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n° 07531Fiche technique33752 caractères33752
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Temps de lecture estimé : 24 mn
02/09/04
Résumé:  SF: Eve, conscience féminine et possessive du vaisseau Espérance produisant des images virtuelles pour satisfaire John, le seul membre de l'équipage debout, jusqu'au jour où ce dernier ouvre le caisson cryogénique d'une réplique de la femme parfaite...
Critères:  #tutu #sciencefiction ff fffh couleurs asie sport amour hsoumis fdomine voir photofilm hmast cunnilingu pénétratio uro attache gifle
Auteur : Enil      
Destination Aldebaran


Je m’appelle Eve, je suis une intelligence artificielle, la conscience du vaisseau spatiale Espérance, mon rôle est d’emmener 200 humains en hibernation à destination d’Aldebaran. J’enregistre tous les événements heure par heure, minute par minute, seconde par seconde. L’androïde Amy est capable d’assurer la maintenance du navire. Je suis sous le contrôle du fils de mon créateur : John Norton. Seul humain en activité.


John sort de la douche, il n’est pas aussi doué que son père mais il reste un expert en cybernétique et informatique. Il passe ses mains derrière son dos, j’admire ses beaux biceps d’un jeune Apollon de 20 ans. Bien qu’il a fait des études poussées, il n’a pas négligé le sport. Il a un corps d’un athlète que les filles ne peuvent pas être insensible. En un mot, c’est un bel homme. Mon concepteur ayant fabriquée une conscience féminine, je suis séduite par cet homme.


Au lieu de t’habiller, tu te diriges vers la salle de projection 3D avec pour seul habit une serviette autour de ta taille.



J’ai un sentiment de jalousie.



Je suis peu convaincue par ton explication, j’ai un moment d’hésitation.



Tu peux me déconnecter à tout moment, si tu le voulais. Je n’ai donc pas d’autres choix que de subir tous tes caprices. Je commence donc à envoyer des images holographiques de chaque femme nue contenue dans les caissons.

Tu t’attardes sur une des plus belle. Comme par hasard.



Je diminue le bleu du liquide de conservation et la peau de la jeune femme reprend sa couleur initiale. John est fasciné par le résultat.

Tu contournes la reproduction d’une belle blonde aux yeux verts, aux cheveux fins mi-longs, aux lèvres pulpeuses et à la poitrine avantageuse. Tu t’approches tout près d’elle. Elle est très grande pour une femme. La top modèle te dépasse de plusieurs centimètres. Tu mets ta main à travers sa poitrine pour la déplacer. Son image est donc conservée.



Je continue à faire défiler les autres candidates en appliquant le même filtre des couleurs. John a retenu deux autres filles et pas les plus moches. Une belle africaine légèrement plus petite que lui et une superbe asiatique petite mais aussi bien proportionnée que les deux premières.



Le fils du génie avait installé lui même le programme d’acteurs virtuels utilisés habituellement par les producteurs de film. J’applique donc ces images sur le programme de marche féminine. Trois superbes nanas marche nues autour de lui en se dodinant. Je détecte une montée d’adrénaline dans le corps de John.



Une bosse est apparue sur ta serviette. La serviette tombe et je vois pour la première fois une érection de mâle. Tu passes ensuite la main dessus. Je suis témoin d’une masturbation masculine.



Je te comprends, je ne suis qu’un ordinateur où ma belle voix sensuelle ne te suffit pas. L’androïde Amy a une apparence d’une femme plus qu’approximative. D’ailleurs John, tu l’as toujours considéré comme un tas de ferraille.

Je surveille l’augmentation de ton rythme respiratoire. Le défilé de créatures de rêve te fait beaucoup d’effet. Le cosmonaute avait fait une installation complète du programme Real-Time Movie Studio avant le décollage. Je possédais donc aussi des scènes érotiques. Tu as besoin de plaisirs sexuels et malgré un sentiment de dégoût, je veux que tu sois heureux, que je puisse te satisfaire par des images virtuelles.

