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n° 07610Fiche technique22477 caractères22477
Temps de lecture estimé : 11 mn
11/09/04
corrigé 30/05/21
Résumé:  Une nouvelle compilation de quelques phrases qui m'ont encore fait sourire ou grincer.
Critères:  nonéro humour -perles -humour
Auteur : Gufti Shank            Envoi mini-message

Collection : "Best of" des phrases douteuses
"Best of" des phrases douteuses #6

Voici encore une nouvelle sélection de phrases plus ou moins récentes, qui m’ont fait sourire ou grincer. Que les auteurs qui se reconnaîtraient ne se révoltent pas, et ne m’écrivent pas, indignés ! Je sais que c’est très facile de se moquer; d’autant plus que les phrases suivantes sont sorties de leurs contextes originaux.






Mon sexe était plus qu’à l’étroit dans mon pantalon. Je décidai donc de l’enlever.


Le pantalon, bien sûr…




Son corps est secoué de spasmes, elle gémit de plus en plus fort et finit par littéralement exploser.


C’est une maladie du système nerveux: quelques spasmes, deux ou trois cris et BOUM !




Émi est une femme de grandeur moyenne.


Son mari Robert est un homme de grandeur petite, mais avec un sexe de grandeur grande… Alors Emi est une femme de bonheur grand.




J’ai une vie sexuelle épanouie, avec toutefois une libido nettement supérieure à la moyenne.


J’ai un profil psychologique sans histoire, avec toutefois un énorme complexe de supériorité…




Elle posa pour plus de confort sa poitrine sur le bout du lit


Puis elle revint s’asseoir sur le rebord de la fenêtre.




VENUS s’en alla rejoindre son ami au bar. ANNABELLE se leva, JEANNE lui emboîta le pas. Elles embrassèrent toutes les deux NADEGE.


Ce sont des femmes de grandeur épaisse, donc on les marque en majuscules.




Mes mains descendent sur son chemisier sous lequel je devinais ses seins pointus mais je me gardais bien de les effleurer.


Ben oui, s’ils sont pointus, c’est dangereux !




Mais j’étais bien décidé à aller encore plus loin et je la connaissais suffisamment pour savoir qu’il fallait décoder à l’inverse ses paroles.


Quand elle dit "non", ça veut dire "oui", quand elle me gifle, ça veut dire "je t’aime", quand elle pleure de désespoir, cela signifie "continue, j’adore ce que tu me fais", et enfin, quand elle a le corps lacéré et qu’elle saigne de partout, c’est son ultime témoignage de bonheur absolu.




Je sors sa jambe du string pour la reposer sur mon épaule.


Elle a hurlé, puis est tombée en voulant s’éloigner; je décidai alors de lui rendre sa jambe.




Une main agrippée à la rambarde, elle me saisit la tête de l’autre pour me plaquer la tête sur sa petite chatte.


Et c’est à cet instant que je suis tombé violemment dans l’escalier…




Gaïa très déçue par les hommes depuis quelques mois déjà avait décidé de voir comment était la gente féminine avant d’en être aussi dégoûtée.


Et comme désormais même les chiens la rejettent et la mordent, elle commence à se poser des questions…




Gaïa heureuse d’avoir baisé avec deux aussi beaux mâles alla sous la douche se laver


S’il est effectivement question de mâles, on ne sait toutefois pas de quelle espèce il s’agit…




Elle était fiancée depuis peu à Bertrand un homme grand avec les cheveux en bataille.


La description de Bertrand est ici purement symbolique.





De l’importance des adverbes:


  • — Va te faire foutre ! Sale con !" lui susurra-t-elle sensuellement en retour.
  • — T’es qu’une grosse merde !" finit-il par lui avouer poliment.
  • — Putain d’enculé !" trancha-t-elle avec courtoisie.




Il commença à la pénétrer tout doucement et cria à son frère: "Elle est vierge !!"


Elle commença à le sucer, puis se releva et, ouvrant les fenêtres donnant sur la rue, elle hurla à tout le voisinage : "Il a une toute petite bite !"




Il la pilonna et enfin la pénétra.


Puis il sortit de la pièce et enfin quitta la salle.




Dans la douche, impudiques, ils se caressèrent avec un savon.


En fait, ils auraient pu aussi bien se caresser avec un fer à souder; du moment qu’ils sont dans la douche ensemble, on peut dire qu’ils sont impudiques.




Claudine n’en peut plus d’être toute seule et qui a une envie folle de baiser.


Bob n’en peut plus de ne pas savoir parler…




À 19h30, Claudine était déjà prête et commençait à mouiller rien qu’à savoir qu’elle n’avait pas de culotte.


