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n° 07473Fiche technique10711 caractères10711
Temps de lecture estimé : 7 mn
22/08/04
Résumé:  Lors d'une soirée, la belle Pauline s'offre à moi
Critères:  fh jeunes extracon copains fête anulingus pénétratio init
Auteur : Tangle  (24 ans, amoureux des femmes)      
Cette coquine me plaisait trop



Bonjour à tous ! Lecteur assidu (seul ou avec ma copine) depuis plus de 2 ans, je me lance aujourd’hui dans mon premier récit…dites-moi ce que vous en pensez !




Tout cela s’est passé un samedi soir au début du mois de juillet. Nous enterrions les vies de garçon et de jeune fille d’un couple d’amis. La journée avait été vraiment sympa et la soirée se passait autour d’un feu de camp, au bord d’un étang. Nous étions une trentaine, quasiment tous en couple, et la belle Pauline était présente aux côtés de son petit ami…

Je ne la connaissais pas vraiment, nous avions juste eu l’occasion de passer quelques soirées ensemble avec des amis communs (les futurs mariés). En tout cas elle m’avait toujours semblait désireuse de plaire, et plusieurs fois j’avais pu ressentir dans ses regards ou ses paroles une attirance coquine et malicieuse envers ma personne. Il faut dire que mon œil avertis n’était pas insensible à son charme et à son style vestimentaire alliant élégance, féminité et décontraction. En effet, la belle s’accommode souvent de beaux décolletés mettant sa jolie poitrine en valeur, de craquants pantalons taille basse s’ajustant à la perfection à sa chute de reins diabolique ou encore de petites jupes flottantes qui vous laisse toujours espérer une apparition divine. Evidemment le tout dissimule une lingerie que l’on devine sexy, cela allant du soutien-gorge en fine dentelle au string le plus flashy. Pauline a mon age, 24 ans, mesure environ 1mètre 65 et ses mensurations approchent sans doute le standard actuel.

Dès le début du barbecue j’ai pu constater la complicité naissante entre ma copine et Pauline : apparemment la demi-journée qu’elles avaient passée entre filles leur avait permis de mieux faire connaissance, et ce n’était pas pour me déplaire. Et oui, comme de nombreux hommes je rêve d’une expérience à trois, avec ma copine et une autre femme…ma copine aussi serait partante, mais elle ne sait pas avec quel genre de personne elle serait le plus à l’aise pour franchir ce pas. Toujours est-il que les deux misses étaient d’excellente humeur et que l’alcool commençait à leur montait à la tête…et du coup l’envie de faire une pause pipi arrivait au galop. Elles se dirigeaient donc vers un coin arboré bordant l’étang quand je les ai interpellées :



Je ne pouvais rêver meilleure occasion pour m’écarter du groupe et profiter un peu des deux demoiselles. Je les ai rejointes et ma copine m’a embrassé en me passant une main aux fesses tandis que Pauline lui faisait remarquer que ce n’était pas la peine de vérifier si mon cul était toujours là car elle jugeait que mon jean ne laisser planer aucun doute quant à la beauté de mon postérieur…Et bien ! J’étais plutôt ravi, car même si Pauline avait déjà eu l’occasion de me complimenter sur mon cul, la situation actuelle était vraiment stimulante.

Ma copine lui rétorqua alors que mon coup de reins était fabuleux. Moi je n’avais toujours pas eu le temps de placer un mot ( ah les femmes !) quand ma copine commençait à faire son affaire légèrement cachée par un arbre et que Pauline faisait de même à 2 mètres de moi, tournée de trois quarts, ce qui me permettait une vue imprenable sur son magnifique cul. Elles continuèrent à discuter pendant que mon regard restait fixé sur Pauline, puis se rhabillèrent et revinrent à mes côtés. Nous repartions alors bras dessus-dessous, moi entouré de ces deux jolies nanas et je les complimentais à mon tour sur leurs magnifiques paires de fesses. Je passais alors mes mains sur leurs deux jolis petits culs qui m’entouraient sans qu’aucune des deux ne s’offusque le moins du monde. Mais mon plaisir fut de courte durée puisque nous approchions du feu de camp où la fête battait son plein.



La soirée se poursuivait tranquillement, marquée par quelques réflexions bien senties mais discrètes entre Pauline et moi, jusqu’à ce que nous nous retrouvions tous les deux à chercher du bois pour alimenter le feu. C’est à ce moment que Pauline remis sur le tapis la déclaration de ma copine au sujet de mon coup de reins. Nous étions assez proches l’un de l’autre, sans pour autant nous toucher, et je lui faisais une démonstration au ralenti de mon déhanché en le commentant avec humour. Elle s’est alors rapprochée de moi et nos corps n’étaient qu’à quelques centimètres l’un de l’autre quand je lui fis remarquer malicieusement que j’étais particulièrement efficace avec les petits culs dans son genre. Elle s’est alors contorsionnée pour observer son postérieur et je n’ai pu résister à l’envie de lui mettre une main aux fesses. Le contact était des plus agréables car son taille basse associé à sa position dévoilé le haut de son string et le bas de son dos, avec la naissance de la fesse tendue vers moi. Elle pivota alors et se retrouva à quelques centimètres de moi, ma main sur le haut de la fesse et mon pouce qui caressait sa peau. Je vivais un de ces instants où l’excitation est à son comble, ce moment infime qui sert de transition entre la caresse volée et le baiser fougueux, plein de désir et de promesses, ce contact physique débridé où les mains partent à la découverte de ce corps désiré, ce premier instant où tous les sens sont en éveil pour découvrir les trésors d’une femme.


