n° 07539 | Fiche technique | 22190 caractères | 22190Temps de lecture estimé : 14 mn | 03/09/04 |
Résumé: Un voyage de fin d'études... enrichissant ! | ||||
Critères: grp jeunes inconnu copains vacances avion contrainte fellation cunnilingu pénétratio fsodo partouze | ||||
Auteur : Abribus Envoi mini-message |
C’était il y a quelques années, j’étais encore étudiant dans une petite école de commerce de province. Pour faire comme ses grandes sœurs parisiennes, l’ambiance de cette école était généralement plus à la détente qu’au travail forcené. Un petit mois d’interruption des fêtes et soirées pour les traditionnels exams étaient destinés à cacher qu’une bonne partie de notre diplôme serait généreusement achetée par nos parents !
Le grand événement de l’année était toujours, juste après les exams, le « voyage d’étude à l’étranger » ; comme faire partir toute une promo de quelque 200 personnes était hasardeux, c’est une dizaine de groupes qui s’étaient formés autour d’intérêts communs pour préparer autant de voyages vers autant de destinations… Pour ma part, j’avais prévu cette année là de ne pas participer au voyage, ayant trouvé un stage fort intéressant qui devait impérativement commencer au 1er avril, date prévue pour le départ.
Je m’étais donc complètement désintéressé des préparatifs, jusqu’à ce que le 25 mars un mail me parvienne, m’annonçant le report de mon stage pour d’obscures raisons de logistique !!! Réflexe immédiat, je fonce sans trop d’espoir chez le coordinateur des voyages, pour savoir si par hasard il y aurait une place libre dans un des voyages, n’importe lequel !
« Tu as vraiment beaucoup de chance, j’ai eu un désistement ce matin ! Sans ça, ç’aurait été complètement impossible, les billets d’avions et les hôtels sont réservés depuis des semaines ! Tu n’as qu’à contacter l’organisateur, Alex, je ne pense pas qu’il y aura de problèmes…
Là mon enthousiasme retombe quelque peu… J’avais imaginé Barcelone, Rio, Londres, Berlin à la rigueur… une ville ou on peut faire la fête, quoi ! !
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Alex était un mec que je connaissais de vue, il faisait partie d’une bande un peu à part du reste de la promo, bande que je soupçonnais de fournir les troupes de ce voyage à l’étrange destination. C’était sans doute l’une des premières fois que je lui adressais la parole autrement que pour lui dire bonjour.
« Salut Alex ! Il paraît que vous avez une défection pour votre voyage, et de mon côté je peux finalement partir. Est-ce que ça pose problème si je me joins à vous ?
Je ne comprenais plus rien, comme vous pouvez vous douter. Quel rapport entre moi, ce Kabani et toutes ses qualités et ce foutu voyage au bout du monde ? J’étais bien loin de m’imaginer, au contraire de toi, cher lecteur, qui doit avoir un léger doute, où tout ça allait m’emmener… En attendant, je commençais à perdre patience…
« Ecoute, sois plus clair, je n’y comprends rien à ton histoire. Je peux partir avec vous, oui ou non ? Ou faut-il que je passe une épreuve initiatique pour rejoindre votre petit groupe ?
Et sur ce il me laissa en plan, seul avec mes interrogations. Je n’étais plus trop sûr de vouloir partir, il y a avait quelque chose qui m’échappait et cet Alex était décidément bizarre ; qu’est-ce que ça serait de passer deux semaines avec lui et sa bande s’ils étaient tous pareils ? D’un autre côté, passer ce temps là ici ou chez mes parents… bof bof…
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Tout ça ne m’empêcha pas de passer une bonne nuit, et je fus réveillé le lendemain matin par le téléphone. Décidément, cet Alex avait toutes les qualités…
« Kescekecé ?
Sandrine ? La petite blonde généreusement pourvue par la nature, avec qui j’avais eu une aventure en première année ? On ne s’était pratiquement pas parlé depuis…
1. Tu ne sauras rien de plus sur le voyage avant le départ que tu ne saches déjà ; tu peux essayer de te renseigner par toi-même, bon courage, mais nous on ne te dira rien d’autre… tu partiras à l’aventure !
