n° 07534 | Fiche technique | 17867 caractères | 17867Temps de lecture estimé : 11 mn | 02/09/04 |
Résumé: Un VRP découvre les charmes cachés d'une petite ville de province | ||||
Critères: 2couples inconnu freresoeur gros(ses) fépilée boitenuit noculotte fellation fsodo hdanus hgode ecriv_c | ||||
Auteur : M_moi (Moi M'aime) Envoi mini-message |
C’était la première fois que mon travail me conduisait dans cette petite ville de province; lorsque j’eus terminé de visiter mes clients potentiels, le jour était tombé, je regagnai mon hôtel.
L’établissement bien que d’aspect austère était confortable, j’étais pratiquement le seul client, du moins j’étais seul dans la salle de restaurant.
Le patron, un type d’une cinquantaine d’années bedonnant lisait son journal derrière le comptoir de l’accueil, la patronne, une femme relativement sèche à la poitrine menue, les cheveux relevés dans un chignon, venait de me porter un café qui concluait un repas simple mais excellent.
Il régnait dans cet hôtel une ambiance digne des pires caricatures de la monotonie de certaines villes de province. La journée avait était fructueuse et il était hors de question que j’aille me coucher devant l’énième rediffusion d’un quelconque téléfilm. J’interpellai la patronne et lui demandai si elle connaissait un endroit où je pourrais aller boire un verre.
"Vous savez, il n’y a pas grand chose dans notre ville… ou alors il y a "les trois colonnes»…
Elle laissa sa phrase en suspend comme si elle cherchait l’approbation de son mari. Celui-ci leva les yeux de son journal et hocha la tête…
"Bien sûr il n’y aura pas grand monde mais c’est toujours mieux que rien"
Et bien tout cela n’était pas très encourageant… je les remerciais et leur demandais de m’indiquer la route.
Une simple petite plaque lumineuse indiquait l’endroit, un corps de ferme à la sortie de la ville. Je traversais le parking sous une pluie battante et entrais dans une vaste pièce surchauffée à l’éclairage minimum. Lorsque je fus acclimaté à l’absence de lumière, je découvris un décor de pub irlandais qui jurait avec l’aspect extérieur de l’endroit. C’était désert… Je m’approchais du bar derrière lequel une ravissante jeune fille blonde au décolleté vertigineux astiquait machinalement des verres en fixant l’écran d’une télé qui diffusait des clips.
Elle ne tourna même pas la tête lorsque je m’assis sur un tabouret haut et prit ma commande sans me porter le moindre regard.
Si elle ne me regardait pas, je ne l’imitais pas… mes yeux se régalaient du spectacle que m’offrait la jolie demoiselle, penchée pour attraper la bouteille de whisky, ses superbes fesses rebondies tendant le tissu d’une jupe très courte qui ne laissait voir aucune marque. Il n’en fallait pas plus pour que mon cerveau s’égare dans des pensées érotiques, sevré que j’étais depuis de longues semaines où les occasions de se distraire avaient été rares.
Le tintement des glaçons dans le verre me ramenèrent à la réalité. Je me lançais dans mon meilleur numéro de séducteur et réussis à décrocher un sourire à la belle. Elle se servit une coupe de champagne et nous nous sommes retrouvés assis côte à côte dans un profond canapé. Lorsque Nathalie (c’était son prénom) s’assit, elle ne pu, malgré ses efforts (mais étaient-ils réels ?), retenir sa jupe qui se releva et me dévoila son intimité me confortant dans ma première impression. Les choses s’accéléraient, nos bouches se trouvèrent, nos mains ayant délaissé les verres partirent à la découverte du corps de l’autre.
Nathalie n’avait pas froid aux yeux, sa main avait déjà défait ma ceinture et s’attaquait aux boutons de mon jean. Alors que j’embrassais fougueusement ses lèvres humides, je sentis la douce chaleur de ses doigts qui avaient atteint mon sexe. Inutile de vous dire dans quel état j’étais, ma queue ne pouvait contenir dans mon boxer, je me levais afin de me dégager et Nathalie se retrouva à genoux entre mes jambes. Sa bouche s’approcha de ma queue tendue, elle me jeta un de ces regards qui vous amène au bord de l’extase avant d’engloutir d’un seul coup mon sexe. Jamais une femme ne m’avait sucé comme le faisait Nathalie, mon gland venait buter au fond de sa gorge lui provoquant à chaque fois de petits spasmes comme si elle allait vomir. Je n’étais pour rien dans tout cela, elle venait s’empaler plus violemment à chaque fois, ses mains glissées sous mes fesses m’attirant plus fort à chaque pénétration.
