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Temps de lecture estimé : 16 mn
30/08/04
Résumé:  Un ami me demande de prendre son fils en stage
Critères:  fh jeunes couplus voir ecriv_c
Auteur : Calin 13

Série : Les aventures de Mary

Chapitre 05 / 06
Seb


J’ai déjà eu l’occasion de parler de mon activité d’assureur dans une petite ville de Provence. Les évènements, que je vais vous raconter, sont liés à mon activité.

Un de mes amis et plus fidèle client vit à Paris. Il est marié et a un garçon de 18 ans.

Nous connaissons bien ce couple bien que nos rencontres soient relativement espacées, surtout ces dernières années. La distance ne facilite pas les choses.

Bref, cet ami m’appelle un jour, embarrassé, et m’explique :



Notre premier contact est sympathique mais réservé. Il me prend sûrement pour un « vieux c… ». Je veux le laisser venir et voir à quelle sorte de gamin j’ai à faire. Je suis plutôt méfiant.


Nos premiers jours d’apprentissage se sont plutôt bien passés. Seb s’est montré prévenant, gentil et plein d’attentions. Il faut dire que tout de suite le courant est passé avec Mary, ma femme. Elle le trouve attendrissant, surtout depuis qu’un soir, il lui apporta des fleurs pour la remercier de notre accueil. Sans doute un conseil de son père !

Au bureau, il s’est vite senti à l’aise. Je lui ai confié de vraies petites missions qu’il a rempli avec le sourire et une sincère bonne volonté.


Le soir, nous nous délassons en nous baignant dans la piscine. Nos jeux aquatiques, ont fini de l’intégrer à notre vie de famille.

Souvent, avec Mary, nous parlons de Seb, de son physique, entre adolescent et homme. On voit bien que sa musculature prend une forme prometteuse mais pas encore aboutie. Ses traits du visage perdent en rondeurs et commencent à s’affiner.



C’est vrai, pensait-elle songeuse, que si son corps est encore un peu juvénile, son sexe semble plein de promesses.


Les jours coulèrent ainsi, tranquilles mais avec dans l’air une petite tension, difficilement palpable, qui ne demandait qu’à s’exprimer.


Et puis il y eu ce fameux dimanche. Repas joyeux et détendu pris sur la terrasse, au soleil, avec en bruit de fond le chant des cigales. Seb découvre les joies simples de la vie de province, le rosé bien frais, un plongeon dans l’eau presque chaude de la piscine. Mary, assise sur le bord, se laissant admirer. Nonchalamment allongée sur sa serviette, elle prend le soleil. Sa peau déjà dorée. L’huile solaire la fait briller et accentue ses formes parfaites.

C’est vrai que malgré sa petite taille, 1,60 m sous la toise, mais grâce à sa fine taille, 50 kg sur la balance, elle est « ma » plus belle femme, sans parler de son 85 C qui en remontrerait à des bien plus jeunes par sa tenue. Enfin, elle est la belle femme de 35 ans, mais qui n’en rajoute pas pour autant. Elle sait rester discrète, voir timide en société.


Seb arrive difficilement à se concentrer sur la partie de ballon que je lui ai proposé.


Après une demi-heure de nage, le souffle court, il sort de l’eau. Mary lui demande de se changer et de ne pas garder son maillot mouillé sur lui. Sans prendre de précaution particulière, il enlève son slip et enfile son short qui traînait sur une chaise de jardin.

Le changement est rapide, mais Mary a eu le temps d’apercevoir le sexe du jeune homme et elle en est très troublée. Son regard dans ma direction me le confirme, ainsi qu’un sourire indéfinissable que surprit Seb.



Rougissant, il promit de faire attention la prochaine fois.



Je revins bientôt avec un plateau où s’entrechoquaient une carafe emplie du délicieux mélange et de glaçons, et trois verres de grande taille.


En m’attendant, Seb s’est assis sur une brouette de jardin. Je conseille à Mary de prendre place à côté de lui. Je les trouve mignons ainsi.



