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n° 07591Fiche technique47605 caractères47605
Temps de lecture estimé : 27 mn
09/09/04
Résumé:  Histoire d'une rencontre
Critères:  fh collègues intermast fellation 69 pénétratio fsodo
Auteur : Christian 4            Envoi mini-message
Une belle aventure


18 heures. Je jette un dernier coup d’œil à ma messagerie électronique : rien d’important en attente. Je branche mon répondeur et m’apprête à quitter le bureau. Projet pour ce soir : retour seul chez moi, dîner sur le pouce et soirée devant l’ordinateur. Depuis ma dernière rupture, il y a trois mois, je n’ai guère eu envie de ’remettre ça’ et m’accorde une période de célibat. Pas toujours drôle mais bien souvent reposant !



Je reconnais sans peine la voix d’Isabelle, la directrice et me retourne :



La gentillesse de notre patronne, ainsi que le salaire confortable qu’elle me verse, font qu’elle sait qu’elle peut compter sur moi sans que je rechigne. Ma vie sentimentale étant en plus ce qu’elle est, je ne suis pas à la minute.

Je la suis donc dans son bureau et ne peux m’empêcher, comme toujours d’être littéralement subjugué par la beauté de cette femme. Non pas une beauté purement plastique mais un tout : une classe naturelle, la douceur de son visage, une silhouette agréable, avec, comme on a coutume de dire "ce qu’il faut là où il faut".

Je sais, pour avoir vu son dossier, qu’elle est depuis deux ans divorcée. Je n’ai jamais vu quelqu’un venir la chercher à sa sortie du bureau, comme certains conjoints le font. Cela ne prouve bien sûr rien mais, les quelques fois où je l’ai croisée en ville, elle n’était là non plus pas accompagnée. Bon, cessons de rêver et voyons ce que me veut madame la directrice :



En fait, il y tout de même un léger problème : la taille du dossier en question ! Il doit comporter une centaine de pages et je doute fort n’avoir besoin que de quelques courtes minutes pour l’étudier.



Nous nous installons autour de la table ronde et plongeons dans ce dossier visiblement sensible. Le temps passe sans que nous nous en apercevions et, regardant l’heure, Isabelle se rend compte qu’il est près de vingt heures;



Nous voici partis. Isabelle m’a demandé si j’aimais la cuisine exotique et, à ma réponse positive, nous emmène dans un établissement qu’elle me décrit comme le meilleur de la ville.

Le repas se passe merveilleusement bien. Les mets sont succulents et Isabelle, hors du bureau, se révèle de fort agréable compagnie, rieuse et blagueuse.



Son regard s’est assombri. La voir ainsi, presque fragile, renforce un peu plus sa beauté. Je ne la regarde plus comme ma chef mais comme une femme seule, souffrant visiblement de cette solitude. À ce moment, je dois faire un effort pour ne pas lui prendre la main dans un geste de réconfort. Un silence s’est installé à notre table et, loin de me gêner, j’ai l’impression qu’il nous rapproche.

Après quelques minutes, elle se ressaisit et, avec un sourire, me demande si je désire un café. Le repas s’achève comme il avait débuté, dans la bonne humeur retrouvée et nous quittons l’établissement pour reprendre notre travail parfaitement requinqués, tant au moral qu’au physique.

De retour à la boîte, le silence qui nous accueille renforce un peu plus le côté presque amical de la soirée. Nous nous remettons au travail et je ne peux m’empêcher, lorsque Isabelle se penche un peu plus sur la table, de jeter un rapide coup d’œil sur son décolleté.


Après deux heures, nous en avons terminé. Isabelle, satisfaite, s’étire longuement, faisant ressortir un peu plus cette poitrine que je devine pleine et ferme. Il y a bien longtemps qu’une séance de travail n’a pas été aussi agréable. À mon tour, je lui propose de prendre un verre quelque part.



