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n° 07483Fiche technique8121 caractères8121
Temps de lecture estimé : 6 mn
22/08/04
Résumé:  Après avoir obtenu son bac avec mention assez bien, Carole est partie en fac d'histoire à Grenoble...
Critères:  ff copains lingerie intermast cunnilingu fdanus init ecriv_f
Auteur : Sarah            Envoi mini-message
Les charmes de la fac


Après avoir obtenu son bac avec mention assez bien, Carole est partie en fac d’histoire à Grenoble. Elle se trouvait alors à 150 kilomètres de chez elle. Du coup, elle ne connaissait personne lorsqu’elle emménagea dans le campus. Pour faire des économies, elle prit un appartement en colocation. Il lui restait deux chambres, une avec un garçon et l’autre avec une fille. Voulant se consacrer entièrement aux études, elle choisit de prendre celle avec la fille.


Dès le premier jour, sa colocataire, qui s’appelait Virginie, se montra agréable. Elle était en deuxième année et connaissait beaucoup de choses. Ainsi, elle se proposa comme guide pour les premières semaines.


Carole avait 19 ans et était une très belle fille, même si elle ne le pensait pas. Elle mesurait environ 1m65 pour 55 kilos. Elle avait de longs cheveux blonds et des yeux verts.


Virginie, d’un an son aînée, ne lui ressemblait pas vraiment, ce qui ne l’empêchait pas d’être belle. Mais, à la différence de Carole, elle en avait conscience. Plus grande d’une dizaine de centimètres, plus mince, brune, les cheveux courts et les yeux marrons. Elles avaient un point en commun qui était leur poitrine. Malgré sa petite taille, Carole portait fièrement du 95D, ce qui attirait fortement l’œil. Sa colocataire n’était pas en reste avec une poitrine plus proportionnée, mais que l’on remarquait assez vite cependant.


Après quelques jours de grande timidité pendant lesquels Carole n’adressa presque pas la parole à Virginie, la glace fut rompue par cette dernière. C’était la fin d’une journée qui s’était mal passée pour Carole, entre mauvaises notes et remarques acerbes des professeurs. Elle avait répondu à Virginie qui lui avait demandé ce qui n’allait pas qu’elle n’avait pas envie d’en parler et s’était réfugiée dans sa chambre. Virginie l’avait appelée pour le repas, mais elle ne s’était pas déplacée. Alors, Virginie était rentrée dans la pièce et l’avait trouvé assise sur le bord de son lit, le visage dans les mains, des sanglots dans la voix. Inquiète, elle s’était assise à ses côtés et l’avait prise dans ses bras pour la consoler. Après l’avoir bercée en lui caressant les cheveux et la rassurant, elle desserra son étreinte et lui releva la tête. Elle la regarda dans les yeux en essuyant son visage et lui dit que tout allait mieux maintenant. Carole hocha timidement la tête de haut en bas. Alors, Virginie lui posa un léger baiser sur les lèvres et quitta la chambre.


Ce baiser laissa Carole songeuse pendant plusieurs jours. Sa colocataire était-elle lesbienne ou bien n’était-ce qu’un bisou réconfortant comme elle l’aurait fait pour un enfant en pleurs ? Elle décida que c’était la deuxième hypothèse et n’y fit pas allusion. Mais, leur relation se fit plus intime, les deux filles se confiant leurs problèmes communs, leurs doutes, leurs joies et quand Noël arriva, elles étaient deux grandes amies. Ainsi, Carole demanda à Virginie ce qu’elle souhaitait comme cadeau, mais elle lui laissa le choix de la surprise.


Le grand jour arriva, elles passaient les fêtes dans leurs familles mais avaient décidé de s’offrir des cadeaux avant de se quitter. Carole avait trouvé un livre sur les chiens, animaux qu’adorait Virginie et dont la bibliothèque était remplie. Carole n’avait rien trouvé de plus original, mais il avait beaucoup plu à Virginie. Vint ensuite le tour de Carole d’ouvrir son cadeau. Elle tata le paquet pour essayer de deviner. C’était mou, il devait s’agir de vêtements. Elle déchira alors l’emballage et fut très surprise de découvrir un soutien-gorge de couleur bordeaux et un string assorti. Elle regarda Virginie avec des yeux interrogateurs et celle-ci lui dit que c’était pour la mettre en valeur, car elle trouvait qu’elle cachait trop son corps qu était pourtant superbe. Flattée, Carole rougit et baissa les yeux, puis demanda d’une voix timide :


« Je peux l’essayer maintenant ?



