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Rencontre à l'école

Je me présente, je suis un homme de 41a marié à une épouse charmante et père de 2 enfants de 4 et 7 ans.

Mes 1m82 pour 74 kg me donne une allure sportive. Ce jour de septembre 2003, emmenant mon garçon à l’école, je suis littéralement tombé sous le charme d’une femme qui semblait me dévisageait. Grande, élancée, plus jeune de plusieurs années que moi, les cheveux longs, souriante, le regard droit…

Je ne sais pas ce qu’il s’est passé, toujours est il que cette femme devait hanter mes sommeils de septembre à mars, période durant laquelle je m’endormais et me réveillais tous les jours en pensant à elle. Marié sur le tard, j’ai eu mon compte d’expériences sexuelles mais c’est bien la première fois qu’une femme me hantait à ce point.

Chaque jour d’école j’espérais la rencontrer et me rassasier de sa silhouette, mais je n’étais jamais rassasié… mais comment aborder une inconnue dont les enfants fréquentent la même école que les vôtres ? Le petit coup de pouce est venu par l’intermédiaire des cours de musique, où avec joie, je constatais que ses enfants étaient eux aussi inscrits.

L’approche était toujours difficile mais un soir que je récupérais mon jeune garçon, je m’aperçus que sa fille était seule dans le couloir à attendre sa maman.

Je sautais sur l’occasion pour passer pour un bon samaritain et attendais avec elle que sa maman vienne la chercher.

Une demi-heure après, ma belle inconnue arriva en courant pour se jeter dans les bras de sa fille et repartit aussitôt sans même un merci, ni un coup d’œil pour moi…

Tant pis, me dis-je, je n’arriverai jamais à l’aborder… mais au cours suivant, elle s’est dirigée vers moi avec un large sourire découvrant ses belles dents blanches et m’a remercié d’avoir attendu avec sa fille. Je bredouillais un "oh de rien, c’est normal" qui, à mon sens, me faisait passer pour un idiot !!!

Grrrr ! Une occasion de ratée, je ne suis qu’un nul ! Mais non ! Depuis ce jour, j’étais chaque matin gratifié d’un charmant sourire accompagné d’un bonjour qui me laissait toute la matinée sur mon nuage.

Un soir de musique, nous avons même longuement discuté et je ressentais envers cette femme une attirance surprenante et une complicité naturelle. Bref, j’étais bien !

Mes pensées pour elles étaient de plus en plus érotiques et je décidais de donner un nouveau visage à notre "relation". Un soir, je lui demandais :

• — Je viens d’acheter une super cafetière. Etes - vous amatrice de café ?
• — oh oui j’adore ! mais je n’aime que l’expresso et je n’ai jamais trouvé un café maison qui soit à la hauteur des expressos servis dans les bars.
• — Faites-moi plaisir ! Venez un matin à la maison déguster un super expresso, vous n’en reviendrez pas !
• — ok, c’est promis !

La petite graine était semée…

Je dois vous dire que je suis travailleur indépendant et que je passe toutes mes journées seul dans ma maison, ce qui a quelques avantages.

Un matin du mois de mai, la sonnette retentit et j’eu l’agréable surprise de voir apparaître ma belle amante (en tout cas, pour moi).

Habillée d’une jupe longue légère et d’une veste courte sur un petit pull zippé sur le devant.

Elle me gratifia de son plus beau sourire et d’un regard où pétillait la malice.

• — bonjour L…., c’est très gentil à vous d’avoir répondu à mon invitation.
• — je ne pouvais résister plus longtemps à ce plaisir…

Sa seule présence dans ma maison m’émoustillait déjà. Elle dégageait une telle sensualité !

Je répondais à son regard malicieux, par un :

• — puis-je vous déshabiller ? Avec ce même regard chargé de sous-entendu…
• — Mais avec plaisir !

