n° 07546 | Fiche technique | 15983 caractères | 15983Temps de lecture estimé : 10 mn | 05/09/04 |
Résumé: Je ne sais pas ce qui m'a pris. Je suis mariée, 46 ans, deux beaux enfants, heureuse en amour, heureuse dans la vie, et pourtant ! | ||||
Critères: fh hplusag hagé extracon revede voir exhib lingerie | ||||
Auteur : Sophie2 |
Je ne sais pas ce qui m’a pris. Je suis mariée, 46 ans, deux beaux enfants, heureuse en amour, heureuse dans la vie, et pourtant !
Je suis femme au foyer, comme on dit et cela me laisse pas mal de temps, surtout depuis que les enfants sont grands. Je me consacre depuis toujours au milieu associatif. Je m’occupe bénévolement de personnes âgées.
J’ai perdu mes parents très jeune, c’est peut-être la raison qui m’a poussée dans cette voie.
C’est ainsi que je me suis retrouvée un jour chez ce vieillard particulièrement retord. Il passait ses journées à râler dans un fauteuil, il se plaignait sans cesse. Même quand je passais le voir il ne paraissait pas content. Il trouvait toujours quelque chose à redire, il n’y avait jamais rien qui allait. Alors que d’habitude nous sommes plutôt accueillis à bras ouverts à tel point que parfois on ne veut pas nous laisser partir. Mais lui c’était vraiment un grognon, un acariâtre. Je remercie ma copine Nathalie qui me l’avait refilé en douce en prétextant que c’était trop loin de chez elle. Le pire c’est que c’était encore plus loin de chez moi.
Je passais une heure par jour chez lui en moyenne, certains jours je ne faisais que passer, d’autres fois j’y restais une demi-journée. J’essayais de faire de mon mieux, il n’était jamais content. « Ma femme n’aurait pas fait comme ça », « J’étais une incapable », « Je ferais mieux d’aller voir ailleurs », le style de réflexion qui encourage.
Un après-midi, alors que je venais de m’embêter pendant deux heures à faire la poussière :
Excédée je me retourne vers lui, furax :
J’en suis restée baba. La première fois qu’on me disait ça. Sans être extraordinaire, j’étais plutôt pas mal. Mon mari me désirait et parfois des hommes me draguaient.
J’aurais dû me mettre en pétard ou alors claquer la porte. Au lieu de ça je suis restée comme une statue figée au beau milieu du salon.
Il enfonça le clou :
Quelque part ça m’a touché. Surtout venant d’un homme qui était lui très laid, vieux, laid et antipathique.
J’ai quitté la maison dans mes pensées, sans rien répondre. J’imaginais mal Nathalie montrant ses « miches » à ce vieillard. En arrivant à la maison, mon premier réflexe a été de me regarder dans la glace. Mon mari m’a embrassée. Il m’a demandé ce qui n’allait pas :
Cette nuit-là, malgré mes efforts nous n’avons pas fait l’amour, il était, comment dire, « fatigué ». Il était souvent fatigué ces temps-ci.
En m’endormant, j’ai repensé à cet homme qui m’écœurait au plus haut point : Laid, vieux, antipathique, le dégoût qu’il m’inspirait et son rictus salace lorsqu’il avait dit : « Au moins, elle me montrait ses miches ». Tu parles, rêves toujours.
Au réveil, seule au lit, mon mari parti tôt le matin, je me suis demandé comment Nathalie avait fait pour montrer ses miches. J’essayais de l’imaginer. Il est évident que je n’aurais jamais le courage de lui poser la question.
J’aurais dû refiler le « bébé » à quelqu’un d’autre. Curieusement, deux jours plus tard j’y suis retournée. En montant les escaliers, l’angoisse m’étreignait.
En me voyant, il a bougonné comme d’habitude mais rien de bien compréhensible. J’ai vaqué à mes occupations dans la cuisine.
J’étais sur le point de m’en aller quand il m’a à nouveau interpellé :
J’avais pris la décision de ne pas répondre, ce jour là c’est ce que j’ai fait.
