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n° 07537Fiche technique19139 caractères19139
Temps de lecture estimé : 12 mn
03/09/04
Résumé:  Posséder l'homme de ses rêves est soudainement devenu réalité par une belle fin de semaine d'été.
Critères:  hh hplusag intermast fellation hsodo
Auteur : Turlututu
Thom, le Rouge


Déjà, adolescent, je savais que j’étais attiré par les femmes, mais aussi par les hommes. Pas n’importe lesquels. Il n’y avait pas vraiment de critères établis. J’en voyais un, je « flashais » sur lui et voilà! Son allure, sa personnalité, son corps, son attitude… faisaient en sorte que j’étais attiré par cet homme. Je pouvais donc ne voir qu’une simple photo, le voir de loin, le croiser ou encore le fréquenter couramment pour tomber littéralement dans ses toiles. Le malheur, c’est que je ne pouvais jamais savoir si cela était réciproque. En fait, j’avais peur de m’afficher, d’en parler ou encore, de faire les premiers pas. Finalement, je ne faisais que rêvasser, fabuler et fantasmer seul, dans ma chambre. J’avais tellement hâte d’avoir la chance d’essayer quelque chose et de vivre réellement une première aventure!


Je devais avoir environ 18-19 ans lorsque j’ai enfin connu une de mes premières histoires érotiques. Un ami du CEGEP m’avait invité au chalet de ses parents pour la fin de semaine. En fait, il devait y avoir une grande réunion de famille avec ses oncles et ses tantes. Du même coup, ils en profiteraient pour faire quelques rénovations. C’était toujours ainsi et comme je connaissais pas mal de gens, j’ai accepté l’invitation, étant seul et n’ayant rien d’autre à faire. Je me suis donc rendu là-bas le samedi, tôt dans l’après-midi. Déjà, le party était pris. Beaucoup de personnes étaient arrivées depuis la veille et le dîner se déroulait sous le bruit des conversations bruyantes et les multiples rires. Dès mon arrivée, et avec l’accueil qu’on m’a fait, j’ai senti que j’allais passé une fin de semaine des plus agréables. Il y avait du monde partout et mon ami a bien pris soin de me présenter tout le monde.


Mon attention fut très attirée par son oncle Thom. C’était un homme bien bâti, massif, viril à souhait mais très doux en même temps. Son buste et ses épaules étaient larges, il était roux (j’ai toujours eu un faible pour les roux…) mais ses cheveux étaient rasés très ras. Il devait avoir entre 40 et 45 ans environ. Sa moustache lui donnait un petit air de macho mais, rapidement, en l’observant, on pouvait voir qu’il n’en était pas un. Ses yeux bleus auraient pu hypnotiser n’importe quelle femme ou n’importe quel homme… Il discutait avec tout le monde et on semblait grandement l’aimer. Bref, je n’ai vraiment pas eu le choix de « flasher » sur lui et bien que j’essayais fortement de porter mon attention ailleurs que sur lui, je n’y arrivais pas. Je devais continuellement savoir où il se trouvait et ce qu’il faisait. Il faut dire que parfois, certains garçons m’attiraient, mais qu’après un certain temps d’observation, je me rendais compte que non, ils ne me disaient finalement rien. Mais pour Thom, rien à faire. Tout me plaisait en lui. C’était réellement le genre d’homme qui pouvait être le centre d’attention d’un groupe tout en gardant une grande simplicité. Et je sais que cela m’attire grandement. Bien entendu, son corps massif d’homme mûr me plaisait aussi beaucoup. J’étais totalement sous son charme mais je ne voulais pas que cela paraisse. J’évitais donc de lui parler à cause de ma gêne (et parce que je ne voulais pas faire la moindre gaffe!) et je restais avec mon ami à discuter avec lui et le reste de sa famille.


