et elle me souffla en se collant contre moi :

_ Il y a encore deux autres pratiques que tu dois connaître, les plus intéressantes. J’en maîtrise une parfaitement, tandis que l’autre me fait encore peur… tu veux savoir ?

Là, je dois avouer que j’étais piégé, à mon propre jeu ; mais il n’était pas dit que je me laisserais démonter par une fille :

_ Oh, tu m’intéresse, ma petite Alicia, explique-moi !

_ J’ai besoin que tu te déshabilles pour la première, je te propose de commencer par la seconde…

Eh bien, voilà qu’elle prenait peur ! Elle ne semblait pas décidée à aller jusqu’au bout ce soir… c’était peut-être mieux, il fallait que je réfléchisse moi aussi…

_ D’accord, Alors ?

_ Eh bien, ce que beaucoup de femmes craignent, c’est que l’homme ne rentre pas dans le bon orifice mais s’introduise dans les fesses, cela fait souvent très mal. Pour que ce soit bien fait, il faut toute une préparation.

De nombreuses questions me venaient à l’esprit, amis je ne voulais à aucun prix paraître ridicule. Et c’était aussi une occasion de paraître fort :

_ Ah oui… Tu ne voudrais pas essayer… ? Dis-je en la saisissant par la taille.

Elle fit un joli bond avant de reprendre le contrôle d’elle-même. J’avais laissé tomber ma toge et mon phallus s’insinuait entre ses fesses…

_ Rassures-toi, je ne te ferai rien sans ton consentement. Et quelle est donc cette dernière pratique dont tu me parlais ?

Je la sentis se relâcher entre mes bras toujours serrés. Mais je dus admirer sa maîtrise lorsqu’elle me répondit :

_ Je ne crois pas que tu l’ai mérité ce soir… Tu as de la chance que je sois gentille. Tous les hommes trouvent cela très agréable ; par contre, cela dégoûte de nombreuses filles, et tu trouveras peu de femmes prêtes à te donner ce plaisir. Allonges-toi et ferme les yeux.

Je n’étais pas trop rassuré, et n’avais aucune confiance en Alicia. Mais d’un autre coté, ce qu’elle voulait me montrer me semblait diablement intéressant. J’obéis donc.

Je sentis alors son souffle chaud s’approcher de mon torse, chacun de mes seins reçu un petit coup de langue au passage, puis elle descendit…

Elle descendit jusqu’à s’arrêter pile au-dessus de mon phallus. Celui-ci était rigide et bien droit depuis déjà un petit moment, il commençait même à me faire mal. Ses lèvres se déposèrent alors sur mon gland, et petit à petit, très lentement, elles l’aspirèrent dans sa bouche. À l’intérieur, sa langue m’accueillit, tandis que les lèvres remuaient imperceptiblement.

La sensation était merveilleuse, et sans réfléchir, j’avançai mes mains autour de sa tête pour accompagner son mouvement et caresser ses cheveux. Mais mon contact lui fit aussitôt cesser son mouvement. Elle se retira et remarqua :

_ Je vois que ça t’a plu. Je t’ai dit que je maîtrise parfaitement la fellation. Mais il ne faut pas être trop gourmand : je t’attend chez moi dans les jours prochains !


Dès que je l’ai pu sans faire jaser, je me suis éclipsé de la fête, prenant tout juste le temps de saluer Matthias et de lui donner rendez-vous chez moi le lendemain après-midi : les auspices étaient si mauvais que toutes les activités non essentielles cesseraient, dont la classe. Pauvre Aria, j’avais tant à expérimenter !



En entrant dans ma chambre – il était vraiment tard – je l’ai trouvé endormie, comme la veille. Les idées se bousculaient dans ma tête, et je failli remettre au lendemain mes expérimentation. Mais alors que j’allais me coucher, je me dit tout de même qu’elle aurait dû m’attendre, et qu’il était dommage qu’elle dorme ainsi, pour elle et pour moi.

En m’approchant, je me demandais comment la réveiller, et surtout, que lui faire faire… Le souvenir d’Alicia était trop présent à mon esprit pour que je puisse penser à autre chose : Je me mis nu et vins m’allonger sur elle, appuyé sur mes avant-bras. Tout doucement, je me mis à frotter mon phallus contre la raie de ses fesses. Puis, en les écartant un peu, je m’introduisis. Mon sexe était maintenant emprisonné et compressé entre ses deux fesses, seul le gland ressortait dans le bas de son dos. La sensation était grisante, et l’excitation faisait repasser dans ma tête tout ce que je venais d’apprendre par Alicia.

