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n° 07550Fiche technique11649 caractères11649
Temps de lecture estimé : 7 mn
05/09/04
Résumé:  J'avais 19 ans, j'étais en vacances et je passais mes après-midi à me masturber dans la nature.
Critères:  fh campagne voir fmast hmast intermast facial fellation
Auteur : Mmore
Marie-Claude et son bâton


19 ans, le bel âge.

J’étais en vacances à la campagne chez mes grands-parents maternels, depuis le début de l’été.

Il n’y avait pas âme qui vive dans ce trou perdu, et je n’avais pas le sou en poche. Du coup, je m’ennuyais ferme et je passais mes après-midi à arpenter la nature.

Je partais après déjeuner dans les bois, je passais à travers champs, je longeais la rivière, j’enjambais des clôtures.


J’allais souvent rôder aux alentours d’un petit étang poissonneux à souhait. Il m’arrivait aussi d’y braconner.

Il y avait là une petite cabane de pêcheurs, une table, des bancs en bois.

C’était une propriété privée, toute entourée de barbelés, mais je n’y avais pratiquement jamais rencontré personne, sauf une fois une fille étrange : Marie-Claude, la fille du proprio.

Notre rencontre avait été houleuse, je m’étais fait salement houspiller :



Et j’en passe et des meilleures. Bien entendu, je n’en avais rien à foutre, elle pouvait toujours prévenir la maréchaussée. Et, pour moi, ce n’était qu’une vieille fille aigrie, une mal baisée, une vraie conasse.

Mais, d’un autre côté, elle était vraiment menaçante. Sa voix était rauque, grave et éraillée et elle avait beaucoup de prestance, surtout avec son gros bâton à la main. Elle l’agitait devant moi en proférant un flot d’insultes. Je n’en menais pas large, elle me promettait même une sacrée raclée !

Ce jour là, j’ai rebroussé chemin en faisant profil bas.


Marie-Claude devait avoir la trentaine bien tassée, elle n’était donc pas vraiment ma génération. Fille de paysans, petite fille de paysans, elle était devenue factrice et n’avait jamais quitté son bled paumé.

C’était une drôle de gonzesse, toujours en bottes et pantalon crotté, avec souvent une épaisse chemise de cow-boy. Elle vivait en célibataire dans une petite bicoque, juste en face de l’église. Les mauvaises langues du pays disaient qu’elle était pas vraiment normale, qu’elle fréquentait des femmes (quelque chose d’horrible pour les bouseux du coin !). C’est vrai qu’on ne lui connaissait aucun mec et qu’elle avait une apparence vraiment très masculine. Mais dans ce patelin, il y avait tellement de ragots !

D’un autre côté, son long nez, ses yeux ternes, son visage ingrat et ses cheveux graisseux n’en faisaient pas non plus une beauté, et les prétendants ne se pressaient pas au portillon.


Nous n’avions donc pas grand chose en commun. Le seul point qui aurait peut-être pu nous rapprocher, c’est le fait que nous étions deux solitaires que nous aimions tous les deux la nature.




Une bonne quinzaine de jours était passée depuis notre première rencontre tumultueuse et j’avais déjà oublié l’incident.

Ce jour là, je suis passé près de la cabane en tout début d’après midi.

J’allais pénétrer dans la bicoque quand j’ai aperçu une forme allongée près de l’étang.

J’ai tout de suite reconnu Marie-Claude, elle était affalée dans l’herbe près des roseaux. J’allais rebrousser chemin et m’éclipser sournoisement, mais un léger gémissement a retenu mon attention. Un premier, suivi d’un autre, une série de petits soupirs.


Intrigué, j’ai contourné les arbres en essayant de ne pas mettre le pied sur une brindille pour ne pas trahir ma présence. En montant sur le coteau, j’avais une vue plongeante sur les abords de l’étang…

Aucun doute là dessus en tout cas, Marie-Claude avait baissé son pantalon. Elle était allongée au milieu des roseaux et avait la main entre ses cuisses. J’en avais la certitude, même si, de là où j’étais, j’étais vraiment trop loin pour voir tous les détails.

Je n’avais encore jamais vu une fille se masturber. Je m’étais souvent demandé si elles le faisaient parfois. Dans ma vision étriquée de l’univers, je pensais que les branlettes en solitaire étaient réservées aux mecs. Qui plus est, il est des filles qu’on imagine mal en train de faire l’amour !

Ce spectacle, insolite pour moi, me donna tout de suite envie de me caresser. Je sortis ma queue de mon short, je ne portais pas de slip ce jour là, et j’entrepris de me masturber tout en la regardant.


Je ne sais pas si j’ai fait du bruit ou quoi, mais, elle s’est soudain relevée d’un bond et s’est tournée dans ma direction. J’ai juste eu le temps de me camoufler derrière un arbre, mais sans trop y parvenir. Mon cœur s’est mis à battre la chamade… et j’ai rangé zézette.



