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n° 07500Fiche technique7753 caractères7753
Temps de lecture estimé : 5 mn
29/08/04
Résumé:  Ma femme me fait découvrir par surprise les plaisirs anaux
Critères:  fh couple hdanus hgode ecriv_c
Auteur : Fred torkain  (Fred)      
A la découverte du plaisir anal




Mariés depuis maintenant prés de 10 ans, Sophie et moi sommes un couple que je qualifierais de « standard ». Nous nous sommes rencontrés tardivement puisqu’elle était âgée de 25 ans et moi de 23, mais nos aventures amoureuses étaient peu nombreuses pour chacun de nous deux. Très porté sur le sexe depuis ma plus tendre enfance et adepte de la masturbation en tout genre et en tout lieu, j’ai eu la chance avec Sophie de pouvoir réaliser un certain nombre de mes fantasmes. En effet, une grande confiance existe entre nous deux et cela nous permet d’être très ouverts sur le plan sexuel.


Cela fait maintenant de nombreuses années que nous pratiquons la sodomie, et nous y prenons tous les deux un énorme plaisir. Il ne mettait cependant jamais venu à l’idée que je puisse retirer moi aussi une si forte jouissance de la stimulation de mon « petit trou ».


Quelques semaines auparavant, nous avions ma femme et moi reçu une invitation pour un salon érotique célèbre qui passait dans la région. C’est avec beaucoup d’humour que nous avions alors put regarder et toucher tout ce qui se faisait de plus insolite en terme de vibromasseur, de godes et autres accessoires. Sophie avait été très troublée devant la vue de harnais godemiché que pouvaient utiliser les lesbiennes entre-elles mais aussi les femmes avec leurs partenaires masculins.


« Tu ne crois pas que ça pourrait t’exciter ? » me demanda-t-elle sur le moment.

« Je n’ai jamais eu aucune attirance envers les hommes alors tu sais ! ».


Cela avait mis fin à la discussion, mais Sophie n’avait pas pour autant mis l’idée totalement de coté.


Quelques jours plus tard, nous recevions à la maison un magnifique catalogue nous permettant de commander tout un tas d’accessoires aussi excitants les uns que les autres.


« Tu me donnes ton feu vert pour commander ce que je veux ? » me demanda Sophie.

« Mais bien sur, vas-y ».


Quelle ne fut pas ma surprise lorsqu’un dimanche après-midi elle se jeta sur moi en me murmurant à l’oreille :


« J’ai envie de toi tout de suite ».


Je lui pris immédiatement la main et l’amena rapidement dans notre chambre à coucher.


Elle me poussa sur le lit et m’ordonna de ne plus bouger. Elle sortit quelques minutes et revient avec un bandeau qu’elle me lia aussitôt sur les yeux.


« Déshabilles toi immédiatement et n’essaie pas de retirer ce bandeau. Je t’ai réservé une agréable surprise ».


Cette situation m’excita au plus haut point et je n’avais même pas fini d’ôter mes vêtements que déjà mon sexe était turgescent de désir. Elle se coucha sur moi et entrepris une fellation comme elle savait si bien le faire. Sa bouche chaude et humide m’aspirait goulûment alors que ses mains me caressaient les bourses avec délicatesse. Mes doigts atteignirent rapidement les douces lèvres de son sexe et quelle joie de voir que celui-ci était trempe de ce liquide dont l’odeur et le goût me rendent à chaque fois totalement fou. J’adore lécher Sophie quand elle mouille et pour partager mon plaisir il m’arrive souvent d’humecter mes doigts de sa cyprine et de les porter ensuite à sa bouche. Elle suce alors mes doigts en me regardant droit dans les yeux et en me disant :


« Ca t’excites de voir que tu me fais mouiller ! ! »


C’est alors que j’ai senti ses doigts se diriger vers mon anus. Elle caressa longuement cette partie de mon anatomie avant d’essayer d’introduire lentement un de ces doigts.


« Que fais tu ma chérie ? Tu es folle ? »

« Ne dis rien et arrêtes moi uniquement si je te fais mal ».


Quelques instants plus tard je sentis mon anus se dérober et laisser entrer en lui ce doigt humecté de sa salive.


« Ouaaah » fut la seule chose que je puis dire tellement la sensation était nouvelle pour moi.


C’était un mélange d’une douleur modérée, mais surtout d’une grande excitation donnée non seulement par le sentiment de braver un interdit mais aussi par la stimulation de cette zone au plus profond de moi-même. Elle entreprit alors un mouvement de va-et-vient jusqu’à obtenir des gémissements de ma part. Quand elle retira son doigt, je me surpris à lui intimer de continuer.


« Attends, sois patient, je suis loin d’en avoir fini avec toi. »


Je ne pus me retenir de sursauter quand je sentis sur mon petit trou un objet tiède, doux et à la forme arrondie. Sophie me pria de ne pas bouger de nouveau et la pression se fit de plus en plus importante. Je sentais couler sur mes bourses ce que je savais être un lubrifiant. Je me détendis un peu plus et cela me permit de recevoir dans le plus profond de mon rectum la première boule de ce magnifique collier de perle. J’eus tellement peur qu’après avoir retirer mon bandeau j’ai immédiatement regardé entre mes jambes. Sophie éclata de rire et me montra sa magnifique acquisition. Il s’agissait de 8 boules en silicone d’un diamètre d’environ 2.5 centimètres chacune reliées les unes aux autres par une cordelette.


« Mais tu ne pourras jamais les retirer » lui dis je en souriant.

« Imbécile, non seulement je pourrais, mais je suis sur que tu me demanderas aussitôt de recommencer ».


L’idée lui vint alors de tirer sur la cordelette et la sensation de cet objet coincé au plus profond de mon intimité qui essayait de sortir me mit rapidement en érection.


« On va voir combien de ces petites boules monsieur est capable d’accueillir dans son petit cul vierge ».


Après la troisième, la sensation de plénitude était exquise et les frissons qui parcouraient mon corps ne me permettait pas de cacher mes sentiments.


« Vas-y encore, je te dirais stop, c’est vraiment trop bon et je comprends le pied que tu prends quand c’est moi qui abuse de ton cul ».


A la sixième boule, cela commençait à devenir désagréable, mais tout cela était submergé par une excitation hors du commun. Quand Sophie eut de nouveau l’idée de se jeter avec vigueur sur mon sexe, je lui intima l’ordre d’arrêter à moins qu’elle ne veuille recevoir très vite ma semence au fond du palais.


« Ah, non, pas encore… »


Elle retira alors les boules les unes après les autres en me tirant à chaque fois des gémissements de plus en plus fort.


A peine mon rectum vidé, je sentis de nouveau un de ses doigts s’introduire profondément.


« Ca y est, je la sens »

« Tu sens quoi ? » lui demandais-je.

« Ta prostate pardi. Elle est bien grosse et je vais la caresser»

« Tu sens ma prostate ? »


Je n’avais pas fini ma phrase que j’eus envie pressante d’uriner suivie rapidement d’une sensation très bizarre dans le bas ventre. Au fur et à mesure, la chaleur augmenta au niveau de mon périnée et quelle ne fut pas ma surprise quand je me suis aperçu que malgré mon excitation mon sexe reposait mollement sur mon ventre.


Quelques minutes plus tard, je ne put retenir mes cris quand mon corps fut pris de grands frissons tout en connaissant un des orgasmes les plus intenses qu’il m’ait été donnée de vivre. Le sperme s’écoula lentement en un jet continu de mon sexe toujours flacide. Il m’a fallut plusieurs minutes pour me remettre de mes émotions et pour pouvoir m’occuper à mon tour de Sophie.