Finalement, mes mains se glissèrent sur son ventre, remontèrent et passant sous ses bras, et saisirent ses seins. Elle était immobilisée.

Mes mains s’agrippèrent alors et commencèrent à serrer, lentement. Aria se réveilla presque aussitôt. Elle tenta de se dégager avant même de saisir la situation, mais je la tenais fermement. Elle implora alors : « non, maître, pitié ! ».

Pour lui laisser le temps de « savourer » la situation, je me suis arrêté de serrer ; et je lui ai demandé :

_ Comment pourrais-je te punir ?

_ Je ferai ce que vous voulez, maître, j’implore votre pardon. Mais s’il vous plaît, ne me touchez pas !


Là, je dois dire que je fus soufflé : qu’est-ce qu’elle espérait, qu’une jeune esclave passait son temps à travailler aux champs ? A s’occuper des jeunes enfants ? Sur le coup, je ne sus trop quoi répondre. J’hésitais entre deux voies, toutes deux également attirantes : soit je la forçais à faire mes volontés, cela impliquait des jeux amusants… Mais je ne sais pourquoi, ma préférence alla à la méthode persuasives : il fallait lui montrer que j’étais finalement ce qu’il pouvait lui arriver de mieux, afin qu’elle me soit toute dévouée, au moins dans une certaine mesure.

En même temps, je n’avais pas de temps à perdre, il n’était pas question d’attendre son bon plaisir. Je l’ai libérée, elle n’osait de toute façon plus bouger : elle se rendait bien compte que ses paroles risquaient de lui valoir de gros ennuis. Puis j’ai murmuré :

_ Tu préfères connaître la vie normale d’un esclave ? C’est d’accord. J’espère simplement te revoir avant que tu meures extenuée…

Aria ne savait trop comment réagir à ces paroles, elle finit tout de même par se jeter à mes pieds en répétant : « Merci maître ».


Je sorti sans un mot pour aller trouver l’intendant, celui-ci reçu des consignes claires :

_ Tu as quatre heures pour l’exténuer. Plus vite elle reviendra me demander grâce, plus je serai satisfait. Veille cependant à ne pas la laisser tout de suite : ôte lui toute envie de recommencer. Si elle s’évanouit, tant mieux, réveille-là. Arrange-toi seulement pour me la rapporter entière et vierge. Tu feras aussi monter de quoi se laver dans ma chambre.


Je ne sus jamais exactement comment ces quatre heures s’écoulèrent pour Aria. L’intendant mélangea savamment supplices physiques et moraux, travaux difficiles ou dégoûtants…je crois même qu’il permit à quelques esclaves de se laisser aller à quelques attouchements, avant d’être punis. Toujours est-il que je m’étais endormi lorsque l’on vînt déposer devant moi une loque nue et complètement exsangue. Une jeune esclave la lava, tout en lui murmurant la chance qu’elle avait d’avoir échoué à cette place.

Puis, elle fut déposée dans mon lit, à mes cotés. L’aube était toute proche, et je ne voulais pas la brusquer plus que nécessaire. Je m’endormis.


Comme je l’avais demandé, on vînt nous réveiller peu avant le déjeuner. Je commençais à peine à émerger qu’Aria se jeta sur moi en criant presque « Pardon, maître, pardon ». Elle pleurait comme une petite fille, et je faillis m’attendrir. Mais j’avais bien arrêté ma stratégie. Si je comptais avancer progressivement, je n’était pas décidé à lui plaire à tout prix.

_ Aria, je suis désolé que tu aies dû goûter à la vie d’esclave. Mais je veux que tu sois sûre de ton choix. Veux-tu y retourner ou rester avec moi ?

_ Je ferai ce que vous voudrez, maître. Pardon !

En disant cela, elle se blottit contre moi, ce qui acheva de me réveiller. Elle devait sentir à présent mon phallus, appuyé sur son ventre ; mais elle ne bougea pas.

_ Bon, très bien. J’espère que je n’aurai plus jamais à me demander si je dois te garder… Pour commencer, je crois que tu devrais me prouver ta volonté de me servir au mieux.

