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Temps de lecture estimé : 14 mn
08/09/04
Résumé:  Silvia aime les anniversaires et son moment préféré, c'est quand elle souffle les bougies...
Critères:  fh couplus extraoffre grossexe vacances intermast fellation pénétratio
Auteur : Glloq  (De quoi se faire plaisir)      
Le cadeau de silvia


Cette année comme depuis cinq ans, Michel tenait à fêter l’anniversaire de notre rencontre. Il était en général très fort pour trouver des ambiances particulières, et cette fois-ci, il avait décidé de m’offrir un dîner exotique, très romantique, plein de frou-frous, de douceur, danseurs et danseuses un peu dévêtus, quelques corps luisants et ambrés, de la cuisine épicée, des senteurs poivrées et des liqueurs tropicales, tout était magique.


Il me semblait être sur une île des Caraïbes alors que nous nous trouvions en plein Paris, mais la chaleur des cocktails, les rythmes chaloupés, les couleurs et les corps halés étaient une invite à la sensuelle féerie des tropiques, bien loin de ce froid début d’hiver.


Comme à son habitude, Michel se donnait un mal fou pour me mettre dans de bonnes dispositions. Chaque anniversaire était pour lui l’occasion de me montrer combien il tenait à moi et il trouvait toujours de quoi me combler.


Bref, cette fois-ci comme les autres, il me réservait une chaude nuit où nous pourrions renouveler nos serments mais aussi et surtout nous épuiser mutuellement dans les délices de la luxure. C’était du moins ce à quoi je m’attendais, d’ailleurs, j’étais disponible et prête tout, j’étais heureuse, sachant ce qui m’attendait, je l’acceptais… bien plus, je le voulais… le vin, et la vue, les odeurs et la musique, toutes ces choses me parlaient, me susurraient les doux moments qui s’approchaient après une agréable attente, douce torture à laquelle je me prêtais avec délectation.


J’étais, je suis une femme comblée, amoureuse, entourée… que cherche une femme dans sa relation avec un homme? Je ne le sais toujours pas.


Une épaule, un compagnon de route certes oui, mais parfois aussi cette chose que l’on ne nomme pas mais qui, lorsqu’on aime, nous comble de bonheur, cette «chose» que l’on ne nomme pas, mais présente à chaque instant, partager ces moments magiques où l’on a l’impression d’exister, ensemble…


Lui n’était pas en reste, il faisait le maximum pour me mettre en condition, pour que je le désire. Pourtant, derrière son regard coquin et sans équivoque sur la suite de notre soirée, se cachait une certaine gêne. Je n’arrivais pas à en définir la nature, mais je le sentais un peu tendu, il regardait souvent sa montre et semblait se forcer à avoir l’air décontracté.


Je le rassurais comme je pouvais en lui faisant comprendre que j’étais tout attentive à son désir par des caresses furtives, parfois osées et appuyées, mais je voyais bien que cette tension ne le quittait pas vraiment, il m’avait promis une surprise et peut être ne savait-il pas si celle-ci me plairait. De toute façon, j’étais disposée à subir toutes les obscénités dont il avait envie, et je savais qu’il ne manquait jamais de ressources dans ces moments là…


Le repas touchait à sa fin, nous allions enfin être seuls. Il avait réservé une suite dans un hôtel proche et je mourrais d’impatience d’y être enfin. Le trajet en voiture me paru interminable. Je décidais donc de gagner du temps et de lui donner un acompte qui, je l’espérais, allait l’éclairer sur mes intentions. Je profitais de la situation en lui dégrafant le pantalon tandis qu’il conduisait.


À mon grand étonnement, cela eut l’air de le gêner, mais je passais outre son approbation et je fus agréablement surprise de constater que son sexe, quant à lui, ne semblait pas avoir d’état d’âme. Son sexe était dur et palpitait sous mes doigts. Alors que Michel, semblait concentré sur la conduite et ne disait rien, seule l’expression tendue de son visage indiquait que son excitation était déjà élevée.


Pour ma part, j’étais bien décidée à n’en faire qu’à ma tête et la vue de ce sexe tendu, éclairé de temps à autre par les phares d’autres voitures m’excitait au plus haut point.


Michel n’avait toujours pas ouvert la bouche et ne me regardait pas… je ne comprenais pas vraiment son attitude mais je me disais qu’il s’agissait certainement d’un jeu… Comme moi aussi j’avais envi de jouer à ce jeu, je décidais d’engloutir son sexe sans lui demander son avis.


