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Temps de lecture estimé : 13 mn
14/09/04
Résumé:  Alexandra ma femme s'est donnée à un jeune inconnu sous mes yeux. Nous rentrons et j'obtiens ma récompense.
Critères:  fh couple extraoffre cocus volupté fsoumise voir noculotte fsodo init
Auteur : Olivier  (H 50 ans amoureux du plaisir des femmes)            Envoi mini-message

Série : Alexandra : lever de lune sur Sodome

Chapitre 05 / 10
Le lever de lune à Sodome.


Je recouvre Alexandra de son imperméable, et nous rejoignons la voiture enlacés et silencieux. Le trajet n’est pas long jusqu’à chez nous. Je conduis en lui jetant quelques coups d’œil. Dans son imperméable gris, elle regarde les rues qui défilent sous la pluie, je vois ses lèvres murmurer, elle respire soigneusement, à fond. Elle est décoiffée, son maquillage a coulé sur ses joues, son rouge à lèvres dispersé. Je lui demande enfin : « Comment va ma chérie? ». Elle respire avant de répondre : « Je vais bien, Oui, bien! » Elle respire de nouveau « Quelle aventure!



Nous roulons en silence, puis je reprends : « Quel gaillard ce Fabrice mon bébé. Il en voulait et tu lui en as donné! La fin : quelle apothéose! Tu m’as surpris.



Alexandra me lance un regard de biais. « - Vois-tu, mon chéri … Parfois il glissait vers le haut, en arrière, parfois vers l’avant … eh bien … quand il glissait en avant … eh bien … j’en prenais un bon morceau dans la chatte, d’un coup, profond, il m’éclatait! C’était si gros, je me cabrais et il sortait devant me raclant les lèvres et le clito! C’était pire que ce que j’imaginais».




Je rougis, mortifié, d’un coup comprenant ma bêtise! Je me remémore le nombre incalculable de fois qu’il ’loupait’ son cul! Evidemment, si ça entrait devant : «Ce que tu as dû déguster Alexandra! » Elle est saisie par l’intensité du souvenir et elle me répond comme si elle y était encore : «C’est violent, violent. Je n’ai pas le temps de savoir quoi faire. Ma chatte me brûle. À chaque fois qu’il revient derrière, sa bite s’est lubrifiée avec ma mouille, alors je pense qu’il va dilater et déchirer mon cul, m’enfiler. Je me prépare à la sentir passer, à avoir mal derrière. Il pousse : mon anneau s’ouvre un peu, il insiste ’ tac, tac, tac, tac, tac ’ ça se dilate davantage, mais c’est trop gros et ça part de l’autre coté. Vlan, ça m’éclate la chatte, comme ce n’est pas permis, je te jure! Il me … pénètre même de tout son long … plusieurs fois! C’est énorme! Il s’arrache tout de suite et revient à l’anus!



Le dépit me rend sarcastique. « Ne rie pas! Sais-tu, pour moi … pour nous les femmes, le pénis, eh bien c’est comme un poupon, un bébé à câliner! Ce gros bébé, cette belle saucisse brune qu’il a Fabrice, elle nous inspire de l’amour, à nous! On n’ose jamais le dire! C’est dur d’être une femme. Si vous saviez! Vous êtes trop durs avec nous les hommes!