Pour trouver Claudine ? Oh, c’est simple; vous voyez ces traces sur le sol ? Eh bien vous allez les suivre…




Il lui dit « Je vois que tu es une petite fille désobéissante. Il va falloir remédier à la situation. Déshabille toi et en vitesse! » Claudine s’exécuta.


Comme quoi, elle est pas si désobéissante…




Elle le supplia alors de lui mettre plutôt dans les fesses, pour qu’elle sente son passage s’étirer au maximum et sa rondelle éclater. Marc lui dit de la fermer, que c’est lui qui décidait et que son intervention nécessitait une punition.


D’abord, depuis quand elles ont le droit de parler, les nanas ?!? Déjà qu’on consent à les baiser et à les laisser faire la vaisselle ! Elles vont pas non plus la ramener, quand même !




Une fois la courge bien au fond du sexe de Claudine, Marc vint placer sa queue entre les lèvres de sa partenaire d’un soir pour qu’elle le suce. Lorsque son pieu eut repris toute sa vigueur, il se retira et alla présenter son manche entre les fesses de Claudine, qui râla de bonheur. Elle allait enfin se faire sodomiser bien à fond.


Ah… Enfin ! On commençait à se poser de sérieuses questions…




Claudine n’est pas trop d’accord mais l’envie se fait trop forte et elle accepte.


Sacrée Claudine ! C’est marrant les soucis de moralité de certains auteurs : ils se disent que non, une nana normale n’accepterait évidemment pas ce genre de situations ; alors ils expliquent brièvement que leur héroïne n’est pas d’accord, mais pour une obscure raison, elle finit systématiquement par accepter, sans doute pour les besoins du scénario. Moralité, justement : Claudine n’est pas d’accord, mais elle accepte… Moi, ma "moralité" serait moins touchée si Claudine était une grosse salope et était d’emblée d’accord.




Travailler? Je haussa les épaules. En y réfléchissant bien, je n’avais jamais travailler.


En tout cas, pas assez à l’école…




Je m’agenouille à ses pieds et l’embrasse dans le cou.


J’ai oublié de dire qu’elle mesure 1m10 ?




J’entendais son souffle s’accélérer sous mes coups de langue. Puis ma langue glissa entre ses lèvres et je sentis la douceur de son entre cuisse sur ma langue. Ma langue ne suffisait plus.


Stop ! Vous avez épuisé votre crédit de mots "langue".




Le contact de son sexe durci m’excitait à un très au point.


Et haut diable Laure Taugraf !




Je me souviens,le matin en m’épilant la chatte pour aller à la mer j’avais essayé de faire un dessin,mais bon n’est pas artiste qui veut ! !Je l’ai raté ,du coup j’ai tout rasé.


Et demain : sculpture sur bite…




Je la doigte maintenant son problème.


C’est de l’écriture en polonaise inversée. Transcription en français: son problème est maintenant que je la doigte. (Elle n’était pas d’accord, mais elle a quand même accepté.)




On ne sait pas revu des vacances.


Mais c’est de ma faute, j’avais beaucoup de travail sur mon cahier de vacances.




Une fois on a simulé un viol …


Bonjour, aujourd’hui nous allons simuler un bombardement aérien mais avec bombes réelles. Demain, pour les survivants, on simulera un passage sur la chaise électrique. Enfin, après-demain, on simulera un processus de paix au Moyen-Orient. Mais tout d’abord, y a-t-il des volontaires pour m’accompagner à l’examen psychiatrique ?




J’effectuais un mouvement de pompage habituel au début puis je l’avalais complètement ou presque (ne vous découragez pas mesdames la capacité d’engorgement vient avec le temps)


En effet, d’après Berthe, de Charleville-Mézières: "Moi, j’ai soixante-seize ans et pour sucer deux bites à la fois, j’ai un truc très simple: j’enlève mon dentier… "




Bon je m’occupa personnelement de la domestique, je fis le numéro d’SOS Ménage (nda : numéro bien évidemment fictif, ne tentez pas ça chez vous)


Et jeu moque eu pas eau si perd sonne elle ment deux mâts forts m’a scions lit terre air, jeu fi l’oenumairo d’ SOS Orthographe. (nda: numéro hélas fictif, ne tentez pas ça chez vous.)




D’un coup la sonnette sonna.


Et d’un coup sec ! Alors qu’on la regardait tous depuis plusieurs heures, espérant qu’elle se mette à changer de couleur et à tourner sur elle-même en lançant des messages de paix, elle a tout bêtement sonné. Qu’est-ce que c’est con, une sonnette !




Je quitta précipitament mon bureau et me dirigea assez rapidement vers le portail.