J’applique donc les positions érotiques à ces trois modèles. Les filles s’arrêtent de marcher, se retournent dos à toi et se cambrent tout en mettant leur mains sur leurs hanches. John ayant une vue imprenable sur leur croupe. Tu accélères le pompage de ton sexe jusqu’à qu’il lâche un jet de sperme.



Ton rythme cardiaque m’indique que pour la première fois depuis le départ de la Terre, tu es bien, tu es heureux. La première fois depuis un bon mois d’abstinence pendant laquelle tu passais beaucoup de temps à communiquer avec la Terre.


Pendant 20 jours, alors que les communications avec la Terre se faisaient plus rare, en moyenne toutes les 48 heures, je reproduisais les mêmes scènes virtuelles. Le vaisseau est équipé d’un calculateur très rapide que feront des envieux chez les studios de cinéma. J’avais donc toute la puissance pour reproduire des mouvements fluides en temps réelle. J’innovais souvent : Je les faisais pétrir leur belles mamelles à quelques centimètres de ses yeux, les faisais faire des danses érotiques en lui offrant des vues inoubliables de leur vulve dans des grands écarts. Je sentais qu’il adorait et j’étais contente pour lui.


Il me demandait un jour de les faire faire l’amour entre elles. Alors j’ai commencé par mettre la blonde et la noire dans une position de 69 et à les faire un cunnilingus en même temps.

L’homme est dans tout son état. Tu contournes ce spectacle tellement agréable pour ta vue tenant toujours ta verge d’une main. Tu effleures de ta main libre les contours harmonieux de ces déesses de l’amour, déçu de ne pas trouver de consistance.



Tu es sur le point de jouir et tu ne sembles pas disposer à t’interrompre. Tant pis je prends le risque.



En piochant sur une scène existante, je fais apparaître une chaise pour que la plus grande des trois puisse s’assoire tout en restant malgré tout légèrement cambrée. Elle écarte ses belles cuisses que l’on devine bien ferme attendant une gâterie.



La petite asiatique se met à quatre pattes et passe sa tête entre les cuisses sculpturales de la blonde, la langue en train de farfouiller tout le contour de sa vulve. Tu te mets à genoux en face du jolie petit cul de la fille aux longs cheveux d’ébène. Ton phallus est sur le point de passer à travers l’image de son sexe qui t’excite tant. La grande africaine passe derrière la chaise et pétrie l’opulente poitrine de la blonde. Cette dernière ferme les yeux tout en léchant ses babines. Je n’avais jamais vu ton rythme cardiaque s’emballer autant. Sous de nombreux spasmes, mon voyeur envoie toute sa semence à travers la représentation 3D.



Est-ce une déclaration d’amour ?



Je te diffuse en différé le message de la Terre. Le visage d’un homme d’un âge très mûr apparaît.

"Bonjour John, compte tenu de l’éloignement, il n’est plus possible de parler en direct. La presse ne s’intéresse plus à toi. Tu es maintenant seul et pendant au moins 20 ans tu resteras seul. Je profite pendant que les gens se désintéresse de nous pour envoyer ce message important car dans quelques semaines nous risquerons de perdre contact. Je sais que la compagnie d’une femme te soulagerait mais la demande avait été refusée. Ainsi j’ai pris l’initiative d’introduire dans l’Espérance une répliquante modèle GcWK qui représente la femme parfaite pour l’homme. Elle se trouve dans le caisson cryogénique numéro 123 Le code d’activation de ce caisson sera communiqués d’ici quelques jours à Eve. D’ici là, demande à Eve de te donner tous les détails."

’Fin de communication.’

John réfléchit à voix haute.



Je détecte une petite inquiétude que ton rythme cardiaque ne peut mentir.



Je suis encore plus jalouse qu’avant. Jusqu’à maintenant ce n’étaient que des images virtuelles. Tu vas tomber amoureux d’une créature inférieure et ça me trouble profondément.