Nous rentrons chez nous. La porte refermée, nous allumons la lumière. Sur le canapé trône la culotte d’Alexandra, augure érotique prémonitoire de cette fantastique soirée. Nous éclatons de rire tous les deux! Alexandra, ôte son imperméable, très naturelle et je la vois surgir, dans la tenue qu’elle avait dans la chambre! Les vestiges de sa robe autour de sa taille, seins nus, fesses à l’air, talons hauts, bas blancs et jarretelles … Je me fige. Tout me revient violemment à l’esprit, le sang afflue à mes joues … et à mon sexe. Alexandra, qui rie encore de sa culotte abandonnée, va sans gêne a travers la pièce, m’offrant ingénument sa longue enjambée depuis la fesse jusqu’aux orteils. Elle se penche en avant ramasse l’objet du délit et se retourne pour le montrer comme un trophée : « Voici la coupable, docteur! » Elle comprend soudain mon émoi. Son expression s’attendrit : « Mon chéri, mon Doudoux ! » En deux pas magnifiques elle est contre moi et s’affaire à dégrafer ma ceinture, elle retire ma chemise et mon pantalon et mon slip sont sur mes chevilles. Je bande comme tout à l’heure au motel. Ma femme m’embrasse sur la bouche tendrement et descend vers mon sexe : « Quel beau poupon, mon chéri! » Elle me fixe dans les yeux et entame une fellation. Elle sait s’y prendre maintenant après sa leçon d’amour. Je n’ai jamais connu rien de tel. Elle avale ma queue toute entière et s’évertue à la sucer en grandeur nature, comme tout à l’heure celle de Fabrice. Allées et venues, entrée et sortie, bien à fond, avalée, ressortie tout du long en aspirant bien fort, c’est du délire! J’adore la sensation et mes jambes en deviennent faibles tant c’est efficace. Ses yeux ne quittent pas les miens, c’est délicieux. Cependant je veux la pénétrer, serrer son corps, le sentir se tendre contre le mien. Je le lui dis. « Oh oui chéri, viens, j’ai besoin d’être prise! » En se relevant contre moi, elle frotte ses seins puis son pubis sur ma queue raide.


Nous sommes l’un contre l’autre, tranquilles pour un instant. Je l’entends respirer, son cœur cogne contre ma poitrine. Mon sexe est enfin en contact avec son bas-ventre. Elle m’offre sa bouche, je l’embrasse. J’étreint ses fesses, les malaxe. « Allons dans la chambre » Dit-elle. Toujours chaussée elle me précède d’un pas décidé dans la pièce sombre. Je me débarrasse de mes vêtements. En entrant à mon tour je la vois au pied du lit plier les genoux, s’agenouiller, cambrer les reins en me regardant par-dessus l’épaule. Elle reproduit sa position du motel. C’est obscène et dans cet instant d’une délicatesse extrême : c’est comme une politesse. Un érotisme animal se dégage de ma femme souillée par le rapport précédent, qui m’offre son postérieur en silence, c’est du pur langage des corps. C’est un cadeau pour mon pardon, c’est le lever de la lune, la mer sous les étoiles. Dans la clarté venue du séjour, au sommet des deux cuisses écartées, je vois sa chatte et son anus, innocents occupants de ses fesses. Cette chair impudique et humide me raconte les assauts de l’autre tout à l’heure, je comprends tout de l’orage qui vient de passer sur ces muqueuses rosées et de l’émoi qui subsiste. Et pourtant, ce con, ce cul disent aussi : «Bienvenue, nous sommes neufs comme au premier soir, instruments de la volupté, à toi de jouer de nous. Fais ta musique.»


Je m’approche et lui baise le cul avec délectation. Elle se tend vers mes lèvres. « Viens chéri, je suis toute à toi. Viens … Viens » Dit-elle d’une voix sourde. Je passe ma langue sur tout son périnée. Je me redresse et presse ma verge sur ses grandes lèvres et pénètre sa chatte souple. Elle me serre bien c’est doux, je me sens de retour a la maison. Elle : « Chéri. Ah Chéri, je t’aime! Je t’aime. » Je lui embrasse le dos. « Chéri, oh, Chéri … Ah … Fais, fais-moi … ce que tu veux … ». Je suis bien, je commence à bouger doucement, tendrement dans son antre chaud, mes mains caressent son dos, ses épaules, je viens au fond et m’incline sur son dos, lui baise les épaules. J’adore. Par le côté je cherche sa joue, sa bouche, nous nous embrassons maladroitement. Ma main droite vient devant trouve son ventre, sa toison, son clitoris. Je le caresse tendrement. Alexandra répète de cette voix étrangement assourdie : «Ah chéri, fais-moi tout ce que tu veux ». Je ne fais pas attention tant je glisse dans le bonheur. Elle insiste « Oh, Patrick, Patrick, je t’en prie … ». Je continue d’aller et venir. « Oh Chéri, je t’en prie, viens derrière … encule-moi!