Mais en chemin, je buta contre mon manuel de conjugaison et tombis à la renverse.




Elle a des oreilles charmantes…


Dommage qu’on ne voie que ça…




Je lui infligeais de longues minutes de supplices.


Comment ça, je suis malade ?!? Mais t’es qui, toi, d’abord, pour me dire que je suis malade ?!? Quoi, un psychiatre ? C’est quoi d’abord un psychiatre ? Tu veux que je t’éclate la gueule, moi ? Toi aussi, tu vas voir, tu vas être malade !




Je lui montra toutes les salles et tout son travail, elle acquisea et me promit de faire de son mieux .


Acquiséer ? C’est un peu comme dire oui, mais en moins bien.




Je déboutonna ma chemise et la lança négligamment vers la porte.


Nullement impressionnée, ma collègue me regardit avec des yeux attristés et me disa amicallemment : "Pauvre gland !"




L’eau chaud ruissellait sur mon corps, j’avais chaud…


Et quand je mis de l’eau froide, j’eus froid. Je réalisai ainsi divers petits tests, comme mettre la tête dans le four ou bien dormir dans le frigo, et je constatai en cumulant toutes mes observations que, dans l’ensemble, le froid donne froid et le chaud donne chaud.




Elle gémissait foirt…


…d’empoigne.




Je me pris un afflux de cyprine.


Une véritable marée ! On hésite même à lui installer une petite turbine, afin qu’elle produise de la lumière à chaque orgasme.




Sous la douche, ma main s’occupa de moi.


Je n’étais pas d’accord, mais j’ai accepté quand même…




Et puis sans que je le veulle je me mis a dormir…


Là non plus, je n’étais pas d’accord, mais…




Celle-ci n’en puits plus il fallait une bite à l’intérieur d’elle !


Le retour de l’âne Cadichon !






  • — Qu’est-ce qu’il y a ?
  • — Y a le n et le i qui déconnent sur le clavier.






  • — Excusez-moi, quand je suis émue, je me mets à parler en Albanais. C’est plus fort que moi.




Je sougea a m’abonner a SOS Ménage.


"Le souge d’une cuite d’été"…




Puis 2 semaines passa.


MONSIEUR 2 semaines !




Je lisais un livre ennuyeux sur la culture des bonzaïs.


Exercice : cherche la référence d’un livre non ennuyeux sur la culture des bonzaïs.




Il faut dire que la veille, je m’étais faite prendre par 4 hommes plusieurs fois !


Il faut vraiment le dire ?




Je restais les yeux fermés le laissant faire et il en profita pour sortir son sexe.


Et c’est comme ça dès que je ne le surveille plus. Un moment d’inattention, et hop ! Il sort son sexe.




"Alors salope?.. tu en as encore prise plein tes trous de vieille pute?" Je ne savais pas quoi répondre?


La meilleure réponse aurait été un grand coup de pelle !




Alors je ne pus m’empêcher de pleurer et de crier pour qu’il arrête?… mais au contraire il frappait de plus belle.


Et à cet instant, un deuxième grand coup de pelle !




"Allo, c’est toi petite salope? "

"Oui, c’est madame B. !"


Ce qui aurait été rigolo, c’est qu’il ait fait un faux numéro.


  • — Allô, c’est toi petite salope ?
  • — Ah, non, c’est Robert !
  • — Oh, pardon, monsieur.
  • — Je vous en prie, c’est un plaisir.
  • — Mais dîtes-moi, mon cher monsieur, votre femme est là ?




Alors le voilà qui force l’entrée de ma chatte avec son poing fermé? […] Il pousse encore plus fort et ça fait: plouf ! […] Lorsqu’il retire sa main je sens comme un grand vide en moi ?..


Bon, le grand vide à la fin, je veux bien, mais le "plouf !", quand même…




Son air gourmand et un peu ridicule, ainsi que le ton de sa voix ont fait tilt dans ma tête. Elle est en rut, ça se sent.


Comme elle a l’air con et affamée, c’est qu’elle veut baiser…




Plitch, plitch ! Hon ! Hon ! […] Oh ! Ah ! Mmm ! […] Aaaaah, ouiii ! Rrraaah ! […] Luik ! Luik ! Luik ! […] Han, han, han ! […] Ouuuuaaaah ! Rrrrâ ! […] Mmmm, aaah, oooh ! […] Sprrrt ! Spruiiitl ! Sprrrriit ! Pruiiiiiiiiitl ! […] Ha, ha ! […] Gloups ! Mmmmaaam ! Miam !


On pourrait faire tout le récit comme ça, il suffit de décoder. J’explique :

"Plitch, plitch !" : il la pénètre, elle est tellement trempée de désir que chaque mouvement de sa queue énorme produit un bruit significatif.