Sa verge était dure et chaude, vigoureuse et tendue. J’enroulais ma langue autour de son gland et je l’entendis soupirer, râler serait plus exact… enfin il se manifestait.


J’étais assez fière du résultat obtenu, et cruelle à souhait, j’abandonnais de suite ma caresse en le regardant souffler fortement, comme s’il manquait d’oxygène… je gardais uniquement ma main sur son membre turgescent en le faisant coulisser doucement, le regardant avec fixité.


Très vite, son sexe fut pris de spasmes, se redressa et il se répandit en longues saccades. Surprise par cette éjaculation quelque peu précoce je mis quelques secondes à réaliser ce qui se passait, en effet, Michel m’avait habitué à une résistance plus tenace au plaisir…


Je mis cela sur le compte de mon savoir-faire et l’aidais dans son entreprise en le branlant doucement et en accompagnant ses râles et ses soubresauts. Son orgasme violent semblait ne pas vouloir se terminer. Il me jeta enfin un regard dans lequel je pu lire de la honte et du dépit. Je le rassurais en lui faisant miroiter qu’il ne s’agissait que d’un début et que je me chargerai bien volontiers de redonner de la vigueur à son membre. Je continuais à le manipuler doucement alors que son sexe se dégonflait lentement.


Il avait l’air abattu, fatigué. Et moi, j’étais heureuse, je savais que cela ne faisait que commencer et ce surprenant orgasme m’avait ouvert l’appétit, toute mon intimité était tendue vers l’envie de plaisir que je sentais vibrer en moi.


L’arrivée à l’hôtel fut torride, l’ascenseur, le couloir furent les témoins de nos attouchements obscènes qui attisent nos sens quand l’amour arrive.


Je l’aimais, il m’aimait et rien ne pouvait plus nous arrêter. Il me palpait, forçait toutes mes entrées, tirait mes vêtements, fiévreusement. Je commençais également à ne plus me contenir, le vin, le goût de son sexe que j’avais encore dans la bouche, le désir trop longtemps contenu me faisait devenir molle et j’attendais de pouvoir exploser moi aussi de la manière qui lui plairait.


La porte se refermait enfin derrière nous et nous allions pouvoir donner libre cours à nos instincts libidineux.




DEUXIÈME PARTIE




Nous tentions tant bien que mal de souffler un peu et je découvrais la suite que nous allions occuper. Le vestibule donnait sur une chambre luxueuse, peu éclairée, où curieusement, vers un angle de la chambre, il y avait quelque chose qui ressemblait à une armoire, massive, ou un paravent, blanc, fermé de toutes parts, apparemment constitué de 3 ensembles, entièrement vides d’où apparaissaient trois excroissances dont je ne pouvais distinguer dans la pénombre. Devant ce mur "paravent", un tabouret dont je ne compris pas l’utilité, le tout sous une lumière tamisée devant un grand lit à l’aspect soyeux.


Michel avait vaincu mes dernières défenses et s’est muni de mes derniers remparts de lingerie qu’il m’amena devant le paravent, toujours en silence. Je me plaquais contre lui, je frottais mon ventre contre le sien et essayais de le déshabiller en même temps alors qu’il m’entraînait vers le lit, imperceptiblement. Ses mains m’exploraient avec habileté et il caressait mon sexe au travers du tissu.


Notre ballet dura quelques secondes sans m’en rendre compte, nous nous étions retrouvés devant ce grand ensemble blanc qui jouxtait le lit. Alors tendrement il se détacha de moi et fit un geste de la main, comme pour me montrer quelque chose.


Je n’arrivais pas vraiment à distinguer ce qu’étaient ces trois formes qui dépassaient du paravent. Je vis d’abord qu’il n’était pas plan et qu’il était composé de trois pans, la partie centrale était en fait disposée en léger retrait des parties latérales, mais je ne distinguais toujours pas les choses qui dépassaient de ces éléments. Je crus tout d’abord qu’il s’agissait de sculptures, en effet, cela ressemblait à des sexes d’hommes, sculptés…


Le regard de Michel se troubla et il m’annonça en balbutiant que ceci était ma surprise, que je pouvais faire ce que je voulais de ces trois choses… je mis un certain temps à réaliser ce qui m’arrivait. Le film de la soirée repassa à toute vitesse… mon visage s’empourpra, je compris enfin ce qu’il voulait de moi et pourquoi il avait eu l’air si gêné pendant la soirée. J’étais hébétée, furieuse. Je le regardais avec dégoût, l’émotion que j’éprouvais quelques instants auparavant faisait place à une sorte de malaise.


