Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 07479Fiche technique11376 caractères11376
Temps de lecture estimé : 7 mn
22/08/04
Résumé:  Finalement, une rencontre devient le début d'une belle histoire d'amour
Critères:  fh fplusag fmast intermast cunnilingu fdanus fsodo uro
Auteur : Bodding  (Ben oui, je ne suis pas le seul à aimer cela)            Envoi mini-message

Série : Gigolo ? Mais, non !

Chapitre 02 / 02
Gigolo ? Mais, non !

Il vous est recommandé de lire le début de cette histoire qui porte le n° 7400 sur REVEBEBE et d’ainsi bien nous connaître LINA et moi, Philippe.


A près nos ébats tumultueux, ma compagne et moi, nus tous deux, nous sommes rendus vers le jacuzzi.


Lina semblait rayonner de bonheur et tressautait de joie mal contenue. Sa poitrine volumineuse et un peu tombante ballottait à chacun de ses pas.


Je l’a tenais enlacée contre moi, ma main largement ouverte posée sur sa bonne grosse fesse et je lui prodiguais une caresse de ma spécialité (je vous la recommande !!). elle ne vaut que pour des partenaires un peu boulottes et certes pas pour des adeptes des abdo-fessiers !


Ma main imprime à la surface de la fesse des mouvements doux et circulaires, en malaxant un peu les chairs. Ce mouvement mobilise toute une zone érogène passant par l’œillet anal, le scrotum et le vagin sans oublier le bouton d’amour … Bien souvent, la partenaire ne se rend pas compte que c’est ce simple mouvement sur sa fesse qui mobilise et excite tous ses sens. Ce sont ses propres rotondités qui, mises en mouvement, procurent un réel massage érotique…


Lina semblait apprécier car elle jouaient avec ma verge semi érigée, la caressant, la faisant tourner entre ses doigts, quittant pour caresser ma bourse, revenant à mon sexe.


Les quelques mètres qui nous séparaient du jacuzzi furent longs à parcourir car ma délicieuse compagne, tout à fait envoûtée s’était emparée de ma bouche et prolongeait un long baiser tout en continuant à s’occuper de ma verge comme d’un précieux oiseau blessé. Moi je continuais mon mouvement de légère agitation de sa fesse tout en, de l’autre main, m’occuper de sa poitrine. Curieux, allez-vous me dire, mais je préfère une somptueuse poitrine un peu tombante à des petits nénés de gamine. Au moins ici il y a à prendre en main….et l’on peut malaxer, palper, secouer gentiment, jouer avec les bouts, les tirailler sans entendre des glapissements du genre de « aïe.. tu me fais mal ». La somptuosité prime sur la consistance !


Tout cela m’a fait solidement rebander !


Et c’est ainsi, queue dressée, main sur la fesse de Lina, lui caressant la poitrine que j’ai enjambé le bord du jacuzzi non encore bouillonnant. Lina m’a suivi mais comme j’étais déjà dans l’eau, lorsque qu’elle a ouvert ses cuisses pour rentrer une jambe dans l’eau, j’ai eu sa chatte à portée de bouche et, la maintenant ainsi en bonne position, je me suis mis à saliver sur ce sexe charnu et poilu, à mordiller son bouton, à y enfoncer ma langue et à le manger avec fougue …


C’était un régal bien qu’il y avait là le mélange de nos deux semences. J’ai déjà remarquer que le minou des femmes matures est un délicieux réceptacle d’amour qui génère des odeurs et un goût bien plus agréable que celui des petites minettes un peu mijaurées. Ici on est dans la somptuosité, dans la grandeur, dans la magnificence.. tout est plus vaste, tout se laisse plus aller …. L’amour est l’objectif et comme à l’âge de Lina, il passe rarement, il faut en profiter !!


Sa chatte était abandonnée totalement à ma bouche et… je ne m’en privais pas.