Nous quittons, définitivement cette fois, le bureau et marchons tranquillement. Je connais un pub très sympa non loin de là et nous ne prenons pas nos voitures. La température a quelque peu baissé et Isabelle ne peut réprimer un frisson. Sans réfléchir, je passe un bras autour de sa taille et la serre un peu contre moi. J’ai totalement oublié, l’espace d’une seconde, qui elle était et m’attends à me faire au moins remettre en place mais, contrairement à mes craintes, elle ne fait aucun geste pour s’écarter. Nous arrivons au pub ainsi enlacés et je choisis une table un peu à l’écart, loin du bruit.



Nous dégustons lentement notre verre.



Nouveau silence, cette fois plus troublant, un peu comme si chacun attendait qu’il se passe quelque chose. La main d’Isabelle, posée sur la table, m’attire irrésistiblement. Levant la tête, je vois qu’elle me regarde, un léger sourire aux lèvres. Sans la quitter des yeux, je pose la mienne sur la sienne, presque timidement, à la fois impatient et anxieux de sa réaction. Elle lève légèrement la main, écartant ses doigts, emprisonnant les miens. Je la serre un peu plus et, me penchant par–dessus la table, dépose un léger baiser sur sa bouche, effleurant juste ses lèvres.

Notre verre terminé, nos mains toujours jointes, nous nous levons et quittons le pub. Dans la rue, je l’attire contre moi et nous échangeons un vrai baiser, passionné et tendre à la fois.



Nouvelle étreinte. Isabelle, collée contre moi, ne peut ignorer mon état. Cela ne semble pas la déranger, bien au contraire, et son corps pèse un peu plus contre le mien. Nous reprenons le chemin du bureau. Que va t-il se passer maintenant ? Va t-elle me proposer d’aller chez elle ? Attendre que je fasse de même ? Ou, plus simplement, allons-nous nous séparer et rentrer chacun chez soi ?


Arrivés au parking, elle s’arrête devant sa voiture, ne faisant aucun geste pour la déverrouiller. Elle non plus ne sait que faire. Sans doute craint-elle tout autant de passer à mes yeux pour une femme facile ? Je l’embrasse une nouvelle fois puis, lui prenant la main, l’entraîne vers la mienne. J’ouvre la portière et, sans un mot, elle s’installe. Lorsque je démarre, d’une petite voix presque timide, elle me dit :



Nous voici au pied de mon immeuble. J’ouvre sa portière et lui prends la main quand elle descend. Dans l’ascenseur, elle ose à peine me regarder. J’ai l’impression d’accompagner une jeune vierge qui s’apprête à vivre sa première fois. Cette timidité renforce encore mon attirance pour elle.


La porte fermée, nous nous retrouvons, à nouveau enlacés, au milieu du salon. Je la débarrasse de sa veste de tailleur puis, sans cesser de l’embrasser, entreprend d’ôter son chemisier. Je sens contre moi son corps se raidir quand je m’attaque au premier bouton. Pourtant, elle ne se dérobe pas et je découvre bientôt avec ravissement son soutien-gorge. Mes mains caressent la peau nue de son ventre, remontent sur ses épaules, courent sur ses bras. Puis, m’enhardissant, je fais sauter l’agrafe du sous-vêtement, libérant sa poitrine, comme dans mes pensées, à la fois pleine et ferme. Du bout des doigts, j’effleure cette peau sin fine et si délicate, me rapprochant lentement des aréoles sombres et grumeleuses. J’y dessine quelques cercles puis caresse les deux bourgeons, déjà bien durs.


La respiration d’Isabelle s’est sensiblement accélérée et elle ne retient pas quelques légers soupirs.

Abandonnant mes caresses, je l’entraîne vers ma chambre. Là, je l’allonge sur le dos et, à genoux face à elle, la débarrasse de ses chaussures. Je lui masse les pieds, fins, au ongles vernis, puis remonte lentement sur ses mollets. Ma bouche découvre à son tour la douceur de sa peau et je couvre ses jambes de mille baisers. Vient le tour des genoux puis des cuisses à qui j’offre les mêmes caresses. Je me relève, trouve la fermeture éclair de la jupe que je descends. Isabelle soulève légèrement les fesses, m’aidant à baisser son vêtement. Seul un fin slip la vêt maintenant. Une main remonte sur son ventre tandis que l’autre poursuit ses caresses sur ses jambes. Peu à peu, celles-ci se desserrent et je peux admirer au travers du fin tissu sa toison brune. Comme attirés par un aimant, mes lèvres se posent sur son intimité, doucement, m’imprégnant de son odeur, évitant pour l’instant les zones trop sensibles. C’est ainsi que je lui embrasse le haut des cuisses, là où la peau est si fine, si sensible aux baisers. Ses jambes sont maintenant écartées au maximum et ses lèvres dépassent légèrement du slip. Elles sont alors l’objet de mes attentions, recevant des bisous du bout des lèvres ou des coups de langue plus accentués.