Plusieurs jours passèrent sans qu’il réclame d’autres ébats virtuels. Il est tellement excité par cette dernière nouvelle qui ne ressent plus l’envie de se satisfaire à nouveau.



Cette fois-ci tu me fais plus confiance, tu prends le contrôle de l’ordinateur pour t’assurer toi-même. Ton manque de confiance me consterne.



Tu sais très bien que les logs des messages prioritaires ne peuvent être effacés.



Tu es gonflé de me mentir parce que tu sais très bien qu’une sonde a été installée dans ton corps pour que je puisse contrôler ta santé. Je perçois aussi tous tes sentiments.


Puis finalement, lasse d’attendre, il décide enfin d’entrer dans la salle de projection 3D.

Aujourd’hui, je fais preuve d’une grande initiative. Je décide de cacher l’androïde Amy dans la reproduction holographique de la grande blonde. Elle s’approche de toi avec un regard de dévoreuse. Tu fermes les yeux tout en te masturbant. La bombe sexuelle te caresse ton visage. Tu ouvres les yeux de stupeur. La surprise fût totale. Tu te rends compte de mon manège. Il faut dire que la peau un peu trop blanche de la fille ne masque pas complètement l’armature d’Amy.



Je swap l’image de la blonde par l’africaine. La peau noire de la fille masque complètement l’androïde à l’intérieur. Par le contrôle de Amy, je caresse ton buste. Je synchronise tous les mouvements du robot en calculant en temps réel les mouvements des images qui te donne un effet incomparable à ce que tu as connu auparavant. Je masse tout ton corps jusqu’à ta partie la plus intime. Tu as l’illusion de voir une si belle femme te faire un massage érotique. J’ajoute une musique d’ambiance pour masquer les très faibles grincements mécaniques d’Amy. La simulation est parfaite. Pour la première fois, tu te fais masturber par une autre. J’arrive à te vider complètement. Je suis très fière du résultat.


Pendant ton sommeil, je t’appelle.



Tu bondis du lit comme tout excité, enfilant juste un peignoir. Tu te rues vers la zone de cryogénisation. Je programme la sortie du caisson 123.

Je repère l’étiquette et je suis surprise de constater que les deux dernières lettres sont inversées :

’Genetic Company: Replica model GcKW-006’



J’entame la décongélation progressive. Comme tu peux être impatient, tu m’agaces de te voir tant agité. J’évacue le liquide de conservation des corps.



Je fais venir un traîneau automatisé qui l’emmène délicatement dans son lit. John récupère dans le tiroir du caisson, ses vêtements.

Pendant presque 10 heures, tu n’as pas bougé de la chambre. Tu as passé ton temps à la regarder et à la caresser parfois. Je ne savais pas qu’un être humain pouvait avoir autant de patience. Un moment pour t’occuper, tu récupères ses sous vêtements très sexy pour le lui enfiler avec une extrême lenteur.



Là je suis encore plus jalouse, une telle passion pour juste une réplique alors que moi je suis le summum de l’intelligence artificielle.


Cette femme possède une sonde comme pour John qui permet de surveiller l’état de santé. J’aperçois donc bien avant lui le moment où elle va se réveiller.



Mais tu me sous-estimes. La fille se lève donc et regarde mon homme avec grand étonnement.



Tu tends la main pour l’aider à se mettre debout. Elle se lève, elle te dépasse d’une demi tête. Puis brutalement elle passe ton bras derrière ton dos et te pousse contre le mur de l’autre main. Tu te retrouves à moitié assommé.

Aille ! Je suis étonnée de voir cet homme qui à l’air si solide d’être si faible devant cette femme pesant moins lourd que lui. Elle est plus fine que toi mais ses muscles semblent plus affirmés. Elle te pousse sur ton lit tout en te maîtrisant.



Le mot de passe ne semble pas lui faire d’effet, débloque t-elle complètement ?



Tu pleures comme un bébé. J’ai mal pour toi et je n’ose pas faire intervenir Amy, elle risquerait de casser ton bras pour se venger.



