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Temps de lecture estimé : 18 mn
05/09/04
Résumé:  En rentrant chez moi, je découvre ma femme fébrile. Qu'a-t-elle donc à me dire ?
Critères:  fh couple intermast fellation cunnilingu fgode pénétratio hdanus fouetfesse
Auteur : Christian 4            Envoi mini-message

Série : Carole

Chapitre 01 / 02
Carole 1 - soirée surprenante


En arrivant chez nous, ce soir-là, je remarque que ma petite femme adorée paraît fébrile. Lorsque je lui demande ce qui la tracasse, elle me répond "rien" d’une voix qui me paraît peu convaincante.

La fin de la journée s’écoule sans problème et après le dîner, nous nous installons dans le canapé devant la télé.

Carole s’est changée et réapparaît vêtue d’un tee-shirt qui lui arrive à mi-cuisse. Il me semble, mais peut-être est-ce mon imagination, qu’elle ne porte, contrairement à d’habitude, pas de culotte. Je me garde bien de le lui faire remarquer et elle s’assied tout contre moi. La chaleur de sa jambe contre la mienne me procure, comme toujours, un sentiment de bien-être.

Mariés depuis vingt ans, notre vie intime n’a bien sûr plus la fougue de nos jeunes années. Nos étreintes, trop rares à mon goût, font plus de place aux caresses et à la tendresse qu’à ces chevauchées fougueuses de nos jeunes années.

Les années et deux grossesses lui ont laissé quelques kilos mais, malgré tout, le corps de Carole m’affole toujours autant et je ne rate jamais une occasion de l’admirer. Si elle n’aime plus guère porter ces jupes courtes que j’aime tant, les tee-shirts qu’elle porte le soir, une fois seuls, me permettent de me régaler du spectacle de ses jambes.


Les yeux sur la télé mais l’esprit ailleurs, je repense à cette magnifique expérience vécue avec un couple d’amis il y a 15 ans. Expérience qui m’avait permis de découvrir une épouse surexcitée, jouissant sous les caresses d’un autre homme et, encore plus excitant, sous celles d’une femme. Malheureusement, malgré quelques occasions, ma chérie a toujours refusé de revivre pareils moments.


Contre moi, Carole a un léger frisson.



Elle semble absorbée par l’émission diffusée et ne semble guère avoir envie de discuter. Dans ma tête reviennent quelques images de la fameuse soirée, Carole à quatre pattes, léchant la fente de notre amie pendant que le mari de celle-ci caresse ses fesses offertes ; Carole en 69, le sexe de notre ami déformant ses lèvres et étouffant ses gémissements.

Sans m’en rendre compte, je suis en érection et tente, en croisant les jambes, de masquer la bosse qui déforme mon caleçon.

À ce moment, Carole bouge un peu et son mouvement mets sa main en contact avec mon bas-ventre. Elle s’aperçoit alors de mon état.



Je ne sais trop quoi répondre, pris en faute comme un gamin en train de se toucher.



Me voici obligé de lui dévoiler la cours de mes pensées. Encore une bonne occasion pour elle de me traiter d’obsédé !



Visiblement, elle ne me lâchera pas ! Bon ! Courage !



Et, je ne sais pas pourquoi, je lui raconte les images qui défilaient dans ma tête. Après quelques secondes de silence, Carole me demande, un léger sourire aux lèvres :



Moi qui m’attendais à déclencher sa colère, je suis sacrément surpris en voyant sa main se poser à nouveau sur mon bas-ventre puis se refermer sur ma tige qui a pour l’instant perdu toute sa superbe.

Ses yeux plongés dans les miens, elle m’offre une caresse très douce, m’effleurant à peine, mais qui suffit à faire renaître mon érection. Je m’appuie un peu plus contre le dossier, me laissant aller au plaisir du moment présent. Il y a bien longtemps que Carole ne s’est pas comportée ainsi et je suis décidé à en profiter.

Elle passe la main sous mon sous-vêtement et ses doigts parcourent ma tige sur toute sa longueur. Je soulève un peu les fesses, lui permettant de me débarrasser du caleçon désormais inutile.