Je saisis l’élastique du sous-vêtement et le tire vers le bas. Une nouvelle fois, elle se soulève un peu et j’ai bientôt sous les yeux son adorable chaton, dont la toison taillée très court ne cache pas les détails. Je reste quelques instant l’admirer puis je me penche et reprends mes baisers, cette fois plus appuyés.



Elle n’a nul besoin de le dire, tant sa mouille abondante trahit son excitation. Ma langue, à l’entrée de son puits d’amour, recueille la délicieuse liqueur que je déguste avec plaisir. Puis, coquine, elle remonte et titille le bouton, saillant, pointant fièrement hors de son capuchon. Mes mains caressent la poitrine et le ventre d’Isabelle dont les contractions sont de plus en plus fortes au fur et à mesure que son plaisir grandit. Soudain, ses mains plaquent mon visage contre sa chatte, son corps se tend et, dans un râle, elle jouit, m’arrosant copieusement. Je me régale de son jus d’amour puis elle me repousse, la sensibilité exacerbée.


Je m’allonge à ses côtés ; les yeux fermés, de fines gouttelettes de sueur parsemant son front et son visage, le souffle un peu court. Je ne me lasse pas de la regarder, la trouvant d’une beauté à couper le souffle. Elle reste ainsi de longues minutes, savourant son orgasme, reprenant lentement conscience. Elle tourne la tête vers moi, un large sourire éclairant son visage :



Puis, à son tour, elle me déshabille, faisant rapidement voler chemise, pantalon et boxer. Tandis que sa bouche couvre mon torse et mon ventre de doux bisous, ses doigts se posent sur mon sexe et le caressent, un peu comme pour faire sa connaissance, effleurant la hampe, titillant le méat, frôlant les bourses. Lentement, son visage descend sur mon ventre jusqu’à atteindre les premiers poils pubiens. Alors, tenant mon sexe bien droit, elle passe la langue dessus, léchant la tige sur toute sa longueur avant de remonter sur le gland et s’y attarder, l’agaçant fort agréablement. Enfin ses lèvres s’ouvrent un peu plus et, lentement, elle m’avale. Je regarde mon membre coulisser et pénétrer cette bouche si douce et cette vision me fait durcir encore un peu plus.


Isabelle m’offre une fellation comme il y a bien longtemps que j’en ai connue ! Elle me prend entièrement en elle, fait tourner sa langue sur ma hampe, me ressort, ne gardant que mon gland entre ses lèvres qu’elle tète avec appétit. Ses mains ne restent pas inactives ; ma poitrine et mes bourses sont l’objet de toutes leurs attentions et elle se risque même à des caresses sur mon petit trou, massant mon œillet. En appui sur les coudes, je ne perds pas une miette de la scène, remontant ses cheveux pour mieux apprécier le spectacle.

Je fais de gros efforts pour retarder au maximum mon éjaculation mais, après quelques minutes, Isabelle parvient à ses fins et je sens le plaisir monter.



La coquine, loin de cesser ses baisers, m’aspire un peu plus fort encore, les lèvres serrées autour de mon sexe. Aux tressautements de ma queue contre son palais, elle devine que l’orgasme est imminent ; elle ouvre la bouche, me libère et, de quelques mouvements du poignet, me fait jouir. Mes jets fusent, atterrissant sur son menton et sa poitrine. Elle n’arrête pas ses va-et-vient, désireuse d’extraire ma sève jusqu’à la dernière goutte. Quand enfin la source est tarie, elle lèche ma hampe, qui a un peu perdu de sa superbe, la débarrassant de toute trace de mon éjaculation. Puis, me regardant d’une moue coquine, elle passe un doigt sur un sein, récupère un peu de mon jus et le porte à sa bouche, le suçant en mimant une fellation.