J’étais tellement surpris par la fougue de Nathalie, que je n’avais même pas terminé de déboutonner son chemisier. La vue de ses seins à moitié sortis de leur écrin de dentelle blanche agités de soubresauts violents combinée à la succion de Nathalie eut rapidement raison de ma résistance. Je ne pus me retenir plus longtemps et je jouis en de longues et puissantes saccades dans la bouche de Nath. Elle contemplait mon sexe qui ruisselait de sperme, un filet le reliant à ses lèvres. Elle semblait contente d’elle, comme une enfant qui aurait réussi quelque bonne farce. Je reconnais que j’étais un peu penaud d’avoir ainsi joui égoïstement.
Je l’invitais à se relever et à venir se blottir contre moi. Ma main glissa aussitôt entre ses cuisses où régnait une moiteur signe du plaisir qu’elle avait prit à me faire jouir de sa bouche. Mes doigts se frayèrent un chemin à travers le duvet soyeux et bientôt ils furent trempés à leur tour. Ils remontèrent lentement vers le clitoris écartant sur leur passage les lèvres humides. Dès le premier contact avec le bouton turgescent, je sentis Nathalie se raidir, sa tête vint se blottir au creux de mon épaule, ses lèvres suçotant le lobe de mon oreille. Je sentais son souffle s’accélérer, d’un mouvement de rotation, j’accentuais mes pressions, lui arrachant de petits gémissements qui bientôt se transformèrent en cris. Je ne vous cache pas que j’adore les filles expansives, et là, j’étais servi, elle ondulait sous mes caresses, ses mains empoignaient ses seins qu’elle malaxait avec vigueur. Toute en contradictions elle pressait ma main afin que j’accélère mes mouvements alors que ses cuisses se resserraient tentant de m’immobiliser. Soudain, sans prévenir, elle s’effondra entre mes bras comme foudroyée.
A mon tour j’arborais un léger sourire de satisfaction, je m’étais apparemment acquitté de ma dette. Le calme était revenu, du moins c’était la première impression que j’avais. Reprenant peu à peu mes esprits, il me semblait entendre du bruit provenant de l’autre côté de la salle, dans une partie non éclairée. Plus de doute possible, c’était bien des gémissements qui nous parvenaient aux oreilles, Nathalie ne semblait pas les entendre. En déposant un baiser dans son cou, je lui demandais si elle aussi entendais. Sans un mot, elle me prit par la main et m’entraîna en se levant vers le recoin obscur de la pièce.
Qu’elle ne fut pas ma surprise, lorsque mes yeux s’habituèrent au manque de lumière, de reconnaître le couple des propriétaires de l’hôtel. Madame était assise profondément dans le canapé avachi de velours rouge, les cuisses largement écartées, sa robe remontée jusqu’à la taille, ses cheveux détachés s’étalaient sur le dossier élimé. Son collant roulé à ses chevilles, elle offrait son sexe à la pilosité abondante à la bouche gourmande de son mari. Ses mains imprimaient à la tête de son mari un rythme soutenu. Ce dernier, suffoquait, le visage écarlate, de grosses gouttes de sueur perlaient sur son front. Ses doigts boudinés écartaient les lèvres de sa femme.
Ils devaient avoir suivi nos ébats et le spectacle avait du leur donner des idées. Ce qui me troublait le plus c’est que cette petite garce de Nathalie savait depuis le début qu’ils étaient là, elle m’avait conduit auprès d’eux sans la moindre hésitation. Je sentais la machination, pas vraiment désagréable d’ailleurs.
Voir ainsi ce gros bonhomme s’activer de la bouche et des doigts entre les cuisses de sa femme bien plus frêle avait quelque chose de répugnant mais cela réveillait malgré tout mes sens. Je jetais un regard à Nathalie, celle-ci, la poitrine dénudée avait posé une main dans les cheveux de la femme et les caressait tendrement. Devant mon regard étonné, elle me glissa à l’oreille avec un sourire malicieux :
Je comprenais pourquoi ils m’avaient envoyé dans cet établissement …
Nathalie, tout en continuant à caresser la chevelure de sa sœur, avait posé une main sur la bosse qui s’était reformée entre mes cuisses. Sa main glissa à l’intérieur de mon boxer et eut tôt fait de dégager ma queue qui avait retrouvé toute sa vigueur. De son autre main elle caressait la joue de Marie qui gémissait sous les coups de langue répétés de son mari. Nathalie recula d’un pas, m’entraînant avec elle. Je me retrouvais à côté du canapé, mon sexe tendu se trouvait juste au-dessus du dossier de celui-ci, je compris rapidement la manœuvre de Nathalie, Marie n’avait plus maintenant qu’à incliner légèrement la tête pour poser ses lèvres sur mon gland.