Il rougit, s’embrouille un peu, veut jouer à l’homme ! Les filles de son âge sont trop compliquées ou trop jeunes. Et puis à Paris, les parents, le bac, le sport etc…



Je lève mon verre à la santé de Seb, que son séjour lui apporte toutes satisfactions.

Il me sourit en levant le sien. Mary me lançe un regard appuyé que je soutiens.



Seb me regarde, visiblement il ne comprend pas ma question. Ses yeux vont de Mary à moi et de moi à Mary, mais aucune réponse ne lui vient.



Les mots lui manquent, et il saisit son verre pour éviter de me répondre.

Prêt de lui, Mary sourit de l’embarras du jeune homme.

De les voir assis l’un près de l’autre, me trouble soudain.

En une fraction de seconde, la situation m’échappe. Je vois Mary, en bikini, près de ce garçon en short et torse nu. Une pulsion irrésistible me submerge. Avec mon sourire le plus avenant je me penche, attrape le poignet de Seb et le forçant un peu, je lui fais poser sa main sur la jambe de Mary. Là, c’est la panique sur son visage. Il ferme le poing pour ne pas toucher la peau chaude et douce. Je fronce les sourcils et serre plus fort. Sa main résiste, puis ses doigts s’ouvrent enfin et acceptent le contact.

Mary, figée, ne bouge pas pendant quelques secondes. Ses yeux se plantent dans les miens en une question muette : Est-ce bien ce que tu veux ?

Je soutiens son regard et elle en déduit mon approbation.

Alors, c’est vers Seb qu’elle tourne la tête. Le pauvre se demande quoi faire. Dans sa poitrine, son cœur tape de grands coups sourds.

Avançant sa main, Mary la pose sur celle du jeune homme. Bien à plat, doucement, elle glisse ses doigts entre les doigts de la main paralysée par le trac.

Je lâche le poignet. Seb semble plus décidé à se laisser faire. Mary, lentement l’oblige à glisser sur sa peau chaude. Montant et descendant le long d’une cuisse puis de l’autre. Du genou à la hanche puis vers l’intérieur des cuisses, là où la peau est plus tendre. Resserrant les jambes, elle le garde prisonnier un moment. Petit à petit, les doigts de Seb prennent vie, tout en gardant la main de Mary dans les mailles de ses doigts, il commence doucement à caresser selon son propre désir, insistant pour remonter au plus haut, vers le tissu blanc du maillot et ce qui, pour lui, doit être encore un lieu de mystère.


Mary ne veut pas précipiter les choses. Pour faire diversion, elle lui passe son bras libre autour des épaules et l’attire contre elle. Seb se laisse aller. Sa tête vient se poser au creux du cou de ma femme.

La encore, que de douceur, le parfum fleuri de Mary, l’enivre. Il n’a qu’un mouvement infime à faire et peut poser ses lèvres dans ce cou si tendre. Mary penche la joue pour mieux sentir ce timide premier baiser, chaste mais troublant.

Notre jeune adolescent ne se pose plus de question. Il sent un sein de Mary pressé contre sa poitrine. Il tend sa main libre vers l’autre sein, entre en contact avec le tissu, sans hésiter il l’empaume, le presse, devinant la fermeté souple de ce qui se cache derrière. Maladroitement, il le malaxe, à faire mal à Mary qui lui souffle à l’oreille : doucement, fais doucement.

Il s’en veut de paraître si gauche, mais comment maîtriser autant d’émotions d’un coup.

Sa main se fait plus douce, le tissu malmené a un peu glissé. Baissant les yeux pour mieux voir l’objet de ses caresses, il devine l’aréole du sein. Du pouce, il accroche le bord du bonnet, tire doucement et laisse apparaître le bout rose dressé. La bouche sèche, il l’admire, joue avec quelques secondes avec son pouce, avant de se pencher et d’y poser ses lèvres.

Son premier réflexe est de téter, puis de lutiner avec la langue, il tourne autour du mamelon, sent le sein se soulever sous la respiration devenue haletante et comme une première victoire, il entend Mary qui laisse échapper un faible gémissement.