Dans sa position, ses seins pendaient vers moi et je me suis empressé de m’en occuper comme si c’était ma seule préoccupation du moment… Elle aimait tout cela car, bien vite, je l’ai senti jouir et son humidité devenue soudainement plus abondante recouvrir mon menton.


J’ai profité de son abandon total pour caresser sa raie fessière et m’introduire un peu, d’un doigt, dans son œillet déjà bien préparé. Elle se laissait faire, restant même dans cette position inconfortable, cuisse ouverte sur le bord du jacuzzi, pour faciliter la caresse qu’elle avait refusé il y a peu.


Elle-même bougeait son bassin comme si elle voulait s’asseoir sur mon doigt, le mieux faire pénétrer en elle… plaisir nouveau car elle me murmura : « C’est la première fois que l’on me touche là…. J’aime… tu me fais du bien… oui. »


Elle supporta comme cela mon majeur bien en elle, lui massant le conduit anal, y tournant et retournant… tandis que ma bouche continuait à manger sa chatte….


Nous avons presque glissé dans le jacuzzi… je veillais à ce que ma compagne ne se fasse pas mal, car à son âge on n’a plus la souplesse de 20 ans et je me voyais mal expliqué au mari que sa femme s’était cassé la jambe pendant que je lui dévorais la chatte !!


Nous n’avions pas encore mis le système bouillonnant en marge et dans l’eau calme, le gland de mon sexe bandé dépassait de l’eau….comme un petit périscope de sous marin. Lina s’en empara de sa bouche mutine et commença une douce fellation très limitée à mon gland. Elle le tournait sous sa langue, le léchait, le mordillait tandis que de sa main, sous l’eau, elle masturbait la hampe au même rythme… c’était divin !


Mes mains s’aventuraient un peu partout sur elle et en elle et, tandis que je luis caressais le minou sous l’eau, j’ai senti l’arrivée d’un liquide plus chaud … ne voilà-t-il pas que Lina faisait pipi !! Là, elle m’étonnait !!


Je lui ai dit, sans respect : Eh bien, ma salope, voilà qu’on fait pipi sur mes doigts maintenant !!


Elle n’a rien répondu mais avec plein d’éclats lumineux dans les yeux, elle a quitté ma verge et sa bouche à rejoint la mienne comme pour demander pardon ou pour rire ensemble !!


Finalement, nous avons mis le bain bouillonnant en marche et nous avons continué à nous caresser sans fin, nos bouches, nos mains, nos sexes, nos corps se joignant en diverses étreintes…


Lina s’est coulée très contre moi et presque dans un murmure elle m’a dit, un peu gênée… Mon chéri, viens encore en moi …. Vite… j’ai envie de bien te sentir….


A vos ordres, madame !!! Lina est venue d’elle-même s’empaler sur ma verge tendue et c’est elle qui a choisi le rythme de sa jouissance, faisant clapoter l’eau par les larges mouvements de son bassin. J’étais resté assis dans le jacuzzi et elle me faisait ainsi face, ce qui m’a permis de lui baisotter les seins ou la bouche, de jouer avec ses bouts bien développés, de les tirailler, pendant qu’elle cherchait sa nième jouissance sur moi …. Cette chevauchée devint une cavalcade au fur et à mesure de l’augmentation de l’approche de son plaisir. Comme elle avait le bassin bien développé (eh ! oui, l’âge et les maternités n’arrangent rien à la ligne !!) l’eau du jacuzzi était bien agitée et on risquait le débordement ….


Finalement, y prenant moi-même un plaisir réel que je ne soupçonnais pas, j’ai aussi pris un mouvement de va-et-vient et Lina, me sentant venir, à joui dans un long feulement de tigresse. Le corps arqué en arrière, échevelée, la bouche ouverte, les seins pendants… elle était belle d’amour.