Elle s’allonge à son tour à mes côtés. Je passe un bras autour de son cou, l’attire tout contre moi et nous échangeons un long baiser, emprunt d’une grande tendresse.



Pour le lui prouver, je lui offre un nouveau baiser qu’elle ne refuse pas, bien au contraire.


Je me lève ensuite et vais prendre une douche.



Sous l’eau, je fais le point sur cette soirée, la plus belle depuis bien longtemps. Il est minuit, cela fait à peine quatre heures qu’Isabelle m’a interpellé dans le couloir et pourtant, j’ai l’impression qu’il s’en est écoulé plus du double !

La toilette terminée, je la rejoins au salon. Elle est assise dans le canapé, toujours nue, et je ne peux m’empêcher de l’admirer à nouveau.



À son retour, Isabelle me trouve en train de croquer dans un biscuit.



Je ressers un verre puis Isabelle s’allonge, la tête sur mes cuisses. Je passe une main dans ses cheveux puis sur son front, la caressant doucement.



Elle me regarde. Je distingue sur son sourire un je ne sais quoi d’un peu triste.



Elle lève son visage et m’offre sa bouche. Ses bras se referment sur moi et elle me presse, comme si elle craignait que je lui échappe. Cette nouvelle étreinte a pour effet de ranimer mon ardeur et mon sexe se tend, ce dont elle se rend immédiatement compte.



Elle s’assied sur moi et, tenant mon sexe, le guide à l’entrée de sa grotte. Lentement, ses yeux rivés aux miens, elle descend. Je peux lire sur son visage le plaisir qu’elle prend à cette pénétration. Quand je suis entièrement en elle, elle reste immobile et savoure autant que moi le bonheur de cette union, le plaisir de nos deux corps qui, à ce moment, ne semblent plus en faire qu’un.



Ses bras autour de mon cou, mes mains sur ses hanches, nous faisons longuement l’amour, loin des chevauchées sauvages, en prenant tout notre temps, en y mettant toute notre tendresse, restant parfois immobiles, mon sexe fiché au fond du sien, nous embrassant avec passion.


Lorsque, après de longues minutes, Isabelle jouit, elle crie son plaisir, ses seins écrasés sur mon torse. À ce moment, comme si cet orgasme servait de déclencheur, notre étreinte se fait plus fougueuse, uniquement tournée vers le plaisir physique. Elle se relève, se met à quatre pattes sur l’épais tapis du salon et, tendant ses fesses, m’implore de revenir en elle.



M’agrippant à ses hanches, je reprends possession de son sexe d’un puissant coup de rein, qu’elle accueille d’un long "ah".

Mes coups de reins, vigoureux, font claquer ses fesses contre mon bas ventre. Isabelle se déchaîne, m’encourageant à aller toujours plus loin, toujours plus fort.

Après la tendresse vient la passion, fougueuse, presque animale. Au point que j’ai presque du mal à reconnaître la femme si douce qu’elle était il y a encore quelques instants. D’une main, elle se caresse la fente, parfois mes couilles. Se cambrant au maximum, elle vient au-devant de ce sexe qui la laboure.



C’est presque en hurlant qu’elle succombe à nouveau. Ses muscles intimes massent ma tige, me procurant des sensations extraordinaires.

Mes coups de boutoir ne cessent pas, au contraire, et j’ai l’impression qu’elle connaît orgasme sur orgasme, criant sans discontinuer, m’encourageant à la prendre encore et encore.

Quand je suis sur le point de céder à mon tour, elle me dit de venir sur son visage. Je quitte son doux écrin, m’agenouille face à elle et, s’emparant de mon sexe, elle le dirige sur elle et mes jets maculent ses cheveux, son front, ses joues.



Elle me prend ensuite en bouche et, comme tout à l’heure, me nettoie, ne se résignant à me lâcher que lorsque je suis redevenu mou.



