n° 07560 | Fiche technique | 7867 caractères | 7867Temps de lecture estimé : 5 mn | 06/09/04 |
Résumé: J'aime les hommes avec des fesses rebondies | ||||
Critères: hh copains douche intermast fellation hsodo | ||||
Auteur : Richard0 |
Depuis toujours, je suis attiré aussi bien par les hommes que par les femmes et cela ne me pose aucun problème particulier. Cela n’en pose que dans mes rapports avec mon entourage.
Mais je ne suis pas attiré par n’importe quel homme, ni d’ailleurs par n’importe quelle femme.
Curieusement, ce que j’aime chez les hommes, c’est leur côté féminin et sensuel. Je déteste les mecs virils, les barbus ne m’excitent en rien, les musclors pas plus et j’ai horreur des défonçeurs de culs. Pour autant je ne suis pas non plus attiré par les folasses ou autres caricatures.
Non, moi, ce que j’apprécie, ce sont les mecs plutôt timides, discrètement efféminés, relativement peu poilus, avec des beaux petits culs bien ronds et bien rebondis et surtout avec l’esprit resté très jeune et très joueur. Et la sensualité à fleur de peau.
Et chez les nanas c’est pareil, mes choix sont très ciblés. Des filles plutôt indépendantes, solitaires, timides et rebelles, l’ensemble n’étant pas incompatible. J’apprécie qu’elles aient des formes, par contre j’ai horreur de l’exhibitionnisme ambiant. Le mythe de la petite salope qui montre son cul à la terre entière me fait tout sauf fantasmer, de même pour la superficialité « cosmétique » de la féminité enjôleuse. D’un autre côté l’aspect maternel, sécuritaire et familial qui se cache au fond de chaque femme est incompatible avec ma raison d’être.
En conclusion, j’ai des copains, des copines et je suis le plus heureux des hommes
L’année de mes 19 ans, je préparais un BTS et j’avais une petite piaule à la cité U. Il y régnait une bonne ambiance de franche camaraderie, c’est ainsi que j’ai rencontré Fabrice. Il faisait la queue tout comme moi en attendant qu’une douche se libère. J’ai tout de suite remarqué son beau petit cul bien rond. Ça m’a tout de suite excité, ce cul rebondi devant moi, si je m’étais pas retenu j’aurais baissé son jogging pour admirer ses fesses, je me suis mis à bander en silence derrière lui.
J’avais déjà connu des mecs, plusieurs, plus vieux que moi la plupart du temps, des relations d’un soir, j’avais été sodomisé une bonne dizaine de fois et sucé des bittes bien plus souvent, la dernière en date étant celle d’un cousin avec qui j’entretenais des relations épistolaires. Nous nous étions longuement léché les vacances passées et il m’avait offert son derrière que j’avais pris avec malice. Il était « amoureux » de moi mais moi pas spécialement, ce sont des choses qui arrivent.
A un moment donné, Fabrice s’est retourné, ses yeux se sont posés sur mon short, indéniablement je bandais. Il s’est retourné sans commentaire. Je me suis dit que ça ne devait pas l’intéresser.
Comme quoi je me trompais ! Lorsque la douche s’est libérée, il s’est à nouveau tourné vers moi :
C’est ainsi que nous nous sommes retrouvés dans cet exigu local. Et là nous nous sommes roulés une pelle d’enfer qui a duré de très longues minutes. Humm, que c’était bon. En plus il avait la peau toute lisse, presque aucun poil sur le torse, et la langue bien chaude, j’en bandais tellement fort que j’en avais presque envie d’éjaculer. Mes mains étaient glissées dans son short et malaxaient ses belles grosses fesses charnues, c’en était un régal.
Je suis descendu le long de son corps bientôt dénudé pour l’embrasser partout, il était min et frêle avec la peau très blanche, tellement mince que ses belles fesses rebondies étaient un appel au viol. Agenouillé devant lui, j’ai embouché sa queue, elle était sucrée et juteuse et tellement bonne à sucer.
M’arrêtant un instant, je lève les yeux vers mon beau mâle imberbe :
Il se mit à sourire probablement en y pensant et me fit « shuttt » mais l’idée de passer pour une petite salope vicieuse aux yeux de tous m’excitait vraiment, alors je renchéris, en haussant légèrement la voix : « Elle est bien juteuse ta queue, j’aime la pomper »
A moins que nos voisins ne soient sourds, ils auraient eu du mal à ne pas entendre, d’autant plus que les jets de douche venaient de s’arrêter. S’en suivit un long silence, mon copain était blême et moi j’exultais, sur le point d’éclater de rire, je trouvais la situation cocasse et en profitai pour pomper cette belle bitte, sans faire de bruit pour ne pas effrayer mon ami (et par peur qu’il débande).
Ensuite, n’entendant plus rien, on les entendit ranger leurs affaires, prendre leurs cliques et leurs claques. Ils quittèrent les lieux, bientôt remplacés par d’autres.
Et moi je pompais, je pompais, je pompais comme un fou, m’arrêtant juste pour sucer son gland ou pour lécher ses couilles, elles aussi peu poilues. Fabrice s’arc-boutait, bientôt au bord de la jouissance. S’en suivit alors un long moment durant lequel j’ai joué avec son attente avant de reprendre de plus belle.
Maintenant il était ailleurs, il ne faisait plus attention au bruit et pourtant, du bruit, nous en faisions, de plus en plus au fil du temps. Les autres devaient être tout ouies et moi j’étais hyper excité par cette situation cocasse.
Le point de non retour était arrivé, j’ai ressorti sa bitte pour bien la branler devant mon visage :
Je m’en foutais du « qu’en dira-t-on ? ». Peu m’importait que la terre entière nous entende ; J’avais envie qu’il m’asperge de foutre, c’est ce qu’il a fait par saccades en se mordant les lèvres, en m’éclaboussant les joues copieusement.
Il m’a tout donné et je l’ai à nouveau embouché pour aspirer jusqu’à sa dernière goutte. Je sentais son sperme gluant me dégouliner le long de la figure et c’était tellement bon. En plus j’adorais le goût sucré de son nectar, je n’avais jamais eu l’occasion de sucer une si bonne bitte.
A côté, on entendait un mec respirer. Il devait penser que nous étions deux petits pédés, ce que nous étions en fait. Peut-être était-il en train de se masturber, peut-être qu’il aurait eu envie de se joindre à nous.
Mais Fabrice se pencha à mon oreille et murmura doucement :
Alors, gentiment, le temps de nous rafistoler, prenant à peine la peine de sécher mon visage, nous sommes sortis et sommes allés discrètement dans sa piaule.
Après ça, quel feu d’artifice. Nous étions deux petites salopes qui aiment sucer des bittes, deux petites tapettes prêtes à offrir leurs petits culs bien ronds, deux petits cochons obsédés par le sexe. Nous nous étions trouvés, nous ne pensions qu’à ça.
Nous nous sommes enculés mutuellement une grande partie de la nuit avant de nous endormir corps à corps dans les bras l’un de l’autre. Comme il était agréable de dormir la queue contre ses fesses et en rêvant que le lendemain encore je pourrais encore me repaître de son jus.
Fabrice c’est mon premier amour, chaque jour plus coquin, plus vicieux, plus pervers. Il m’arrive encore de rêver à son cul, quel délice, même ma compagne n’en a pas un si beau, mais elle a d’autres charmes.