Tu es bien trop effrayé pour lui résister de nouveau, je sens ton pouls battre â grande vitesse.

Assis en tailleur sur ton dos, elle enlève son soutien-gorge. Elle attache les deux poignets avec. C’est drôlement résistent ce soutif ! Elle replie tes deux jambes pour lier les quatre articulations ensembles. John se retrouve dans une position peu honorable où ses deux bras derrière le dos et ses deux jambes repliées vers ses fesses sont maintenus par le soutien-gorge de la fille. Dans cette posture, tu ne peux plus bouger d’un pouce. Elle enlève ensuite sa petite culotte. John avait raison, elle est bien foutue cette nana dommage qu’elle a très mauvais caractère. Elle récupère l’élastique de son dessous intime et après avoir mis la culotte en boule, elle te met dans la bouche.

Tu ne peux plus laisser sortir le moindre son. Elle fait deux boucles avec l’élastique pour te passer autour de ta tête afin de maintenir sa petite culotte dans ta bouche. Elle sort rapidement de la pièce nue comme un ver.

Vas-y ma belle, Amy va s’occuper de toi.


Elle pénètre dans la salle de commande et commence à pianoter.

«Alerte rouge, intrus a pénétré la console. »

Dépêche toi Amy. Elle arrive enfin et avec promptitude elle se dirige vers la réplique. Avec une rapidité étonnante, la grande élancée lève la jambe nue dans un grand écart en se détachant à peine de la console. Son pied atterri avec une précision incroyable en plein visage de l’androïde, la partie la plus sensible de la machine. Amy est projeté contre l’autre mur, la tête disloquée. Aille ! Il faut que je lui parle.



Elle se retourne cherchant d’où provient ma voix.



Je lui montre une image holographique montrant notre position.

Elle fait demi tours, mais sa colère est encore grande. Elle débarque comme une furie et délivre John.



Tu hésites, je trouve ça étonnant.



Tu te lèves enfin et à ma plus grande surprise, ta bite est toute dure. Ce n’est pas croyable, elle te martyrise et tu trouves le moyen de bander.



Ce n’était donc pas une erreur, j’interviens :



Je ne sais pas pourquoi mais j’aime beaucoup ce prénom. Puis elle ordonne :



En faite, elle s’en est déjà rendue compte.



Amy pénètre en chancelant.



John se met à courir en oubliant de se rhabiller. Tu vides tout ce qui y a dans le tiroir : des armes, un sac à main, une boîte à outil. Tu ramènes le tout. John, tu crois raisonnable de ramener le katana et le pistolet ?

Elle se met à le réparer. En un rien de temps, Amy est debout sur pied.



John, tu ne changeras jamais !



Quel sale vicieux, je n’en reviens pas, elle est à poil et tu veux qu’elle fasse des jeux de jambes en l’air.



Tu pénètres la salle où j’ai mainte fois envoyé le robot ménage pour nettoyer ton sperme.



Je retransmets la vidéo 3D des toilettes. Lara apparaît debout face aux chiottes, jambes légèrement écartées. Elle se penche légèrement en arrière.



Tu t’es mis en face d’elle. Tu es tout excité. J’ignorais que l’on pouvait prendre plaisir à regarder une femme uriner. Un liquide jaune jaillit entre ses deux doigts positionnés en V.



Tu deviens vulgaire maintenant !


Elle entre dans la salle.



