n° 07630 | Fiche technique | 7646 caractères | 7646Temps de lecture estimé : 5 mn | 13/09/04 |
Résumé: La visite d'un château donne des occasions de se faire des câlins. | ||||
Critères: fh couple vacances noculotte cunnilingu fgode pénétratio | ||||
Auteur : Bernard Nadette (Bernard) Envoi mini-message |
Durant un mois de juin où il faisait chaud, Nadette et moi allâmes visiter un château fort intéressant, mais en dehors des circuits touristiques. Notre fils alors trop petit ne nous accompagnait pas.
Une fois garés, en allant vers le château, Nadette voulut me montrer quelque chose, mais d’un geste mal calculé elle me donna un grand coup sur le nez qui me fit un peu saigner. Ma chérie se désola, s’inquiéta, s’excusa, proposa que l’on rentre. Mais le saignement cessant rapidement nous continuâmes notre programme.
Les billets pris, nous montâmes vers le château dont la visite était libre. Nadette étant habillée légèrement, dans l’escalier qui menait à l’entrée, je voyais devant moi danser ses fesses sous sa courte jupe volante. Puis, dans un escalier à vis menant aux remparts, ses fesses dansantes semblaient de plus en plus m’inviter. Arrivés sur le chemin de ronde nous nous accoudâmes sur un créneau. J’en profitais alors pour passer la main sous la jupe de ma chérie pour lui peloter doucement ses fesses qui m’avaient fait de l’œil durant l’ascension.
Mais je fermais sa bouche d’un baiser. Cela la fit un peu fondre.
Elle s’exécuta et ses sous-vêtements disparurent dans mon sac photo.
Arrivés dans une salle, je m’assis sur un banc de pierre et attirais ma chérie sur mes genoux. Je l’embrassai tout en soulevant son tee-shirt. Je lui caressai les seins, dont les aréoles durcirent et se dressèrent, ne faisant qu’imiter mon sexe bien à l’étroit dans mon pantalon. Voulant prendre le temps, j’arrêtai là cet intermède pour poursuivre la visite. Arrivés au sommet d’une tour, de nouveau accoudés, contemplant le paysage, je passai ma main sous la jupe de Nadette pour m’occuper de son petit cul. Puis je me baissai pour voir de près un autre paysage. J’embrassai ses adorables fesses, tout en titillant du doigt son intimité. Elle écarta les jambes pour me faciliter la tâche. Je ma tournai, me glissai entre ses cuisses et passai ma langue sur ses lèvres du bas qui s’ouvraient et suintaient. Après l’avoir dégustée quelque temps, je me redressai et dis :
Nadette poussa un soupir de déception, mais ne dit rien. Elle pris ma main et nous continuâmes à déambuler. Nous arrivâmes à un escalier descendant vers un sous-sol. Il n’était pas éclairé.
Cela me donna une illumination. Je lui demandai de s’appuyer contre le mur et recommençai mon petit manège du haut de la tour, l’incitant à ouvrir ses cuisses. Je sortis alors de mon sac ma lampe torche et la présentai à ses lèvres juteuses. Elle fut surprise du contact.
La lampe avait une vingtaine de centimètres de long et son corps était constitué de petites bosses de deux ou trois millimètres de diamètre. Elle rentra sans difficultés. Quand elle fut avalée aux deux tiers, je commençai à faire tourner la tête pour l’allumer. Comme la lampe n’était pas fermement tenue, un nombre certain de tours de l’ensemble de la lampe, durant lesquels la respiration de Nadette se fit haletante, furent nécessaires avant que la lumière soit. J’enfonçai alors l’instrument bien au fond. Nadette eut un petit hoquet d’étonnement. Nous nous lançâmes dans la descente. L’éclairage n’était pas excellent, mais au moins ma chérie voyait-elle ses pieds et moi un jeu de lumière intéressant au travers de sa jupe. Nous fîmes un grand tour dans le sous-sol heureusement éclairé par quelques soupiraux, avec une Nadette à la démarche pas toujours très assurée. De retour à la surface, j’entrepris de récupérer ma lampe en prenant soin de l’éteindre avant de la retirer de son lit douillet. J’ai dû abondamment l’essuyer avant de la ranger. Plus tard, Nadette me dit que c’était la première fois qu’elle utilisait un gode, qu’elle ne voulait pas, mais que son corps en avait décidé autrement. Nous repartîmes le feu aux joues et ailleurs aussi. Dans une salle d’une autre tour, nous trouvâmes dans un profond renfoncement près d’une ouverture un banc. J’y renversai ma chérie. Je lui troussai sa jupe et lui bouffai sa chatte dégoulinante.
Nadette était chaude comme je l’avais rarement vue. Je la fis se redresser et s’appuyer sur le rebord de l’ouverture qui donnait sur la cour. Je lui remontai sa jupe sur les reins, libérai ma queue et la plantai dans sa chatte ruisselante avec délice. Nous étions en action depuis quelques minutes quand nous entendîmes la porte miauler. Une dizaine visiteurs entraient dans la cour à l’opposé de notre tour.
Par l’ouverture, nous vîmes les gens aller et venir, monter sur les remparts. Soudain nous entendîmes des voix dans l’escalier. Un couple montait. Nous ne l’avions pas vu venir. Heureusement qu’il discutait, sans quoi… Je reculai, m’assis sur le banc en entraînant Nadette, tout en restant fiché en elle. Sa jupe fut rabattue. Nous prîmes un air aussi dégagé que possible.
Le couple entra quelques secondes plus tard, traversa la salle, sans nous prêter attention dans notre renfoncement, et ressortit par la porte opposée. Sitôt disparu, Nadette se souleva, faisant sortir mon sexe de son fourreau, je crus qu’elle allait se retirer, mais à ma grande surprise, elle s’empala à nouveau et recommença en accélérant le rythme. Elle retenait des gémissements. Elle finit par s’affaler sur moi, presque au moment où je me répandais en elle. Les jambes un peu molles, nous nous levâmes. Mon foutre et sa liqueur intime dégoulinaient le long de ses cuisses. Nous nous essuyâmes réciproquement, l’oreille aux aguets, avant de nous rajuster. Je crois que je n’avais jamais tenu aussi longtemps que ce jour-là et quand j’ai dit à ma chérie que là elle m’avait soufflé, elle me dit qu’elle ne savait pas ce qui lui avait pris, que ce devait être le soleil qui nous avait tapés sur la tête.
Bernard