Je suis sorti de ma cachette à contre-cœur, comme un gamin pris sur le fait. Etrange spectacle que cette fille débraillée : son pantalon était toujours baissé et elle ne faisait même pas mine de le relever. Ceci dit, pour l’heure, il n’y avait pas péril en la demeure, car sa chemise épaisse masquait sa foune.



Je ne me suis pas dégonflé, je n’avais rien à perdre, j’ai répondu :



Elle se baissa et saisit son gros bâton.



Ca me cloua le bec. Elle fit deux pas dans ma direction, menaçante, en faisant tournoyer son bâton au-dessus de sa tête. Mais, entravée dans son pantalon, elle s’arrêta net.



Mais elle était blême, elle ne trouvait plus rien à ajouter, elle avait perdu de sa superbe. Elle devait se sentir mise à nu.

J’ai profité de la brèche, sachant qu’une telle occasion ne se représenterait peut-être pas :



Sans me démonter, j’ai extrait sans peine ma bite de mon short, je bandais déjà à moitié. Comme si elle n’avait pas été là, je me suis mis à me branler. Marie-Claude était à quelques pas, le bâton toujours à la main, mais les yeux rivés sur mon braquemart qui grossissait. Elle ne pipait pas mot, j’en ai profité pour bien m’astiquer d’une main et me caresser les couilles de l’autre.


Un peu plus tard, elle a lâché son bâton, elle a relevé son pantalon, avant de s’approcher de moi.

Et, sans hésiter, elle a saisi mon braquemart et l’a lentement branlé. J’étais aux anges, d’autant plus que quelques instants plus tard, elle s’est mise à genoux devant moi et m’a embouché sans plus de formalité.

Je ne sais pas si elle était gouine mais, en tout cas, elle avait déjà sucé des bites, car elle faisait ça au moins aussi bien, sinon nettement mieux, que la plupart des filles que j’avais connues, preuve que la chose ne lui était pas totalement étrangère.


Elle m’a pompé de longues minutes tout en me masturbant, à ce rythme là, je n’allais pas tarder.



Mais elle redoubla encore d’intensité, sans tenir compte de mes avertissements, et, lorsque je me mis à cracher, elle s’aspergea copieusement le visage avec mes jets de foutre et termina le travail en me nettoyant soigneusement la queue avec sa langue.


Je venais à peine de reprendre mes esprits. Il me semblait opportun de lui rendre la pareille. J’ai osé un geste…



Elle était très excitante avec mon sperme qui s’écoulait lentement sur son visage.

Elle est allée chercher son bâton puis s’est allongée dans l’herbe juste à mes pieds. Le temps de baisser son pantalon, de relever sa chemise, j’ai pu voir qu’elle non plus n’avait pas de culotte. Une foune très poilue, de longs poils noirs plutôt longs et, lorsqu’elle a écarté ses chairs, j’ai pu voir son fruit bien rouge.

Elle a commencé par se frotter puis s’est enfoncé des doigts, sans ménager sa chatte. Elle me regardait dans les yeux, guettant mes moindres réactions, mais moi, fasciné par ses caresses, je regardais plutôt son entre-cuisse.


C’est alors que j’eus droit à ce spectacle incroyable qui est resté depuis gravé dans ma mémoire : Elle saisit le bâton et enfonça sans trop de peine l’épais pommeau dans son sexe. Elle grimaça un instant, serra les dents mais insista pour le rentrer en elle, jusqu’à ce que sa chatte ne l’avale en entier. Obscénité du gros bâton qui sort du ventre de sa patronne ! Elle le saisit fermement pour se pilonner avec tandis que son autre main énervait son bouton. Il fallait voir comme elle en voulait, ses yeux révulsés et lubriques, elle se défonçait comme une satanique. Elle s’est mise à crier, à hurler, à beugler, on devait pouvoir entendre ses gémissements à près d’un kilomètre. Et, lorsqu’elle jouit, son cri déchira la forêt.


Il ne lui fallut par contre pas longtemps pour reprendre ses esprits. Elle retira sans peine l’obscène bâton d’entre ses cuisses, se releva, se rafistola et me donna congé, mon sperme toujours collé sur son visage :



J’ai obtempéré sans difficulté. Une seule chose me tracassait : « Serait-il possible de recommencer un autre jour ? ». Mais j’ai senti que la question était inappropriée, qu’il valait mieux ne pas la poser, qu’elle aurait été mal perçue et mal interprétée. J’ai préféré faire confiance au hasard des rencontres…


Cet été là, je suis retourné rôder souvent près de la cabane, mais je ne l’ai jamais revue, et c’est bien dommage car, dix ans plus tard, Marie-Claude, j’en rêve encore, et je me branle encore, rien que d’y penser.