Sa position me permet d’admirer l’intégralité de ses jambes mais, à ce moment, je ne sais toujours pas si elle porte quelque chose sous son tee-shirt. Je pose une main sur sa cuisse mais elle m’arrête :



Je la laisse donc prendre la direction des opérations, curieux de voir jusqu’où elle désire aller. Sa masturbation dure quelques minutes puis, repoussant un peu la table basse du salon, elle s’installe à genoux ente mes cuisses. Elle lève les yeux en faisant aller et venir sa main sur mon sexe maintenant tendu au maximum puis se penche sur moi. Je sens son souffle sur mon gland et, enfin, la chaleur de ses lèvres qui se referment sur ma tige. Elle m’avale très lentement, ses mains flattant mes bourses en même temps et, après quelques minutes, son nez effleure mon pubis. Commence alors une fellation comme ma chérie ne m’en a pas offert depuis des lustres. Sa langue virevolte sur ma queue, elle me fait parfois sortir de ce doux écrin et donne de grands coups de langue sur la hampe avant de m’avaler de nouveau. Yeux mi-clos, je savoure sa gâterie, tout heureux de son initiative. Ses doigts massent mes bourses, les font rouler puis descendent chatouiller le léger espace qui les sépare de mon anus. Je raffole de cette caresse particulière et Carole le sait. C’est par contre très surpris que je sens un doigt tourner autour de ma corolle. Si, plus jeune, ma chérie, lors de longs 69, ne dédaignait pas forcer mon muscle et y faire aller et venir un doigt, et même quelques rares fois deux, il y a bien longtemps que je n’ose plus lui réclamer ce traitement qu’elle n’accepte plus non plus pour elle. Terriblement excité, je lève un peu plus les jambes, lui indiquant combien cette caresse me ravit. Lentement, elle force mon sphincter et me pénètre d’une phalange.

Cette initiative, couplée avec les caresses buccales, ne tarde pas à me faire monter au ciel. Connaissant le peu de goût de Carole pour le sperme, je la préviens mais, contre toute attente, elle me garde en elle, serrant un peu plus les lèvres sur ma tige. C’en est vraiment trop et, dans un grognement, je me laisse aller, lui emplissant la bouche de mon jus. J’ai rouvert les yeux et la regarde déglutir, avalant ma semence sans en relâcher une goutte.

Elle lève les yeux vers moi, me sourit puis abandonnant mon sexe se hisse vers moi et me donne ses lèvres. Nous échangeons un long baiser à l’odeur et au léger goût de sperme.

Après cet intermède ô combien agréable, elle s’assied contre moi et je remarque une larme couler sur sa joue :



Ça y est ! Je suis cocu ! Décidé à en avoir le cœur net, je poursuis, tentant de masquer mon trouble :



Peut-être me fais-je des idées mais il me semble que ce "non" manque de conviction. Pour l’instant, j’ai envie de profiter de son état d’excitation. Je l’embrasse doucement et pose une main sur sa jambe sans qu’elle ne se dérobe. Je remonte lentement le long de sa cuisse et atteint bientôt sa fourche. Comme il m’avait semblé, ma petite coquine n’a pas jugé bon de mettre un slip. Je lui demande de s’allonger sur le ventre, ce qu’elle fait non sans surprise, et je caresse l’intérieur de ses cuisses et ses fesses. Relevant le tee-shirt, je peux me repaître de la vision de son cul rebondi. Je poursuis un peu mes caresses et lui demande :



Passant un doigt sur sa fente, je m’aperçois qu’elle est déjà trempée.



Sa voix trahit une légère anxiété.



Son silence me prouve que je n’ai pas tout à fait tort. Brusquement, je cesse mes caresses et lui donne une claque, légère, sur la fesse. Elle pousse un petit cri de surprise et me demande :



Nouvelle claque.



Elle ne trouve rien à répondre. La connaissant, elle doit se demander si je suis jaloux ou si, au contraire, j’aurais aimé qu’elle aille plus loin.

Je ne dis plus rien et poursuis mes caresses, principalement sur son derrière. Elle se cambre un peu et dit d’une petite voix :



Je n’ose croire ce que je viens t’entendre ! Carole me demande de la fesser !

Je décide de faire celui qui n’a rien entendu et poursuis mes caresses quelques minutes. Puis, brusquement, je lui assène une nouvelle claque qui la fait sursauter. À l’endroit où ma main l’a frappée, la peau a très légèrement rosi. Une seconde puis une troisième claque et je constate que ma chérie, loin de chercher à échapper à cette ’punition’, tend les fesses. Je continue donc et ses fesses prennent une couleur rose foncé tout en chauffant.

La séance dure une bonne quinzaine de minutes. À la fin, délicatement, je passe un doigt le long de sa fente et découvre celle-ci trempée à souhait. À priori, la fessée ne la laisse pas insensible, loin s’en faut !