Une nouvelle douche s’impose. En nage, Isabelle du sperme partout sur le visage, nous partons, à sa demande, ensemble vers la salle de bains.

Cette toilette est prétexte à bien des caresses. Isabelle ne se lasse pas de me savonner, en profitant outrageusement, pour mon plus grand plaisir, pour s’attarder sur mes tétons, qu’elle pince légèrement, mes fesses, qu’elle caresse doucement et entre lesquelles elle aventure un doigt curieux, et, bien sûr, ma verge, qui bien qu’encore molle, l’attire irrésistiblement. Je ne suis pas en reste et sa poitrine, son adorable cul et sa fente font l’objet de soins tout particuliers.

Après nous être mutuellement séchés, Isabelle me regarde et, en souriant, me dit :



Ma phrase à peine terminée, je vois deux larmes couler sur ses adorables joues. Je regrette aussitôt cette pointe d’humour et m’empresse de rajouter :



Elle me file une grande claque sur les fesses puis, me prenant la main, m’entraîne presque en courant vers la chambre. Elle me pousse sur le lit puis, m’enjambant, se penche sur moi et m’embrasse voracement, nos dents s’entrechoquant. Puis elle reste blottie contre moi et je savoure tout autant qu’elle le bonheur d’être ainsi, ensemble, tendrement enlacés. C’est d’ailleurs dans cette position que le sommeil s’empare de nous.


Le lendemain matin, entendant le radio réveil, je mets quelques secondes à réagir. La nuit a été plutôt courte et j’ai bien du mal à émerger. Me tournant, je constate qu’Isabelle n’a visiblement rien entendu et qu’elle est toujours dans les bras de Morphée. Sans bruit, je me lève et file à la cuisine préparer le café puis, attendant qu’il passe, je file sous la douche.

À mon retour dans la cuisine, je prépare deux bols, fais griller quelques tartines et rejoins la chambre. Je reste quelques minutes immobile, contemplant ce corps endormi. L’envie est grande de rejoindre Isabelle pour un câlin matinal mais la raison l’emporte et, doucement, je réveille la belle endormie. Elle ouvre un œil et m’apercevant, m’offre le premier sourire de la journée.



Je me penche et elle m’offre ses lèvres pour un baiser, rapide mais particulièrement tendre. Je pose le plateau sur ses genoux et m’assieds à ses côtés. Nous mangeons et buvons notre bol en silence puis, regardant l’heure, Isabelle se lève et va à son tour se laver. Pendant ce temps je m’habille, est, en me découvrant en cravate, je pense au boulot.



Je l’attire contre moi et lui offre un long baiser.



La journée se passe à la perfection. Contrairement à ce que je craignais, aucun collègue, en s’apercevant du changement dans nos rapports, n’a sourcillé ni posé la moindre question. Vers 18 heures, Isabelle vient dans mon bureau et demande :



Vingt minutes plus tard, elle me rejoint et ne peut s’empêcher de déposer un léger bisou sur le coin de mes lèvres. À cette heure, on ne risque plus de nous surprendre et je l’enlace pour un baiser plus appuyé, qu’elle ne refuse pas.



Elle prend cette fois sa voiture et me suit. Arrivés chez moi, l’atmosphère est totalement différente de celle d’hier soir et Isabelle parfaitement à l’aise. Je sers le café que nous buvons, sagement installés au salon, presque comme un vieux couple. Cette pensée me fait sourire et, devant son regard étonné, je lui fais part de ma réflexion. Elle sourit à son tour puis me propose :



Nous éclatons de rire. Puis, se penchant sur moi, Isabelle pose une main sur ma braguette, constatant ainsi mon début d’érection.



Nouveau rire puis elle ôte mon pantalon et mon caleçon.



Lentement, elle approche son visage et m’avale, refermant ses lèvres sur ma tige. Sous ses caresses, mon érection est rapidement à son maximum et Isabelle met tout son cœur dans sa fellation. À tel point que je sens rapidement le plaisir me gagner.



Comme si elle n’avait pas entendu, elle poursuit ses caresses. Je tente de me retenir mais cela devient de plus en plus difficile, Isabelle redoublant d’ardeur.