Carole se leva et se rendit dans la salle de bains. Profitant de son absence, Virginie enleva tous ses habits, les cacha dans sa chambre et revêtit un peignoir. Dessous, elle ne portait qu’un string noir. Quand Carole revint, elle était assise à sa place. Pour Virginie, ce fut comme une apparition et pour Carole une révélation. L’une pour la beauté de l’autre, la deuxième pour la prise de conscience de sa propre beauté. Tel un mannequin, Carole tournait et dévoilait son corps à son amie, qui se sentait remplie d’amour pour sa colocataire. Virginie se leva et lui fit signe de s’arrêter. Puis, elle défit le nœud de son peignoir et le laissa glisser à ses pieds. Carole ouvrait de grands yeux et son regard dévorait ce corps presque nu. Virginie s’approcha et posa ses mains sur les épaules de Carole, puis les fit glisser dans son dos. Elles descendirent jusqu’au soutien-gorge qu’elles dégrafèrent. Virginie se colla à elle et leurs seins se frôlèrent puis se frottèrent. Les pointes se firent plus dures, le mouvement plus rapide. Carole posa ses mains sur les fesses de son amie et les caressa. Elle les trouvait d’une douceur incroyable. Elle en voulait plus. Virginie lui avait enlevé son string et elle passait sa main sur son sexe humide. D’un geste tendre, mais assuré, elle l’obligea à s’asseoir sur le canapé. Elle s’agenouilla devant elle et lui écarta les cuisses. Carole, en transe, releva les jambes et offrit son sexe à cette langue qu’elle devinait experte. Virginie s’approcha et posa de petits baisers sur toute la surface de ce sexe trempé. Puis, elle sortit sa langue et avec une grande douceur, lécha de bas en haut. Ce seul geste fit l’effet d’une bombe pour Carole. Elle empoigna la chevelure de Virginie et l ’enfouit entre ses jambes. Virginie ne se fit pas prier et sa langue écarta la fente et pénétra son sexe. Elle la fouilla, la pointe de sa langue allant dans tous les coins. Puis, elle s’attaqua au clitoris qu’elle attrapa entre ses lèvres et qu’elle aspira et suça. Secouée par l’orgasme, Carole se soulevait et se trémoussait. La langue de Virginie reprit son mouvement de bas en haut, mais elle partait de plus bas, lui léchant allègrement l’anus. Carole releva encore plus les jambes, tenant ses cuisses entre ses bras, offrant son cul à son amie. Encouragée, Virginie lubrifia son majeur avec la mouille de Carole et présenta son doigt à l’entrée de l’anus. Elle appuya légèrement et le trou s’écarta. Virginie fut surprise de voir Carole entamer un mouvement avec ses fesses qui aspirait le doigt vers l’intérieur. Elle reprit les choses en main et ressortit le doigt pour le replonger aussitôt à l’intérieur. Carole poussait de petits gémissements de plaisir. Virginie ressortit à nouveau son majeur, mais l’introduit par surprise dans le sexe de son amie. Humide et ouverte comme l’était sa chatte, il n’eut aucun mal à rentrer. Il fut bientôt rejoint par l’index, alors que l’autre main de Virginie s’affairait sur son propre sexe.


Bientôt, Carole sentit quelque chose monter en elle, qui partait du ventre et qui se propageait à travers tout son corps. Une chaleur intense l’envahit et sort par sa bouche en un cri puissant et long. Cet orgasme entraîna celui de Virginie qui s’était enfoncé trois doigts dans le sexe, en gardant sa bouche sur celui de Carole et buvant sa mouille. Tout le corps de Carole était tendue, rejeté en arrière, la bouche ouverte, cherchant de l’air, la langue pointant au-dehors et les mains crispées sur la tête de Virginie. L’orgasme prit fin dans un concert de soupirs et de gémissements. Virginie se releva et s’allongea sur Carole. Elles se regardèrent dans les yeux, se sourirent puis s’embrassèrent amoureusement.