Elle obéit et se retrouve nue, semblant totalement livrée à mon bon vouloir.


Je reste quelques instants immobile, la contemplant, admirant comme chaque fois sa poitrine, son ventre, son pubis à la toison taillée court, ses cuisses fermes. Remontant le regard, nos yeux se croisent et je peux lire dans les siens un mélange d’appréhension et d’excitation.

Mes mains retrouvent sa peau et j’explore son corps, des épaules aux genoux, prenant bien soin d’éviter les zones sensibles.

Carole a fermé les yeux, s’abandonnant à mes caresses, et sa respiration se fait plus rapide.


Très lentement, j’approche une main de son intimité et suis de mes doigts le contour de ses lèvres. Ma caresse se fait plus précise, tirant un léger soupir à ma chérie qui écarte sensiblement les jambes. Je cesse alors tout mouvement. Ouvrant les yeux, elle me regarde d’un air surpris et me demande :



À mon retour, elle découvre ce que j’ai en main et son regard trahit autant l’inquiétude que la surprise.



Mon ton la surprend et elle n’ose rien répondre. Ah, que je vous dise ! L’objet du délit n’est rien d’autre qu’un gode acheté en secret il y a quelques semaines et dont j’attendais l’occasion pour l’inaugurer. Occasion qui semble se présenter ce soir !



Vaincue, elle obéit et semble s’offrir au doux supplice qui l’attend. Patient, je mets le vibreur au ralenti et m’amuse à lui caresser le ventre, puis la poitrine. Comme je m’y attendais, Carole a bien du mal à contenir quelques légers soupirs et ses tétons sont dressés et tout dur. Je prends tout mon temps, désireux de l’amener au bord de la jouissance. Lentement, je redescends sur son ventre, maintenant hérissé de chair de poule. J’attends ses premiers poils et masse un peu le doux renflement de son pubis. Sa respiration s’est très nettement accélérée et elle ne fait plus rien pour retenir ses gémissements.

Lorsque le bout de l’olisbos effleure son bouton, elle pousse un petit cri et son corps se tend. J’abandonne bien vite et poursuit sur sa fente maintenant béante et ruisselante.

Je l’enfonce un peu en elle et augmente la vitesse des vibrations. Carole, le front couvert de sueur, pousse une longue plainte.

Je retire alors le gode de sa chatte et le pose sur sa bouche. Elle ouvre les yeux mais refuse de desserrer les lèvres.



Ses yeux reflètent toujours un peu l’inquiétude et, vaincue, elle donne un long coup de langue le long de l’engin, y recueillant les traces de son excitations.



Je pose l’olisbos dans sa main et, après une légère hésitation, ses doigts se referment dessus.



Je la regarde passer et repasser le sexe factice sur ses seins, entre eux, sur ses tétons, variant la vitesse du moteur.



Elle passe la tête de l’engin sur sa fente, le fait aller et venir le long de celle-ci, poussant des petits "ah" de plaisir.



Je prends plaisir à lui dire ce que je veux qu’elle fasse, surtout en employant des termes crus que d’ordinaire elle me reproche. Face à elle, je regarde le gode s’enfoncer en elle, écartelant ses lèvres. L’engin imitant à la perfection un sexe de fort belles dimensions, je ne doute pas un instant du plaisir qu’elle trouve à cette pénétration.

La bouche grande ouverte, elle absorbe le faux membre totalement en elle. Elle reste alors un peu immobile puis, lentement, le fait ressortir de son minou, luisant de mouille.

Je la laisse ainsi se donner du plaisir quelques minutes avant de l’interrompre et de la faire se lever. Nue au milieu du salon, en nage, le souffle court, Carole est un véritable appel au viol.



Dans cette position, elle m’offre une vue imprenable sur sa chatte et son petit trou. Je m’approche d’elle et frotte mon gland sur sa fente, lui donnant des frissons. Je m’enfonce alors un peu en elle, accueilli par un gémissement, mais ressort et reprend mes caresses sur son sexe. Je m’écarte un peu et prend possession de son minou d’une main, le pouce fiché en elle et les autres doigts flattant son intimité.

Carole est au bord de l’explosion et me demande de la prendre, de la faire jouir. Guère pressé, je poursuis mes caresses en flattant son derrière de l’autre main. Rapidement, j’envoie un doigt contre son petit œillet brun et, doucement, prend possession de ses reins.