Le lendemain matin, seule au lit, je suis imaginée en train de m’exhiber devant monsieur P., devant le vieux Georges. À cette seule évocation, je me suis mise à mouiller abondamment. Effleurant mes tétons, ils étaient tout durs. Je m’en suis voulue pour cette réaction. Pourtant, plus tard, sous la douche, je me suis caressée. Et passant devant le dressing j’ai choisi la robe la plus « sexy » que j’ai pu trouver. Une robe légèrement échancrée qui se ferme devant avec des lacets. C’est vrai que je n’avais pas grand chose de sexy dans ma garde robe, c’est la première fois que je m’en apercevais.
Dans le bus qui m’emmenais chez monsieur P., je me suis aperçu qu’un jeune homme me reluquait au niveau des seins, preuve que cette tenue était affriolante. Je devais être folle. Je n’avais même pas honte de ce que j’allais faire.
Lorsqu’il m’a vue :
La première fois que je n’étais pas accueillie par des ronchonnements.
Il me reluquait au niveau du lacet, il en bavait, la première fois que je voyais un homme baver d’envie pour moi.
J’ai commencé à délacer, très lentement, il n’en perdait pas une miette, le regard rivé sur ma poitrine. L’homme était fort laid mais mon entrecuisse d’une humidité inégalée. J’ai écarté la robe pour dévoiler mon soutien-gorge bien rempli.
Je me suis senti rougir de la tête aux pieds. Moi qui avait pourtant fait tant d’effort. En descendant les escaliers je me suis mise à pleurer.
Je suis allée au centre-ville, je suis rentrée dans la première boutique de lingerie fine que j’ai trouvée. C’était le genre d’endroit qui m’était totalement inconnu jusqu’à lors, j’achetais tous mes dessous en supermarché. Lorsque la vendeuse m’a annoncé le prix j’ai failli tomber dans les pommes, tout ça pour un bout de dentelle ! J’espère qu’elle ne l’a pas remarqué.
J’ai planqué mes trouvailles au fond de mon sac et je suis rentrée à la maison. Ce soir-là mon mari m’a fait l’amour mais je n’ai pas joui, j’ai simulé en le sentant se vider en moi. Quel horreur, j’ai pensé à Georges, à sa semence, j’étais lovée contre l’amour de ma vie et je pensais à un autre homme que je trouvais pourtant répugnant.
Le lendemain c’était Dimanche et je restais à la maison. J’ai tourné en rond toute la journée. À un moment mon mari m’a demandé une clope, je lui ai dit « dans mon sac » ne pensant que trop tard aux sous-vêtements qui s’y trouvaient. Heureusement je pense qu’il n’a rien remarqué.
Le lendemain matin je me suis lavée, pomponnée, maquillée, habillée, parfumée, j’ai mis un temps infini à me préparer à tel point que j’ai loupé le bus, j’ai dû attendre une demi-heure. Je me sentais « femme infidèle » et ça, ça m’excitait.
A peine arrivée qu’il m’a demandée « de me les montrer »
Dans sa bouche c’était un compliment.
Une fois la robe délacée :
J’ai libéré mes « miches », deux seins longs en forme de poires, affalés sur ma robe.
Je n’avais jamais fait ça, je me suis exécutée de mon mieux sans rien dire.
Dans mes pensées j’avais imaginé que je lui montrerais mes seins, peut-être sous toutes les coutures, éventuellement qu’il les toucherait mais que nous en resterions là. Dans mes pensées je n’avais pas imaginé lui montrer autre chose de mon anatomie. Pour moi c’était secret, réservé à mon mari.
Comme je restais là sans rien faire les seins entre les mains.
J’ai obtempéré.
Je me suis retrouvée peu à peu entièrement nue devant lui, offerte comme une marchandise à sa lubricité. Trop de poils, des vergetures, les seins trop tombants, il n’insistait que sur mes imperfections qui étaient pourtant toutes relatives. Je suis plutôt pas mal pour une femme de 46 ans. Et puis mes deux seins n’étaient pas de la même taille (on ne m’a jamais dit ça), et puis mes fesses étaient trop plates (alors qu’elles sont plutôt rebondies). Tout était prétexte à critiques et à chaque fois il faisait mouche, il touchait un complexe que j’avais eu ou que j’aurais pu avoir. Il m’a faite retourner dans tous les sens. Je m’exécutais passivement, esclave de son bon vouloir.
