n° 07545 | Fiche technique | 27225 caractères | 27225Temps de lecture estimé : 16 mn | 05/09/04 |
Résumé: En ce monde, tout se vend et tout s'achète... Même les nuits inoubliables. | ||||
Critères: ffh fbi couplus prost grosseins lingerie intermast cunnilingu fgode fdanus fsodo | ||||
Auteur : Sylvestre Ortega |
Épisode précédent | Série : Chaude Natasha Chapitre 02 / 03 | Épisode suivant |
Pour moi, Natasha, est la femme idéale, la complice de rêve qui me fait chavirer à coup sûr. Elle partage ma vie et l’enflamme tous les jours, consciemment ou non. Natasha est une belle brune aux jambes bien dessinées, aux chevilles fines et à la bouche tendre. Qu’elle soit près de moi ou qu’elle s’absente, des visions incendiaires me hantent et font jaillir à mon esprit des images de son ventre, de ses lèvres affamées ou de ses pieds, aux talons fermes, irrésistibles, arqués dans de fins souliers de femme. Même habillée, Natasha me renverse de sensualité. Son regard coquin abrite une étincelle de perversité qui me réchauffe, et son sourire est un piège irrésistible dans lequel je tombe de bonne grâce. Elle dit que je suis son homme, son étoile dans l’obscurité, et je la crois. Jamais, même dans les mondes de volupté où nous nous égarons, je n’ai perdu le fil de sa présence. Elle est toujours à proximité, en toute circonstance, car tous ceux et celles que nous croisons ne sont pour nous que des possibilités, des ouvertures, les instruments anonymes de notre plaisir. Enfin, par le reflux de ses obsessions, Natasha repousse les limites de mes fantasmes et de mon imagination. Pour elle, j’ai envie de me réinventer, d’improviser, de jouer. Au contact de ses sens, je deviens créateur et acteur, j’échafaude des expériences et je transforme la réalité en un chemin d’extase où je l’entraîne par la main.
Devant cette femme qui fleure le sexe, beaucoup auraient fui.
Moi, je l’ai mariée.
Je ne sais pas ce qui nous a pris ce soir. Il est déjà plus d’une heure du matin. Durant la journée, Natasha et moi avons eu mille occasions de faire l’amour. Mais, chaque fois, on aurait dit qu’il nous manquait un peu de piquant pour transcender la paresse du moment. Du moins, c’est l’impression que j’ai eue, sans pour autant lui en parler.
Mais, passé minuit, tout s’est précipité. Dans un moment de rapprochement, en regardant Natasha dans les yeux, j’ai dit spontanément : « Et si on faisait venir quelqu’un? » Son regard s’est allumé. Alors, j’ai pris le journal et, sans réfléchir, j’ai composé un numéro de téléphone parmi trois ou quatre annonces du même genre. Chacune proposait les services de déesses capables d’apaiser tous les désirs et toutes les fièvres. Tout excités, nous avons fait notre choix et la carte de crédit l’a matérialisé. Puis, en raccrochant, j’ai regardé Natasha. Un frisson a roulé sur nos échines.
Maintenant, il est trop tard pour reculer. Elle est déjà en route, bientôt sur le pas de la porte, prête à sonner. Nous avons le trac pour cette grande première. Jamais auparavant nous n’avions fait appel à une « professionnelle ». Dans l’attente, la réalité nous rattrape et le doute s’installe. Et si l’initiative s’avérait décevante? Et si cette inconnue, que nous idéalisons par ses mensurations et la couleur des cheveux, n’était pas à la hauteur?
Nous aurions dû au moins échafauder un plan des événements, établir les limites de notre itinéraire. Mais, non. Le temps est resté suspendu depuis près d’une heure. La situation est presque irréelle. Natasha range ses dossiers dans le bureau, et moi, j’arrose les plantes du salon. Je marche. Je tue le trac.
Si Natasha est dans le même état que moi, elle a les mains moites, mais sa petite chatte est déjà un peu humide aussi. Je la croise dans la cuisine. Elle semble sereine. Ce n’est pas bon signe. Quand Natasha est calme à l’extérieur, c’est que l’intérieur est rongé de mille inquiétudes. Je passe derrière elle et la prends par les épaules.