Je m’extrais en lui baisant les épaules. Viens à côté d’elle, cherche son regard. Elle est toujours à genoux, très belle, les cheveux défaits, les épaules basses, les mains à plat sur le couvre-lit. Je l’embrasse encore. « Merci ma chérie, oh Merci! » Je redescends sur sa croupe relevée et embouche son anus, le taraude avec ma langue durcie et y dépose de la salive. Alexandra, soupire, approuve par de petits mouvements à la rencontre de ma bouche. Mon cœur bat à tout rompre : je vais sodomiser Alexandra. Je soigne ce seigneur des anneaux magiques, si malmené tout à l’heure. Ma langue s’y promène religieusement, va, tourne et retourne. Je prends mon temps, aspire la muqueuse, mordille la peau de la fesse, à droite, à gauche. Darde ma langue dans le conduit qui montre de bonnes dispositions. Je sent l’anneau extérieur distendu, au moins deux doigts peuvent y passer je le sais depuis tout à l’heure. J’y dépose une dose de salive : je ne veux pas blesser mon bébé. J’approche mon vit tendu de cette cible désignée et le met au contact. Mes gestes sont lents, je pousse doucement. Je sens distinctement la chair anale palpiter contre mon gland. Alexandra contracte et décontracte volontairement son anneau rose. « Chéri ». Je la tiens aux hanches et exerce une poussée continue. Je vois ma colonne de chair progresser entre les deux globes fessiers. La salive aide bien, l’envie d’Alexandra aussi. Je sens l’ouverture de sa porte secrète, c’est une bouche qui s’ouvre et dit ’O’. Mon gland est plus qu’à moitié enfoui dans la muqueuse. Je prie Alexandra de pousser comme pour aller au cabinet « Autant qu’elle peut ». Cela durci momentanément le passage, mais elle doit ensuite se relâcher et le muscle se détend. Alexandra : « Chéri … fais … fais comme … Fabrice! » J’imprime quelques coups de reins saccadés : ’ tac, tac, tac, tac, tac ’ et ça y est, mon gland a passé! « Ooohh, ooohh, chériii! ». L’anneau me serre délicieusement la hampe. Alexandra n’a pas souffert, j’entends sa joie. Je reste immobile. «Ca va chérie? Tu n’as pas mal?



Je dois me contrôler, c’est dur après toutes nos émotions. Je suis terriblement serré par son anneau, de crainte de finir trop vite, je reste immobile. Elle reprend « Oh c’est fort. Que c’est fort. Mais …je crois que j’aime, oui, j’aime ça, chéri. Tu peux bouger mais va doucement, s’il te plait. » Je fais de tout petits allers et retours, comme avec les boules de geisha, sans vraiment changer de place. Elle est quand même crispée : j’y vais en rond, évitant de solliciter la muqueuse irritée, pour masser les muscles et les dilater. Elle apprécie et le chante « Oohh, ouhaaah ooh mon Dieu! Oohh, je … ooh ahhh, moooon Diiieu!». Je continue ainsi encore un peu. Alexandra vocalise toujours. Je fais mine de me retirer et mon gland revient au milieu du sphincter, faisant soupirer mon bébé. Je reviens en avant, gagne un peu de terrain, elle ne se plaint pas, s’écartèle encore, se cambre, abaisse ses épaules, remonte davantage les fesses à ma rencontre, sa chatte est chaude et humide contre mes couilles. Je suis aux anges, le plaisir est énorme, plus fort qu’attendu. Autant par la sensation, la pression souple que me procure le fourreau étroit, que par l’intense excitation mentale de voir ma trique enfilée dans le cul de mon épouse et surtout, surtout de la sentir jouir comme jamais. Cela efface le dépit ressenti en voyant Fabrice s’activer sur elle, plus tôt dans la soirée. La chanson de Gainsbourg court dans mon esprit. Je reprends ma progression, gagne encore quelques centimètres. Maintenant je peux faire des allées et venues sans autre réaction que des exclamations de bonheur d’Alexandra. Je l’aime à la folie. Je fredonne : « Je vais et je viens, je vais et je viens … entre tes reins! ». Je remplis le rectum d’Alexandra, c’est indescriptible. Je prolonge un retour par un aller simple et mon pubis vient s’encastrer entre les fesses de mon bébé! « Ouaah! » Laissons-nous échapper ensemble. « Ahaaa » Ajoute-t-elle « C’est, c’est comme les boules de geisha. Je te sens dans tout mon ventre. Oh mon chéri, mon chéri. Oh que c’est bon, oh que j’aime.» Avec précaution j’essaie de la limer. Cela va plus facilement que je l’aurais cru. Elle réagit avec bonheur, m’encourageant de la voix « Oohh va, va, ooh oui… va c’est … oh mon Dieu! Oh j’aime! J’aime, oh que c’est bon!». C’est si bon que je sens que je vais finir de suite, et je veux prolonger cet instant : Alexandra semble ravie et je ne souhaite pas la priver d’orgasme. Je lui sussure à l’oreille : « Bébé, on va changer de position.



