Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 07647Fiche technique21644 caractères21644
Temps de lecture estimé : 13 mn
15/09/04
Résumé:  Dix ans de la vie sexuelle d'un couple depuis la rencontre jusqu'à la vie commune avec des enfants.
Critères:  fh couple amour exhib cunnilingu pénétratio -articles
Auteur : Pierre et Carole            Envoi mini-message

Série : Une éducation conjugale : initiation et perfectionnement

Chapitre 05 / 06
Une éducation conjugale : chapitre 5

CHAPITRE V : et maintenant – perspectives et améliorations possibles



Globalement, je pense que notre vie sexuelle depuis notre rencontre est plutôt réussie. Ce n’est cependant pas une raison pour en rester là. Je suis en effet intimement persuadé que l’épanouissement sexuel et son maintien au meilleur niveau sont une des conditions indispensables à la tenue d’un couple dans le temps. Les difficultés susceptibles d’être rencontrées, et auxquelles nous avons pour l’instant échappé, sont de plusieurs ordres. On peut citer :


· la routine : avec le temps, le risque est de s’enfermer dans le quotidien et le train-train de la vie commune. Je l’aime, elle m’aime, quoi demander d’autre ? C’est un comportement dangereux et entrer dans ce jeu risque d’être à l’origine de maux plus profond.

· la lassitude : la routine s’installant, faire l’amour avec toujours le même partenaire peut, si on n’y prend pas garde, conduire à une certaine lassitude voire indifférence. Petit à petit, sans y prendre garde, les petits calins s’espacent, se rarifient ; cela peut-être le début de la fin.

· les rencontres extérieures : l’un des partenaires peut être amené à faire des rencontres extérieures et à rechercher un peu de nouveauté. Contre cela on ne peut pas faire grand chose, si ce n’est faire confiance à l’autre, et en parallèle, tout faire pour que cela n’arrive pas en ne laissant pas la routine et la lassitude s’installer.


Pour éviter d’avoir à affronter les difficultés précédentes et pour que l’entente et l’envie sexuelles perdurent, il faut tout faire pour lutter contre la routine et la lassitude. Je pense ainsi, qu’en complément d’une vie sexuelle classique dans le cadre de la chambre conjugale (quoi de plus agréable que de se réveiller dans les bras l’un de l’autre et de s’émoustiller conjointement jusqu’au passage à l’acte), il faut s’offrir régulièrement, en parallèle, quelques extras en faisant preuve de dynanisme, de variété, d’imprévu, bref d’érotisme.


· le dynanisme sexuel

Il peut arriver pour certains que les contraintes extérieures (fatigue, présence des enfants, travail envahissant …) fassent que le désir sexuel passe au second plan dans le couple. Ceux-ci se disent alors on verra cela plus tard quand tout ira mieux ; c’est à mon avis un mauvais calcul, et je pense que le proverbe « l’appétit vient en mangeant » est alors bien adapté à la situation. Losque sa libido est en sommeil, ce serait un peu la tendance de Carole de se dire «cela va revenir, il n’y a qu’à attendre». Je lui rabâche sans cesse le contraire en lui disant qu’il faut avoir envie d’avoir envie et que cela se travaille. Le dynamisme en la matière consiste à ne pas attendre d’avoir le sexe moite ou la bite dressée pour dire j’ai envie de faire l’amour, mais plutôt à se mettre dans les conditions pour que le sexe devienne moite ou que la bite se dresse. C’est pour cela que j’insiste auprès de Carole sur les bienfaits de pratique telles que la masturbation ou les lectures érotiques bien choisies dont l’effet est plutôt de développer la libido que de satisfaire une envie.


Au dynamisme doit être associée la notion d’initiative. Il semble en effet souhaitable, dans un souci d’équilibre, que l’initiative des rapports soit répartie de façon à peu près équilibrée entre les partenaires. Or, l’initiative est un des points que j’aimerais voir améliorer chez Carole. Elle a en effet plutôt tendance à se cantonner dans un rôle passif et à attendre que je lui propose, voire impose, mes petits jeux. Les rares fois où elle prend l’initiative, nous sommes rarement très loin du lit conjugal. Par ailleurs, si elle est en général prompte à me dire que je ne pense qu’à cela ou que mes jeux ne sont pas drôles, elle est plus circonspecte lorsqu’il s’agit d’exprimer ses envies ou ses désirs. J’apprécierais donc énormément que la prise d’initiative s’accompagne d’une expression de ses envies et de ses phantasmes et que l’on essaie, pourquoi pas, d’en réaliser certains.