Que c’est formidable de donner du plaisir à une vraie femme.

Moi, je suis toujours en face, à 50 cm, la bouche sèche, la langue comme du carton, mon sexe qui me fait mal dans mon maillot de bain trop étroit. Mary tient toujours la main de Seb entre ses cuisses. Je me glisse près d’elle et délicatement tire sur le nœud qui, sur la hanche, retient entre eux les deux morceaux de son slip de bain. Le devant se met à bailler légèrement.

Reprenant l’initiative, Mary guide la main de Seb plus haut sur ses cuisses, dans le mouvement les deux mains unies repoussent le tissu et bientôt les doigts glissent sur la toison blonde et soyeuse. Dans la paume de la main de Seb, la sensation est douce. Puis Mary le guide plus bas, entre ses cuisses, contre ses lèvres trempées. En bougeant ses doigts, elle oblige Seb à suivre ses mouvements. Il ne sait pas trop ce qu’il fait, ses cours d’anatomie sont loin, mais il sent qu’il donne du plaisir. Il s’applique, se concentre sur ses doigts, qui glissent entre les lèvres chaudes. Il bouge doucement, rentre un, puis deux doigts, les ressort, replonge plus profondément, glisse dans ce puits humide, enfin découvre le clitoris. Quand il le frôle, Mary se raidit. Il replonge ses doigts, les fait tourner, plus loin, masturbe ma femme qui se tend d’un coup comme un arc, reins cambrés, yeux révulsés, narines dilatées, elle respire fort en poussant de petits soupirs. Seb s’applique comme sur un violon ou à force de sensibilité des doigts, on fini par tirer un son magique. Son violon, c’est Mary, et son sexe, ses cordes qu’il s’applique à faire vibrer.

À tâtons, Mary tend sa main libre vers Seb, trouve sa jambe, remonte, glisse sous le short. Premier contact avec le membre chaud, elle l’évalue d’abord, puis refermant ses doigts dessus, attrape le sexe juvénile, le dégage. Une goutte perle sur le gland. Avec le pouce, Mary étale le liquide en tournoyant sur la tête du sexe, puis doucement mais fermement elle le branle, lentement, bien à fond, en tournant un peu autour de la hampe.

Seb n’en peut plus. Que c’est bon. Il ne sait pas ce qui était le meilleur, pilonner avec ses doigts le sexe de Mary, lui sucer le sein, l’entendre gémir et se trémousser ou cette main qui tient son membre prisonnier et que chaque mouvement manque de le faire défaillir. Son sexe gorgé de sang lui fait délicieusement mal. Du bassin, il accompagne les mouvements de ma femme.

De loin, il sentit venir le désir, comme une vague de fond, incontrôlable, irrésistible.

Il lance un regard désespéré à Mary, pousse une légère plainte entre ses dents serrées et explose sur les doigts de ma femme, en de longs jets épais.



Avec tendresse, elle lui dépose un baiser chaste sur les lèvres, puis, se ressaisissant,





Seb parti sous la douche, Mary vint contre moi, et comme une chatte émoustillée me souffla :



Elle hausse les épaules et part s’occuper du repas du soir dans la cuisine.


Quand Seb revient de la douche, son regard est différent. Une sorte de fierté se lit sur son visage. L’ombre d’un sourire éclaire ses traits.

Le repas est détendu. On parle de tout et de rien. On voit bien que Seb ne pense qu’à ce qui s’est passé au bord de la piscine et ne souhaite que recommencer.


Nous avons regardé la télé quelque temps puis j’ai fait signe à Seb d’aller se coucher, soulignant cette invitation d’un clin d’œil complice.


Il est monté depuis 5 minutes. Mary est revenue se lover dans mes bras, cherchant à me faire craquer. Mon sexe me fait mal, tellement je bande sans interruption depuis cet après-midi.



Aussitôt arrivée, je lui demande de se changer.