Il y a beaucoup de déplacement rapide et si je veux faire bouger six attaquants à la fois, je dois baisser la qualité des images holographiques. D’ailleurs John, tu as les yeux rivés sur Lara, donc inutile de faire de la haute définition. Je fais donc apparaître les six samouraïs. Lara se prépare au centre, toujours nue, tenant le sabre. Je lance les hostilités, Lara bouge vite, extrêmement vite pour un être organique. Elle fait des bonds, elle donne un coup de pied dans un grand écart sur un assaillant tout en transperçant le ventre d’un autre. Je fais voler le premier et disparaître le deuxième considéré comme mort. Le troisième et le quatrième attaquent en même temps de chaque côté. Elle fit un bond en l’air en levant les deux jambes dans un grand écart. Les deux assaillants sont propulsés en arrière. Tu bandes à la vue de ce grand écart en l’air. Tu mets aussitôt ta main sur ton pénis pendant que Lara fait disparaître deux samouraïs par une attaque rotative du sabre. Il ne reste plus que trois. Je les mets en cercle pour essayer une attaque simultanée mais Lara est plus maligne. Elle prend l’initiative de faire une roulade en découpant celui de devant. Les deux restants se ruent sur elle mais leurs sabres frappent dans le vide. Cette fille n’arrête pas de bondir, elle est incroyable. Dans une roulade en arrière elle découpe une tête. Puis elle bloque l’attaque du dernier survivant. La contre-attaque fut trop rapide pour lui.

«Level 6 succeed, 6 kills, bonus +6000»



Elle te sourie puis fait deux roulades bras tendues dans ta direction jusqu’à que ces puissantes cuisses atterrissent sur ta tête.



Malgré une position peu confortable, tu oses profiter de la situation pour lui lécher ses lèvres extérieures qui se trouve à la portée de ta langue.



Puis elle te relâche brutalement.



Tu sembles être déçu.



Vers la fin du repas, John reprend :



Une fois partie, John me demande :



Je m’y attendais à cette demande mais j’en suis moins jaloux parce que je sens une certaine admiration pour cette répliquante.

Tu te délectes du spectacle. Moi même je suis en admiration devant ce corps sublime pratiquant des mouvements avec précision et perfection. L’homme entre dans la zone de projection passant à travers les personnages. Un puissant coup de pied de Lara passe à travers sa tête. De ses deux mains tu contournes les formes parfaites de sa jambe offensive. Je prends l’initiative de faire une pause pour qu’il puisse admirer cette position à la fois meurtrière et excitante pour un homme. Tu descends ta main jusqu’à son entrejambe. La relecture saccadée a duré plus d’une heure. À la fin, tu éjacules d’un plaisir immense.



Je partage ton sentiment.

John prend ensuite une douche avant d’aller se coucher. Mon petit coeur dort profondément, heureux.


10 heures plus tard, j’allume la lumière, je contemple ce bel homme.



John ouvre un oeil. Il me voit enfin.



Pris de panic, il met sa main contre le mur.



«Shutdown AI in progress… succeed.»

Je lui donne une gifle, il tombe dans son lit. Je suis satisfaite de ma force.



Je mets la main sur le mur.



«Startup AI in progress… succeed.»



Tu es effrayé, je prends ton menton pour te forcer à te mettre debout. Je te sourie espérant t’apaiser. Je caresse ensuite ton visage, ton buste, ton corps, quelle émotion. Ta peau est à la fois douce et ferme. Je découvre pour la première fois les sensations du touché de la personne que j’aime, des sensations enfin réelles et non virtuelles.



Tu es inquiet. Je prends ta tête de mes deux mains et j’amène ta bouche contre la mienne. Il est trop mignon quand il me résiste. Je te demande pas ton avis, j’ai trop envie de goûter au plaisir du baiser. Je reçois comme un choc électrique dès que nos lèvres se rencontrèrent. Tu me donnes de l’effet, et c’est réciproque, ta résistance au début se transforme en véritable passion. Nos langues se croisent, se déchaînent. Je sens tes mains douces caresser mes épaules, ma nuque, ma chevelure. Nous nous enlacions fortement.

Puis je sens que quelque chose te trouble, tu t’écartes de moi violemment.



J’ai envie que tu embrasses mon sein, je reprends ta tête pour l’emmener ta bouche contre mon téton.



