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n° 07623Fiche technique14487 caractères14487
Temps de lecture estimé : 9 mn
13/09/04
Résumé:  Un homme rencontre une jolie fille dans un stage de voile
Critères:  fh extracon plage sport bain bateau douche pénétratio jeu
Auteur : Jim            Envoi mini-message
Monique




J’ai eu une copine qui s’appelait Monique. Quel vilain prénom !


Bedos disait, « Monique, Monique, deux qui la tiennent, trois qui la taquinent » !


Monique est une sacrée belle plante, le genre de gonzesse que tout homme normalement constitué rêve de posséder un jour ou l’autre.


Assez grande, taille fine, très fine, poitrine surplombante, très surplombante, jambes musclées injuriant la cellulite, fessier de compétition, châssis parfait. Un minois d’ange diabolique, la chevelure abondante genre je fais de la pub pour mon shampoing préféré, sourire Colgate, yeux malins et pétillants, le tout au service d’une intelligence aiguisée.


La rencontre improbable, l’événement impromptu, le hasard heureux, la chance d’une vie peut-être, mais quel vilain prénom complètement déphasé par rapport à la femme.


Comment l’aborder, la nommer, l’appeler, la courtiser quand tu ne peux pas dire : « Monique, comme ça te va bien ! »


Vite trouver un surnom, mon cœur, Momo, Nini, ?????


Pas mieux c’est aussi Cucul… que Monique.


Finalement je la complimente en lui disant que je trouve son prénom « à chier » Et ça marche, ça me met sur orbite, nous sommes dans un stage de voile, je suis le seul mec bronzé, musclé, grande gueule, à l’attaquer en me moquant. Elle n’a visiblement pas l’habitude qu’on l’aborde ainsi et je l’intrigue, ouais ! C’est ça elle doit penser que son charme n’agit pas sur moi, du coup je l’intéresse. C’est du bol, je n’y croyais pas trop.


Je touche ma bille en windsurf, pas elle. Elle est là pour apprendre, moi pour lui expliquer, j’ai déjà des points d’avance sur les autres, la concurrence toujours rude. Va falloir jouer fin pour l’accrocher à mon tableau, mon palmarès.


Fin de semaine, interruption du stage jusqu’à lundi. Je suis à des lieues de chez moi, elle habite Paris, nous sommes à Douarnenez.


Nous allons rester au centre d’hébergement avec deux ou trois autres stagiaires. L’école de voile se vide vendredi midi, nous, nous faisons des heures supplémentaires, le matériel est à notre disposition.


Nous décidons d’aller surfer dans la baie, j’ai une planche suppositoire, elle navigue sur un paquebot, nature je la laisse sur place et lui fait admirer mon style Naish. Cela la vexe, pas le genre à rester derrière battante et sportive comme elle est. Je la conseille gentiment et patiemment. Je l’aborde, monte sur sa planche, me positionne dans son dos et en lui tenant les mains, lui fait traverser une anse en deux temps trois mouvements. Le pont est exigu et je suis obligé de me coller à elle pour maintenir notre fragile et précaire équilibre. Inutile de dire que j’en profite et que je frotte de tout mon cœur mon bas ventre contre ses fesses à travers nos combinaisons d’été. Elle se défend mollement au début puis plus du tout et aurait même tendance à tendre son tout petit cul contre ma bite qui imite modestement notre mat. Bon début…


Puis nous passons à la phase chahut, comme des gamins, nous nous poussons à l’eau, nous nous enfonçons la tête en attrapant au gré de nos mouvements de défense ou d’attaque tout ce qui passe à portée de main. Là encore avantage Jim, plus fort qu’elle. Innocemment, je fais le tour du propriétaire et tâte sans vergogne son corps de déesse extraterrestre de mes mains baladeuses. Dame, ça tient en place tout cela ! Elle ne se prive pas non plus de peloter mine de rien ce que j’ai de plus cher. Voilà une histoire qui commence bien. Vient la phase repos. Nous rentrons sur la plage et après avoir rangé les planches, nous partons vers les douches.


Celles-ci habituellement ne sont pas mixtes mais comme nous sommes seuls à en profiter, je m’invite chez les dames, et rentre dans la douche à côté de la sienne. Ces douches n’ont pas de porte. Au bout de deux minutes, elle appelle au secours pour que je l’aide à enlever sa combine. Je m’exécute et fais glisser cérémonieusement dans son dos la fermeture en un éclair dévoilant le grain fin de la peau de ses reins et l’attache du soutien-gorge. Sans qu’elle ne me le demande, je dégrafe aussi ce dernier.