Notre jouissance a été longue ….. Lina m’a dit à l’oreille : « tu es un magicien… je n’ai jamais autant et aussi bien jouis qu’avec toi… tu es formidable !! Merci mon chéri… je t’adore. »


Cela fait plaisir à entendre !


Repus d’amour nous avons fait un long break, calme dans le jacuzzi dont nous avions arrêté le moteur… Rien que des caresses furtives de presque vieux amants, des petits bécots doux comme si nos étions des amants du même âge… que tout cela était bon ! Nos mains erraient sur nous comme pour encore mieux découvrir les secrets de nos corps…


Finalement, nous nous sommes levés, et nous nous sommes essuyés l’un l’autre avec un tas de petites privautés câlines…. Et puis, comme si c’était devenu naturel, Lina m’a entraîné vers la chambre conjugale et s’est étendue sur le lit, avec un seul mot : VIENS.


Là, à nouveau, nos corps se sont rejoints et notre désir l’un de l’autre est revenu avec violence… nous devions à nouveau jouir, nous devions à nouveau profiter de nos sexes….


Presque sans la forcer, j’ai convaincu ma douce maîtresse de se mettre à quatre pattes sur le lit…. Cette vue était d’un érotisme fou…. Ses seins ballottaient sous-elle, sa raie fessière était largement ouverte et dans ses poils abondants de partout, son œillet frémissait comme s’il m’attendait…. Je l’ai d’abord un peu gâté de la langue pour ne pas effaroucher ma compagne. Celle-ci avait mis la main à sa chatte et se masturbait avec frénésie… il me restait à doucement m’introduire dans son conduit encore vierge…


Ma verge glissa sur le bord et doucement se mit à rentrer, centimètre après centimètre dans son fourreau serré…. Lina se trémoussait sous moi et tout son corps chavirait. Ses cris devaient ameuter tout le quartier !!!

En plus de mots sans suite ni sens, je l’entendais me dire … « Oui, oui, rentre là…. C’est pour toi seul…. Doucement, ne me fais pas mal …. »



Je m’étais solidement agrippé à ses larges hanches et, bien ancrée en elle, j’y allais d’un pilonnement profond, allant et venant dans ses entrailles ….. c’était dantesque de voir ce bon gros corps sous moi, agités de tous les mouvements de l’amour et moi, enfoui au plus profond d’elle.


Ses mains continuaient à fourrager entre ses cuisses et devaient tirer de sa chatte des orgasmes en série …. Finalement, j’ai lâché toute ma semence au plus profond d’elle, sans prendre aucune précaution… C’est à longs jets que j’ai jouis….


Ouf ! on est retombé sur le lit conjugal, repu d’amour, nos corps recouvert de nos transpirations et de nos autres secrétions…… un peu haletants ….


Lina est venue se blottir nue mes bras comme une amante adorée et à recouvert mon visage de petits bisous entrecoupés de merci… merci … ! et puis elle s’est assoupie un bref instant, épuisée….


A son réveil, vu l’heure avancée, je lui ai proposé de faire une rapide toilette et de pouvoir partir… elle semblait déçue mais comprenait bien


Au moment où nos bouches se sont jointe pour notre long baiser de départ, elle m’a dit à l’oreille : « Que puis-je te donner ? »


Je me suis souvenu alors qu’effectivement, lors de notre prise de rendez-vous, il avait été question d’une rencontre vénale dont les conditions n’avaient pas été précisées.


Ma réponse à été claire : Tu t’es donnée à moi… tu m’a abandonné ton corps… c’est le plus beau cadeau que tu pouvais me faire… je ne veux rien d’autre. »


(d’où le titre de cette histoire : GIGOLO ? Mais, NON)


Elle m’a alors donné un nouveau baiser d’amour où j’ai senti qu’elle avait été heureuse.


Nous nous sommes revus souvent et chaque fois pour des moments d’intense sexualité. J’y ai pris goût à ma quinquagénaire !!


FIN


Bodding