Comment pouvait-il imaginer que j’allais me prêter à ce petit jeu obscène? Que voulait-il que je fasse de ces trois queues pendantes?


J’avais l’impression de défaillir, les vapeurs d’alcool, l’excitation, l’inattendu de cette situation étaient tels que je n’arrivais pas à m’expliquer.


Lui, bafouillait quelques explications que je ne comprenais pas. Il me disait que si je ne voulais pas, nous en resterions là. Que je ne devais pas lui en vouloir et d’autres choses du même style.


J’étais comme dans un état second, totalement déconnectée de ce qui m’arrivait. Mon regard ne pouvait se détacher de ces trois sexes.


Je dois vous avouer que je ne suis pas une femme d’expérience dans ce domaine. Bien sûr j’ai une vie intime et j’avais déjà eu quelques amants avant Michel, mais jamais je n’avais imaginé pareille situation. Pour moi, relations intimes et amour étaient indissociables, l’homme de ma vie comblant parfaitement tous les désirs que je pouvais avoir.


Par ailleurs, mon inexpérience en la matière faisait que j’avais vu bien peu de ces attributs masculins, qui pourtant me fascinaient tant lorsque l’amour me prenait.


Pendant qu’il se confondait en excuses, je scrutais nerveusement ces choses au repos et tellement anodines.


Celle de droite paraissait épaisse, courte, émergeante d’une toison brune, frisée, affublée de sa bourse, discrètement velue, imposante, replète.


Celle du milieu était circoncise, le gland, visible, était de couleur rose pâle, elle semblait longue et bien proportionnée, moins poilue que la précédente, munie d’un scrotum très rond aux formes agréables.


Celle de gauche était noire comme de l’ébène, longue et fuselée. Je n’avais jamais vu de sexe noir. Mais comme toute femme qui se respecte, j’avais, bien entendu, cette curiosité, quelque peu malsaine à vrai dire, de cette chose inconnue, accompagnée de tous ces fantasmes qui tournent autour. Je ne distinguais que très peu de poils pubiens, qui paraissaient courts et crépus. Les testicules étaient enveloppés dans une peau toute aussi noire que le reste, le tout était plus pendant que les précédents.


Curieusement, à aucun moment, je ne songeais aux êtres qui portaient ces membres. Plus je les détaillais, plus ma libido se mettait à fonctionner en accéléré. Des images confuses assaillaient mon cerveau, toutes plus excitantes les unes que les autres.


Ma morale, l’idée que je me faisais de l’amour laissait place maintenant sans grande résistance au désir que j’éprouvais.


Ma faculté de raisonner s’était ankylosée, alcool aidant, pour laisser place à ce que je ne pouvais expliquer. Bien des fois j’avais éprouvées quelque chose d’identique, mais jamais à ce point, et, bien entendu, jamais dans ces conditions. Je ne sentais plus qu’une étrange attraction, femelle attirée par son opposé, comme par un aimant, obéissant à quelque chose de plus fort que la pensée.


C’est à ce moment-là, je crois que tout bascula.


Michel s’agenouilla entre mes jambes en m’embrassant l’intérieur des cuisses, m’obligeant doucement à m’asseoir sur le tabouret. Ses doigts et sa langue fouillaient mon intimité, faisant fondre délicatement mes derniers scrupules quant à cette situation.



Mon entre jambe n’était plus qu’une fontaine où tout mon être était concentré, je me liquéfiais de plaisir et dressais, comme un automate, une main hésitante vers le sexe qui était le plus à ma droite.


Lorsque ma main toucha cet objet, je fus surprise de le sentir doux et chaud. J’osais à peine le frôler. Ce contact m’électrisa et je fus au bord de défaillir de plaisir.


À ma grande surprise, la chose inerte commença à s’animer. Je la vis se gonfler lentement. Le gland se décalotta peu à peu, les testicules se rétrécirent à mesure que le sexe grandissait.


Ma caresse se faisait plus précise, ce sexe avait semble-t-il pris sa forme fonctionnelle. Ce spectacle et la langue qui me fouillait me firent jouir violemment. De profondes secousses m’arrachèrent ce plaisir si longtemps contenu, mais à ma grande surprise, la tension ne baissa pas et le désir restait intact.


Le sexe animé avait maintenant pris des dimensions impressionnantes. Il était cours, mais large, surmonté d’un énorme gland qui avait la taille et l’aspect d’une grosse prune rouge. Ma main le branlait doucement. Les testicules étaient devenus plus petits, je sentais que la vie débordait de ce membre inconnu, le sang affluait et faisait battre et palpiter cette chair.


