n° 07628 | Fiche technique | 9862 caractères | 9862Temps de lecture estimé : 7 mn | 13/09/04 |
Résumé: Julien va-t-il franchir le pas sur un parking pour routiers ? | ||||
Critères: hh inconnu parking voiture hmast facial fellation | ||||
Auteur : Julien des Esperes Envoi mini-message |
Je m’appelle Julien, j’ai 25 ans et si depuis un peu plus d’un an je vis avec un homme que j’aime plus que tout, je n’ai pas toujours été si bien dans ma peau d’homo.
Mon mal-être m’a pendant plusieurs années empêché de faire des rencontres ailleurs que dans des lieux de drague parfois mal famés !
En particulier une aire de repos sur l’autoroute, entre Nîmes et Montpellier, qui se trouvait à seulement une dizaine de kilomètres de chez ma mère où je vivais alors.
Pendant environ un an, je m’y rendais plusieurs fois par semaine et, la plupart du temps, je ne faisais qu’attendre, refusant quasiment chaque fois les invitations plus ou moins explicites d’hommes plus ou moins attirants.
Ce que j’aimais dans ces lieux ? L’ambiance un peu perverse qui baignait l’endroit. Ces hommes s’arrêtant l’espace de quelques instants juste histoire de se faire du bien en rentrant du boulot m’excitaient énormément. En effet, très peu de "chance" de tomber sur des mecs efféminés. La plupart des hommes qui s’arrêtent sont en effet des hommes mariés… donc souvent virils ! Pour moi, petit mec de 1m70 pour 55 kg, pas très viril, c’était le pied.
Mais dans ma tête seulement…
Je n’arrivais jamais à passer le pas. Je détournais la tête lorsqu’on me regardait avec insistance, ignorais les appels…
Jusqu’à ce qu’en fin d’après-midi du mois de mai où la température était encore élevée, assis sur un banc non loin des toilettes, j’ai vu arriver, du côté du parking où les poids lourds se garent généralement, un homme d’environ 45 ans, bien bâti. Comme s’il avait senti mon regard, il s’est tourné vers moi et jusqu’à ce qu’il disparaisse dans les toilettes, il ne m’a plus lâché des yeux.
Comme d’habitude j’ai feint l’indifférence même si mon cœur battait à 200 et que, physiquement, il était ce que j’aimais…
Grand, baraqué, brun, la barbe naissante, et un bermuda en jean laissant apparaître des mollets musclés et velus… J’observais discrètement les toilettes et, sa petite affaire terminée, il est ressorti se laver les mains tout en continuant à me mater sans pudeur aucune… J’ai alors pris mes jambes à mon cou et j’ai contourné les toilettes pour retourner à ma voiture. Comme je m’y attendais (ou espérais ?), il m’a suivi et il m’a appelé…
La gorge serrée je me suis retourné et il était déjà à ma hauteur…
Pour être franc et direct, ça l’était ! Et mon cœur n’a fait qu’un bond, je ne m’attendais pas à ce qu’il attaque aussi vite !
C’est à ce moment qu’il a pris ma main pour me la poser sur sa braguette.
Effectivement, je sentais bien son sexe gonflé à travers la toile de son bermuda. Excité mais inquiet, je regardais autour de moi, n’importe qui pouvait nous voir. Sentant mon trouble, il m’a dit que personne ne nous verrait…
En réaction, il a sorti un sexe de belle taille qu’il m’a mis dans la main.
La situation m’excitait terriblement mais je n’osais faire un mouvement…
Je n’étais pas prêt pour ça et j’ai dit à nouveau que je voulais partir. Assez violemment, il a attrapé mon sexe à travers mon jean. Mon érection ne mentait pas, elle. Il l’avait bien compris…
Je me suis exécuté lorsqu’il m’a demandé de lui montrer mon sexe. Il a alors souri…
Il a fermé les yeux en me branlant lentement. Sa grosse main serrait fort mon sexe, j’avais presque mal.
Ce que j’ai fait. Quelle jouissance de sentir vibrer dans sa main un sexe long et chaud. Plus ça allait, plus je prenais d’assurance et le masturbais avec aisance.
Je me suis agenouillé tout de suite et, après avoir rapidement léché son gland tout humide, je l’ai englouti en fermant les yeux de bonheur… Son sexe cognait déjà au fond de ma gorge et je m’appliquais à le satisfaire, le pompant au maximum, faisant aller et venir mes lèvres en étau le long de sa colonne de chair qui gonflait encore.
