n° 07578 | Fiche technique | 8511 caractères | 8511Temps de lecture estimé : 5 mn | 08/09/04 |
Résumé: Un homme devient l'amant d'une femme mariée. | ||||
Critères: fh extracon fépilée fellation cunnilingu anulingus préservati pénétratio champagne | ||||
Auteur : Ambrume |
Épisode précédent | Série : Sofia Chapitre 03 / 03 | FIN de la série |
Je laissais Sofia bouder sur son siège et allumait les essuies glaces, il venait juste de pleuvoir. C’était une pluie violente comme seul en produisent les orages. J’arrivais devant la maison de Sofia.
Elle descendit ; le vent et la pluie redoublèrent de violence. Ses vêtements se collèrent à sa peau. Elle se retourna dans les phares et certaine de son effet avec son chemisier devenu translucide, elle me fit signe de la main. Je souris intérieurement en pensant que Sofia était quand même un sacré fille. Elle m’offrait sa poitrine en guise d’au revoir…. Je rentrais chez moi le sourire aux lèvres. Une fois arrivé, je vis que le jardin avait grandement besoin d’être nettoyé, que la peinture des volets s’écaillait, et que l’intérieur aurait bien besoin d’un grand nettoyage. Comme il me restait des congés, je savais maintenant à quoi les employer.
Je pris mes vacances les jours qui suivirent. Je m’attelais à la tâche et plus j’avançais et plus je prenais plaisir à remettre tout à neuf. Je peignais, nettoyais, astiquais, faisais reluire et enfin je pris la décision de déménager le meubles de place et vidais les armoires des vêtements de Catherine. Je n’y avais pas touché jusque là, croyant peut-être qu’elle reviendrait ou peut-être que je culpabilisais en pensant que ranger ses affaires au garage, c’était commencer à l’oublier. J’irai sur la tombe de Freud chercher la réponse. Plusieurs fois Paul et d’autres amis m’invitèrent à des soirées, je déclinais toutes les invitations. J’avais envie que mes travaux avancent. Je trimais de l’aube au crépuscule et parfois tard dans la nuit. J’étais heureux, lancé dans mon travail je ne pensais à rien d’autre. À ce rythme la fin fut proche.
J’étais content de moi, et un soir où je venais de finir, la sonnette retentit longuement.
C’est intrigué que j’ouvris à cette visite impromptue. Je fus surpris de voir Sofia sur le pas de ma porte.
Je m’effaçais et la laissais entrer.
Elle s’installa sur le sofa. Elle croisa ses jambes bronzées de telle manière que sa mini jupe remonta haut sur ces cuisses.
Je passais à la cuisine chercher la bouteille et deux flûtes. Pendant ce temps Sofia se mis à son aise. Elle s’enfonça dans le canapé pour profiter de la douceur des coussins.
Je versais le champagne et m’aperçus avec effroi que j’étais couvert de peinture.
J’étais sous l’eau lorsque les premières mesures de "London Calling" retentirent dans la maison, je souriais en pensant qu’il y avait longtemps que je n’avais pas écouté cet album. Je fermais les yeux et laissais l’eau couler sur mon corps. Soudain je sentis une présence derrière moi, je me retournais et à travers les gouttes d’eau qui me brûlaient les yeux, je vis le visage de Sofia à quelques centimètres du mien. Elle était nue…
Les Clash entonnèrent "Should I stay or Should I go?" Dans l’espace d’une fraction de seconde je me sentis paralysé, je bredouillais un
J’obéissais comme un automate, la tête bourdonnante, les jambes flageolantes. Je me sentais pris au piège. Sofia mis du gel douche au creux de sa main, et me frotta les épaules. Je frissonnais de plaisir. Elle descendait sur mon dos et mes reins. Elle me massa les fesses en me passant un doigt dans la raie. Elle remis du gel dans ses deux mains et me massa le torse. Je lui tournais toujours le dos. Elle descendis sur mon ventre.
Elle me rinça le corps, puis coupa l’eau.
Elle me poussa doucement hors de la douche. Elle me rendait la monnaie de ma pièce…..
Je me séchais et allais au salon nu comme un nouveau-né. Sofia revint quelques instants après. Entre temps, j’avais remplacé les Clash par Fitzgerald.
Elle ôta ses vêtements et vint s’asseoir à côté de moi, nous sirotâmes notre verre sans rien dire et sans nous regarder. Elle posa son verre, toujours sans rien dire, elle posa sa main sur ma cuisse. Je passais mon bras autour de ses épaules…et les choses se précipitèrent. Elle m’embrassa, força mes lèvres avec sa langue. Je répondis à son baiser avec fureur. Je la basculais sur le canapé, je lui happais le cou. Ma main caressait ses seins ronds et doux. Je triturais ses pointes. Sofia soupirait, elle se laissait aller à mes caresses. Je descendis sur son sexe rasé, mon doigt s’insinua dans son intimité, elle était mouillée et douce. Mon doigt pénétra sans difficulté, je remontais sur son clitoris que je caressais avec douceur. Sofia gémissait les yeux fermés. Elle s’abandonnait, écartait les cuisses au maximum. Je lui baisais le cou, puis je lui pris les seins avec ma bouche, je les léchais, mordillais, aspirais. Sofia se contorsionnait sous moi. Soudain elle se déroba, le regard brillant de désir, elle m’assit sur le canapé et se mit à genoux, elle prit ma queue dans sa main et elle commença une douce fellation. Elle planta son regard dans le mien. Elle me léchait la hampe, les couilles et aspiraient mon sexe tendu au plus profond de sa bouche. Son traitement risquait de me faire jouir, je changeais donc de position. Je la couchais de nouveau sur le canapé, puis je lui écartais les jambes. Ma bouche vint se poser sur son sexe humide. Je lui léchais son sexe, je lui aspirais son clitoris. Je caressais avec ma langue son petit trou. Elle avait un goût délicieux, je sentais mon menton dégoulinant de mouille et de salive mélangées. Je ne résistais pas à l’envie de la pénétrer. Ses jambes sur mes épaules, je me recouvrais rapidement d’un préservatif qu’elle me tendit et je la pénétrais doucement en plusieurs poussées. Elle se cambra sous mes premiers assauts. Je devenais fou de désir. Je maintenais une cadence lente, mais profonde. Mes mouvements étaient amples et je la désirais ainsi offerte et impudique. Elle caressait son bouton et se malaxait les seins de sa main libre. J’accélérais la cadence, elle cria son plaisir et je vins en elle, me crispant de tous mes membres. Je goûtais mon plaisir sans retenue. Je m’écroulais sur elle, le souffle court. Je restais un moment la tête sur son ventre, Sofia me caressais les cheveux. Nous nous regardâmes et nos lèvres, dans un long baiser, soudèrent notre pacte d’amants. Nous n’avions pas échangé une parole tout au long de ce moment magnifique. C’est toujours en silence que Sofia se leva, se rhabilla et se dirigea vers la porte. Sur le palier, elle se retourna et me regarda en souriant, je me dirigeais vers elle et l’embrassait tendrement. Ses yeux s’humidifièrent, elle me dit merci et dévala les escaliers pour s’enfuir dans la nuit..
Depuis nous nous voyons discrètement chez moi à chaque fois que Marc part pour son boulot, mais qu’en adviendra-t-il de l’avenir ?