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n° 07556Fiche technique11031 caractères11031
Temps de lecture estimé : 7 mn
06/09/04
Résumé:  Une femme aguiche l'ami de son mari
Critères:  fh extracon exhib massage
Auteur : Ambrume      

Série : Sofia

Chapitre 01 / 03
Frustration


Au volant de ma voiture je me rendais chez Paul, un de mes amis. Il fallait que je jette un coup œil sur son ordinateur. Sa femme m’avait appelé en début de matinée et m’avait demandé de passer dans l’après midi. Comme je travaille dans l’informatique de temps à autre, on m’appelle pour régler quelques problèmes de virus ou de fichiers perdus. Et ça ne m’emballe pas tellement, c’est toujours des pièges à patience.

Il faisait plus que beau ce jour là. Je n’aime pas trop la chaleur, car elle m’embrume les idées, et transpirer pour le moindre geste m’agace au plus haut point. Plutôt que de régler ce problème j’aurais préféré faire un ciné ou flâner dans les sous-bois avec mon chien Léo. Ce n’est donc pas de bonne humeur que j’allais chez mon ami, mais bon, il faut bien se rendre service.

Il faisait vraiment chaud, très chaud et en ce début d’après midi la lumière explosait sur toutes les façades des maisons. C’était aveuglant et pénible même avec de bonnes lunettes de soleil.

Je montais le perron et sonnai. Les insectes de toutes sortes faisaient un bruit assourdissant. Mais aucune âme ne bougeait, toutes les maisons étaient fermées. On imaginait sans peine ce que l’on ressent dans une ville fantôme.

Au bout de quelques instants Sofia, la femme de mon ami, me répondit d’une voix enjouée :



Elle m’ouvrit la porte. Elle n’était vêtue que d’une serviette qui lui descendait au ras des fesses.

Mes lunettes étant foncées, je pouvais la détailler tout à mon aise.



Sofia est une femme brune d’origine italienne, aux yeux noirs et la peau mat. J’adore son grain de peau. Ses cheveux longs et frisés lui donnent un air à la fois méditerranéen et sauvage. Elle a le corps bien proportionné, avec une poitrine ni trop grosse ni trop petite. Je ne peux pas dire qu’elle soit jolie, mais elle a un quelque chose de sensuel, que j’aime bien. Mais c’est la femme de mon ami et ce n’est pas le moment de rêvasser, si je veux rentrer chez moi rapidement.

Nous montons au bureau, à l’étage. La maison est plongée dans la pénombre pour garder la fraîcheur. Elle me précédait dans l’escalier et je ne pouvais m’empêcher de regarder le haut de ses cuisses que la serviette cachait à peine.



Je me mis au travail et pestai contre ce maudit virus qui me mangeait mon après midi de farniente. Je travaillais un moment et j’attendais que l’antivirus fasse son boulot, et c’est les mains dans les poches que je me levai et allai regarder par la fenêtre. Quelle ne fut pas ma surprise : Sofia se faisait bronzer nue près de sa piscine. J’étais estomaqué. Je restais planté comme un idiot. Du haut de la fenêtre de l’étage, je devais avoir la mâchoire qui pendait comme dans les Tex Avery. Depuis le décès de mon épouse je n’avais jamais eu, je crois, l’occasion de revoir une femme nue en chair et en os. Le bip du PC me tira de ma stupeur. Heureusement que Sofia semblait s’être assoupie. Sinon j’ai bien peur qu’elle ne se soit fâchée. Elle n’avait pas le caractère facile.

Je terminais le nettoyage avec la pensée envahie par l’image du corps de Sofia. Je suis redescendu au rez-de-chaussée. Je lui criais



Elle gravit les escaliers et vint tout près de moi, elle avait passé sa serviette autour de son corps. Je priais pour qu’elle n’ait pas vu mon érection.

Elle sentait bon le lait solaire. Elle approcha son visage de l’écran, sa main sur mon épaule. Elle avait sa joue proche de la mienne, ma gêne physique pris encore plus de volume.



Je cliquai sur le répertoire.



