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Temps de lecture estimé : 8 mn
09/09/04
Résumé:  Un homme découvre le plaisir de se travestir
Critères:  fh couple hépilé hsoumis fdomine lingerie travesti rasage fellation anulingus hdanus hgode attache yeuxbandés bougie init
Auteur : Dan
Initiation


Chers lecteurs, je m’essaye dans l’écriture de cette histoire alignant quelques mots espérant que ceux-ci deviennent des phrases et, que celles-ci constitueront peut être un texte. Je demande donc votre indulgence.


Je me présente, je m’appelle Daniel. J’ai la trentaine, physiquement, je mesure 1,75 m. pour 70 Kg. Plutôt sportif je suis assez fin de corpulence, les cheveux courts les yeux marron.


Par ou commencer : il y a quelques années de ça, j’ai rencontré Fabienne. J’étais à l’époque appelé du contingent et elle étudiante en lettre. Nous nous sommes rencontrés et rapidement nous avons emménagé ensemble. Fabienne est bien plus jeune que moi, elle est de petite taille, un joli minois une belle poitrine à la fois ferme et douce, des fesses rebondis. Il s’agit à n’en pas douter d’un joli brin de fille intelligente, charmante et pleine de caractère. Toutefois à ce tableau il faut préciser qu’elle n’est pas attirée par les choses du sexe. J’ai pourtant tout essayé la douceur, la patience l’insolite, les jeux…


Notre vie sexuelle est donc particulière, différente. Elle a évolué au cours des années. Souvent en effet, je la fais jouir en lui caressant la pointe des seins et de la langue, lui suçant son petit abricot et son anus, ou lui massant les jambes et le reste du corps. Curieusement, c’est elle qui m’a fait découvrir d’autres plaisirs. Ne voulant pas que je la prenne, elle a appris jouer de ma personne et m’a fais connaître certains points érogènes de mon anatomie.


A l’occasion d’un carnaval, Nous avions décidé avec un groupe d’amis de nous travestir, pour une nuit être un ou une autre. Fabienne et deux de ses amies sont venues se préparer à la maison. Ce soir-là, je suis arrivé plus tard que prévu, et à mon arrivé elles étaient là toutes les trois, m’attendant. Nous avions réservé une table et allions être en retard. Je leur proposai alors de me changer mais n’ayant pas le temps de me travestir, je remettais ce déguisement à l’année suivante. C’est alors que toutes les trois se proposèrent de m’aider à me préparer. Je vécus à cet instant un moment des plus érotiques. J’ai pris ma douche, Fabienne, Jeanne et Solange m’attendaient armées de rasoirs, prêtes à m’épiler. Rapidement je me suis retrouvé sans le moindre poil sur le corps excepté sur mon pénis. Se fut Jeanne qui suggéra l’idée de me le raser également. Toutefois pour des raisons évidentes, je me suis occupé seul de cet acte délicat. Fabienne m’apporta alors mes sous-vêtements. Soutien-gorge, culotte en dentelle, porte-jarretelles et bas. Je ne reconnaissais aucun de ces dessous et Fabienne m’avoua les avoir achetés pour cette occasion.


Je trouvais cette sensation fort agréable, la peau douce et la douceur de ces sous-vêtements malgré une culotte taille 38/40 qui me serrait quelque peut empêchant mon membre de se développer. Rapidement je sus le mettre en place entre mes jambes afin de le cacher de tous. J’enfilai mon soutien-gorge et Solange y mis deux petits ballons remplis d’eau qui me permettaient de faire remonter mes seins en leur donnant une grande souplesse ce qui les rendait naturels au regard et au toucher. Jeanne qui avait sensiblement la même taille et corpulence que moi, me tendit une robe, noire, mi-longue en soie avec un profond décolleté qui mettrait en évidence ma nouvelle poitrine. Tous d’abord j’hésitais à la mettre prétextant que je pourrai l’abîmer. Elle me répondit que ce n’était pas grave qu’il s’agissait d’un cadeau fait par l’un de ses ex et qu’elle ne souhait plus jamais la porter. Solange m’offrit une paire de souliers à talon visiblement d’occasion mais en parfait état et elle m’en fit également cadeau. Quant à Fabienne, elle me prêta quelques bijoux, collier, bracelets pour le poignet et la cheville et une bague, le tout sans réelle valeur. Rapidement je pu m’habiller. Solange pu me maquiller et m’apprêter comme jamais. En regardant dans la glace je voyais cette femme que j’étais devenu. J’étais méconnaissable. J’étais à la fois désirable et sexy.