2. Pendant les 15 jours, tu devras obéir aux ordres de tous les membres du groupe.
3. Tu auras quand même trois jokers mais attention, au troisième tu seras exclu du groupe : on ne te demandera plus rien, mais on ne te parlera plus non plus. Ce sera comme si tu étais tout seul…
Des questions ?
Et il a raccroché, me laissant partagé entre l’excitation devant ce mystère, et la peur de tomber aux mains d’une bande de cinglés. Certes, Sandrine était une gentille fille et Alex, tout bizarre qu’il soit, inspirait plutôt la confiance ; et en plus ils avaient pensé à tout, y compris une porte de sortie… Vous vous en doutez, puisque vous lisez ce récit, j’ai fini par accepter, sans trop savoir pourquoi…
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Une semaine plus tard, nous nous retrouvâmes à l’aéroport ; le groupe d’une vingtaine de personnes, qui comprenait une légère majorité féminine, et dont je ne connaissais que Sandrine, Alex et deux ou trois autres de vue, m’accueillit chaleureusement. Nul commentaire sur les conditions de mon voyage, tout cela semblait oublié et je me demandais si Alex n’était pas un peu blagueur. Je m’imaginais depuis deux jours, obligé de porter les bagages de tout le monde sous les moqueries… Rien de tout cela ne se produisit, et c’est de manière tout à fait classique que nous sommes montés dans l’avion de « Boukhistan Aeroflot ».
Je me suis retrouvé assis à côté de Sandrine, à qui j’ai galamment laissé le hublot, et nous avons finalement décollé : c’était parti pour 7h de vol. L’ambiance était bonne, outre notre groupe l’avion était plein de jeunes gens de notre âge et les conversations fusaient de partout. Pour ma part, je discutais de tout et de rien avec Sandrine, ainsi qu’avec les autres…
Environ 1h après le décollage, l’excitation s’était un peu calmée et c’est alors que tout a commencé. Alors qu’une hôtesse remontait lentement l’allée, j’ai entendu Sandrine à côté de moi me dire :
« Quand elle sera à notre hauteur, demande-lui de te sucer.
J’étais complètement interloqué ! Je savais pour l’avoir « expérimentée » que Sandrine était plutôt libre dans ses actes et ses pensées, mais là je ne comprenais plus…
P.. j’avais complètement oublié cette histoire, après leur accueil sympa je m’étais persuadé que c’était une blague ! Je me suis alors rendu compte qu’ils étaient tous en train de me regarder…
Je le voyais, moi, mais que vouliez-vous que je fasse ? Après tout, c’était vrai, j’avais signé un chèque en blanc… et puis une baffe ce n’est rien, mieux valait garder mes jokers pour les trucs bien pires qu’ils ne manqueraient pas d’imaginer, vu comme ça commençait… j’attendis donc que l’hôtesse arrive, une fort jolie brune aux yeux verts dont l’uniforme mettait en valeur une silhouette très séduisante, et lui fit signe :
Et bien, croyez-moi si vous le voulez, mais ni une ni deux elle s’est agenouillée dans l’allée, a défait ma ceinture et ma braguette pour en extirper mon sexe peu triomphant et s’est aussitôt mise à l’ouvrage, avec une ardeur très professionnelle.
Autour de moi et dans tout l’avion, ça alors été l’explosion : des applaudissements, des rires… et une course aux hôtesses, qui toutes se sont bientôt retrouvées, ainsi que les stewards d’ailleurs, dans la même position que la mienne. Celle-ci avait d’ailleurs fort à faire, car malgré sa science mon étonnement devant cette scène orgiaque m’empêchait de profiter pleinement de sa langue habile, qui se promenait des bourses au gland quand elle ne prenait pas ma verge - de taille standard il est vrai – entièrement dans sa bouche. Cela faisait donc de longues minutes qu’elle me suçait, et certaines de ses collègues en étaient déjà à leur deuxième voir troisième passager quand Sandrine, à côté de moi, a enlevé son pull et a pris ma main pour la poser sur son sein droit. C’est alors que j’ai commencé à me décontracter et à jouir de la situation : Sandrine m’embrassait et portait ses seins à ma bouche pour que je les lèche, les avale, lui mordille les tétons ; je ne voyais plus rien de ce qui se passait dans l’avion, je ne sentais que les caresses chaudes et humides sur ma queue et les lourds seins de Sandrine sur mon visage, et comme vous vous en doutez je n’ai pas tardé à me laisser aller complètement dans la bouche de l’hôtesse.