Nous étions à l’abri des regards et nous nous sommes sauvagement embrassés. Sa bouche était tendre, ses lèvres avaient un goût de fruit et sa langue se mêlait merveilleusement bien à la mienne. Mes bras entouraient sa taille et mes mains caressaient son dos, sa croupe, puis remontaient vers ses cheveux tandis qu’elle se cambrait en encerclant mon cou. Au bout d’une minute notre désir était inarrétable et nous décidâmes de nous écarter un peu plus du groupe pour continuer notre étreinte. Nos compagnons respectifs étaient présents à la soirée, mais le taux d’alcoolémie atteint par chacun d’entre nous associé au fait que nous étions censés chercher du bois nous laissait quelques minutes devant nous. Nous trouvâmes donc un petit abri qui serait idéal pour profiter pleinement l’un de l’autre.


Pauline était adossée contre le mur et me mordiller le cou pendant que mes mains découvraient la douceur de sa peau, la forme de ses hanches, le contact froid de ses fesses fermes. Mon sexe atteignait des sommets quand elle se frottait à moi tandis que je découvrais sa poitrine chaude et ronde. Ses tétons étaient déjà bien fermes sous son soutien-gorge et son parfum m’enivrait. Je l’aidais à enlever son top et me plongeais entre ses seins bronzés pendant qu’une de mes mains s’occupait de ses cuisses. Son corps était musclé et doux, ses formes divines, son souffle s’accélérait et nos baisers s’approchaient de la bestialité. Je dégrafais son pantalon tandis que ses mains caressaient mon torse, flattaient mon sexe. Je découvrais alors la douceur de son bas-ventre, passait une main dans son string tout en la contournant légèrement pour faciliter nos ébats. Un petit triangle de poils frissonnait sous mes doigts tandis que ses mains s’acharnaient sur ma braguette. Je n’en pouvais plus, mon sexe était à l’étroit et mon esprit n’était plus qu’un tourbillon de désir. Elle saisit alors mon sexe tandis que mes doigts découvraient sa fente déjà bien humide, glissaient jusqu’à l’entrée de son vagin, tournaient autour de son clito, nos langues se mêlaient furieusement. Je lui proposais de se débarrasser complètement de son pantalon et commençait à lui lécher rapidement le sexe. J’adore lécher les femmes, me régaler de leur liqueur, saisir leurs fesses à pleines mains pendant que ma langue s’active sur leur fente, caresser leur anus et y passer furtivement la langue. Pauline gémissait et je me redressais pour lui saisir une cuisse et l’embrasser. Mon sexe glissa le long de ses lèvres jusque l’entrée de son vagin tandis que Pauline bougeait son bassin pour m’aspirer en elle. Je la pénétrais sans difficulté en tenant fermement sa jambe pour l’aider à garder son équilibre, ses seins bougeaient au rythme de nos ébats et je faisais de mon mieux pour en aspirer les tétons, les lécher goulûment. Assez rapidement elle se retourna et je pus la prendre par derrière (position bien plus adaptée lorsque l’on est debout…et que votre partenaire a un cul du tonnerre, vous en conviendrez !) . Je la pénétrais puissamment, excité par ses soupirs et autres gémissements, mes mains serraient sa taille, ses fesses claquaient contre mon corps, sa croupe se creusait et mon plaisir montait. Je passais une main sous son corps pour caresser sa fente, atteindre son clitoris et je la sentais se raidir. Sentant que j’allais éjaculer je portais un doigt à ma bouche et le glissait entre ses fesses jusque son anus pour y enfoncer deux phalanges. Mon orgasme fut intense, mon sexe explosa et Pauline trembla de tous ses membres pendant quelques dizaines de secondes. Je couvrais ses épaules de baisers, la serrais dans mes bras avant de me dégager de son merveilleux tunnel.


Notre coït avait duré une dizaine de minutes et nous nous rhabillâmes rapidement. Nous avions du mal à cesser de nous embrasser, mais nous avions encore du bois à trouver et notre absence ne devait pas trop durer. Finalement nous étions de retour autour du feu au bout d’un gros quart d’heure et nous n’avons pas eu de réflexions douteuses, Pauline ayant prétexté un arrêt pipi. La soirée se prolongea jusqu’au petit matin et fut excellente. On aurait pu craindre un certain froid entre nous par peur de laisser paraître quoi que ce soit, mais Pauline resta égale à elle-même, me confirmant en douce la qualité de mon coup de rein. Elle passa beaucoup de temps avec ma copine et alla même jusqu’à danser « collé-serré » avec elle.


Depuis cette soirée je n’ai pas encore revu la belle, mais je trépigne d’impatience de revoir son œil pétillant de complicité !!!!



Voilà, fin de mon premier récit. J’attends vos commentaires…