Je me suis rhabillée sans rien dire, humiliée par tous ses sarcasmes mais aussi, quelque part, quelque peu déçue, déçue qu’il ne m’ai même pas touchée, déçue de ne pas avoir joui. Une fois dans ma voiture, dans le parking, je me suis caressée profondément et j’ai joui en quelques minutes, en m’imaginant pilonnée sur le vieux canapé ou alors à genoux entre ses cuisses en train de l’avaler. Je devais être folle, j’avais presque envie de rebrousser chemin, d’y retourner, de m’offrir à lui, de le violer.
Le lendemain en arrivant, j’ai ôté mes sous-vêtements dans la cage d’escalier. Je n’avais pratiquement pas dormi de la nuit. Je rêvais à des situations, je pensais à Georges, à son gros nez, à son visage ridé, à ses regards salaces. Jamais de ma vie je n’avais eu autant envie de baiser, de me faire baiser. J’étais aussi obsédée par son sexe, comment était-il, gros, long, pouvait-il encore durcir ? J’avais envie qu’il me pénètre. Je n’avais de ma vie jamais fantasmé comme ça sur un homme.
A peine arrivée qu’il m’a demander de tout ôter ce que j’ai fait tout de suite sans broncher. S’en suivit une série de poses que je dus prendre pour l’exciter.
Cela faisait déjà une heure que j’étais arrivée et nous en étions toujours là. En moi le désir ne cessait de monter, je n’en pouvais plus. Je m’étais même allongée sur la table pour écarter largement les cuisses devant son nez et qu’il voir mon « intérieur »
Peut-être avec l’âge était-il devenu impuissant ? Mais j’avais au moins envie qu’il me caresse.
J’allais désespérer quand je l’ai vu se dégrafer. Comme je faisais mine de m’approcher :
Il a sorti un gros sexe noueux entouré de longs poils blancs qu’il s’est mis à tripoter. Il bandait à moitié.
Ca a duré longtemps, il ne bandait pas vraiment mais n’était pas non plus vraiment mou, entre les deux, il se masturbait en me demandant de prendre des poses.
Lorsqu’il fut près de jouir, il m’a demandé de me tourner, de mouiller un doigt et de me l’enfoncer dans l’anus. Dans mon dos je l’ai entendu grimacer, son vieux fauteuil couinait.
Nous avons recommencé ce scénario plusieurs fois, presque tous les jours pendant plus d’un mois, avec des variantes bien sûr. Parfois je devais me masturber ou m’enfoncer des objets. Souvent aussi il me demandait de m’exhiber nue devant la fenêtre ouverte, de m’exhiber et de me caresser dans l’espoir que dans l’immeuble d’en face on allait me reluquer.
Nous avons donc varié les plaisirs mais pas une fois il ne m’a touchée, de même pas une fois je n’ai pu le toucher. C’est ce qui a fini par me lasser. Il me disait toujours « Je ne touche pas aux putes ». Tant pis pour lui, dirais-je, car pour ma part j’aurais été prête à tout lui donner.
A force de frustration, j’ai laissé tomber. Je me suis arrangé pour qu’une collègue me remplace, sur le plan sexy, encore pire que moi, je ne crois pas qu’elle, elle va accepter.
Quoique, l’autre jour je rencontre Nathalie au supermarché, et nous parlions de nos « petits vieux » :
Ma pauvre, si tu savais ! Si tu savais que j’aurais aimé qu’il me demande encore plus de choses mais ça je pouvais difficilement lui avouer.
Quant à mon mari, il a trouvé un jour par hasard, la petite tenue que j’avais acheté dans le magasin de lingerie fine. Il a dû se poser effectivement quelques questions à ce sujet. Le malheur pour lui, c’est que, aiguisé par la jalousie, il s’est montré particulièrement maladroit en me disant un jour « tu dois avoir l’air ridicule avec ça », chose qui m’a particulièrement blessée.
Alors si vous êtes un homme seul, plus âgé (60 à 80 ans), encore vert, avec pleins d’idées coquines, que vous habitez du côté de Nancy et que vous avez envie d’une aventure torride, avec une mère de famille respectable encore bien conservée qui avoisine la cinquantaine, il se peut que j’étudie toutes propositions (rapports protégés souhaités et violence exclue)