D’un sourire, elle me rassure. Je m’assois à la table et la suis des yeux. Pour l’instant, je suis incapable de l’imaginer nue et fébrile. Tout à coup, j’ai hâte qu’arrive cette inconnue. J’ai envie de la voir, de l’identifier. Je veux que cesse l’attente. Et puis, surtout, je veux dépasser le stade de cet insoutenable tension! Une fois dans l’action, je sais que nos corps et nos doigts sauront s’abandonner. Je sais que la réalité s’effacera. Mais avant, il faut apprivoiser les circonstances et la venue de cette étrangère qui sera, j’imagine, bien plus à l’aise que nous.
On sonne. Mon cœur bondit. Natasha me regarde, pétrifiée. En respirant profondément, je me dirige vers la porte. Natasha s’est avancée près du comptoir et prépare du café. Elle aussi tente de chasser le stress. Quand j’ouvre la porte, j’aperçois une jeune femme blonde, dans le début de la vingtaine, les cheveux aux épaules. Elle porte un long manteau foncé, discret, et des souliers à talons aiguilles. On jurerait de la visite, une amie de passage. Je me présente et l’invite à entrer.
Je lui indique la cuisine, un peu maladroit :
Évidemment! Quel con je fais! J’entends battre mon cœur dans mes tympans. Je fais les présentations. Je m’assois à côté de Natasha. Elle évite de regarder Laura franchement. Par contre, la jeune femme, qui est restée debout, semble très à l’aise. De toute évidence, la nervosité ne fait pas partie de sa vie en ce moment. Natasha lui propose un café, mais elle décline l’offre. Je sens Natasha fragile, peut-être même prête à tout annuler. Alors, je prends les devants.
Laura me regarde droit dans les yeux, attendant la suite.
Laura me répond par une affirmation de la tête. Natasha dévisage la jeune femme qui retire son manteau. En-dessous, elle est légèrement vêtue, ce qui anéantit subitement l’idée de « l’amie de passage ». Elle porte une mini-jupe en cuir. Les jarretelles qui retiennent ses bas foncés sont apparentes. Au-dessus de la taille, elle est vêtue d’un bustier à paillettes grises et argents. Sa poitrine est volumineuse. Laura s’assoit à côté de Natasha. Ma mâchoire pendouillante trahit mon état de surprise béate. Je suis presque obligé de la replacer manuellement pour reprendre un peu d’aplomb.
Je n’y avais même pas pensé. Au même instant, Laura pose délicatement sa main sur celle de Natasha, qui sursaute un peu. Mais, Laura insiste en resserrant l’étreinte de ses doigts. Natasha s’abandonne. Je ne la reconnais pas. De nature entreprenante d’habitude, elle ressemble pour l’instant à une petite fille timide.
Elle s’éclipse et je me retrouve seul avec la jeune femme. Je me sers un café en silence. Puis, j’avise Laura de faire comme chez elle pendant que je mets de la musique au salon. Voilà qui me permet de contourner l’inconfort de la situation et d’éviter toute conversation forcée, teintée de banalités. Alors que je passe les CD en revue, un à un, mon esprit est pris de vertige, comme si j’étais projeté dans une autre dimension. Dans quelques minutes tout ira mieux, le temps de basculer de l’inconnu vers l’intimité. Finalement, je mets la main sur un boîtier de musique d’ambiance inoffensive dont je ne me rappelais même plus l’existence. Puis, je retourne à la cuisine. Laura est assise sur le banc du piano et elle me regarde. Bien sûr, elle ne ressemble en rien à la fille que j’avais imaginé. Mais, la retour à la réalité me va. Elle est jolie. Son visage est bien dessiné. Je remarque le petit grain de beauté près de sa bouche. Ses lèvres, qui sourient, sont larges et minces. Régulièrement, elle passe la main dans ses cheveux blonds et replace, sur le côté, une longue mèche tombante. Elle se tient les jambes croisées, avec élégance, le dos bien droit. Sa charpente est plutôt menue et présente des muscles secs, bien découpés. Mais, la finesse de ses membres contraste avec l’imposante poitrine dressée devant elle.