Une fois sûre qu’aucune goutte ne risquait de tacher la moquette de l’avion, celle-ci s’est relevée ; je l’ai remerciée d’un sourire, elle a fait de même et est sans délai allée s’occuper d’un de mes camarades de voyage…
Tout en continuant à caresser vaguement Sandrine, qui se frottait sans relâche contre moi, j’ai découvert que l’orgie s’était encore amplifiée. Certaines hôtesses avaient abandonné la position agenouillée, et pompait ardemment, debout, de vigoureux jeunes hommes ; derrière elles d’autres passagers avaient relevé leurs jupes et faisaient des va-et-vient révélateurs. Des gémissements venaient de toutes part… les passagères n’étaient pas en reste, une suçait un steward qui lui-même s’occupait d’un mec de notre école, pourtant pas homo a priori ; d’autres filles se caressaient entre elles, où étaient assises sur leur voisin de siège qui les faisaient aller et venir, les soulevant par les hanches…
« Et bien voilà, le Boukhistan c’est ça… »
C’était Sandrine qui se rappelait à mon bon souvenir…
« Tout le pays est comme ça ?
Je ne pus même pas hésiter, car elle monta debout sur mon siège et approcha sa chatte de ma bouche ; je ne lui fis pas l’affront de refuser, d’autant plus que j’étais très excité, et m’appliquais à lui donner tout le plaisir possible avec ma langue et mes doigts, titillant son clitoris, la pénétrant d’un doigt dans le vagin et l’autre dans l’anus, ce qui à entendre ses petits cris n’avait pas l’air de lui déplaire…
Quand elle fut fatiguée de la position et des quelques orgasmes que j’avais réussi à lui procurer (aidé il est vrai du passager du fauteuil derrière moi qui s’était à son tour occupé de ses seins pendant que j’utilisais ma langue), elle revint s’asseoir à côté de moi… et s’endormit !
Il faut dire que tout le monde était un peu dans le même état ! L’avion n’étant pas destiné à cet usage particulier, les positions étaient souvent plus ou moins acrobatiques et donc pas de tout repos !
Presque tout le monde était donc retourné à sa place ; on entendait encore quelques soupirs, quelques bruits de succion ou des fauteuils qui grinçaient mais rien de comparable avec ce qui avait précédé. Je m’endormis donc à mon tour…
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«Mesdames et Messieurs, chers passagers, votre commandant de bord vous informe que nous sommes à la moitié de notre vol. Nous survolons actuellement l’Ukraine. Le commandant va se rendre en cabine pour vous saluer »
Le volume des haut-parleurs devait être particulièrement fort car pratiquement tout le monde a été réveillé par cette annonce. Les regards des uns vers les autres étaient bien différents maintenant, et l’on sentait que cette petite sieste avait été profitable à la libido générale… d’autant plus que nombre d’entre nous n’étaient pas vraiment rhabillés. Alex vient me demander si j’étais contant de mon début de voyage, et je dus lui avouer que tout était parfait !