Aria chercha un cours instant, sûrement dans ses souvenirs de princesse :

_ Maître, voulez-vous que je vous lave ?

Oh Oh, cela ne s’annonçait pas si mal. Mais j’avais encore une meilleure idée, à laquelle je tenais bien plus.

_ Cela me plaît Aria, mais il faudrait faire monter de l’eau, et attendre qu’elle soit chaude… Bon, vas-y et reviens aussitôt.

Le temps qu’elle sorte, trouve un esclave et transmette ma demande, je m’étais installé au milieu de mon lit, et en avais repoussé les couvertures. Lorsqu’elle revînt, elle sembla hésiter sur sa destination puis vînt s’asseoir à côté de moi.

_ Que puis-je faire encore ?

_ Je me disais Aria, que tu pouvais en fait commencer, avec ta bouche.

_ Euh, maître… Comment voulez-vous que je fasse ?

_ C’est simple : viens ici, agenouille-toi là, entre mes jambes. Voilà, maintenant tu te penches en avant. Encore…bien. Prends délicatement mon phallus entre tes doigts, et approche tes lèvres…

_ Mais, euh… Maître, c’est sale ! Vous êtes sûr que…

_ Voyons, Aria ! Et puis tu es là pour me laver ! De toute façon, tu vas voir, ce n’est guère sale.

Aria se décida à donner un petit coup de langue qui chatouilla mon gland et me fit frissonner :

_ Vous allez bien, maître ?

_ Oui ! C’est très bien, continue. Ensuite, met-le dans ta bouche. Encore. Voilà, et tu le nettoie bien avec ta langue et en faisant aller et venir te lèvres.

Aria essayait de s’appliquer, malgré une répugnance qu’elle avait peine à cacher. Mais le premier pas franchit, cela allait beaucoup mieux. Elle commençait déjà à s’aider de ses mains. Seul mon gland était entré dans sa bouche, amis pour moi, c’était déjà beaucoup ; et je pouvais envoyer Alicia au diable

Je commençais à être très excité, mais il fallait aussi tenir compte d’Aria.

_ C’est bien, voici l’eau qui arrive je crois. Tu as très bien rempli ton rôle. Dorénavant, j’aimerai que tous les matins, au réveil, tu me nettoies ainsi.

_ Oui, maître.

_ Allez, viens manger quelque chose.

J’avais déjà commencé, et je la fis s’installer entre mes jambes, son dos collé à mon sexe. C’était parfait.

Le bain fût lui aussi délicieux. Aria me lava magnifiquement, elle semblait avoir fait ça toute sa vie. Elle ne manifesta aucune peur en frottant mon phallus ou en se collant contre moi pour atteindre mon dos. À un moment, elle faillit s’accroupir sur mon sexe dressé mais elle l’écarta doucement. Moi, par contre, je ne voulais pas encore la toucher, je me contentais de profiter d’elle.


Vraiment, mes parents avaient eu une bonne idée, et cela ne faisait que se confirmer. Nous finissions lorsqu’on m’avertit qu’une visiteuse m’était envoyée par mon père. Je la fis entrer, me doutant de ce dont il s’agissait, et elle se présenta, sans paraître le moins du monde surprise par notre tenue :

_ Ave, dominus, je me nomme Cécilia. J’appartiens à la maison close du faubourg Aurélien. Votre père m’envoie pour vous aider à découvrir cette jeune fille.

_ Soit la bienvenue, et guides-nous. Aria, je te présente Cécilia. Elle vient nous apprendre certaines choses indispensables à ta condition. Avant toute chose, j’aimerai savoir si tu es vierge.

_ Euh, oui, maître, bien sûr.

_ Cela est facile à vérifier, dominus. Si la demoiselle veut s’étendre sur le lit, je vais vous montrer.

_ Bien, Aria, obéis-lui.

Résignée, Aria vînt s’allonger sur le dos, et écarta les jambes. Pour moi, cette toison brune ne signifiait pas grand-chose. C’était joli, on devinait dessous des formes excitantes, mais cela s’arrêtait là.

Heureusement, Cécilia, malgré son jeune âge, n’était pas une novice. Avec mon accord, elle entrepris de raser Aria. C’est ainsi que je pus découvrir petit à petit son mont de Vénus et ses charmantes petites lèvres.

