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Temps de lecture estimé : 10 mn
27/08/04
Résumé:  Durant les fêtes de Bayonne, j'ai trompé mon mec avec un ami à lui.
Critères:  fh extracon fête fépilée fellation cunnilingu anulingus fsodo ecriv_f
Auteur : Jolie plante  (Chatain, yeux verts,1m68,59 Kg, 95 b, teint mat)      
L'agréable bétise


Depuis le temps que j’espère qu’il m’arrive quelque chose d’intéressant pour pouvoir vous le raconter je suis très contente de vous annoncer que ça y est, il m’est enfin arrivé quelque chose de croustillant, bien que je n’en sois pas très fière. En effet, j’ai trompé mon copain avec qui je suis depuis 3 ans.




Mais commençons par le début. Je veux d’abord que vous me visualisiez le mieux possible physiquement. Je m’appelle Olivia, j’ai 25 ans, châtain avec des mèches blondes, 1m68, 59Kg, 90 B, yeux verts, et, grâce à la plage, bronzée. Sans être orgueilleuse, ce que je préfère en moi, ce sont mes fesses. Elles sont rebondies et bien fermes. D’après mon mec, ses copains en sont malades de jalousie et lui-même en est très fier. Toujours le plus objectivement possible je pense(et je suis pas la seule) être assez mignonne de visage et mes seins ,bien que pas super gros, sont bien fermes et surtout très sensibles. Mon mec, quant à lui, est très beau.25 ans,1m82,80 kg, brun au teint mât, yeux verts comme moi, et je l’aime énormément. Je ne l’avais jamais trompé avant ce soir-là.




Nous avions décidé de faire les fêtes de Bayonne. (On habite à une centaine de km de là). Nous avons donc appelé un couple d’amis, Ludo et Amandine, Guillaume et Valérie, tous deux célibataires, et Cédric, un copain de mon mec au départ, mais avec qui je suis devenue également très proche. En réalité, il me plaît énormément mais il ne s’est jamais rien passé avec lui, même si j’ai avoué à mon mec m’être souvent masturbée en pensant à Cédric. Cela ne l’a pas dérangé tant que ça restait un fantasme.




Ce soir-là, le protocole des fêtes nous poussant à nous habiller en blanc et rouge, je portais un débardeur blanc et assez décolleté sans être indécent, un pantalon blanc très moulant et très fin, un soutif blanc également, et un string blanc en soie dont on pouvait deviner la forme à travers mon pantalon. Seul le foulard, de rigueur pour ces fêtes, que je portais autour du cou, était rouge.


Une fois arrivés, nous avons entamé un apéro au bord de l’Adour, entre nous. On commençait tous à sentir les effets de l’alcool et Cédric, qui n’a pas la langue dans sa poche, ne cessait de me faire remarquer, haut et fort devant tout le monde, que j’avais vraiment un beau cul et que ça l’excitait. Mon copain souriait et en remettait une couche en répondant que c’était rien en comparaison à mes seins. Je prenais tout ça à la plaisanterie, même si j’étais un peu mal à l’aise.


Puis vînt l’heure de se diriger vers le centre ville. Nous fîmes le tour des bars pendant une bonne partie de la nuit, puis nous nous arrêtâmes dans un bar bondé de monde. On était tous serrés comme des sardines et on s’est vite trouvé dispersés dans le bar. Je me suis retrouvée à discuter avec Cédric, chacun un verre à la main, mais avec des difficultés pour le boire car on ne pouvait presque pas bouger.


L’alcool aidant on en est vite venus à parler de sexe. Mon mec était au bar, pas loin de nous, discutant avec les autres.



Sa question me gêna un peu mais je décidai quand même de lui répondre.



Il me regarda surpris que je lui ai répondu.



Je commençais vraiment à sentir les effets de l’alcool. Je me sentais complètement désinhibée. Je me tournais vers le bar pour regarder ou était mon copain. Il était toujours au même endroit. Il me regarda, me fît un clin d’œil, et au moment où je lui répondais par un sourire je sentis une main se poser sur mes fesses. C’était Cédric qui me caressait les fesses devant mon mec sans que ce dernier ne s’en rende compte. Je n’osais plus bouger et j’essayais de garder l’air le plus neutre possible pour ne pas que mon mec ne se doute de quoi que ce soit. J’aurais dû être en colère et lui mettre une gifle, mais je ne le fis pas. En réalité, lorsqu’il avait posé sa main sur mon cul, j’avais été parcourue par un frisson qui s’était concentré dans mon sexe.


Je me retournai doucement vers lui après que mon mec ait repris sa conversation et, sans un mot, je descendis mes mains sur ses fesses et lui dit :



On était tous tellement serrés dans ce bar que personne ne pouvait deviner ou voir ce que nous faisions. Il m’avait désormais attrapé mes fesses à pleines mains et les malaxait. Cela m’excitait beaucoup et je faisais pareil avec les siennes.