Ma chérie a de plus en plus de mal à se contenir. Pour ma part, mon sexe me fait presque mal tant il est tendu. Retirant mes mains, je reprends position contre elle et, d’une longue poussée, mon sexe la pénètre, déclenchant un premier orgasme. Je sens ses muscles serrer ma queue et sa liqueur couler en abondance. Fermement agrippé à ses hanches, je vais et viens en elle à grands coups de reins. Rapidement, elle a le plus grand mal à garder son équilibre et me demande de m’allonger.

Elle vient s’empaler sur moi et imprime son propre rythme. Ses seins, ballottant sous ses aller et retour attirent ma bouche et je les embrasse longuement, titillant les tétons turgescents. Notre chevauchée dure de longues minutes puis Carole sort mon sexe de sa chatte et pose le gland contre son petit trou. Je la laisse bien entendu faire, assez incrédule, ma chérie ne m’ayant offert son cul que très rarement et à grâce à mon insistance.

Ses yeux dans les miens, elle descend lentement sur moi, s’empalant centimètre par centimètre, s’arrêtant parfois pour s’habituer à ma présence. Son visage trahit l’effort qu’elle fait pour m’accueillir.

Enfin ses fesses sont sur mes cuisses. Je suis tout entier dans son cul ! Après quelques instants, ma chérie commence à aller et venir sur moi, me faisant presque entièrement sortir avant de s’empaler totalement, poussant à chaque va-et-vient un cri de plaisir.

Les mains appuyées sur mes cuisses, elle m’offre la merveilleuse vision de sa poitrine bombée et de son intimité. Je vois mon sexe entrer et sortir de son cul, sa chatte ouverte et trempée vers laquelle je ne résiste pas à envoyer la main. Je parcours doucement sa fente, titille son bouton dressé. Cette caresse, alliée à la sodomie, déclenche un nouvel orgasme et Carole hurle presque son plaisir, mon sexe entièrement fiché eu plus profond d’elle.

Son plaisir déclenche le mien, la tenant par les hanches, je rue une dernière fois et me répands longuement dans son cul.


Nous savourons notre jouissance, ma chérie immobile, ma verge toujours en elle, a fermé les yeux et reprend lentement une respiration plus calme. Je ne peux m’empêcher de l’admirer, la trouvant comme chaque fois délicieusement belle dans le plaisir.

Ma bitte perd de sa vigueur et est éjectée du doux écrin. Carole vient alors contre moi et m’offre sa bouche pour un tendre baiser.



Ça alors ! je n’en crois pas mes oreilles ! Et pourtant ? Je décidé d’en avoir le cœur net :



Tout en discutant, Carole bougeait légèrement, ses tétons caressant de manière fort agréable ma poitrine et je me retrouve à nouveau en érection. Ma chérie s’en rend compte et ses doigts entourent ma verge et la caressent doucement.



Sans répondre, elle s’installe en 69 m’offrant son intimité. Mes mains se posent sur ses fesses que je caresse doucement, les écartant pour mieux admirer son œillet, sa fente rose et humide. Écartant ses lèvres, je pose les miennes sur son chaton et déguste son nectar, plongeant dans sa grotte pour m’y abreuver, mes doigts parcourant sa fente.

Ma chérie a repris mon sexe dans sa bouche et me suce à nouveau avec voracité, m’avalant entièrement, massant mes couilles, caressant mon œillet.

Nos léchouilles durent quelques minutes puis, se redressant, Carole s’empare du gode, met le moteur en route et vient l’appuyer contre mon anneau.


Très lentement, elle masse mon muscle intime et, peu à peu, celui-ci se détend, lui permettant de poursuivre l’intromission.


Jusqu’alors seul un doigt avait franchi cette étroite porte. Je découvre donc des sensations totalement inédites qui, j’avoue, ne me laissent pas insensibles. Je m’attendais à ressentir une certaine souffrance mais Carole progresse particulièrement lentement, s’arrêtant parfois pour me laisser le temps de m’habituer à la présence de l’intrus. Je me surprends même à lever un peu plus les jambes, livrant sans aucune pudeur mon cul au bon vouloir de ma chérie.

Lentement mais sûrement, l’engin progresse en moi et, après plusieurs minutes, Carole m’annonce qu’il est entré en entier. Curieux, j’envoie une main vérifier ses dires et, effectivement, je suis bel et bien embroché jusqu’à la garde !