Je lui tourne le dos pour qu’elle m’aide, elle aussi. Je la regarde ensuite s’extraire du néoprène en tortillant des fesses ce faisant, ses seins se retrouvent à l’air, en l’air. Elle me regarde, sourit, et me dit : « n’en profite pas trop ! »


Bien sur que j’en profite, je me rince l’œil et même les deux, j’imprime au fond de ma mémoire la vision d’un monde parfait, de deux hémisphères idéalement symétriques séparés d’un sillon aussi profond que le grand canyon, surmontés d’aréoles comme des calottes polaires aux extrémités de l’univers. Une poitrine extraordinaire que je me retiens de toucher, surtout ne pas brûler les étapes, nous n’en sommes qu’à la phase séduction.


Mon Bernard l’ermite sort sans prévenir de sa coquille, va te cacher sale bête, ce n’est pas encore l’heure du casse croûte.


Elle rentre dans sa douche et sans pudeur ni gène, enlève le bas de son maillot d’un geste sobre, élégant. Elle est nue et se savonne de la tête aux pieds. Le shampoing lui fait fermer les yeux et la tête rejetée en arrière elle se frotte le cuir chevelu. Quelle nana, ce geste fait à peine frémir sa poitrine opulente, des abdos de magazine saillent sous l’eau qui ruisselle le long de son corps, son minou délicatement ouvragé par l’épilation frisotte en retenant des bulles.


Je suis devant miss monde, je marche sur ma langue, je me bave dessus, je ne peux détacher mes yeux de ce spectacle. Je me glisse néanmoins sous ma douche et je la prends bien froide pour calmer mes ardeurs et ma fougue. Quelle force de caractère j’ai là, je sens qu’elle est ferrée mais pas encore dans l’épuisette. Patience … Pas envie de me prendre une bâche sarcastique, faut encore que je la chauffe, c’est le jeu de la séduction.


Elle sort de sa douche, chope sa serviette s’enroule en cachant ses trésors et me regarde tranquillement me laver. Son regard sur moi ravive s’il en était besoin mon enthousiasme que l’eau froide n’a que très peu calmé et je lui présente les armes dans un « garde à vous » parfait. J’accentue l’apparence et la force de mon excitation en creusant le ventre et en poussant vers l’avant mon bassin. Elle contemple silencieuse mais d’un regard amusé l’hommage que je lui rends. Si elle n’a pas compris ce dont j’ai envie avec cette démonstration magistrale, alors je me fais moine !


Nous retournons travailler la bronzette sur la plage, quelques confidences échangées sur les serviettes m’apprennent qu’elle est entre deux eaux avec un beau mec qui semble préférer les hommes. Depuis quelques temps, c’est ceinture côté galipettes. Y’a de ces goujats !


Elle me dit ça à moi comme si j’étais sa meilleure copine, elle se plaint de son julot, me montre l’ouverture, au moins je sais ce qu’il me reste à faire.


Je la baratine, je lui mensonge une histoire impossible sur ma vie de couple, roule les mécaniques puis l’invite à une nouvelle baignade. Nous avons une petite embarcation de sécurité à notre disposition. Nous faisons vague vers un endroit plus discret où nous jetons l’ancre. Plongeon, crawl ravageur, elle vient me rejoindre d’une brasse impeccable et nous barbotons de concert en faisant demi-tour.


Nous retrouvons la sécurité, elle tente de se hisser mais sans échelle c’est trop dur : elle rame lamentablement, patauge, crochète d’une jambe le plat bord, tire de toutes ses forces mais ne parvient pas à monter ses fesses plus haut que mon nez.


La vue de sa raie, à bout portant, me statufie. Dans cette position en grand écart, les lèvres de son sexe débordent du maillot très échancré et je pourrais presque faire l’inventaire de la salle de jeu. Finalement, en quelques secondes, elle me retombe dessus. J’ai vu la lune, va falloir la décrocher.


Elle fait une seconde tentative et me demande de l’aider. Moi, vous me connaissez, si c’est pour rendre service je suis partant. Dès qu’elle fournit son effort, je glisse ma main sous son cul et pousse doucement en prenant bien soin d’investir au maximum les espaces laissés libres par le maillot. C’est doux, c’est bon et ferme à la fois, elle se raidit lorsqu’elle sent mes doigts autour de ses orifices mais j’ai aussi l’impression très nette qu’elle cesse ses efforts pour monter et qu’elle attend que je pousse son délicieux tout petit cul. Ma main baladeuse chatouille sa toison anale.


Elle réitère sans beaucoup de conviction son « n’en profite pas trop ! »


Pas trop c’est l’autorisation d’un peu, ça veut dire continue dans mon langage ! Je la hisse sur le bateau où elle s’affale à plat ventre et je me propulse d’un prompt rétablissement derrière elle en lui tombant, comme par hasard, dessus.


Il est impossible de savoir si je la fais mouiller dans ces conditions humides, mais mon maillot de bain ne peut contenir mon érection.