Mary, obéissante, se tient tout près de moi, attendant que j’entame une soirée de folie, mais l’attrapant par les épaules, je lui souffle à l’oreille : Et si tu allais dire bonsoir à Seb ?


Son regard manifeste d’abord de la déception, puis de l’interrogation, enfin elle me gratifie d’un sourire complice.


Je l’accompagne jusqu’à la porte de la chambre. Sans même frapper, doucement je tourne la poignée et pousse Mary vers l’intérieur.

Vu la chaleur de juillet, Seb est couché en caleçon, les draps rabattus. Il ne semble pas surpris de notre intrusion. Je pense même qu’il l’attend, la souhaite. Il doit en rêver car il me semble deviner une bosse suspecte vers le bas de son ventre.


Mary s’assoit sur le bord du lit et se penche pour lui dire bonsoir. De la voir si près, en slip, son chemisier ne dissimulant même pas sa culotte, Seb sent une bouffée de chaleur au creux du ventre. Il avance la main droite et la pose sur la jambe fraîche. Mary se penche un peu plus pour lui faire la bise. L’échancrure baille et révèle sa magnifique poitrine, ronde et ferme. Il voit même la pointe rose dont le téton érigé indique le trouble de ma femme.


Deux pas derrière Mary, je regarde, le ventre noué, l’évolution de la situation.


Seb tend la main gauche vers le corsage de Mary, écarte le tissu, du bout des doigts il saisit la pointe du sein, le presse doucement. Ma femme ferme les yeux quelques instants, savourant la caresse. Son sexe gonfle, les lèvres fiévreuses, une forte odeur de cyprine monte dans la pièce. Elle se penche encore plus et pose ses lèvres sur celles de Seb. Sa langue force le passage et vient en contact avec la langue de Seb.

Attrapant Mary à l’épaule, il la fait basculer sur le lit près de lui. S’appuyant sur un bras, il la surplombe. Dans le mouvement, le corsage s’est complètement ouvert. Ses seins offerts, il les empaume, délicatement (il se rappelle le conseil cet après-midi), les embrasse, les suce, cherchant, quand il reprend son souffle, dans les yeux de Mary, les signes du plaisir.

Ses mains courent bientôt sur son ventre plat et soyeux. Elles montent aux seins et fébriles redescendent jusqu’au slip, glissant d’abord timidement le bout des doigts sous l’élastique, puis au voyage suivant glissant toute la main. Il fouille d’abord les poils bouclés du pubis, puis avança un peu plus loin à la rencontre du sexe de ma femme qui s’offre à lui.

Le linge serré, gêne sa progression aussi je m’approche et saisissant le slip, je le fais glisser le long des jambes de Mary et le jette derrière moi.

Le front de ma femme perle de sueur. D’un mouvement preste, elle se redresse, plaquant Seb sur le dos. Se positionnant sur lui à l’envers, elle lui présente, à portée de langue, son sexe gonflé.

Il n’a jamais vu l’objet de ses fantasmes d’adolescent de si près. Il relève la tête et c’est d’abord son nez qu’il glisse entre les lèvres trempées, s’enivrant de ce parfum inconnu mais qu’il a tout de suite envie de goûter. Basculant la tête en arrière, il plante sa langue dans le sexe de Mary, léchant le plus profondément possible, buvant à la source ce divin nectar qui coule comme d’une source enchantée. Quand sa langue, dans sa furieuse quête de plaisir frôle le clitoris, Mary sursaute en poussant un petit cri. Il sait tout de suite que de maîtriser cette excroissance fera de lui, aux yeux de ma femme, un amant. Passant les bras autour du bassin de sa cavalière, il saisit ses fesses rondes et la plaque plus fort contre sa bouche. Sa langue danse une terrible sarabande sur le clitoris, tirant des gémissements et des cris de plaisir.


Je reviens près du lit et avisant le caleçon du jeune homme, je le fais glisser et rejoindre le slip de ma femme. Il en surgit le sexe prometteur, déjà apprécié cet après-midi, redressé vers le visage de Mary. Elle tire d’abord la langue et la promène sur le gland rose. Elle le suce délicatement comme d’une glace parfumée, puis n’a qu’à ouvrir la bouche pour lui faire franchir ses lèvres délicates.