Malgré ces préparatifs nous n’étions pas trop en retard. Arrivé au restaurant nous rejoignîmes nos amis. J’eu le droit à des compliments de la part des garçons pour qui visiblement la transformation était tout à fait réussie. Je me rendis compte au cours de la soirée que notre serveur cherchait à voir dans mon décolleté. Plus tard en boite, il s’y trouvait également et je le sentais me déshabiller du regard. Curieusement, j’éprouvais une curieuse impression peut être même de l’attirance.


Tard dans la nuit, Fabienne et moi sommes rentrés et par jeux, elle se proposa de s’occuper de moi. Elle me caressa longuement, tendrement. Doucement ses caresses furent suivies par de petits baisers sur l’ensemble du corps. À cet instant j’étais toujours affublé de ma robe mon sexe était bloqué par ma culotte qui me serrait le bas ventre. Délicatement elle me fit glisser ma robe sur les hanches. Elle entreprit de me mordiller et de me lécher la pointe des seins. Pendant plusieurs minutes elle m’excitait. Cette sensation m’était totalement inconnue. Elle m’ordonna de me mettre à genou sur le divan, remonta le bas de ma robe, tira sur la dentelle de ma culotte et me lécha longuement l’anus. D’abord surpris, rapidement, je ressentis énormément de plaisir, puis, une jouissance. Je me rendis compte à cet instant de la position dans laquelle j’étais. À genou la tête posée sur le boudin les fesses levées offertes. Je sentais ses caresses buccales ses doigts qui me gâtaient. J’avais envie qu’elle me prenne qu’elle me sodomise. Sans rien dire pourtant il me semble qu’elle le comprit car je les sentis enfin. Un doigt, puis deux, puis trois. Chaque nouvelle tentative était à la fois de plus en plus douloureuse et de plus en plus jouissive. Elle pris son temps poursuivant ses caresses sur l’ensemble mon corps. Je n’y tenais plus, j’étais complètement déboussolé. Elle s’arrêta un instant me laissant là, sans bouger vêtue de bas et porte-jarretelles et de cette culotte qu’elle tenait tiré sur le côté et qui me serrai les testicules.


Elle s’arrêta un instant affin de reprendre son souffle me laissant dans cette position et m’interdisant de bouger. Elle alla chercher un foulard opaque qu’elle me mit sur les yeux. Je ne la voyais plus. Je l’entendais allez et venir ouvrir un tiroir une porte de placard. J’essayais de l’interroger sur ce qu’elle faisait. Pas de réponse. Je le discernais un instant sur ma gauche, puis sur ma droite. Je l’entendais se rapprocher, poser ses mains sur mon dos me caresser. Elle fit glisser légèrement ma culotte de façon à découvrir mon anus. Ce vêtement m’interdisait maintenant tout mouvement. Elle m’ordonna alors de mettre mes deux mains derrière le dos et me les attacha avec un second foulard. Je la questionnais encore, mais je suis resté sans réponse. Soudain, je sentis une brûlure sur la fesse droite, puis une seconde et encore une sur la gauche. Elle utilisait une bougie laissant couler la cire chaude sur mon postérieur. Etrangement je sentis mon pénis se durcir, il me faisait de plus en plus mal tenu par la dentelle de ma culotte. Je prenais du plaisir elle le sentait. Elle se remit à me caresser les fesses me titillant de sa langue humide mon orifice anal. Sans mot dire elle me pénétra à l’aide d’un doigt, et puis deux. Elle me lubrifiait de sa salive. Rapidement ses doigts purent rentrer et sortir. Elle n’hésita pas rentrer un troisième doigt qui m’arracha un cri de douleur. Elle s’arrêta me laissant ses doigts profondément introduits dans mon cul endolori. Elle y resta plusieurs seconde la douleur s’estompait progressivement, faisant place à du plaisir. Je n’y tenais plus. J’avais envie à mon tour de l’étreindre et de la faire jouir. Je lui avouai mon désir et elle me répondit que ce soir je ne la toucherai pas et qu’elle s’occuperait de tout.