Puis il remontât sa main sur le bas de mon dos et me caressa d’un doigt et très sensuellement le bas du dos, effleurant le haut de mon string. Cette fois-ci, je venais de comprendre que ce n’était plus un jeu. J’avais envie de lui et lui me faisait comprendre que c’était réciproque. Mes seins étaient écrasés contre son torse du fait du monde qui nous collait l’un contre l’autre. Je sentis sa main remonter mon flanc, sur mon débardeur, elle s’arrêta juste sous mon sein. Du pouce, il en effleura la pointe, puis le pris à pleine main. Je me dégageai de peur d’être vue. Je n’étais plus moi-même. J’étais littéralement trempée. Je lui dis de m’attendre et me dirigeai vers mon copain. Je lui roulai une grosse pelle et lui dis que je devais aller rejoindre des copines qui se trouvaient dans un autre bar, et que Cédric venait avec moi pour m’accompagner. C’était un mensonge et je n’en suis pas fière, mais à ce moment là je n’étais plus maître de moi. Je lui dis que je reviendrai dans une heure, l’embrassai et me dirigeai vers Cédric qui m’attendait. Je le pris par la main, et sans dire un mot, l’entraînai dans la rue. Je ne savais pas où aller pour être tranquille. Je voulais simplement trouver un endroit où on pourrait se caresser à l’abri des regards. J’étais décidée à le laisser m’embrasser, me caresser les seins, les fesses, mais pas plus. Je le lui dis :


"Je veux juste trouver un endroit où on sera tranquilles pour discuter.


Soudain, j’eus une idée. Je savais où aller : Le stade. En effet, je savais qu’aux environs du stade il y avait des petits bosquets sombres. Je l’entraînai donc là-bas. Nous arrivâmes dans un endroit en retrait, caché par des buissons, où personne ne viendrait nous déranger.


Là, je me retournai vers lui, dans le but de lui dire que j’avais envie de petits contacts interdits avec lui mais pas plus, mais avant même que j’ai pu dire un mot, il me colla contre un arbre et posa sa bouche sur la mienne. Nos langues se mêlèrent. Il aspira la mienne et je le lui rendis. Le baiser était très profond et très sauvage. Je mouillais comme jamais. Sa cuisse était appuyée entre mes jambes et il la frottait de façon insoutenable. Il m’attrapa les fesses et les malaxa de façon virile. Je fis pareil avec les siennes.


Soudain, il remonta ses mains et les posa sur mes seins. Je ne savais plus ce que je faisais. Il me pinçait les tétons à travers mon débardeur. Je n’en pouvais plus. Je me dégageai, et enlevai mon débardeur. Il se jeta sur moi, me collant contre l’arbre, baissa mon soutien-gorge sans le défaire, et fit sortir mes seins de leur prison. Il descendit et se mit à me les lécher, me les sucer. Il pris mes tétons à tours de rôles dans sa bouche, les aspira, les mordilla. Il me fis même un peu mal, ce qui attisa mon désir. Je gémissais et ressentais une douleur entre les jambes, tellement j’étais excitée. Je lui dis à l’oreille :


"On est en train de faire n’importe quoi là."


En disant cela, je défis le bouton de son pantalon et fit descendre sa braguette.


Au même moment, il se mit en devoir de faire pareil.


Je commençai à caresser sa queue dure et tendue au travers de son caleçon. Pendant ce temps il ouvrit mon pantalon et mis directement sa main dans mon string. Je sentis son doigt s’immiscer entre mes lèvres lisses et trempées et il trouva mon clitoris. Il commença à jouer avec me faisant gémir de plaisir.


Je mis également ma main dans son caleçon et pris son sexe dans ma main. Il était tout chaud. Il était de taille moyenne, comme celui de mon copain. Je commençai à le branler pendant que lui enfonça son doigt dans ma chatte. Ça rentrait comme dans du beurre. Il le fit aller et venir de plus en plus vite, puis ralentissait. J’étais au bord de l’orgasme. J’étais en train de me faire doigter par le copain de mon mec, et j’aimais ça !


Pendant qu’il me fouillait du doigt, je le branlais de plus en plus vite et fort, tout en aspirant sa langue, goulûment.


Mes cuisses étaient écartées au maximum pour lui faciliter l’accès.


C’est alors que nous décidâmes de nous allonger sur l’herbe. Il se mit sur moi et descendit sur mes seins. Il en profita pour me retirer le soutif qui nous gênait et se mit à me manger les seins tout en continuant de me doigter. Puis il descendit sur mon ventre, fouilla mon nombril avec sa langue, et continua à descendre. Tout en descendant il fit descendre mon pantalon qu’il retira complètement, me laissant mon string. On était au point de non retour. Moi qui au début voulais simplement que l’on se caresse, je me rendais compte qu’on était sur le point de baiser. J’en pouvais plus !


