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D'où vient mon fantasme

J’avais donc juste 18 ans. C’était la fin de l’été et au programme des journées surchargées entre plage, voile et tennis.

Au tout début du mois de septembre, je me suis aperçu que j’avais quelques tâches sur la peau, des tâches un peu plus claires par rapport au reste du corps très bronzé après deux mois de soleil. En discutant avec mes parents, ils m’ont conseillé d’aller voir un dermato. À priori ce n’était pas grave , sans doute un "champignon" attrapé sur les plages et qui allait partir sans doute après un traitement léger.

Je pris donc rendez vous chez le dermato, pour un soir de la semaine. J’étais en fait le dernier client, je ne voulais pas perdre une des dernières journées de congés. J’arrivai donc 10 mn avant l’heure, et lorsque le client précédent s’en alla, l’assistante du toubib alla fermer la porte à clé, en me disant avec un grand sourire, « vous êtes le dernier… »

Je suis rentré dans le cabinet, et l’assistante était dans la pièce, je voyais qu’elle ne portait rien sous sa blouse blanche.

Le toubib me demanda ce qui m’amenai, et après lui avoir expliqué, il s’est levé, m’a demandé de me déshabiller et de m’étendre sur la table d’auscultation.

Je commençai à me déshabiller, le t-shirt, puis le pantalon, et je restai en boxer.

Une fois allongé le toubib s’est penché sur moi avec son espèce de loupe pour regarder mes taches disséminées sur mon corps. Puis il demanda à l’assistance de me "préparer". Elle baissa les stores pour faire régner une pénombre, puis prit une sorte de talc qu’elle commença à m’enduire partout sur mes épaules ma poitrine et mon ventre. Puis elle me dit, qu’il fallait enlever mon boxer, ce qu’elle fit sans me demander quoi que ce soit.

Elle continua à m’enduire le corps de cette poudre très douce. d’être nu comme cela devant cette femme superbe bien plus âgée que moi me troublait un peu, mais j’étais chez un spécialiste donc je ne risquai rien.

Elle a mis cette poudre sur mon sexe, puis est descendue sur les jambes, et enfin elle a appelé le toubib qui est revenu se pencher sur moi et cette fois-ci avec une lampe à lumière noire.

Avec cette lumière, mes tâches apparaissaient très nettement, c’était surprenant. Puis il me demanda de me retourner pour voir "l’étendue des dégâts" de l’autre côté.

L’assistante a donc recommencé avec sa poudre, sur les épaules, le dos, puis directement les jambes et elle est remontée vers les fesses. J’étais il faut le dire bronzé de façon intégrale, car sur les bateaux avec mes copains nous étions nus à longueur de journée.

Elle a étalé la poudre sur mes fesses, et elle s’est bien appliqué, à ne pas oublier la raie et mon anus. À ce moment là je commençai à avoir une érection, mais j’essayais de m’efforcer de ne penser à rien car j’avais un peu honte de cette situation.

Le toubib est revenu avec sa lampe, et a ausculté mon dos les jambes et bien sur mes fesses. Il a demandé à l’assistante de me les tenir écartées pour qu’il voit bien chaque centimètre de ma peau y compris mon trou du cul.

Puis il a posé une main sur mes fesses et les a caressées comme pour mieux étaler cette poudre si douce.

Je commençai vraiment à bander, car cette sensation me faisait un effet particulier . Ces deux personnes qui me regardaient, j’étais tout nu et à leur merci, ils étaient les maîtres et je sentais bien que la situation prenait une tournure un peu spéciale.

Après avoir bien ausculté mes fesses et trituré mon trou du cul, pour essayer de déceler des tâches, ils m’ont demandé de me retourner. J’étais très gêné car je bandais et j’avais honte. Je me suis donc retourné en mettant les mains sur le sexe pour essayer de le cacher.

Avec un petit sourire le toubib m’a dit, qu’il n’y avait pas de mal au contraire et qu’il allait pouvoir l’ausculter dans cette état. L’assistante a remis un peu de poudre et le toubib a recommencé sa visite. Cette fois il a donné sa lampe à l’assistante et a commencé à me caresser doucement le gland, puis il pris la verge dans sa main et a commencé à me masturber très lentement. J’ai essayé de dire " mais que faites vous" et il m’a dit de me laisser faire, d’un ton qui ne souffre pas la contradiction. Il a continué à me branler, il me serrait le sexe de plus en plus fort. L’assistante a alors laissé la lampe, et s’est mise à me caresser le ventre et les couilles. Il n’y avait absolument plus rien de médical là dedans, je me suis alors laissé faire en gémissant de plus en plus fort car leurs caresses et cette branlette étaient extraordinaires . Le toubib a alors accéléré et serré sa main encore plus fort et j’ai éjaculé avec de grandes secousses en poussant un grand cri de jouissance.