Le visage à quelques dizaines de centimètres, je me retenais de toucher lorsque Cécilia me prit la main et la fit lentement effleurer cette peau douce nouvellement dévoilée.

Ce fut au tour d’Aria de frissonner

Cécilia l’enduisit ensuite d’un baume pour prévenir toute irritation. Aria semblait apprécier la caresse mais des lueurs de peur passaient encore régulièrement dans ses yeux.

Enfin, Cécilia annonça :

_ Bien, regardons ça, si vous le voulez bien.

Aria essayait sans succès de se détendre. Je ne comprenais pas ses crainte, d’autant plus que cela me parut fort simple, même si je fus fasciné.

Cécilia écarta doucement les deux petites lèvres et m’expliqua :

_ Voilà, dominus, elle est vierge. Vous voyez cette petite toile blanche ? Elle ferme l’accès à la grotte du plaisir. Si un phallus était passé par là, il l’aurait immanquablement déchiré.

Je me retins d’avancer ma main, mais ce n’était que partie remise. Et puis, Cécilia continua :

_ Mais il existe bien d’autres façons de se procurer du plaisir avec une esclave. Voulez-vous que je vous éclaire sur ce sujet ?

_ Merci, je sais ce que je veux. Par contre, que sais-tu de ces objets ?

J’avais ouvert le tiroir où étaient rangé les objets qui m’avaient intrigué dans le trousseau d’Aria. Cette dernière s’était assise sur le lit et regardais le sol.

_ Bien sûr, dominus. Je pense que vous voyez l’utilité de ces différents liens. Cette parure-là est un peu spéciale : elle enserre la taille et l’entrejambe. Fermée à clé, elle empêche tout attouchement. Cela peut aussi servir à maintenir un objet dans l’un des orifices de l’esclave. Et cette cassette, justement, voici quelques objets de plaisir, ils peuvent être introduits dans l’un des orifices de votre esclave, au choix. Attention toutefois à leur taille ! Quant à ces rubans ou à ces boules auxquelles sont attachées des rubans en cuir, elles ont sensiblement le même usage.

Cécilia continua encore un peu sur les différents sévices que je pouvais faire subir à mon esclave. C’était apparemment sa partie favorite. Je voyais en même temps Aria se recroqueviller sur le lit. Aussi, je choisit de couper court. De toute façon, je préférais garder le plaisir de la découverte.


Après avoir raccompagné Cécilia, je revins dans la chambre, et aussitôt, Aria se jeta à mes pieds, elle pleurait. Décidément, c’était une manie !

_ Maître, je ferai tout ce que vous voulez ! S’il vous plaît, soyez bon avec moi !

Et comme je ne répondais pas, encore surpris, elle chercha rapidement un moyen d’être entendue, ou au moins, pardonnée : elle prit son sexe entre ses main, et alterna les petits coups de langue avec les embrassades goulues. Cette nouvelle manière de faire me plaisait bien, si elle n’en abusait pas trop. H’étais content de ses « progrès » :

_ Aria, si tu restes toujours aussi gentille et prévenante, j’essaierai de te traiter toujours avec douceur.

Elle leva vers moi des yeux larmoyants mais émerveillés : « Merci maître ! » Dit-elle en continuant de plus belle son travail.


_ Bien Aria, je dois dire que cette visite a été instructive pour moi. Je ne connais que peu de choses aux filles. Et je compte sur toi pour m’aider. Veux-tu te réinstaller comme tout à l’heure ?

Elle m’obéit sans tarder, écartant ses cuisses du mieux qu’elle pouvait. Mon doigt vînt délicatement éprouver la résistance de son hymen, puis continua dans la raie de ses fesses, jusqu’à atteindre son petit trou. Une fine baguette me servit à explorer ses profondeurs, tandis qu’Aria tressaillait au moindre de mes mouvements. Laissant la baguette en place, mes doigts vinrent agacer son clitoris, attirés par cette proéminence. Cette fois, ce fut presque des convulsions qui agitèrent Aria, tandis que son sexe devenait tout humide.

Il était presque l’heure du repas, que je devais prendre avec mes parents. Je dû arrêter là mes investigations.