Tout à coup, je reconnais le son familier des talons hauts de Natasha. Elle descend lentement les marches de l’escalier qui monte à la chambre. Puis, elle apparaît finalement dans le cadre de porte de la salle à manger, et s’y arrête. Elle est superbe. Natasha a enfilé ses bas à échancrures et porte un petit string noir avec attaches latérales. Ses seins nus sont recouverts d’un chemisier noir, transparent, à manches longues. Elle se dresse fièrement sur des souliers à talons hauts, dont les courroies entourent ses chevilles fines. Ses jambes m’apparaissent d’une infinie longueur. Rien qu’à la regarder, je sens mon sexe prendre de l’expansion. Pour me donner contenance, j’avale une gorgée de café. Mes doigts tremblent un peu. Natasha est maquillée, ses cheveux bruns détachés. Elle est magnifique. J’ai vraiment envie qu’elle soit couverte de caresses, élevée au comble du plaisir. Je me tourne vers Laura. Elle semble, elle aussi, sous le charme de la femme qui avance vers elle. La petite moue sur son visage révèle une appréciation tacite. Alors, j’ose croire que Laura n’aura peut-être pas à inventer le désir.
Je l’observe. Ses yeux parcourent les longues jambes de ma femme, depuis les chevilles jusqu’aux hanches. Puis, ils font une pause sur la colline ronde de son sexe. Sans même un mot, Laura se lève à sa rencontre. Elle s’approche et passe derrière son dos, sans jamais la quitter des yeux. Elle tournoie avec grâce autour d’elle. Devant moi, je vois se dessiner une sorte de tableau vivant, qui met en scène deux femmes rivalisant de sensualité. Les lèvres de Laura effleurent l’épaule de Natasha. Un frisson la secoue. Elle ferme les yeux, ivre des vapeurs de l’instant. Pas de doute, le jeu a bel et bien commencé.
Je ne quitte pas Natasha du regard. L’approche de séduction que se livrent les deux femmes m’excite énormément. Les yeux toujours fermés, Natasha a penché la tête sur le côté. Face à elle, Laura retire son bustier, découvrant des seins lourds, ronds et fermes. Elle les soulève à pleines mains pour les soulager de la gravité. Ensuite, elle s’approche et embrasse le cou offert de Natasha. Ses lèvres luisantes suivent un lent parcours jusqu’à la clavicule. Puis, elle se retire. Elle défait la fermeture éclair de sa petite jupe noire qui tombe sur le sol. J’entrevois furtivement une pilosité blonde, alors qu’elle se retourne et qu’elle enjambe le vêtement avec grâce. Puis, elle s’approche de Natasha et la frôle. Sans aucun doute, celle-ci a ressenti la chaleur de la jeune femme qui l’effleure. Laura avance la main. Ses doigts fins frôlent la hanche de Natasha et glissent sur son ventre. Ma femme tressaille sous les effets vertigineux d’une brûlure intérieure. À tâtons, elle recule et cherche des mains le piano droit. À l’aide de ses jambes, elle place le petit banc dans sa position de rangement. Elle s’appuie sur le clavier, provoquant un accord dissonant qui s’étire dans un fond musical sans âme. Ses fesses restent à distance de l’instrument et se contractent lorsqu’elle écarte les jambes.
Malgré le désir qui consume Natasha, Laura n’entend pas la satisfaire immédiatement. Elle se tient debout entre ses cuisses, avec réserve. Natasha n’a toujours pas rouvert les yeux. La jeune femme frôle le nylon des bas qui enrobent les jambes de Natasha. Puis, elle dégage sa longue chevelure brune. Devant moi, hébété, elle lui lèche le lobe d’oreille et l’engloutit entre ses lèvres. Lorsqu’il en ressort, le petit morceau de chair dodue reluit de salive. Laura continue de le titiller du bout de la langue. Je remarque qu’elle a maintenant posé son pubis contre celui de Natasha et que ses seins lourds la touchent sans retenue. Soudain, elle recule. Sa petite toison blonde contraste avec le string foncé de Natasha. Saisissant l’un de ses seins, elle effleure les mamelons de Natasha, en de lents mouvements circulaires. Elle halète, la bouche ouverte.
Mon cœur bat à tout rompre lorsque Natasha gémit doucement. Moi, je baisse la fermeture éclair de mon pantalon pour libérer mon sexe prisonnier. Mon membre est avide, tendu à l’extrême, dur comme du métal, mais chaud. Je le prends en main et le masse sur toute sa raideur. Par mon gland luisant, je prends conscience de mon pouls.
Laura pose alors les mains tendues sur le bout des seins de Natasha. Elle les fait se dresser dans le creux de ses paumes. Je découvre à quel point elle est sensuelle. Elle semble véritablement excitée. Elle caresse le visage de ma femme, puis dépose sa bouche sur ses lèvres. Par jeu, Natasha refuse d’abord de les ouvrir, mais elle cède rapidement, lorsque la langue de la jeune femme se fait plus autoritaire. Finalement, Natasha répond à l’intrusion en léchant tendrement les lèvres de Laura.