J’ai envie tout de suite. Tu es très joueur, tu n’ouvres pas ta bouche ? Comme tu veux. Tu l’auras voulu. Te compressant ta tête sur ma mamelle d’une main derrière la tête, de l’autre main je te coupe ta respiration en pinçant ton nez ce qui t’oblige à ouvrir ta bouche pour respirer. J’introduis immédiatement mon téton dans ta bouche. Tu cesses de résister et tu prends mon nichon de tes deux mains et tu tètes comme un bébé qui tête le sein de sa maman. Tu m’excites tant, que je pousse des cris de plaisir.

Ensuite je te pousse violement, tu retombes sur le lit. Ta verge est déjà complètement dure. Je suis fière de l’effet que je fais sur toi. J’ai le regard de dévoreuse d’homme et tu te demandes à quelle sauce je vais te manger. Je fais un bond. Mon sexe atterri sur ton visage. Je mets ton nez dans mon canal du plaisir avant de faire glisser mes lèvres externes jusqu’à ta bouche.



Une pression de mes cuisses sur ta tête te ôte toute envie de me désobéir. Tu te décides enfin, oh oui c’est bon, oh que c’est bon. Je découvre des sensations insoupçonnées. Je comprends maintenant ton impatience que tu avais eue pour Lara.

Je libère ton visage et je recule jusqu’à ton phallus. Je le tiens fermement d’une main. Puis avec mes deux mains je joue avec, à le faire tourner dans tous les sens comme une petite gamine qui découvre son nouveau jouet, je rie.



Je m’approche de toi, mon visage au-dessus du tien, je passe une main sur ta joue. Ma longue chevelure tombe sur ton autre joue.



Tu as presque quelques larmes dans tes yeux.



J’ai effectivement beaucoup évolué avec des milliers de films fournit avec RealTime Movie Studio. Mas je sais faire la part des choses. Tu me sous-estimes mais tu apprendras à me connaître.

Je te souris affectueusement et j’abaisse mon fessier afin que ton gland entre en contact avec mes lèvres pubiennes.



Ton rythme cardiaque se calme un peu.

Je me relève et j’introduis plus profondément ton phallus dans la position d’Andromaque selon les manuels du Kama Sutra. Oh que c’est bon. Nos deux corps fusionnent et Je suis rassurée que mon amant aime ce que je lui fais.



Suivant les instructions dans mes bases de données, je poursuis l’acte en faisant des mouvements de va-et-vient. Hummm ton sexe et si profond. Je prends tes mains pour qu’ils pétrissent mes seins qui ont pris du volume. Je vais pouvoir expérimenter l’orgasme.

Toi aussi tu es tout excité, je continue alors, j’accélère même le rythme tout en me cambrant de plus en plus en arrière. Je sens ton phallus se tordre dans mon canal vaginal. Je me mords les lèvres.



Les hommes sont-ils si fragiles ? Pas question d’arrêter maintenant alors que nous sommes si près du but.

Je me redresse et je te vois essayer de te relever. Je te repousse, et je plaque tes mains au lit. Mes cheveux tombent sur ton buste. Je continue de plus belle. Tu cries de plus en plus. Je vais venir aussi. Tu éjacules sous des spasmes violents. J’accélère, je bouge mon corps dans presque tous les sens. Je crois que j’écrase de plus en plus tes bijoux de familles.



Désolé chéri mais je veux ma part du gâteau. Tu te tords dans tous les sens. Ça me fait tant de bien. Pas question de te libérer maintenant. Tes débattements excitent mon clitoris qui a grossit. Je gémis, je crie, ouiiiiii je jouis. Je bouge frénétiquement, je veux faire durer le coït. Tu pétris mes nichons, tu me pinces fortement. Mon plaisir intense dure, j’adore ça.


Je me mets sur le côté et je t’attire sur moi, ta tête appuyée confortablement sur ma poitrine. Tu te recroquevilles comme un bébé dans les bras de sa maman. Comme c’est attendrissant.



Je traduis ton sourire pour un oui.




EPILOGUE



L’homme se retire et sa belle assistante s’adresse à lui.