Il me prit une envie folle de le sentir dans ma bouche, ce gland énorme avait du mal à y entrer, l’impression en était fantastique.


La peau tendue à l’extrême était douce, et je ne pouvais insérer l’ensemble sans me faire mal aux mâchoires, le sexe était court, mais son embout était énorme. J’essayais tant bien que mal de l’y insérer, mais je crois que j’étais trop gourmande.


J’optais finalement pour me contenter de le lécher, glisser le long de la hampe et des testicules. Cette sensation était divine. C’était comme si ce sexe n’était rattaché à aucun homme, indépendant, il me servait à assouvir toutes les caresses que je pouvais imaginer, comme un jouet que je manipulerais à ma guise.


Michel me fit me déplacer et vint se positionner derrière moi, il entra son sexe sans difficulté dans le mien en soufflant de plaisir et commença un doux va-et-vient. J’étais comblée.


Sans cesse la jouissance m’envahissait, charnelle mais aussi cérébrale.


Je me rappelais que deux autres verges m’attendaient. Je me mit à les sucer et à les masturber avidement, ma main, mes mains, ma bouche, ma langue se lançaient dans des mouvements effrénés. Je ne savais plus que faire. Chacune avait un goût, des saveurs, une odeur différente.


Celle du milieu était large, longue, très dure et droite. Le gland était bien proportionné et je pouvais entrer une grande partie du sexe dans ma bouche.


Le sexe de gauche, le noir, était très long, mes deux mains couvraient à peine cette canne d’ébène. Je suçais et astiquais cette verge avec force, je contemplais le gland, violacé, entouré d’une peau plus rose. Elle était recourbée vers le haut et j’avais toutes les peines du monde à la baisser pour la faire entrer dans ma bouche. L’odeur de cette verge était un peu forte, animale, du moins, c’est l’impression que j’en avais.


Michel s’activait sauvagement dans moi. Je n’étais plus qu’une femme sexuée. Je jouissais sans plus de retenue, toutes mes sensations étaient tournées vers le plaisir.


J’étais dominatrice, tellement fière de voir ces trois mandrins devant moi, de sentir qu’ils étaient à ma merci, et cet homme qui s’essoufflait derrière moi, dans moi…


Les prémices de la jouissance commençaient à êtres visibles sur la verge au gros gland. Elle palpitait de plus en plus violemment, les testicules étaient devenus durs comme de la pierre et quelques gouttes de sperme affleuraient à son extrémité. Je décidais alors qu’il était temps pour elle de se laisser aller. Je promenais ma langue le long du membre et sur les testicules qui semblaient vouloir exploser.


Ma main entourait la chair et, alors que j’étais courbée pour titiller de ma langue l’endroit le plus sensible du sexe masculin, je vis le scrotum se contracter, puis le membre se redresser, le gland prendre une couleur violacée et se gonfler comme s’il allait éclater.


Un jet de semence s’échappa du méat, puissant, épais. Le sexe se contracta de nouveau, encore et encore, à chaque spasme, un jet continu, de moins en moins puissant et abondant délivrait un flot de liquide blanc. Les testicules se vidaient, je ne pus m’empêcher de jouir à nouveau.


L’odeur était forte, mais me portait au summum de l’excitation et mon ventre était secoué d’ondes de plaisir.


Je laissais ce sexe de vider de sa substance et l’aidais à sortir toute sa tension en le masturbant doucement.


Je regardais fascinée comment il reprenait une dimension normale et décidais d’appliquer le même traitement aux deux autres vits qui m’attendaient, vaillamment dressés.


Je ne sais plus très bien ce que je pensais, fantasme de femme, je m’imaginais comme une putain au travail, à laquelle on demandait de satisfaire des clients, mais moi, j’y éprouvais du plaisir. Le désir ne me quittait plus. Je continuais à jouir de la situation, physiquement, mentalement. J’ astiquais ces membres à pleines mains et en profitais pour regarder ces choses surdimensionnées que j’avais devant moi.


Je les voyais de près, me remplissais de ces visions nouvelles.


J’agaçais de ma langue ces bourses gonflées, je léchais, suçais, observais toutes les réactions de plaisir qu’elles pouvaient avoir, ma bouche, mes mains allaient de l’une à l’autre, ou les deux en même temps.


C’était terriblement osé, obscène, mais j’aimais cela à un point que je n’aurais jamais imaginé. Je décidais de voir comment allait jouir le sexe noir et m’activais en profitant au maximum de sa dimension.