C’est alors que le commandant de bord apparut ; c’était un mec impressionnant, grand et musclé, assez mat de peau, un large sourire sous une petite moustache ; il commença à s’avancer dans l’allée disant quelques mots à chaque passager. Une blonde n’hésita pas à lui poser la main sur la fesse et son sourire s’élargit encore ! Nous regardions tous, intrigués, n’entendant rien du conciliabule mais en comprenant à peu près l’objet ! Ce ne fut d’ailleurs pas long, et la blonde s’attaqua bientôt à la fermeture éclair du pantalon d’uniforme, dont elle fit jaillir un gros sexe presque noir qu’elle mit aussitôt dans sa bouche, et commença à pomper vigoureusement. Cela dura quelques minutes, puis le commandant s’arracha d’elle – elle eut l’air déçue – et continua à remonter l’allée, la bite à l’air : tous les passagers la saluaient au passage, les filles d’un coup de langue plus ou moins appuyé, et même les garçons n’hésitaient pas à serrer la queue du commandant, comme ils auraient fait de sa main ! Certaines filles le gardaient un peu plus longtemps en bouche mais il s’en arrachait toujours pour poursuivre son chemin ! Il arrivait maintenant à notre niveau, et j’étais résigné – et excité en même temps – à prendre à mon tour dans ma main ce sexe d’homme, alors que je n’avais jamais touché d’autre phallus que le mien. Je le fis sans hésiter quand il se présenta devant moi.
« Lèche le un peu »
Je tressaillis. Alex ! le salaud…
Le commandant avait entendu aussi, et il s’arrêta devant moi ; j’avais toujours sa queue à la main. Je le vais les yeux, vis son sourire engageant, puis redescendis mon regard vers ce sexe ; je me suis penché lentement jusqu’à poser mes lèvres sur son gland, complètement soumis, n’imaginant même pas de ne pas obéir ! Je fis même pénétrer son gland de quelques centimètres dans ma bouche…
« C’est bon Antoine tu peux le lâcher »
Vous n’allez pas me croire mais je fus presque déçu ! Toute mon excitation retomba d’un coup alors que le commandant poursuivait, et j’ai commencé à avoir honte ! Moi, hétéro convaincu, sucer une bite ! Je me suis engoncé dans mon fauteuil pour faire semblant de dormir.
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Quelques minutes plus tard, je dus cependant les ouvrir pour savoir d’où venait le hurlement que je venais d’entendre… Il ne me fallut pas longtemps pour voir la blonde de tout à l’heure, à genoux dans l’allée ; derrière elle le commandant allait et venait de toutes ses forces, lui arrachant un hurlement ininterrompu. Plusieurs mecs entouraient cette scène en se masturbant joyeusement.
« Il l’encule » me glissa Sandrine.
Comme si je ne m’en étais pas douté…
Ce fut le signal, et l’orgie recommença ; les garçons passaient de rangée en rangée, glissant leur sexe dans la première bouche, le premier sexe qu’ils trouvaient ; j’en eut ma part, comme vous l’imaginez, et cette fois je ne laissais pas Sandrine m’accaparer : comme les autres, je parcourus l’allée centrale de l’avion, échangeant avec les filles qui me plaisaient quelques instants de plaisir, me laissant même toucher – mais pas plus – par des mecs qui visiblement me trouvaient à leur goût. Le commandant avait fini sa petite affaire et regagné son poste et la blonde gisait maintenant sur le sol, jambes écartées, orifices à tout vent et recouverte de traînées de sperme, visiblement complètement épuisée. J’avançais ainsi jusqu’au poste de pilotage, où je constatais que le commandant et son second n’étaient pas en reste sur les passagers : deux filles de notre groupe m’avaient précédé, et s’arrangeaient en une position acrobatique à leur appliquer à chacun une fellation soignée.
Décidément, seul le pilote automatique n’aura pas eu sa part durant ce voyage !
Je les pénétrai tour à tour par derrière, jouissant de leurs sexe et de leur anus et me délectant de cette improbable situation : à 8000 mètres, au-dessus d’une mer de nuages, j’allais et venais dans des orifices accueillants, jusqu’à l’orgasme…
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« Mesdames et Messieurs, nous commençons notre descente vers l’aéroport de Grossboul où nous atterrirons dans quelques minutes. Nous espérons que vous avez fait un agréable voyage et vous prions de regagner vos sièges et d’ajuster vos ceintures. Nous vous souhaitons un agréable séjour au Boukhistan et espérons vous retrouver prochainement sur un vol "Boukhistan Aeroflot" »
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A SUIVRE…