Trop tard ! Je jouis, mes jets s’écrasant contre son palais. Elle avale mon sperme sans une grimace puis, se redressant, me regarde en souriant :



Pas la peine de le dire, je m’en étais aperçu !



Je me rhabille et file vers la chambre. Je choisis quelques fringues cool et rejoins ma belle au salon. Elle ne m’a pas entendu revenir et je la vois, les jambes sensiblement écartées, la main posée sur son pubis, des mouvements révélateurs l’agitant. Je reste quelques instants immobile, jouant les voyeurs. Soudain, elle se tourne et m’aperçoit. Elle rougit aussitôt, comme une petite fille prise en train de voler des pots de confiture. Elle rabat vivement sa jupe et baisse la tête, comme si elle avait honte de ce qu’elle vient de faire.



Nous prenons sa voiture et dès qu’elle a démarré, ma main se pose sur sa cuisse. Elle ne se dérobe pas et j’en profite pour, petit à petit, remonter vers son entrejambe. Nous parvenons chez elle après presque une demi-heure de route. Je découvre alors une maison coquette, abritée derrière une haie.



Nous entrons. L’intérieur est des plus agréable, lumineux, soigné.



Je la laisse partir, bien décidé à l’y rejoindre d’ici peu. En attendant, je fouille parmi les CD et, agréable surprise, m’aperçois que nous avons pas mal de goûts musicaux communs. Je glisse un album de Genesis et me laisse envahir par la voix magique de Peter Gabriel.

Après quelques instants, je me dirige vers la salle de bains, guidé par le bruit de l’eau. La porte est restée entrouverte et je jette un œil curieux en direction de la baignoire. Isabelle, les yeux fermés, savoure ce moment de relaxation. Sans bruit, je me déshabille et avance vers elle. Sans ouvrir les yeux, elle me lance :



Je plonge dans l’eau tiède. Nos jambes se frôlent, ses pieds se retrouvent, mais est-ce vraiment le hasard, tout contre mon sexe, les miens, plus sagement, de chaque côté de son corps. Nous restons un long moment silencieux, appréciant ce moment de tranquillité.

Peu à peu, presque imperceptiblement, les orteils d’Isabelle perdent de leur immobilité et je sens de légers mouvements sur mon sexe. Ouvrant les yeux, je vois que la coquine me regarde en souriant.



Les mouvements deviennent plus perceptibles, plus appuyés et je me laisse aller à leur douceur.



Elle plaque mon sexe, désormais en érection, contre mon ventre et lui administre de doux et délicieux massages de la plante du pied. Je la laisse faire un peu mais, ayant déjà reçu ma part de plaisir tout à l’heure chez moi, décide de la faire jouir à son tour. Je repousse ses jambes et installe les miennes entre. Mon pied prend la place qu’occupait le sien et c’est à mon tour de lui masser le Mont de Vénus, un orteil venant parfois titiller son petit bouton.



Elle ferme les yeux et s’abandonne, ouvrant le plus possibles les jambes. Assez vite, de doux murmures s’échappent de ses lèvres et elle se retient de se tortiller. Je délaisse mes caresses et, passant mes jambes sous les siennes, je me rapproche. Mon sexe entre en contact avec le sien et elle tente de l’introduire en elle.



Je la soulève et l’installe sur mes cuisses puis, tenant mon sexe, le promène sur sa fente, m’attardant sur son clito ou, au contraire, le faisant pénétrer de quelques millimètres sa grotte humide.



Notre position me permet d’embrasser sa poitrine, ce dont je ne me prive pas, la tétant de temps en temps comme un bébé. Je devine qu’Isabelle ne tardera pas à parvenir à l’orgasme et mes caresses se font moins appuyées, la maintenant à la limite du plaisir. J’abandonne alors ses seins et immisce un doigt entre ses fesses. Je masse un peu son œillet puis appuie, rencontrant une légère résistance.



Sans vraiment le vouloir, la première phalange a franchi le passage encore inviolé.