Tout à coup, Natasha gémit, presque en grognant. Je constate avec bonheur que la cuisse de Laura est fermement appuyée sur son sexe gonflé. Par la pression, la chatte, abritée dans l’écrin du string, se moule sur la soie noire des bas de Laura. Je me contente de tenir fermement mon sexe à la base, sans bouger. Je suis subjugué.
Alors, devant moi, Laura avale goulûment l’un des mamelons durcis de Natasha. Enfin, celle-ci ouvre les yeux, mais à demi. Électrisée, elle me regarde de côté, la tête penchée vers l’arrière. Natasha vibre sous les caresses de cette inconnue. Tout en me regardant avec emphase, elle pose le pied sur le banc de piano pour mieux lui offrir son entrejambe. Je la sens de plus en plus perverse. Elle me sourit, extasiée. Laura passe une main sur l’intérieur de sa cuisse ouverte. De l’autre, elle lui pince doucement le mamelon. Je sens que Natasha pourrait jouir à une vitesse fulgurante. J’observe sa chatte prisonnière. Elle est humide et prête à se laisser conquérir.
La jeune femme s’agenouille devant le sexe de Natasha, qui tente frénétiquement de le lui coller sur la bouche. Elle désire les lèvres et la langue de Laura avec ardeur. Elle me lance un autre regard et, cette fois, je l’interprète comme une invitation.
Alors, je me lève en douceur et me rapproche. Je fais aller et venir doucement ma main sur mon membre large et long. Je veux qu’elle sache le plaisir qu’elle me procure. En constatant ses yeux qui se révulsent, j’ai l’impression qu’elle pourrait perdre connaissance. Il faut dire que Laura a maintenant écarté le petit string noir, tout mouillé. Sa langue s’écrase sur le capuchon de chair, gonflé de désir. Mais, je gagne encore en excitation quand je remarque que la jeune femme glisse l’autre main entre ses propres cuisses. De toute sa paume, elle frotte sa petite chatte blonde d’avant en arrière. Son souffle court attise la vulve de Natasha, qui défait les attaches de sa petite culotte. Je sens qu’elle a besoin d’espace. Elle ne tolère plus aucune barrière entre elle et les bienfaits de Laura.
Natasha me lance son petit string. Elle souhaite partager son excitation avec moi. Le petit slip est franchement mouillé et exhale le doux parfum de son sexe. Alors, je me mets nu. Je les regarderais encore des heures, mais l’envie de les rejoindre me dévore. Je m’approche lentement et me place derrière ma femme. Je lui fais sentir mon érection en déposant mon membre sur ses fesses rondes. Sa main veut l’empoigner, mais je la retiens. Je veux qu’elle se laisse faire. En penchant la tête sur le côté, je regarde Laura qui s’applique. Sous mes yeux, elle glisse trois doigts dans le sexe de Natasha qui laisse échapper un petit cri de plaisir. Laura fait tourner le pouce de son autre main sur le haut du clitoris pendant qu’elle en lèche avidement la base. Moi, tout en suçant le lobe d’oreille de Natasha, je glisse les mains sous ses bras pour intensifier le plaisir. Je prends ses mamelons bandés que je fais rouler doucement entre mes doigts. Ainsi, Laura et moi conjuguons nos efforts afin d’enivrer Natasha.