Le toubib à ma grande surprise est alors allé s’asseoir, il a rédigé une ordonnance, pour mes tâches. Il a dit à l’assistante de me nettoyer , m’enlever la poudre et le sperme. J’ai essayé de m’asseoir pour me nettoyer mais l’assistante m’a donné l’ordre de rester allongé, qu’il n’y en avait plus que pour une minute.

Elle est allé chercher une serviette éponge, humide et m’a nettoyé le torse et enlevé toute cette poudre qui était si douce. Puis elle m’a demandé une nouvelle fois de me retourner . Elle a alors passé à nouveau cette serviette sur le dos, sur les jambes et sur les fesses.

Pensant que maintenant tout était fini , je ne savais pas trop quoi faire . J’ai demandé si c’était bon, elle m’a dit que non.

Le toubib est alors revenu vers la table, j’étais allongé toujours sur le ventre, et il m’a dit qu’il allait me faire un traitement local pour mes champignons. Il a pris un tube, maintenant je pense que ce devait être de la vaseline, et a demandé à l’assistante de m’en mettre sur ma raie entre mes fesses et sur mon anus. Elle s’appliquait pour bien me mettre cette crème. et elle faisait entrer ses doigts petit à petit. Elle me mettait ses doigts dans mon cul, et j’ai à nouveau bandé comme un fou.

Pendant qu’elle faisait ça, le toubib a dégrafé sa braguette et s’est positionné devant moi. Ce qui l’excitait c’était de voir ce jeune homme se faire enfoncer deux doigts dans le cul, il a sorti son sexe et il s’est masturbé devant moi. C’était une vision d’un autre monde, cette femme qui me doigtait et le toubib qui se masturbait.

Il a joui très vite. Puis s’est rhabillé et il est sorti du cabinet en disant au revoir.

Moi j’étais toujours avec cette femme qui faisait de moi ce qu’elle voulait elle continuait à m’enculer avec ses doigts et moi je ne bougeais pas. Avec son autre main elle est venue se rendre compte si je bandais ou pas. Comme effectivement j’avais repris beaucoup de vigueur avec ce traitement, elle m’a alors demandé de m’asseoir sur la table devant elle, la queue à l’air.

Puis elle s’est assise sur un des fauteuils du cabinet en face de moi, et elle a remonté sa blouse. Elle était complètement épilée ou rasée, mais je voyais quand même qu’elle mouillait comme une folle.

Elle a écarté les jambes en commençant à se masturber, et elle m’a demandé de d’en faire autant. J’ai commencé à me masturber pour lui faire plaisir, puis elle m’a dit de venir devant elle et de me masturber debout. C’est ce que j’ai fait. Cette situation m’excitait terriblement, l’assistante a très vite eu un premier orgasme en se masturbant, d’une main elle se frottait son clitoris de l’autre elle s’enfonçait des doigts dans sa chatte. Elle faisait tout cela en ayant les yeux fixés sur mon sexe que je branlais. Elle a encore joui un autre fois très vite et en gémissant très fort , puis c’est moi qui ai joui. Quand j’ai senti que j’allais éjaculer je me suis rapproché d’elle et je lui ai aspergé mon sperme sur le visage.

C’était une visite chez le toubib vraiment inoubliable.

Ce que je ne savais pas avant de venir c’est que ce toubib était réputé pour être homo. Et qu’il avait également un faible pour les petits jeunes. Je ne l’ai su qu’après, mais ça me permettait de mieux comprendre ce qui s’était passé.

Je venais de me faire branler par un mec, et doigter le cul par une femme qui m’avait soumis à ses désirs.

Pendant très longtemps en repensant à cette visite chez le toubib, je me suis mis à bander et souvent je me suis masturbé.

Et depuis cette période, un de mes fantasmes était en fait de me faire enculer , pas avec un gode ou autre objet, mais par une vraie bite.

En même temps passer à l’acte avait toujours été impossible. C’est pour cela que ce qui m’est arrivé l’an dernier à Singapour avec cette "ladyboy" a été une révélation et la réalisation de ce vieux fantasme.