Après le repas, tout le monde s’est mis au travail. C’est la tradition, dans cette belle grande famille, de s’entraider ainsi (une belle valeur qui, malheureusement, disparaît de plus en plus…). Aujourd’hui, c’était la toiture qui était à refaire et les hommes se sont rapidement mis au travail tandis que les femmes se sont occupées de desservir les tables à pique nique et de débuter la vaisselle. Moi et mon ami sommes allés aider les hommes. À vrai dire, nous ne faisions que transporter des choses mais cela pouvait tout de même donner un bon coup de main. Du même coup, j’avais parfois la chance de croiser Thom, de lui parler brièvement et surtout, de l’observer. Dieu qu’il était beau! Se pouvait-il qu’un homme soit aussi attirant, aussi bien fait, aussi viril tout en étant aussi doux, aussi attentif?! Wow! Il était au milieu de tous ces hommes, à travailler et à les diriger. C’était lui le contremaître et il semblait bien savoir ce qu’il faisait. Je l’ai fait remarqué à mon ami qui m’a dit que Thom vivait seul, qu’il était donc souvent disponible pour donner des coups de main et qu’il savait pas mal tout réparer ou rénover. Si on avait besoin de quoi que ce soit, il fallait le demander à Thom. Pas besoin de vous dire que cela a ajouté de l’effet à son charme. Je commençais déjà à fabuler. En-dedans de moi, secrètement, je le désirais de tout mon corps. Ses gros biceps m’attiraient, sa voix m’envoûtait, son joli cul serré dans ses jeans de travail m’appelait. Je n’étais plus capable de détourner mon regard de lui. Je voulais prendre le maximum du peu que je pouvais prendre.


À la pause, ce fut le summum! Nous avons sorti les bières, moi et mon ami, et immédiatement, tous les hommes sont venus se servir. Thom était là, tout près de moi, lorsqu’il a enlevé son T-shirt. Oh la la, messieurs!

Je ne sais pas encore comment j’ai pu faire pour ne pas lui sauter dessus! Sans le savoir, il me dévoilait un peu plus de son corps et cela me faisait tout simplement bander! Ruisselant de sueur ( de mâle!), son large torse sculpté était recouvert d’un merveilleux duvet roux à travers lequel je pouvais apercevoir deux magnifiques mamelons roses dont l’auréole était assez large. Ça y était! Je venais de trouver mon homme idéal! Un véritable rêve! Je ne pouvais plus ôter mes yeux de sur lui mais, en même temps, je ne devais pas le faire remarquer aux autres. Et ce fut très pénible. Thom allait et venait, d’une personne à l’autre, discutant de ce qui avait été fait dans les travaux et de ce qui restait à faire. Tous l’écoutaient avec respect. Moi, le premier (en plus de l’examiner de la tête aux pieds). Je regardais sa bouche, ses lèvres et sa langue qui se montrait de temps en temps et le désir en moi grandissait. Je devais à tout prix avoir ce splendide mâle pour moi. Je voulais le toucher, le goûter, l’embrasser à pleine bouche…


Plus la journée avançait et plus je fabulais en secret. Je regardais Thom aller et j’essayais de l’imaginer complètement nu, en pleine action.

J’imaginais son visage en jouissance, ses muscles tendus, ses fesses fermes et son membre relevé et bien bandé. Quel magnifique bijou il devait avoir entre les jambes! Un mâle comme ça est sûrement équipé comme un étalon. Je devais le savoir! J’en avais trop envie!


Durant le reste de la journée, durant la suite des travaux, j’ai discuté longuement avec mon ami à propos des membres de sa grande famille, m’informant sur un, le questionnant sur une autre et, bien entendu, j’insistait légèrement sur le cas de Thom. Comment se faisait-il qu’un homme comme lui vivait seul?! Comment se pouvait-il qu’aucune femme n’ait eu la chance ou l’envie de vivre avec un tel mâle et de partager son lit?! Mon copain ne savait pas grand chose mais il a pu me dire que son oncle avait quitté la maison assez jeune, qu’il avait longuement travaillé au loin et qu’il était revenu depuis quelques années seulement.