"Hon ! Hon !" : il l’a relevée et lui baise la bouche en lui tenant la tête; elle n’est pas d’accord, cela explique qu’elle essaie de crier "Non ! Non !" la bouche pleine. Mais elle accepte quand même.

"Oh ! Ah ! Mmm !" : finalement, ils baisent et cela leur plaît.

"Aaaaah, ouiii ! Rrraaah !" : ils jouissent.

"Luik ! Luik ! Luik !" : la grand-mère adoptive de la jeune femme arrive inopportunément dans un fauteuil roulant mal entretenu.

"Han, han, han !" : découvert, l’amant décide d’achever la vieille femme à grands coups de marteau.

"Ouuuuaaaah !" : les jeunes gens découvrent que la vieille femme cachait dans son fauteuil roulant un trésor d’une valeur inestimable.

"Rrrrâ !" : mais ils s’aperçoivent aussitôt qu’il s’agit essentiellement d’anciens francs d’entre les deux guerres qui n’ont en fait plus aucune valeur.

"Mmmm, aaah, oooh !" : pour soulager leur dépit, elle lui fait une fellation.

"Sprrrt ! Spruiiitl ! Sprrrriit ! Pruiiiiiiiiitl !" : Le jeune homme se saisit d’une capote et s’amuse à la gonfler puis à en laisser sortir l’air doucement.

"Ha, ha !" : cela le fait beaucoup rire.

"Gloups ! Mmmmaaam ! Miam !" : la capote étant déchirée, finalement, la jeune femme avale.




J’expliquai le dilemme à mon épouse qui à mon grand étonnement accepta immédiatement de se faire prendre par l’employé.


Non, moi, ça ne m’étonne pas le moins du monde. Moi aussi, dès que j’ai un problème avec un mec, je lui présente ma femme, qui se fait une joie de lui tailler une petite pipe. L’homme repart détendu et ma femme rassasiée. Tout le monde y trouve son compte. (Il va de soi que si mon problème concerne une femme, je condescends à faire l’effort d’accepter de la sodomiser pour la détendre.)




Une averse mit fin à nos ébats.


Un doute quant au temps pour vos activités de plein air ? www.outside-fuck.com/meteo !




Tu es là en levrette, tous tes charmes exposent à ma vue. Quel superbe fourreau tu as !


Et là, elle pète ! Prrrrrouuuttt ! Voilà tout son charme qui t’explose à la vue !




Parfois, il y avait souvent du passage.


Notez bien l’effet de style obtenu par l’auteur grâce à cette opposition sémantique adverbiale… et ne le faites jamais !




Suspendue au bout d’une ma corde.


C’est un nouveau jeu: à chaque étape, on enlève un mot, et à la fin, le lecteur doit retrouver le sens de la phrase.




(rq : notre couple pratique comme sport l’escalade sur parois naturelles et verticales…)


(Rq: l’escalade sur parois horizontales n’a que peu d’intérêt…)




C’est çà la classe les mecs, une seule journée et elle ne plus se passer de moi.


Alors que là, nous, en à peine une ligne…





Ma semence arrive.


La même par Word ? "Tu souscris à ce que j’arrose présentement ?"

"Holà, à l’unisson, Daniel, colles-y-toi ! J’en aspire à gogo."

Mes gamètes débarquent.




Gisèle, qu’est-ce qu’elle chouette.


Chouetter, ça veut dire hululer en pleine nuit, les yeux grand écarquillés. Alors c’est vraiment pénible de dormir avec Gisèle.




Rasée de mai à septembre Lydie offrait un sexe lisse comme celui d’une ado…


De septembre à janvier, ça repousse doucement, et au printemps ça fait des fleurs.




Avec toi, nous avons eu pleines de discussions passionnantes.


Pleines de rumeurs courent sur pleines de personnes qui font pleines de phrases pleines de fautes.




Elle revenait vers moi en dodinant de façon très érotique.


Dodeliner et dandiner, je vois à peu près ce que ça pourrait faire, quant à dodiner, je ne sais pas si c’est très sensuel…




Me voyant très gêné, elle se pensait un peu plus vers moi.


Alors là, j’avoue que même avec le contexte…





Et moi je policier, je arrêter bandit.




Laura caressait et pompait de sa ma gauche ma bite.


C’est le i et le n qui continuent à déconner.




Elle sera ses cuisses sur ma main pour mieux sentir la pression de ma main.


Et ma main finit par bien sentir la pression de ses cuisses sur ma main.




A ce rythme la le n’allait pas tarder.


La… Le… "Luik ! Luik ! Luik !" La voilà ! Sauve qui peut !