En effet je pouvais voir de belles photos faites par Paul. Le sujet était le même, Sofia, il n’y avait que les décors qui changeaient.

Je fixais l’écran de peur de la regarder. Son visage si près et sa main sur mon épaule déclenchaient en moi des émotions que je n’avais pas éprouvées depuis longtemps.



Mon sang ne fit qu’un tour et se figea dans mes veines, une suée froide me glaça la colonne vertébrale. Le choc thermique fut brutal. Je crois que je pâlis immédiatement. Je ne pouvais rien articuler pour ma défense. Le bruit des insectes s’amplifiait, sous les coups de boutoir de mon sang qui me frappait les tempes. Je me laissais happer par une glu de honte. Mes idées étaient figées…



Je me sentais cramoisi, rouge de honte. Je ne savais plus ou me mettre. Je fixais l’écran en attendant de me réveiller ou de me liquéfier. Je réussis à dire :



Elle était toujours près de mon oreille à me susurrer ces paroles.

Je bandais toujours, elle jouait avec mes nerfs, mais je n’osais pas bouger d’un pouce.

Soudain elle se releva et me dit



J’aurais dû dire non, me barrer, lui dire qu’elle aille se faire voir. Mais comme un idiot je lui demandais ce qu’était que ce service.



Je ne bandais plus du tout, ma curiosité l’emportait. Je me demandais bien ce que pouvait être ce service.

Elle s’allongea sur le ventre au bord de la piscine. Sa serviette ne lui cachait que le bas du dos



Je ne comprenais plus rien ou plutôt j’avais peur de tout comprendre.



Comme un automate, je pris le tube de crème et en mis une noisette au creux de ma main. Le soleil tapait fort. Les reflets de la piscine dansaient mollement à la surface de l’eau. Ma main tremblait légèrement. Je m’approchais de Sofia, rien ne bougeait autour de nous. J’étais hypnotisé à l’idée de caresser son corps. Je me disais que je faisais une connerie, qu’il fallait m’éloigner, que cela m’attirerait des ennuis, mais ma volonté se perdait dans l’envie qui me taraudait le bas-ventre.

Sofia attendait en me fixant.



Je ne pouvais répondre, j’avais la bouche sèche. Je commençais par les épaules, Sofia soupira



Je lui massais les trapèzes tout doucement, puis, je descendis le long du dos et étalai lentement la crème. Sofia remuait, ronronnait; elle avait les yeux fermés et goûtait pleinement son plaisir.

Je terminais en lui disant



Je repris l’étalage de la crème, en mettant l’accent sur l’intérieur des cuisses. Mais je ne m’approchais pas trop des points sensibles. Cependant la tendance s’inversait, je sentais que Sofia en voulait plus et se ramollissait, je la sentais de soumettre à mes caresses.



Je remontais sur le haut des cuisses. Je prenais plaisir à lui passe la crème solaire en faisant durer le massage. Je remontais petit à petit vers son postérieur. Soudain n’y tenant plus, elle enleva sa serviette et me demanda, d’une voix rauque, de lui passer de la crème sur les fesses. Son regard se planta dans le mien, elle avait les yeux vitreux. Je m’appliquais du mieux que je pouvais et j’y prenais du plaisir, mais qui n’en aurait pas pris à ma place ? Elle n’avait aucune trace de maillot. Sa main gauche partie sous son ventre, elle se caressait lentement.



Elle écarta un peu les jambes, je compris le message et passais ma main dans son sillon. Je lui massais son petit trou avec un peu de crème, elle s’agita sous ma caresse et remonta le bassin. Elle ôta ses doigts et je pus descendre caresser sa chatte. Elle était trempée….



Je me levais et au prix d’un effort surhumain je lui annonçais que je devais rentrer.

Je la plantais là telle quelle. Elle me fusilla du regard, et au moment où je franchissais la porte, sa sandale me frappa la nuque.

Mon orgueil imbécile de mâle fût plus fort que mon envie de son corps



Terminé? La suite me prouva le contraire………………


Mais c’est une autre histoire que je vous conterai plus tard……