Soudain, il m’ordonne d’arrêter et à peine sa bite a-t-elle quitté ma bouche qu’il jouit sur le sol ses flots de sperme. Je le regarde se finir, en rentrant mon sexe qui n’a pas joui, content de lui avoir donné tant de plaisir… même si en fin de compte je ne l’ai pas sucé plus de 2 minutes.
Je fais à nouveau un tour d’horizon de la zone et je m’aperçois qu’entre temps un camion s’est garé derrière et que son chauffeur ne pouvait pas ne pas nous avoir vus!
Je regarde mon complice, un peu gêné…
Il est parti en me souriant et j’étais plus qu’heureux de ce qui venait de m’arriver… À mon tour je me décidai à vider les lieux et à rejoindre ma voiture qui se trouvait à l’extérieur de l’aire de repos, au milieu des arbres. Mais pour ça, je devais passer devant le camion nouvellement arrivé. Finalement, plus de peur que de mal puisque le conducteur que je n’avais qu’entr’aperçu n’avait pas bougé.
J’ai regagné ma voiture sans entrave mais à peine avais-je refermé la portière que je vis le mec sortir de son camion et se diriger droit vers ma voiture. Il devait avoir aux environs de 35 ans, pas très grand et mince. Le visage dur, la démarche sûre, il était lui aussi pas mal viril.
Très vite il est arrivé près de ma vitre (ouverte) et m’a demandé si je suçais. (Il le savait, il n’avait pas pu échapper à ma petite prestation).
J’avais pas réfléchi, parti comme j’étais je voulais profiter de mon état d’excitation intense !
J’ai alors ouvert la portière, suis resté assis sur mon siège et il a sorti un sexe en demi-érection que je me suis empressé de lécher et sucer. Je l’ai pris entier rien que pour le sentir se développer sous ma caresse buccale. Et pour marcher ça marchait, je sentais sa queue s’allonger à n’en plus finir. Je le pompais avidement, espérant que ça durerait plus longtemps qu’avec le premier. Et effectivement, c’était bien parti pour. Une fois sa taille de croisière atteinte, je l’ai contemplée. Elle devait bien dépasser les 20 cm, autant dire que je ne pouvais plus la prendre en entier dans ma bouche. Je le léchais alors comme une glace, passant sur ses testicules, les prenant en bouche elles aussi, tout en le masturbant lentement histoire de faire monter le plaisir lentement. Lui me caressait les cheveux, râlant de plaisir…
Ces mots m’électrisaient complètement… J’avais sorti ma queue pour me masturber car j’avais envie d’aller plus loin cette fois. Je reprenais son sexe gorgé de sève entre les lèvres et c’est alors qu’il m’a attrapé la tête pour me défoncer les mâchoires comme il l’aurait fait avec d’autres orifices. Son gland frappait le fond de ma gorge, et se calmait lorsque j’avais des haut-le-cœur.
Mais il ne se retirait jamais, faisant coulisser son membre entre mes lèvres. Je ne pouvais plus vraiment faire autre chose que subir ses coups de boutoir, tout en me branlant violemment mais en me retenant de jouir car je voulais que lui jouisse d’abord.
Ses râles se faisaient plus longs, plus forts, et je savais à ce moment là qu’il ne tarderait pas à jouir. Il a sorti son sexe de ma bouche très rapidement et s’est mis à le frotter contre mon visage tout en se branlant. Son gland se cognait à mon nez, mes yeux, son poing ne m’épargnait pas non plus mais, excité comme je l’étais, je ne reculais pas. C’est alors qu’il s’est arrêté et, écrasant son sexe contre ma joue, il s’est vidé dans un dernier râle.
Cependant, il a vite retrouvé le chemin de ma bouche et j’ai aspiré les dernières gouttes poivrées en passant ma langue tout autour de son sexe pour le nettoyer. C’est à ce moment que je me suis enfin vidé à mon tour, de puissants flots de sperme comme j’en avais rarement eus…
C’est là que mon routier a remballé le matériel et m’a fait un petit clin d’œil
Et il est parti en direction de l’aire de repos.
Je suis resté quelques minutes ainsi, le visage et les cheveux poisseux de sperme, avant de passer par la case toilettes, histoire de me rincer avant de rentrer chez ma mère.
Comme un jeune homme bien sage.