Rassuré, je remue un peu le doigt, doucement, sans chercher à l’y enfoncer plus. Sur sa chatte, mon gland poursuit la découverte de sa fente et Isabelle a de plus en plus de mal à contenir ses gémissements. J’appuie un peu plus et suis tout près de déclencher son orgasme. Alors, d’une ruade, je m’enfonce en elle, lui tirant un nouveau cri de plaisir. J’abandonne, pour l’instant, son petit trou, passe les mains sous ses fesses et la fais monter et descendre sur moi. Elle s’accroche à mon cou, cherche ma bouche que je lui offre et, tout en m’embrassant avec ardeur, se laisse envahir par le plaisir, son cri étouffé par notre baiser.

Heureuse, elle se relève, me laissant quelque peu frustré.



Comme s’il ne s’était rien passé, elle vide l’eau de la baignoire puis, avec le jet, nous rince. Je me lève à mon tour et la laisse faire, me tournant quand elle le demande. Elle me tend ensuite une serviette, en prends une et nous nous séchons.

Sortis de l’eau, elle me demande comment je souhaiterais qu’elle s’habille :



Je l’abandonne et descends. Bizarrement, le fait de me trouver nu, chose qui m’arrive souvent chez moi, dans cette maison qui n’est pas la mienne, me met presque mal à l’aise. Je jette un œil aux fenêtres pour vérifier que personne ne peut voir à l’intérieur et, quelque peu rassuré, emplit deux verres de Martini.

Isabelle me rejoint quelques minutes plus tard et, la voyant, je ne peux retenir un sifflement admiratif :



Ravie, elle fait un tour sur elle-même, me permettant d’apprécier son ensemble. Bleu nuit, le soutien-gorge ne cache pas grand chose de ses seins. Le slip est pour sa part réduit à sa plus simple expression, surtout le derrière, limité à une fine bande de dentelle qui met plus en valeur qu’elle ne cache les fesses. Comble de raffinement, Isabelle s’est également parée d’un porte-jarretelles et de bas foncés.



Effectivement, sa tenue a réveillé mon excitation, quelque peu retombée après le bain. Je me lève, lui tends son verre et nous trinquons, debout au milieu du salon. Après une gorgée, je l’enlace et esquisse quelques pas de danses. Elle ne refuse pas, nous posons nos verres et nous laissons bercer par la voix de Etienne Daho. Mes mains caressent son dos, ses fesses, tandis que les siennes, sagement posées sur mes épaules, se contentent de me retenir contre elle.

Après deux morceaux, elle met fin à la récréation et me demande ce que je désire manger :



Je m’occupe d’allumer le barbecue pendant qu’elle prépare la viande. Un second apéritif nous permet de patienter pendant la cuisson puis nous passons à table. La situation est pour le moins cocasse. Moi, en tenue d’Adam, Isabelle, en dessous chics. Il ne faudrait pas qu’un voisin vienne demander un peu de sel !

Après le repas, la température fraîchissant, nous retrouvons le salon pour prendre le café, assis l’un contre l’autre.



Isabelle me sourit puis pose une main sur ma cuisse, me caressant doucement, se contentant de m’effleurer du bout des doigts. Lentement elle remonte et finit par atteindre mon sexe. Sans appuyer plus ses caresses, elle fait courir ses doigts sur la hampe et, peu à peu, la ’bête’ sort de sa somnolence, s’étire, redresse la tête. Je regarde cette main si fine, si douce, aller et venir, ses ongles griffer légèrement la peau. Abandonnant alors mon sexe, Isabelle remonte sur mon torse, agace mes tétons, les faisant eux aussi s’étirer. Parfaitement immobile, je la laisse faire, savourant la douceur de ses mains sur moi. Alors, elle me fait lever et, sans un mot, me fait allonger sur le sol.

La fraîcheur du carrelage me surprend quelque peu mais je l’oublie très vite quand Isabelle, me chevauchant, s’installe sur moi en position de 69. Sous mes yeux, le spectacle de son intimité, ses lèvres roses, aux contours finement ciselés, l’entrée de son puits d’amour d’où perle la si délicieuse liqueur, fruit de son excitation. Mes mains s’emparent de ses fesses que je masse quelque peu fermement, les écartant parfois pour admirer son petit œillet sombre. Lequel dans un premier temps fait l’objet de toute mon attention ; je le lèche abondamment puis, de la pointe de la langue, en assouplis le muscle. Isabelle ne se dérobe pas et, après quelques minutes de patience, je parviens à pénétrer son sanctuaire, lui tirant même un léger soupir.