Alors elle le tête comme un enfant qui suce son pouce. Il glisse sur sa langue toujours plus profondément. Mary saisie ses bourses et les malaxe avec vigueur. Elle le pompe savamment, cherchant à faire jaillir son foutre dans sa gorge. Mais Seb se maîtrise bien mieux que tout à l’heure.


Relâchant un instant le sexe de Seb pour reprendre son souffle, Mary, se tournant vers moi me murmure : J’ai envie de lui, qu’il me prenne, je veux le sentir dans mon ventre, dans mon sexe.

Je lui fais signe de la tête que je suis d’accord, et lui tend la main pour l’aider à se redresser.

À son tour, elle attrape la main de Seb pour le relever, s’allonge sur le dos et l’attire sur lui.



Ils sont magnifiques, tous deux, nus, face à face, corps à corps. Le sexe de Seb droit dans la direction du sexe de Mary. Glissant sa main entre eux, elle saisit le membre raide aux veines gonflées, et doucement le guide vers son sexe. Elle pose délicatement le gland entre ses lèvres, pour savourer ce premier contact, appréciant sa présence, la, raide, prêt à entrer en elle, prêt à envahir son ventre, prêt à la posséder.

Posant ses mains sur les hanches de Seb, elle l’attire en elle. Il se laisse faire, docile, concentré sur son membre, glissant dans ce fourreau de chaire chaude et trempée.

Sous ses yeux, le corps délicat et offert de Mary, son regard bleu planté dans ses yeux, les cheveux en bataille, collés par la sueur sur son front, ses seins se balancent doucement, fragiles et tendres.



Écartant mieux les jambes, Mary les passe autour de la taille de Seb, pour que son sexe la pénètre encore plus loin. Elle le serre contre elle.



Les mâchoires serrées, Seb se redresse sur les mains et à grands coups de reins explose en de longues saccades au fond du ventre de ma femme.

Elle le serre contre elle, retrouve son souffle, le garde au fond d’elle encore quelques longs moments.


Qu’ils sont beaux et émouvants.


Après plusieurs minutes de récupération, Seb se relève, s’agenouille au pied du lit, et couvre de baisers légers comme des papillons, le corps chaud de Mary qui gis là, nue et offerte. Il glisse les lèvres de la bouche aux seins et du ventre à l’intérieur des cuisses. Mary se laisse aller, les échos de la fête plein la tête, elle se surprend à ressentir l’excitation envahir de nouveau son ventre. Avançant la main vers le ventre de Seb, elle saisit son sexe, même pas surprise de sa vigueur retrouvée.



Sans le lâcher, elle le fait s’asseoir, se plante à ses genoux, lui écarte les jambes et embouche son membre. Elle le pompe gaillardement, presque violemment, le faisant butter au fond de sa gorge, bien décidée à lui faire rendre dans sa bouche ce qui lui reste de semence. Ses mains s’activent de plus belle, triturant ses testicules, allant jusqu’à glisser un doigt inquisiteur vers l’œillet de son petit cul. Surpris, Seb serre les fesses sur le doigt de Mary. Elle le glisse dans son propre sexe pour le mouiller, ce qui fait monter son excitation encore plus haut, puis le replante dans le derrière de son jeune amant.

Il ne se maîtrise plus alors, saisit Mary par les cheveux et pilonne à grands coups de reins son membre dans la bouche gourmande. C’est à celui qui prendra l’autre. Mais à ce jeu, c’est Mary qui sort vainqueur quand sa gorge est submergée par le foutre de Seb. Elle avale jusqu’à la dernière goûte, suce encore pour ne rien gâcher jusqu’à ce que le sexe de Seb baisse la tête.



Nous avons enfin regagné notre chambre, mais c’est tard dans la nuit que nous avons enfin réussis à nous endormir. Il fallait bien que je montre à Mary comme j’avais apprécié cette journée d’été.