Elle ose sans timidité une main baladeuse, elle tripote ma bite au-dessus du tissu puis enfile sa main sur le côté du maillot. Elle me tire au passage 12000 poils et je me retiens de crier car c’est très douloureux. Elle me regarde droit dans les yeux en faisant ce geste et la petite lueur que j’y perçois n’annonce rien de bon sur les possibilités futures que j’ai de rester fidèle à ma femme.


Je décide de virer mon maillot ! Nous ne nous sommes même pas embrassé ni caressé et nous en sommes déjà au cœur de l’action.


C’est maintenant ! C’est parti !


Nous ballottons au gré des vaguelettes et la sensualité de ce tangage la dispute à l’érotisme de la scène. Elle se caresse à travers son slip en me branlant. Ses yeux me fixent si intensément que je n’ose bouger, je lui laisse l’entière initiative du moment. Des secondes puis des minutes se passent pendant lesquelles notre frêle esquif se dandine au rythme des mains de Monique à moins que ce ne soit le contraire …


Sa main tire ma peau au maximum décalottant mon vit jusqu’à la douleur.


Serait-elle un peu sadique ? En tous cas, je subis cette douleur qu’elle m’inflige sans piper mot.


Ses yeux par moment perdent en intensité, ils se révulsent, sa tête part en arrière un bref moment puis de nouveau elle me fixe et s’active de plus belle sur nos deux sexes. Cette manière de me scruter m’intimide, ça devrait faire un bon moment déjà que j’aurais du l’éclabousser de mon plaisir et pourtant rien ne vient.


Elle me freine en me faisant mal… drôle de tactique, je suis bien capable de l’attendre, j’ai de la ressource, je connais les femmes … Serait-elle un peu sadique ? Cette question est lancinante, trop peu pour moi, j’aime la tendresse bordel !


Soudain, elle pousse des cris d’orfraie, son orgasme semble très violent. Elle me lâche, soubresaute dans l’embarcation en écartant et serrant ses cuisses autour de sa main, cambrant des reins crispant son visage. Parole, elle va nous faire chavirer de cette extravagante jouissance.


Je suis halluciné par ce qui se passe : ET MOI ALORS !!!!!!


Pas sympa la nana elle se branle sur mon dos et me laisse en plan …


J’ai la queue tendue à mort en la regardant revenir sur terre. Elle reprend conscience lentement et me gratifie d’un sourire d’ange. Elle se lève, ôte l’intégralité de son maillot, offrant au monde qui danse, l’esthétique de son corps de déesse marine.


Elle se jette sur moi et s’empale d’un coup sec sur mon membre. En voilà une qui sait ce qu’elle veut et le prend sans demander, elle se conduit comme LE chef de la bande. Mais bon, je suis assez d’accord avec ce qu’elle projette de faire et toute susceptibilité à ce moment serait déplacée.


Excuse moi me susurre-t-elle à l’oreille, j’en avais tellement envie !


Toute excusée la cocotte, maintenant que sa fougue est tant soi peu calmée, la douceur de ses gestes fait contraste : elle remue doucement des hanches de haut en bas, écrasant son clitoris sur mon pubis, son cul pointé vers le ciel, sa langue dans ma bouche, ses mains agrippent mes fesses, ses seins plaqués sur mon torse. Une sangsue est en train d’aspirer les liquides de mon corps et je ne fais aucun geste de défense. À peine si j’ose une main vers son cul lorsqu’elle accélère le mouvement histoire de la freiner un petit peu : c’est que j’ai peur d’une crue subite qui blesserait mon orgueil de mâle. On a sa fierté que diable, c’est quand même pas une Parisienne qui va se vanter d’être tombée sur le « précoce du coin. »


Peine perdue, déjà son ahanement se fait plus fort, son rythme a doublé et je sens bien les contractions de son ventre autour de mon sexe, elle est en train de jouir cette égoïste, sans moi, encore.


Alors, enfin, j’entre en action, je pousse vers le ciel de grandes ruades parties de mes reins qui décuplent son énergie et l’obligent à s’agripper pour ne pas être désarçonnée. Je sens monter illico la sève qui libère mon ventre de toutes les attentes, des envies retenues et des tensions accumulées ces dernières heures. Quel bonheur, quelle ivresse, quel pied !


Elle crie encore lorsque je me calme, cette fille est incroyable.


Le silence revient, elle est assouvie, assoupie momentanément sur moi, ne bouge plus que ses doigts qui, doucement, me caressent le visage ; nos fluides mélangés s’écoulent le long de mon membre et de mes couilles. Nous profitons ainsi, immobiles, silencieux, sereins, d’un très long et inoubliable moment de tendresse, bercés par la petite houle atlantique, laissant le soleil sécher nos transpirations et dorer la blancheur immaculée du fessier de Monique.