Pendant que j’enfilais ma toge, Aria se remit à genoux pour me lécher le phallus. Je sentais que cela allait devenir une tradition. En la relevant, presqu’agacé, je lui mit la main entre les cuisses, la tînt appuyée et lui dit : « Mets ta robe blanche, la courte. Que je puisse toujours avoir accès à ton ventre ». Puis « Viens, je vais manger avec mes parents, tu t’assiéra à mes pieds.


En effet, ils m’attendaient dans le salon de réception, allongés sur les divans. Après les salutations d’usage, mon père me félicité sur la bonne tenue de mon esclave, mais ne lui adressa pas la parole : elle était à moi. Il profita néanmoins de ce que ma mère s’était éloignée un instant pour me demander si elle me plaisait et si elle ne « rechignait pas à la tâche ».

_ Elle est très bien père. Je te remercie. Même si je n’ai pas encore découvert toutes ses possibilités. Cécilia a dû te le dire…

_ En effet, en effet. Mon fils, je suis fier de toi.

Puis la conversation repris un tour normal, mis à part une incursion de ma mère qui voulait des nouvelles d’Alicia. :

_ Oh, elle grandit. Je dois aller la visiter demain. Mon cadeau m’est très utile. Merci.


Après le repas, je m’offris une petite sieste. Après tout, c’était un jour chômé. L’après-midi était déjà bien avancé lorsque Matthias fût annoncé.

Je le reçu à peine vêtu, après avoir envoyé une Aria complètement nue l’accueillir.

_ Eh bien, ton esclave embellit de jours en jours !

Celle-ci revînt se blottir auprès de moi, la tête posée entre mes jambes. Matthias vînt s’asseoir de l’autre coter du lit. Je l’accueillis avec le sourire :

_ Tu as raison. Je crois qu’elle me suivra toute ma vie. Elle fera une très bonne intendante, au moins pour mes esclaves féminines. N’est-ce pas Aria ?

_ Si vous le voulez, maître. Je ferai de mon mieux.

Elle reçu une petite claque sur les fesses. Matthias n’y tenait plus :

_ Je peux la toucher ?

Avec un regard rassurant à Aria, je répondis, bon prince :

_ Vas-y, mais prends en soin.

Matthias caressa ses seins, ses fesses, lui écarta doucement les cuisses pour atteindre son pubis : « O mais elle est rasée ! », passa un doigt sur sa fente et pris un air appréciateur pour déclarer : « elle est superbe ».

Aria, qui était restée tendu, se relâcha : elle avait adopté mon ami.

La conversation continua ainsi, tandis que je continuai de la cajoler : je frôlais ses fesses, effleurais ses seins, caressais son dos ou son visage. Elle ne bougeait plus, et finalement s’endormit.

Elle se réveilla alors que nous parlions d’Alicia, je racontais mes aventures et promettais le récit de celles annoncées pour le lendemain.

En partant, Matthias me révéla que ses parents avaient cédé : il aurait son esclave dans le plus grand secret. C’était une question de jours, le temps qu’ils en trouvent une à leur convenance.

_ Ils n’ont pas voulu te laisser choisir ?

_ Oh non, surtout pas ! Rappelle-toi, il s’agit d’éducation !

Nous nous quittâmes sur un éclat de rire.



La soirée se passa agréablement. Aria était résignée à tout me donner. Et commençais presque à en être contente. Nous discutâmes longtemps sur sa condition, son emploi du temps, les changements à venir, et ce qu’elle aurait à faire. Tout en sachant que je pouvais tout exiger, cela m’amusa beaucoup de négocier une à une mes exigences. C’était beaucoup plus excitant. Pour le droit de la déflorer, elle obtînt de m’accompagner à certains de mes cours, ainsi que le droit à une heure de liberté par décade. Et encore, je devais attendre pour user de mon droit qu’elle ait atteint sa majorité dans son pays. Cela signifiait quand même trois mois ! Pour ses fesses, elle négocia un peu d’argent de poche, versé mensuellement.

Cela devînt encore plus intéressant lorsque ce fut moi qui me prit à ce petit jeu : Pour l’usage de mon lit, je pus exiger une fellation au coucher et au lever, ainsi que ses services de « laveuse ». Pour celui de ma chambre, elle m’offrit de danser pour moi une fois par décade. Et pour partager mes repas, elle promit d’inventer des jeux distrayants. Si elle manquait à ses obligations, il était entendu qu’elle aurait un gage. Si c’était moi, je devais lui offrir un nouveau vêtement.


A suivre…