Je le traitais sans douceur, je me voyais très salope, mais après tout, c’était mon cadeau… dont j’étais en train de souffler une à une les bougies, et quelles bougies!


Je mordillais délicatement les testicules et léchais avidement ce sexe sur toute sa longueur, ma langue fouillait le bord de ce gland qui lui aussi commençait à laisser apparaître quelques gouttes annonciatrices de la délivrance. Je regardais en même temps le sexe de droite qui avait enfin repris un aspect normal et pointait vers le bas, complètement décalotté, d’où un mince filet de semence continuait de couler.


Je sentis que le moment était venu aussi pour ce long membre noir, je saisis alors ce bâton à pleines mains et le branlais rapidement. Le scrotum, comme pour le sexe précédent se contracta.


Je serrais alors très fort cette verge monumentale car je voulais voir la jouissance de près. Ma langue fit quelques tours autour du gland et je le vis se gonfler brusquement.


Je serrais tellement fort que j’empêchais l’éjaculation. C’était magnifique de torturer ainsi ce sexe noir, secoué de spasmes.


Je pensais en même temps que j’aurais aimé qu’elle me pénètre. Michel, quant à lui continuait à me plonger son sexe dans les entrailles, je ne le sentais plus vraiment en moi, mais je sentais sa présence de plus en plus haletante.


Je desserrais alors l’étau de ma main en le maintenant et en le décalottant au maximum pour contempler sa délivrance.


Il se déversa alors par paquets désordonnés, trop longtemps contenus, il n’arrêtait pas de se répandre, le liquide sortait sans discontinuer… le sexe était pris de brusques mouvements, comme s’il agonisait… la verge noire, lentement rendait l’âme.


Le spectacle était grandiose.


Il ne me restait que le vit circoncis du milieu. Il avait perdu un peu de consistance, mais j’avais déjà vaincu la résistance des deux premiers outils, celui-ci comme le membre qui me fouillait n’allaient pas tarder à me rendre leurs hommages aussi.


Toute mon attention se concentrait maintenant sur cet autre fruit appétissant. J’allais me repaître de son jus sans en laisser une goutte, je voulais qu’il m’inonde, sentir le liquide chaud sur mon visage, dans ma bouche.


Il n’était plus question de retenue maintenant. Je gémissais, m’empalais sur le sexe dressé de mon amant, tout mon corps ondulait, Michel glissa sa main entre mes cuisses et faisait rouler mon clitoris entre ses doigts, décuplant mon plaisir, je suçais, léchais ce sexe devant moi comme s’il s’agissait du même que celui qui me fouillait. J’étais prise d’une sorte de frénésie.


Le gland, belle prune lisse et chaude changea de couleur et de volume, comme s’il allait exploser. Je voulais sentir et voir sa jouissance, mes lèvres se posèrent sur le bout de cette verge et le liquide chaud et salé commença brusquement à couler sur mes lèvres.


C’est à ce moment précis que le membre qui s’agitait dans mon ventre en profita pour libérer sa semence. Je distinguais clairement chaque spasme et le souffle de Michel qui rythmait son orgasme, presque au même rythme que le sexe qui se déversait dans ma bouche. La simultanéité des deux orgasmes me donnait l’impression qu’il ne s’agissait que d’un seul et même sexe.


Mon corps fut parcouru de frisson et je me mis à jouir irrésistiblement, je refermais brusquement mes jambes, emprisonnant la main qui me caressait et mes muscles intimes se contractèrent, ma bouche se referma sur un cri rauque et j’engloutis le sexe encore vaillant qui continuait son éruption, pressant sans délicatesse les bourses et aspirant le précieux liquide sans le moindre remords.


J’avais vaincu toutes ces verges, vidées toutes ces bourses de façon magistrale, j’avais joui comme jamais, j’étais repue.


Je fermais les yeux, comme pour mieux profiter de ce moment, puis lentement, Michel se dégagea, nous étions tous deux essoufflés. Je rouvrais les yeux et ne vis que 3 sexes qui avaient retrouvé le même aspect que lorsque nous étions arrivés, comme s’il ne s’était rien passé.


Tendrement nous nous sommes lavés mutuellement, sans parler, comme groggy par ce que nous venions de vivre, seuls nos regards se croisaient, chacun cherchant désespérément à lire les pensées de l’autre, mais tout ce que je voyais, c’était de l’amour. Quand nous sortîmes de la douche, mon cadeau avait disparu.


Je ne posais pas de questions, nous avons pris place dans ce grand lit soyeux, nus l’un contre l’autre.


Je crois que nous étions plus unis et amoureux que jamais, et notre sommeil fut profond.