C’en était trop, je me plaçais derrière elle pour l’aider à retirer sa veste mais au lieu de cela, je l’attirais contre moi et posais mes mains sur ses hanches pour la serrer contre mon bas ventre. Elle répondit à ma caresse en posant sa main sur ma cuisse et en se collant contre moi, la tête en arrière, les yeux fermés. Mes mains parcouraient son corps, ses hanches, son ventre, ses petits seins fermes que je caressais sous son pull et dont les tétons durcissaient sous mes caresses… je lui retirais enfin sa veste et la laissait tomber par terre.

Ma bouche dévorait son cou et je m’enivrais de son parfum. Mon érection était insoutenable, mon sexe me faisait mal enserré entre ses fesses.

Je descendais le zip de sa jupe et la laisser tomber elle aussi à ses pieds. Elle m’apparaissait enfin comme dans mes rêves, habillée en haut et en culotte en bas. Je passais ma main sur son pubis, cherchant son clitoris au travers de sa culotte. Elle répondit à ma caresse en passant sa main derrière elle pour caresser ma queue à travers mon jean. J’étais à 2 doigts de jouir tant la situation m’excitait.

Je m’agenouillais derrière elle et caressant ses fesses, j’embrassais son anus au travers de sa culotte.

Prenant appui sur la commode de l’entrée, elle se pencha en avant et creusa les reins pour pousser ses fesses vers ma bouche.

Je fis glisser sa culotte le long de ses jambes et l’en débarrassai. Elle pouvait à loisir écarter ses longues jambes et m’offrir son sexe à déguster. J’écartais doucement ses fesses et déposais tendrement un baiser sur son anus, accompagnant ma caresse de quelques coups de langues. Je sentis ma compagne défaillir sous ma caresse. Ses soupirs m’encouragèrent et écartant un peu plus ses jambes je pus enfin plonger dans la chaleur et la douceur de son puits d’amour que je léchais longuement. L…. mouillait énormément et je sentais son plaisir poisseux sur mon menton. Je léchais sa raie et m’enivrais de son odeur, de sa saveur… Son corps fut bientôt parcouru de spasmes. Je me relevais et profitais de ce répit pour me débarrasser de mon jean et de mon boxer. Enfin libre ! Mon état d’excitation me permit d’enfiler facilement une protection et me plaçant sur le côté droit de ma chère et tendre, nous échangeâmes un long baiser passionné, sa bouche était douce et sa langue fouillait ma bouche avec ardeur. Ma main gauche entre ses fesses taquinait son œillet tandis que la droite caressait son clitoris. Elle donnait de longs coups de reins pour mieux se frotter à cette double caresse. De la main gauche, j’enfonçais deux doigts dans sa grotte et sentis ses muscles vaginaux opérer sur mes doigts. Son sexe était très humide? Je le replaçais derrière elle pour lui donner un dernier baiser sur l’anus et me relevais le sexe en main, pointant mon gland à l’entrée de son vagin. Elle remplaça ma main par la sienne et je m’enfonçais bientôt jusqu’à la garde dans son écrin de douceur.

Je la limais fortement, donnant de profonds coups de reins accompagnés de puissants ahanements, passant ma main entre ses jambes pour caresser son clitoris. Elle posa sa main sur la mienne et nos doigts enlacés purent la caresser pendant que mon sexe la possédait. Elle cria bientôt son plaisir tandis que j’étais comme tétanisé, ne pouvant jouir, mon sexe n’étant que le jouet de son plaisir.

Elle se tendit en arrière pour m’embrasser puis se retira de mon sexe pour s’agenouiller devant moi.

Elle me prit en main et me branla fortement de sa main droite avant de m’aspirer complètement. Je plaçais mes mains en coupe autours de sa tête.

Je sentais sa langue tourner autour de ma queue.

Et elle continua, me pompant puis me branlant. Quelques minutes suffirent à me faire exploser, ma queue bien plantée au fond de sa gorge.

Elle se releva et nous nous embrassâmes tendrement. Je retirais discrètement la capote et nous nous rhabillâmes avant de nous séparer non sans nous être longuement enlacés.

Et depuis… rien… parce que tout ceci n’est jamais arrivé… cette personne existe réellement mais notre liaison n’est toujours qu’un fantasme… en tout cas pour moi…