Je sors lentement en me concentrant sur la sensation de m’arracher du rectum de ma chérie. « Ho! Tu me manques, je suis vide! », dit elle.


Je m’allonge sur le dos, ma verge pointe vers le plafond. Alexandra passe sa cuisse sur moi changeant à peine de position, et la voici à cheval sur mon mandrin. Je m’attarde à la contempler, elle a les traits tirés. Mais elle s’impatiente : « Ne me laisse pas comme ça, chéri! Viens!» Elle passe sa main derrière elle et le dirige elle-même vers son anus. Je vois son visage quand elle coulisse lentement vers le bas : elle ferme les yeux, sa bouche est grande ouverte, la langue passe sur les lèvres. Pendant la descente elle grimace, plisse les yeux davantage. Elle s’est empalée et savoure, ouvre les yeux, lève la tête au ciel, et joue du cul en rond sur mon pubis. Je vois ses seins dressés, agités de soubresauts, sa toison et sa chatte brûlante sur mon ventre, et je glisse un doigt à son clitoris, pour agacer le petit organe. Elle geint doucement : « Dououou … Ahh, Ahh, Aha! ». Peu à peu elle s’enhardit à monter et descendre sur mon mât de cocagne. Je la suis du doigt. Je vois ma bite luisante réapparaître entre ses cuisses puis elle retombe de tout son poids avec un grand « HA! ».


Elle est infatigable et régulière, je peux mieux endurer dans cette position, et le temps passe : « … HA! … HA! … HA! … HA! … HA! … » … Alexandra transpire sous l’effort et soudain s’affale sur moi d’un coup, secouée de spasmes.


Je la retourne sur le dos. Au passage, je l’embrasse tendrement et caresse ses cheveux, puis je m’allonge sur elle. Ma queue glisse hors d’elle dans le mouvement.


Je vais chercher ses cuisses, les fait remonter, passe ses genoux sur mes épaules. Je l’embrasse avec passion. Ma main droite saisit ma bite, et la guide vers son anus à demi ouvert encore, je presse, m’introduit sans peine, et progresse jusqu’au bout. Alexandra approuve : « Ah, oui, c’est ça! Oh Viens, Ooooh … mais j’a-dO-RE! Que c’est bon… ». Je cherche une bonne position pour mes bras et j’entreprends de coulisser de toute ma longueur, à un rythme soutenu. J’entre au fond, ressors presque tout, revient, ressors, au bout d’un moment je la sors en entier et m’enfourne aussitôt jusqu’au tréfonds de ma femme. Je continue ainsi. La jouissance est terrible, je suis en train de perdre le contrôle. Que dire d’Alexandra qui crie sans interruption : « Ohh ououi oohhh, mon Diiieu! oui oui oui ohhh, je meurs! Ooooh va, va, tu me tues! Encore … encore!» Tous ces cris qu’on lit dans les récits pornos sans y croire. Eh bien, c’est à ce moment qu’elles les poussent nos tendres et chères, croyez-moi! Les évènements m’échappent, et je lâche la purée à grandes saccades de jute, accompagnées de coups de reins sauvages. La réaction d’Alexandra est à la hauteur : je suis incapable de transcrire le cri qui perce le silence des lieux. Heureusement notre fille est chez les beaux-parents!




A suivre …