En guise d’affirmation, Natasha pousse un long gémissement. Je pince ses mamelons un peu plus fermement. Elle tend son bassin vers l’avant comme pour se rendre encore plus disponible à la bouche de Laura. Celle-ci n’a jamais cessé le lent travail de sa langue et de ses doigts. Ma poitrine chaude enveloppe Natasha et mon membre mouille ses fesses. Je sens ma verge énorme. Tout à coup, une pensée me traverse l’esprit : j’aurais envie que Laura s’attarde sur l’anus de Natasha. Mais, elle ne peut pas savoir que ma femme adore ça. Alors, je décide de lui indiquer la voie. Ma main abandonne le mamelon qu’elle titillait. Je fais lécher mon index par Natasha. Puis, je glisse ma main le long de sa cuisse, en suivant la courbe de la fesse. Je repère sa petite rosette de chair avec le majeur et, au bon endroit, j’insère mon index en douceur. Un peu d’abord. Puis, au complet. Il pénètre sans peine. Natasha souffle et gémit. Laura a reculé son visage pour mieux observer le doux va-et-vient de mon doigt. Son sourire me laisse croire qu’elle apprécie. Alors, je lui cède la place. Mais, j’ai à peine le temps de remonter vers les seins de Natasha, que Laura insère déjà deux doigts bien mouillés dans le petit orifice. Natasha tressaille, appréciant de toute évidence la surenchère. J’imagine que son anus doit, à coup sûr, se contracter de plaisir. Elle saisit ma verge tendue et me branle avec force. Pendant ce temps, Laura n’a pas assez de doigts pour satisfaire ma femme. Tout en s’occupant de son cul, Laura va-et-vient au fond de la chatte de Natasha avec trois doigts de l’autre main. Enfin, pour compléter cette apothéose des sens, elle lui mordille le clitoris. Les gémissements de Natasha ressemblent à un râle de douleur. J’en suis sûr, elle est au bord de l’orgasme. C’est d’ailleurs pourquoi, d’un coup sec, elle repousse la tête de la jeune femme. Natasha refuse de succomber si facilement.
Laura la dévisage, incrédule. Le pourtour de ses lèvres brille du désir de ma femme. Elle semble apprécier la manœuvre vers une prolongation. Pour accorder un répit à Natasha, j’invite alors Laura à se coucher sur la table de cuisine. Je retire les chaises pour lui donner plus d’espace. La jeune femme est maintenant allongée sur le bois de la table, les jambes écartées. Sans poser de questions, elle se caresse tout doucement. Je constate qu’elle aussi est toute mouillée. Alors, je fais un signe de tête à Natasha. Elle comprend immédiatement la signification de mon geste et se penche vers Laura. Elle regarde sa petite chatte blonde, bien taillée. Moi, je m’installe à côté d’elles, la queue bien en main. Natasha me regarde de biais pendant que sa langue lape langoureusement la chatte de la jeune femme qui grimace de plaisir. Je sais qu’en ce moment, Natasha s’applique du mieux qu’elle peut. Elle se dit que Laura est une professionnelle, mais qu’elle aussi, elle peut la faire chavirer. Je parierais même qu’elle s’est juré de lui laisser un souvenir impérissable de sa visite.
Natasha adore savourer le sexe d’une femme et elle s’occupe consciencieusement de celui de Laura. Elle lui prodigue exactement ce qu’elle-même adore. Je l’observe avec un plaisir inouï. Elle démontre un étonnant savoir-faire et ce penchant inné pour la sensualité. Sa langue large monte et descend sur toute la hauteur de la vulve. Elle l’avale à pleine bouche. Natasha prend le temps de s’y attarder, de la dévorer. En même temps, elle insère ses doigts au fond de Laura, et elle étire l’autre bras pour pincer les mamelons majestueux, pointés vers le plafond. Submergée, Laura laisse échapper des petits cris aigus répétitifs. Puis, la main de Natasha délaisse les énormes seins. Avec deux doigts rigides et assurés, elle s’enfonce sans ménagement dans l’anus de Laura qui gémit longuement. Natasha joue œil pour œil, surtout en matière de sexe. Pendant qu’elle pénètre fermement Laura, elle se caresse, tout en léchant frénétiquement la vulve brûlante qui gigote devant sa bouche.
Je n’en peux plus. Mon sexe voudrait exploser. Je me déplace derrière ma femme qui continue à assouvir Laura. Alors, sans rencontrer de résistance, j’enfonce mon membre lourd dans son anus bien apprêté. Elle sursaute sous la poussée de mon érection. Puis, elle gémit d’aise. Par la pression qu’exerce mon sexe, je sens ses doigts qui caressent l’intérieur de son vagin. Quant à Laura, elle se laisse aller, la tête renversée dans le vide. Natasha tient fermement ses cuisses. Elle enfonce en elle sa langue rigide, en suivant le rythme de ma queue qui martèle son cul. Laura exulte. Elle semble adorer ça. Je dois dire que Natasha s’applique avec soin et volupté.
Tout à coup, me voilà moi-même sur le point de jouir. Je me retire de Natasha qui se retourne, surprise. Elle n’aurait pas voulu que j’arrête.