Pendant ce temps, elle n’est pas restée inactive et fait coulisser mon membre entre ses lèvres, m’offrant une fois de plus une superbe fellation. Je délaisse pour l’instant son côté pile et ma langue poursuit son chemin sur sa fente. Sa chatte est trempée et je me régale de sa mouille. Son bouton pointe fièrement et quelques coups de langue bien appuyés suffisent à faire crier ma compagne. Retour sur son petit anneau qui, cette fois, ne résiste pas à mon intrusion. Je salive abondamment tout en faisant aller et venir un doigt dans sa grotte puis sors la langue et la remplace par ce doigt mouillé. Je regarde, j’admire devrais-je dire, la lente progression de mon majeur dans ce cul encore inviolé. Sous la surprise, et craignant sans doute une douleur quelconque, Isabelle a lâché mon sexe.



Quelque peu rassurée, elle reprend sa fellation et se détend. Mon doigt est maintenant tout en elle, je la laisse s’habituer à sa présence puis, lentement, le fais ressortir. Je regarde son œillet se refermer et, portant le doigt à ma bouche, goûte sa saveur épicée. À nouveau, ma langue mouille en abondance le petit trou avant de céder la place à mon doigt qui revient à la conquête de cette virginité. L’entrée en est plus facile, Isabelle, totalement rassurée par mon premier essai, est maintenant tout à fait décontractée et mon majeur retrouve son étroit fourreau sans gros problème. Je le fais aller et venir, d’abord lentement puis accélérant les va-et-vient. Les gémissements de ma belle, quoique étouffés par mon sexe, me rassurent quant au plaisir qu’elle commence à y trouver. Plaisir renforcé par les caresses de ma langue et les baisers sur son intimité. Elle a de plus en plus de mal à rester concentrée sur les caresses qu’elles m’offrent tant les miennes lui procurent du plaisir.



Elle abandonne mon sexe, pose son visage sur ma cuisse et se contente de savourer les caresses que je lui offre, gémissante.

Sa chatte ressemble de plus en plus à une cascade, à un volcan en éruption même tant elle est chaude. Se sentant sur le point de partir, c’est presque en criant qu’elle me demande ’de lui branler le cul plus fort’, selon ses propres mots. J’accélère alors les va-et-vient de mon doigt dans son anus, ma langue se concentre sur son bouton et soudain, dans un véritable hurlement, Isabelle parvient à l’orgasme m’abreuvant en abondance de sa mouille dont je ne me lasse jamais et que je bois, la langue fichée dans sa grotte. Vivement, comme si elle venait de recevoir une décharge électrique, elle se relève avant de revenir sur moi et de s’empaler sans autre forme de procès sur mon sexe tendu. S’appuyant sur mon torse, elle monte et descend rapidement, gémissement à chaque fois que mon sexe bute au fond de son vagin. Les yeux fermés, le front ruisselant de sueur, les cheveux en bataille, elle donne l’impression de ne jamais vouloir s’arrêter, ponctuant ses va-et-vient de petits ’oui’ ou de ’c’est bon’ qui en disent long sur son bonheur.

Je fais le maximum pour me retenir mais, plus le temps passe, plus je sens qu’à mon tour je vais jouir. Isabelle s’en rend compte également et, ouvrant les yeux, me dit :



Son encouragement suffit à déclencher mon orgasme et je n’ai que le temps de quitter son adorable écrin pour me répandre en longs jets, arrosant autant son ventre que le mien.


Cette rencontre a eu lieu il y a presque un an, comme le temps passe vite ! Je regarde Isabelle, assise à côté de moi, souriante, heureuse. Comme elle vient de me l’apprendre, il me faudra réfléchir à un cadeau l’année prochaine… pour la fête des mères. Je lui souris moi aussi. Je l’aime.



FIN