Elle augmente la vitesse des vibrations et je ne peux retenir un long gémissement. Avec les mêmes précautions, elle ressort l’engin, me laissant une impression de vide puis, sans aucune hésitation, me pénètre à nouveau d’un seul coup, m’arrachant un cri où se mêlent plaisir et surprise. Je tends les fesses au-devant du jouet, lui indiquant ainsi que j’accepte totalement la pénétration et elle entame alors de lents mais profonds va-et-vient.


J’ai bien du mal à me concentrer sur mes caresses. Carole s’en rend compte. Elle sort le gode et appuie un peu plus son sexe contre mon visage. Je retrouve sa fente plus mouillée que jamais. Visiblement, me sodomiser ne la laisse pas indifférente !

De son côté, elle reprend mon sexe entre ses lèvres et me suce à nouveau.


Quelques minutes suffisent pour je devine que ma chérie n’est plus très loin de septième ciel. J’appuie un peu plus sur son bouton tout en enfonçant deux doigts dans sa grotte et un dans son adorable derrière. C’en est trop pour elle ! Elle lâche ma queue et crie son plaisir, m’abreuvant de sa liqueur que je déguste à grands coups de langue.

Elle met quelques instants à reprendre ses esprits, m’offrant le fabuleux spectacle de sa fente béante, aux lèvres gorgées de sang, de son œillet brun. Je sens son souffle chaud sur ma verge. Je n’aurais qu’à bouger juste un peu pour forcer sa bouche mais je la laisse récupérer, heureux du plaisir que je viens de lui donner.



Comment résister à pareille invitation ? Carole s’allonge sur le dos, relève les jambes, attendant que je la prenne. Je m’installe entre ses cuisses et, peu pressé, caresse sa fente de mon gland, la faisant gémir rapidement. Je présente ensuite mon sexe à l’entrée de son vagin et d’une poussée presque brutale, m’enfonce en elle, lui arrachant un long "ah" de plaisir.

Je fais quelques va-et-vient mais sens que je ne pourrais résister trop longtemps. Je m’immobilise alors au fond d’elle. Ses bras m’entourent et elle m’attire à elle pour un long baiser.



Ces simples mots, murmurés dans le creux de mon oreille, d’un ton si tendre, viennent à bout de ma résistance. Carole enserre mes reins de ses jambes, me retenant. Alors, dans un long râle, je laisse éclater ma jouissance. Mes jets fusent, puissants, au plus profond d’elle, arrosant sa grotte.



Nous restons ainsi de longues minutes, tendrement enlacés.


La première, Carole refait surface.



Nous nous levons, direction la salle de bains. Je la suis, ne pouvant détacher de ses fesses qui balancent devant moi.



Le jet d’eau tiède nous fait un bien fou. Je propose à ma chérie de lui savonner le dos ; elle se tourne et me tend le gant de toilette. Je commence donc, mon savonnage ressemblant plus à un doux massage. Mes mains courent, des épaules au haut de ses fesses. Je la fait se tourner et, feignant le détachement, entreprend de m’occuper du devant. Elle ne refuse pas, bien au contraire, bombant le torse comme pour mieux m’offrir sa poitrine. Je suis de plus en plus lent, concentrant ce qu’il faut bien appeler mes caresses, sur ses aréoles et ses tétons. C’est sans surprise que je les vois à nouveau grossir. Je les délaisse et poursuis sur le ventre.


Carole me regarde faire, un léger sourire aux lèvres et, lorsque j’atteins le haut de sa toison, demande d’un air innocent et coquin à la fois :



Elle a prononcé ces derniers mots en souriant, les yeux baissés vers mon bas ventre et mon sexe en érection. Ses doigts se referment sur ma hampe et vont et viennent lentement, dans une merveilleuse masturbation.


Ainsi face à face, nous nous caressons mutuellement, ralentissant parfois en devinant le plaisir de l’autre proche. Carole se colle contre moi et sa bouche s’empare de la mienne. Notre baiser est à la fois d’une tendresse extrême et, en même temps, presque violent. Nos langues dansent ensemble, nous nous mordillons les lèvres.

Soudain, je sens ma femme se raidir. Elle délaisse mes lèvres et, les yeux fermés, pousse un long soupir pendant que mes doigts recueillent le fruit de son orgasme.

À mon tour, je succombe et lui arrose la main de mon sperme.

Nous restons amoureusement enlacés quelques minutes puis nous rinçons et allons nous coucher.


Le sommeil s’empare rapidement de nous et ma nuit est peuplée de mille visions plus érotiques les unes que les autres.