A cet instant alors que sa main droite me défonçait, sa main gauche me caressa le pénis délicatement. Puis, je sentis une étreinte sur mes testicules je me sentis défaillir elle me tenait fermement. Sa main droite repris des mouvements de va-et-vient alors que sa main gauche me malaxait fermement le sexe.

Je n’en pouvais plus, je sentais une grande jouissance m’emporter. Elle s’arrêta de nouveau.



J’en voulais encore. Comment lui dire de continuer ! Elle me détacha les mains et me dit alors de me mettre sur le dos. Elle me fit alors glisser ma culotte jusqu’au genou, et m’ordonna de ramener les genoux sur ma poitrine. Délicatement je sentis ses lèvres me caresser les bourses redonnant instantanément du volume à mon sexe. Elle le prit dans sa bouche et me masturba tout en me léchouillant mes testicules.



Je la sentis s’approcher de mon visage. Je pensais qu’enfin je pourrai la masturber à mon tour. Elle me mit alors un gode dans la bouche et m’ordonna alors de le sucer. Je me sentis humilié par cette nouvelle situation, je ne réagissais plus. J’étais surpris par ce langage. Elle d’habitude si sage, si prude mais, inconsciemment peut être, j’avais espéré que cela arriverait.



Je le pris alors dans ma bouche salivant autant que possible. Pendant ce temps, Fabienne en profitait pour me libérer de ma culotte tout en m’écartant les cuisses et me lubrifiant l’anus à l’aide de son doigt humide.


Elle pris la relève positionna ce sexe artificiel et doucement poussa le gode jusqu’au fond. De nouveau cette douleur. Elle le refis sortir le re-lubrifia et recommença et ainsi jusqu’à ce que celui-ci ne me fasse plus mal. Elle débuta un mouvement de va-et-vient ainsi que des mouvements circulaires qui me firent jouir encore et encore. Je n’en pouvais plus et elle poursuivait de nouveau. Je me retournais lui présentant l’entrée et elle s’aida alors de son corps pour pousser de plus en plus profondément, de plus en plus vite crachant dans mon anus pour le garder bien lubrifié. Je me suis effondré sur le côté. Je ne sentais plus mes jambes, je me sentais partir.


Après quelques minutes de repos, je vis que j’étais couché sur le côté, l’anus endolori d’où coulait un mélange de salive et de sang. Fabienne se leva pris une de ses serviettes, la positionna sur ma culotte et me la remis, prenant bien soins de me mettre le pénis entre mes cuisses.


Voilà comment j’ai perdu ma virginité anale.


A la date d’aujourd’hui, je n’ai toujours pas eut de rapport homosexuel, je n’en ressens pas non plus le besoin, encore que parfois j’y pense. Je n’ai pas non plus trompé ma femme et ce malgré le fait que l’on n’ait pas de relation sexuelle avec pénétration. Régulièrement je la fais jouir en caressant, la titillant du bout de la langue ses seins et son abricot qui d’ailleurs a un goût sucré que j’apprécie tout particulièrement.


Quant à moi de temps à autres, je viens avec ce gode que je suis le seul à utiliser. Je ressens aussi le besoin de me travestir, de porter un soutien-gorge des bas, une culotte ou même un string une jupe ou une robe. D’ailleurs alors que j’écris ses mots je porte une culotte avec une serviette qui me permet de tenir mon sexe au repos. À présent, je possède une vraie garde robe que je garde cachée. Fabienne s’en doute, mais on n’en parle pas. Petit à petit c’est devenu mon jardin secret. Parfois même elle accepte de m’engoder. C’est l’une des nombreuses raisons qui font que je l’aime toujours autant et plus après dix ans de vie commune.