Elle levait les yeux vers Nathalie comme pour lui demander son assentiment. Nathalie le lui donna en pressant de sa main la nuque de Marie, le contact de ses lèvres m’électrisa, sa langue s’enroula goulûment autour de mon gland, l’aspirant plus profondément au contact de ses joues. J’aimais cette sensation d’être offert ainsi par une femme à une autre. Les doigts de Nathalie ne m’avaient pas abandonné pour autant et caressaient de ses ongles mes bourses. Marie imprimait désormais elle-même le rythme de la fellation, Nathalie pouvait ainsi utiliser ses deux mains avec moi, d abord en malaxant mes couilles avec vigueur, presque trop, mais la situation était tellement nouvelle pour moi que j’étais prêt à tout accepter venant de cette jolie petite garce. Et je fus servi.
Sa main droite abandonna sa caresse sur mes couilles pour se poser sur mes fesses. Lentement, Nathalie s’agenouilla, sa langue frôlant chaque partie de mon corps a sa portée. Marie s’occupait de mon gland et de ma queue, Nathalie de mes couilles qu’elle léchait avec application. Je me rase souvent le sexe et le contact de sa langue fraîche avec ma peau lisse était divin. Alors que je m’abandonnais à ses délices pratiqués sur mon sexe, je sentis les doigts de Nathalie glisser lentement mais résolument entre mes fesses. Un peu réticent au début, je décidais de me laisser emporter dans cette tourmente sexuelle. Délicatement, elle caressait mon anus et bientôt je sentis son majeur forcer le passage. La sensation était nouvelle pour moi, pas douloureuse comme je l’avais craint, pas spécialement agréable, pas encore du moins. Elle n’avait inséré qu’une phalange et déjà se retirait, j’étais déçu et tentais de prendre son poignet pour lui signifier de continuer. Mais je compris bien vite qu’elle avait bien cette intention mais auparavant elle tenait à lubrifier ses doigts en les plongeant entre ses cuisses.
Lorsqu’elle se représenta ils étaient en effet ruisselants et si la première fois elle avait du forcer le passage, c’est sans difficultés qu’elle pu insérer deux doigts en moi. Cette fois je la sentais bien, ses doigts commencèrent à bouger lentement en un mouvement circulaire qui venait presser délicieusement mes parois intimes. Nathalie avait maintenant pris possession de moi, elle avait écarté Marie et pris mon sexe entre ses lèvres, de ses doigts fichés en moi, elle m’attirait dans sa bouche. Si elle n’avait pas pris garde je crois que je n’aurais pu me retenir d’exploser dans sa bouche.
Pendant ce temps j’avoue avoir pris peu d’attention à Marie et Rolland, ils n’avaient pas perdu de temps non plus et apparemment les deux sœurs avaient des goûts similaires, Marie avait cédé sa place sur le canapé à Rolland qui se retrouvait à genoux sur la banquette, Marie lui caressait aussi l’anus de ses doigts fins, son autre main le branlait comme une fermière s’occupant du pis d’une vache. Il haletait, grimaçant lorsque Marie tirait sur sa tige ; Sur la petite table près du canapé se trouvait un gode ceinture long et fin, ces deux là avaient tout prévu, je devrais dire ces trois là d’ailleurs. Marie s’équipa pendant que Nathalie qui m’avait abandonné offrait ses seins à Rolland qui les dévorait comme un mort de faim. J’observais cette scène avec détachement comme dans un rêve, me masturbant lentement.