Finalement, la journée a passé, le soir est venu, Thom s’est habillé (malheureusement!) et nous avons souper tous ensemble. Nous avons pris tout un repas et le feu de camp a rapidement suivi. Ça riait et chantait. Je me rappelle avoir beaucoup ri ce soir-là et, en partie, avec Thom. Il nous racontait des choses incroyables et essayait de nous les faire croire. Je m’amusais à le critiquer et à l’obstiner, ce qui me rapprochais un peu plus de lui. Juste que son regard se pose sur moi me faisait le plus grand bien! Pour cette soirée-là, je dû me contenter de cela. Au coucher, un divan m’attendais dans le salon du chalet qui devait loger une bonne quinzaine de personnes ce soir-là. J’ai alors appris que le reste du groupe allait loger au chalet de Thom, quelques rues plus loin seulement. Je m’en voulais d’être dans le mauvais groupe! Malgré tout, je crois que j’ai rêvé à lui et à son superbe corps durant toute la nuit.


Le lendemain, après le déjeuner, tout le monde s’est remis au travail.

J’étais heureux de retrouver mon homme, en camisole. Le poil roux de sa poitrine sortait par le col de celle-ci. Quel mâle! Selon lui, l’avant-midi allait suffire pour terminer les travaux et il avait raison. Après le dîner, peu à peu, en petits groupes, la famille s’est séparée en se promettant de se revoir bientôt. Je suis donc resté au chalet pour souper avec mon ami, sa famille et… Thom. Toute la soirée, j’ai eu la chance de discuter avec cet homme merveilleux. Autant à cause de sa personnalité que de son corps, j’étais littéralement en amour avec Thom. Je ne pouvais pas croire que j’allais quitter la place sans savoir si j’allais le revoir un jour! Allais-je vraiment partir avec juste un simple souvenir et me masturber, seul, à chaque nuit, dans mon lit en m’imaginant son corps de dieu, son souffle, ses muscles et son pénis en pleine expansion?!


Lorsque le moment de partir fut venu, j’ai remercié tout le monde, j’ai salué mon ami qui prolongeait ses vacances avec ses parents et je me suis essayé de convaincre Thom d’aller le reconduire à son chalet puisqu’il était à pied. Il accepta volontiers. Nous n’avons pas réellement parlé beaucoup dans la voiture à cause de ma gêne d’être seul avec lui et parce que la route était un peu trop courte (à mon goût). Rendu à son chalet, il m’invita à entrer visiter les lieux. Je ne pu refuser. Mon cœur se mit à battre très fortement.


J’ai visité le tout. Son chalet n’était pas très grand mais comme il le disait si bien, pour un homme seul, c’était parfait. Nous avons commencé à nous informer l’un de l’autre et tranquillement, il m’a servi une coupe de vin. Tout en discutant, il fit un feu dans son foyer et nous avons passé à travers la bouteille dans le temps de le dire. Je buvais et je buvais mais, à vrai dire, je m’arrangeais pour ne plus pouvoir partir! Thom buvait autant que moi. Après une longue discussion et une deuxième bouteille bien avancée, j’ai pris sur moi de le questionner plus intimement. Dans le fond, nous étions saouls tous les deux.


Notre conversation vira tranquillement sur le sexe et je pu comprendre que Thom n’avait jamais eu de véritable aventure sérieuse avec une femme. Jamais fiancé, jamais marié, il n’avait que côtoyé des hommes. Soudainement, sans prévenir, il me dit de lui demander ce que je voulais réellement savoir. Avec un rire un peu nerveux, je lui ai donc demandé si une aventure avec un homme l’intéresserait. Il me dit : « Avec toi, par exemple? » Je ne pouvais pas dire autre chose que « oui »! Son large corps s’est alors tranquillement glissé vers moi, sur le divan. Je revois toujours son visage sérieux se rapprocher du mien. J’ai senti son souffle, son haleine d’homme et ses lèvres ont entrouverte les miennes pour laisser entrer sa langue. J’ai ouvert grand la bouche afin d’accueillir entièrement cette langue que je désirais de tout mon cœur. Enfin, je le goûtais. Hummm! Son souffle était chaud et bon. Nous nous sommes embrassés à pleines bouches pendant un bon moment. Nos langues se glissaient dans la bouche de l’autre et se frottaient à en plus finir. Nos mains, par le même fait, ont commencé à caresser le corps de l’autre. Thom était maintenant couché sur moi.