Après une fouille rapide au deuxième étage, je reviens avec un harnais. Celui-ci est composé de deux verges de latex. La plus petite est tournée vers l’intérieur et s’insère dans le vagin de la femme. La deuxième, beaucoup plus longue, est tendue vers l’extérieur. De loin, j’admire le cul dressé de Natasha. Les filles se suffisent amplement. Laura offre son bassin en le pressant sur la bouche de Natasha qui, elle, se délecte tout en caressant l’ouverture de ses petites lèvres. En me voyant arriver avec le harnais, cependant, elle semble s’interroger sur mes intentions. Alors, je m’approche de son oreille :
Je tends le harnais à Laura qui se redresse sur la table. De toute évidence, le gadget n’est pas nouveau pour elle. Sans hésitation, elle se lève, s’enfonce la petite verge, puis ajuste les courroies du harnais. Pendant ce temps, je prends place sur la table qui brille de la sueur de son dos. Je me couche à mon tour et invite Natasha à chevaucher mon érection. Elle me rejoint avec avidité et introduit mon membre tendu au fond de sa chatte. Natasha voudrait déjà s’agiter, mais je retiens ses hanches. Son regard m’assassine. Alors, je demande à Laura de pénétrer l’anus de Natasha. Je suis très excité par cette curieuse image d’une blonde aux gros seins, qui va bientôt enfoncer sa queue dans le cul de ma femme. Laura est montée sur la table. Avec sa salive, elle lubrifie l’engin. Puis, elle s’accroupit légèrement pour introduire le long pénis de latex entre les fesses de Natasha, qui lâche aussitôt un gémissement de plaisir. Laura déclenche la vibration de cette queue imposante. La tête de Natasha s’affale sur mon torse. L’excitation est à son comble. Son corps tout entier semble enveloppé d’une bulle de plaisir qui la désintégrera bientôt. Laura pénètre son cul, en un aller-retour régulier. À la position de son bras, je devine qu’elle se caresse tout en baisant ma femme. Je crois qu’elle veut jouir avec nous.
Enfin, je m’agite moi aussi. Je sens la verge de Laura dans le cul de Natasha. Je suis envahi d’une multitude de sensations d’extase. Tout en m’enfonçant en elle avec fougue, je pince ses mamelons. Je lui fais volontairement un peu mal. De temps à autres, j’entends aussi le claquement d’une gifle sur ses fesses. Laura laisse libre cours à son imagination, pour mon plus grand plaisir d’ailleurs. Puis, sans briser la cadence, la jeune femme écrase ses seins sur le dos de Natasha. En même temps qu’elle la sodomise, elle masse vigoureusement le clitoris, assurément énorme, de ma femme. Les épaules de Natasha sursautent. Elle frissonne. Laura accélère les mouvements de bassin. Moi, je me synchronise sur les élans du faux pénis qui vibre contre ma verge. Je sais que je ne pourrai pas tenir bien longtemps. Je vais exploser sous peu.
Alors, lorsque j’entends monter du fond de Natasha ce râle que je connais bien, c’est une véritable délivrance. L’intensité de sa plainte annonce un orgasme renversant. Elle semble pleurer, le visage grimaçant, pendant que je sens les convulsions de plaisir secouer sa chatte brûlante. Au moment où je resserre l’étreinte sur ses mamelons, Natasha laisse sortir d’elle un son rauque d’une longueur et d’une magnitude rares. Laura, qui s’active toujours derrière elle, agite sa main de plus en plus rapidement sur son propre sexe et, avant même que ma femme n’ait épuisé ses cris, elle la rejoint dans la jouissance. Quant à moi, alors que le corps de Laura secoué de spasmes rend presque les armes, je sens ma verge puiser dans ses profondeurs. En longues giclées, mon sperme se libère, et me voilà, tout à coup, moi aussi précipité dans un infini éphémère d’une puissance magistrale. Je perds la notion du temps. Puis, peu à peu, dans la lente descente qui me ramène, je me volatilise dans l’espace. Durant quelques instants, le mouvement ralenti de mon bassin se perpétue machinalement, avant de s’arrêter pour de bon. Le souffle court, je sens alors par-dessus moi, la chaleur de ces deux femmes qui gisent, vidées elles aussi, les bras ballants, encore haletantes. Les yeux volontairement fermés, je les accompagne dans l’abandon le plus total. J’ai le corps défait.
Au cœur de la nuit silencieuse, nous ressemblons tous les trois à des poupées de chiffons sans vie, empilées sur une table désordonnée, en transit vers la réalité dérisoire.