Lorsque Marie eu terminé, elle déposa un peu de gel sur la rondelle de Rolland ainsi que sur le gode, délicatement elle le présenta, j’étais fasciné, même s’il était fin, j’avais du mal à imaginer qu’il puisse entrer en entier entre les fesses de Rolland. Avec précaution et douceur, Marie poussa son bassin en avant, le gode s’enfonça centimètre après centimètre jusqu’à disparaître. Rolland devait être habitué, il avait abandonné Nathalie pour se concentrer sur son plaisir. Déjà Marie ressortait, elle remis un peu de gel et s’enfonça à nouveau, plus rapidement cette fois. Rolland gémissait de bonheur, le visage rayonnant de Marie montrait son plaisir de posséder ainsi son mari. Nathalie enjamba la banquette et, s’asseyant sur le dossier, les jambes largement écartées, offrit son sexe ruisselant à la bouche gourmande de Rolland. Marie allait et venait maintenant régulièrement entre les reins de Rolland dont les gémissements étaient étouffés par le sexe de Nathalie plaqué contre sa bouche.
Marie me tendit la main m’attirant vers elle, elle joint sa main à la mienne sur mon sexe. Ses va-et-vient le long de ma verge coïncidaient avec les mouvements de son bassin contre les fesses de Rolland, la sensation était étrange. Je bandais ferme, Marie me fit comprendre qu’elle voulait que je me place derrière elle. Me plaquant contre elle, mes mains naturellement placées sur ses seins, je sentais son bassin aller et venir régulièrement. Mon sexe tendu avait du mal à trouver sa place et Marie comprenant ma gène se pencha un peu en avant, je pus ainsi me glisser entre ses cuisses. Mon gland frottait contre ses lèvres entièrement épilées mais ne parvenait pas à se glisser entre elles, Marie ne faisait d’ailleurs aucun effort en ce sens. Arrêtant ses mouvements, elle me donna le tube de gel son visage éclairé d’un large sourire ; je n’avais pas besoin d’un dessin.
Nathalie était secouée de spasmes, Rolland s’activait de la langue et des doigts entre les poils fins de son duvet, Marie était presque allongée sur le dos de Rolland, le gode ceinture s’enfonçant profondément entre les fesses de son mari elle attendait que je m’occupe d’elle. Je glissais à mon tour mon gland lubrifié contre son petit trou et m’enfonçais lentement. Marie était étonnamment large, je pénétrais sans aucune difficulté et vins plaquer mon pubis contre ses fesses. Elle avait juste poussé comme un soupir de soulagement lorsque je fus totalement en elle. Nathalie avait joui sous la langue de Rolland, Marie reprit doucement ses aller et retour entre les fesses de Rolland, je dus m’agripper aux hanches de Marie pour maintenir mon sexe en elle. Au bout de quelques secondes nous avions trouvé le rythme convenable et je sentais la respiration de Marie s’affoler. Elle donnait de violents coups de boutoir qui dans un sens défonçaient son mari et dans l’autre l’empalaient sur ma queue. L’équilibre de notre trio était fragile et à plusieurs reprises je dus me contenter de rester plaqué contre Marie tant ses mouvements étaient désordonnés. Rolland se branlait avec force, bientôt aidé par la main de Nathalie. Il ne résista pas longtemps et joui en longues saccades sur le velours rouge de la banquette. Marie avait cessé ses mouvements et se consacrait uniquement au plaisir que je lui procurais. Elle criait, me demandant de la défoncer, Nathalie lui enleva le gode et caressa son sexe resté libre avec. Elle la pénétra violemment et je pus sentir derrière la fine paroi l’objet de plastique. Entre Nathalie et moi, Marie ne pu résister bien longtemps, sont corps était parcouru de soubresauts, un plus violent m’expulsa.
Marie se retourna et prit mon sexe en main, contre toute attente, au lieu de le prendre en bouche comme j’en avais bien envie, elle l’approcha de la bouche de Rolland qui observait la scène en tripotant son sexe redevenu ridiculement petit. Mon premier réflexe a été de reculer, mais les deux filles m’ont retenu et je me retrouvais avec Rolland en train de me sucer. Après tout, la sensation était la même, peut être même plus excitante d’ailleurs. Marie et Nathalie mêlaient leurs langues autour de mon sexe lorsque Rolland le laissait sortir, mais il ne laissait pas sa part longtemps. Je sentais monter l’éjaculation en moi, Nathalie qui me surveillait comprit la première et c’est elle qui reçu la première giclée. Ses deux complices eurent aussi droit à la leur, Marie se retrouvant avec un long filet de sperme collé dans sa chevelure.
Les filles s’embrassaient, Rolland essuyait ses lèvres, j’étais aux anges …
Afin de nous aider à reprendre nos esprits, Nathalie déboucha une bouteille de Champagne. Plus tard, bien plus tard, nous nous sommes rhabillés et avons rejoint l’hôtel où nous avons terminé la nuit … en couple …
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