Il s’arrêta subitement et voulu aller prendre une douche avant de poursuivre pour que ce soit plus agréable pour moi. Je refusai. Je le voulais là, dans sa sueur de mâle. J’étais tellement excité que je le voulais au naturel! Je lui ai donc enlevé sa camisole et son torse velu m’est apparu. Enfin, je le possédais. Je me suis mis à le caresser, à jouer dans son poil et à tâter ses magnifiques mamelons en érection. Je les ai léchés à fond sentant le fin bouton rigide sous ma langue. Thom respirait de plus en plus fort en me disant d’aller plus loin. Je ne demandais pas mieux. Je lui ai donc demandé de se lever et je me suis mis à l’embrasser de nouveau tout en lui tâtant l’entrejambe. Ce qui se trouvait sous son pantalon était extrêmement rigide et volumineux. Je devais le voir, l’examiner, y goûter! J’ai donc entreprit de baisser son pantalon. Je vis immédiatement que quelque chose de gros et de lourd pointait vers le l’avant dans son boxer. Tout en le caressant, je ne cessais de lui dire combien il était beau, bien fait et que j’avais tellement envie de lui. J’ai finalement baissé le boxer pour enfin voir apparaître la plus grosse érection que je n’avais jamais vue. Devant moi, se tenait un énorme pénis, circoncis et bien bandé. Je me suis empressé de l’engloutir dans ma bouche. Tout en pratiquant le va-et-vient, je pouvais sentir son gigantesque gland et les nombreuses veines. Thom était vraiment membré. Je ne m’étais pas trompé. Avoir ce mâle sans pareil qui m’offrait son corps, son sexe ainsi, sans rien demander en échange, c’était un véritable cadeau des dieux!!! Thom respirait maintenant de façon saccadée. Il poussait quelques grognement et, dans le feu de l’action, m’enfonçait son phallus encore plus profondément dans la bouche. Je m’en fichais. Je l’avais pour moi seul et je le gardais. Si j’avais pu, j’aurais sucé ce gros morceau toute la nuit. Mais Thom me fit signe d’arrêter car il ne voulait pas déjà éjaculer.


Debout devant moi, complètement nu, je l’examinai. J’avais là, sous mes yeux, à ma portée, un homme roux, bâti, velu, beau, circoncis et membré. Que demander de plus? Il me fit un sourire et se pencha à son tour. Je me suis relevé, sachant très bien ce qu’il s’apprêtait à faire. Il déboutonna mon pantalon et baissa le tout. Mon organe lui bondit dans le visage. J’étais bandé au maximum. Avec vigueur, il avala mon pénis d’un seul trait et me suça comme un véritable cochon. Je n’en revenais pas. Cette bouche si appétissante était en train de me dévorer le sexe. Je me suis aussi mis à gindre comme un animal. Comment faire autrement?! Thom avait sûrement déjà fait ça. J’étais au septième ciel!