Il posa sa bouche sur mon string et commença à me lécher à travers. Il l’écarta et fit une chose qui me surpris mais qui m’excita au plus haut point. Il se mit à lécher l’intérieur de mon string. Ce qui m’excitait, c’est que j’avais baisé avec mon mec dans l’après-midi. J’avais gardé mon string quand il me pilonnait et lorsqu’il m’avait innondée, j’avais replacé mon string qui s’était imprégné de ma mouille et du sperme de mon copain !


Cédric était en train de lécher ce même string et ce qu’il prenait pour ma seule mouille était en fait un mélange entre cette dernière et le sperme de mon mec. Je ne le lui dis pas et le laissai continuer.


Quand il eut fini, il plongea sa langue dans ma chatte toute gluante et me fouilla pendant un long moment. J’eus mon premier orgasme à ce moment là. Ce fut foudroyant.


Puis, je me relevai, le poussai pour le mettre sur le dos et me mis sur lui. Je commençai par lui rouler une pelle. Il avait un goût de sexe et les lèvres couvertes de ma mouille que je m’empressai de sucer.(J’aime beaucoup le goût de mes sécrétions vaginales).


Puis je descendis sur son torse, lui enlevant son tee-shirt, et me mis à lui lécher et lui mordiller les tétons. Il gémissait de plaisir. Puis je descendis encore et m’empressai de lui retirer pantalon et caleçon. Son sexe, était dressé vers moi. Je le pris dans ma main et commençai à le masturber. Pendant ce temps je posai ma bouche sur ses couilles, les embrassai, les aspirai. Elles étaient poilues et assez grosses. Je les prenais en bouche l’une après l’autre, les aspirant. Puis je remontai vers sa queue et la pris en bouche comme une affamée. Je le suçai avec vigueur, goulûment. J’allais bien à fond. Ma langue jouait avec son gland et son frein. Cela dura bien 5 minutes. Je décidai alors de passer aux choses sérieuses. Je remontai, me mis sur lui, et m’empalai sur sa queue qui entra en moi avec une facilité déconcertante. C’était tellement bon. Lui aussi appréciait. Il posa ses mains sur mes fesses et me donnait le rythme. Pendant ce temps on se roulait des pelles énormes.


A un moment, il passa son doigt sous la ficelle de mon string et se mit à me caresser l’anus. Pendant qu’il me baisait, je sentit son doigt entrer doucement dans mon cul. Il me fit avoir un orgasme phénoménal. J’avais sa bite dans la chatte et son doigt au fond de mon cul. Lorsqu’il retira son doigt, il le porta à son nez pour le sentir. Ça l’excitait énormément de sentir l’odeur de mon cul qu’il avait tant désiré depuis que je le connaissais. Je pris son doigt pour le sentir également. Il sentait fort mais cela m’excitait aussi à mon grand étonnement. J’étais tellement excitée que je n’avais plus de limites. Je pris son doigt et le mis dans ma bouche pour le sucer. Je sentais qu’il allait jouir alors je me relevai et me plaçai à 4 pattes. Il se mit derrière moi et se mit à me lécher l’anus. Il enfonçait sa langue au plus profond de mon cul. Il sortait de temps en temps pour me lécher toute la raie. Je me relevai et lui dis que je voulais faire pareil. Il se mit à son tour à 4 pattes et je m’empressai de lui mettre ma langue dans l’anus. Il avait un goût épicé et une odeur assez forte qui m’excitait au plus haut point ! J’enfonçai ma langue le plus profondément possible puis, me remis à 4 pattes pour qu’il me prenne en levrette.


Il se mit derrière moi, et, me pénétra violemment. J’avais envie de crier au rythme de ses secousses. Puis il sortit et plaça son gland sur mon anus. Il attendit que je dise quelque chose mais comme j’adore me faire sodomiser je ne lui dis rien. Alors il poussa et pénétra mes entrailles ce qui me fit lâcher un soupir de plaisir. Il commença à bouger de plus en plus vite, de plus en plus loin, de plus en plus fort. Il m’arracha un ultime orgasme. Lorsque je repris mes esprits, il était en train de se vider dans mon cul. Je sentais ses longues et copieuses saccades dans mes fesses. Il venait de me remplir le cul. Lorsqu’il se retira je me retournai également et je fis une chose que je n’avais jamais faite. Je pris son sexe et le mit dans ma bouche pour goûter son sperme qui n’avait plus un goût très pur. Il me sourit et nous nous rhabillâmes. Il me roula une dernière pelle et nous nous dirigeâmes vers le bar. Lorsque nous fûmes devant l’entrée, il me dit que ça devait rester un secret. Je fus d’accord. Je rejoignis mon copain qui n’avait pas bougé 1h30 après et je l’embrassai avec le goût de Cédric dans la bouche, mais il ne remarqua rien.


Aujourd’hui encore, il ne se doute de rien, mais je n’ai pas résisté à la tension et il m’est, depuis ce jour, de me retrouver seule avec Cédric, et de m’abandonner à lui, mais ceci est une autre histoire…