Après quelques instants, nous nous sommes allongés sur le tapis du salon. Nous nous sommes caressés, masturbés et je ne pouvais cesser de le sucer. J’avais continuellement besoin de ce gros membre veineux dans ma bouche. J’adorais l’odeur de son poil roux et de sa sueur. Bref, je le voulais tout entier. À force d’être dans les nuages et de le sucer, j’en ai perdu le contrôle et me suis rendu à faire ce que je n’aurais jamais imaginé. Je lui ai écarté les fesses et je me suis mis à lui lécher l’anus. Mes mains caressaient ses belles fesses fermes pendant que ma langue faisait des ronds et qu’elle tentait de s’introduire à l’intérieur. Thom a ensuite pris ma main et, la dirigeant vers son splendide cul, fit entrer un de mes doigt à l’intérieur. Je vis rapidement qu’il aimait cela et je fis des va-et-vient. Il était en transe. Il jouissait et en demandait toujours plus. Je me suis rendu à trois doigt. Il hurlait de plaisir. Cela me stimulait davantage. J’étais prêt à tout pour le satisfaire. N’y tenant plus, il se releva, me prit rapidement par la main, m’entraîna dans sa chambre, se coucha sur son lit, face au matelas, releva son joli derrière vers moi et me supplia de l’enculer. Cela dépassait la frontière de mes rêves. Je n’en demandais pas tant. Le mâle de ma vie m’offrait véritablement tout son corps. Je m’enfonçai donc, tranquillement, pouce par pouce, en lui. Son cul était divin. Je sentais tous ses muscles se contracter sur mon organe et je jouissais à plein. Thom aussi, semblait-il. Je refis le mouvement de va-et-vient, tranquillement, au début et de plus en plus vite. Thom ne pouvait retenir des cris de jouissance. Tout en le pénétrant, je jouissais autant que lui de le voir là, musclé et viril et, en même temps, déchaîné et soumis.


Tout à coup, dans le feu de l’action, je ne pu retenir mon éjaculation et je lui envoyai un énorme jet de sperme au plus profond du trou. Thom me retenait, ne voulant pas que je sorte de lui. Lorsque je me fus bien vidé, Thom se retourna, s’assied dans le lit et, avec sa superbe bouche, avala le sperme qui restait sur mon pénis. « Tu as aimé ça?! » , m’a-t-il demandé, « En tout cas, tu m’as sacrément bien fourré! Wow! Quelle baise! Et maintenant, goûte-moi… »

Il me poussa dans le lit, me plaça son énorme sexe dans le visage. Je ne me fis pas prier pour le prendre à nouveau dans ma bouche et pour lui faire la pipe de sa vie. Je le sentais, dur et rigide comme tout. Thom s’est écrié « C’est bon, c’est bon! Je me sens si gros que le gland va s’arracher! » À ce moment-là, il explosa dans ma bouche. J’aurais bien aimé voir la quantité de sperme qu’il m’envoya. Il me semblait que j’avais la bouche pleine. Pas surprenant lorsqu’on voit la grosseur de son pénis. Le liquide était chaud et je n’en perdis pas une seule goutte. Je goûtai entièrement à sa semence. Je l’ai déjà dit, je prenais le maximum de ce que je pouvais prendre. Quel délice! Après que j’eu complètement lavé sa verge, Thom se jeta sur le lit, auprès de moi. Nous nous sommes embrassés quelques instants avant de nous endormir.


Le lendemain matin, après un bon déjeuner et une bonne douche en sa compagnie, je quittais les lieux en faisant la promesse de ne jamais révéler notre secret à qui que ce soit. Encore aujourd’hui, après de nombreuses relations avec d’autres, je repense à Thom. J’espère toujours avoir la chance de le croiser et de coucher à nouveau avec lui. Je ne l’ai jamais oublié et ne l’oublierai jamais. Si jamais tu tombes sur ces lignes et que tu te reconnais, Thom, sache que je ne suis jamais tombé autant en amour avec quelqu’un qu’avec toi. Je te veux toujours, je rêve encore à toi, à ton superbe corps de mâle, à ta bouche assoiffée, à ton buste velu, à tes mamelons d’un rose tendre, à ton cul d’enfer et à ton gros pénis lourd et circoncis. Mon souhait le plus cher : Te revoir pour qu’à ton tour, avec ton énorme queue, tu puisses m’enculer. J’ose encore rêver car maintenant je sais que, parfois, les rêves se réalisent…