· la variété

Il faut varier les plaisirs. S’il est plus confortable de faire l’amour dans la chambre à coucher que dans une voiture ou contre un mur, ce n’est pas pour cela qu’il faut s’y cantonner en permanence. Ainsi rien que le fait de changer de pièce entraîne un changement, souvent source d’un plaisir accru. Il ne faut cependant pas s’arrêter là et saisir les occasions comme elles se présentent quitte à abandonner un peu de son confort.


Une autre variation consiste à essayer de nouvelles positions ; ces essais peuvent être l’occasion de découvrir de nouvelles sensations parfois très fortes.


Une solution consiste également à varier les conditions qui procurent l’excitation et aménent au rapport sexuel. On peut citer : le visionnage d’un film ou la lecture d’un livre en commun, une séance photo, une séance de flirt à l’occasion d’une soirée, un jeu accompagné de gages coquins, une soirée à l’extérieur en amoureux … Il faut cependant parfois faire preuve d’agilité, lorsqu’on essaye d’intoduire quelque chose d’original et de nouveau. Un jour, j’avais attaché quatres sangles aux coins de notre lit et les avais cachées sous le matelas. Il ne restait plus qu’à sortir le bout de chaque sangle de sous le matelas pout attacher les poignets et les chevilles de Carole. Nous n’avons pas de tendance sado-masochiste particulière, mais j’avais imaginé qu’il serait excitant pour nous deux de faire l’amour alors qu’elle aurait les membres attachés. Ce fut un fiasco de plus, et elle refusa catégoriquement ce jeu plutôt innocent. Ainsi, lorsque l’on se retrouve au lit à 22 h et que j’essaye de l’entreprendre, Carole me lâche parfois un méchant « cela ne m’excite plus ». En revanche à l’occasion de mes initiatives pour introduire un peu de nouveauté, Carole me dit souvent « on n’a pas besoin de cela ». Allez y comprendre quelque chose.


· l’imprévu

Une des principales difficultés que nous avons, et que nous aurons encore à rencontrer dans les prochaines années, est qu’avec la présence des enfants, la planification a tendance à prendre le devant sur la spontanéité. Ainsi, il nous est plutôt difficile de nous lancer dans un coït improvisé sur la table de la cuisine en plein après-midi. Il nous faut donc réussir à conserver des plages de liberté suffisamment grande pour pouvoir y mettre un peu d’imprévu.


Les épisodes improvisés que nous avons vécus dans des situations originales, même s’ils ne se sont pas effectués dans les meilleures conditions, constituent de très bon souvenir. Ainsi les épisodes du train ou du trajet en voiture avec le porte-jarretelles, même si ce sont des épisodes à sens unique, puisqu’un seul de nous deux est arrivé au bout, mériterait d’être renouvelée dans des situations différentes et variées. En effet, même pour le partenaire exclu de la jouissance, l’excitation procurée par une telle expérience vaut presque tous les orgasmes du monde. Ainsi, je rêverais de recevoir, à son initiative, les faveurs buccales de ma femme dans un endroit insolite.


· l’érotisme

C’est un bien grand mot derrière lequel chacun peut y mettre ce qu’il y veut. Pour ma part, l’érotisme c’est une combinaison de tous ce que l’on a vu précédemment qui entoure l’acte sexuel, et qui fait que l’on a envie l’un de l’autre. C’est le comportement de l’un envers l’autre montrant que l’on veut le séduire et que l’on a envie de lui. Concrêtement, ce peut être simplement un geste ou une parole à un moment où l’on ne s’y attend pas et qui sucite le désir. Ce peut-être, plus directement, d’aguicher l’autre partenaire dans des situations et des lieux inappropriés même si l’on sait parfois que cela ne pourra pas déboucher immédiatement sur un acte sexuel. Carole me dit souvent « cela ne sert à rien, on ne pourra pas faire ». Or, au contraire, ce type de situation excitant l’un ou les partenaires et débouchant sur la frustration de ne pas aboutir ne fait que renforcer le désir l’un pour l’autre et apportera du bonus pour la suite. Il faut donc à mon avis faire preuve d’érotisme dès que l’on en a l’occasion.


Les envies de Pierre pour la suite


Il faut distinguer les phantasmes qui n’ont pas obligatoirement vocation à être tous satisfaits et l’envie des choses que l’on voudrait faire. Ainsi, comme beaucoup d’hommes, l’idée de faire l’amour avec deux femmes, dont la mienne bien entendu, est un phantasme qui ne me déplait pas. Ce n’est pas pour cela que j’aurais envie de le réaliser ; d’ailleurs je ne pense pas que Carole serait d’accord.


Mes envies pour la suite restent donc des plus classiques et constituent plutôt un approfondissement de ce que l’on a parfois pratiqué. Comme le montre le récit de ces dix ans, Carole est plutôt réceptive lorsqu’il s’agit de pimenter un peu nos ébats, même s’il me faut parfois faire preuve de patience, de persévérance et de persuasion. Ainsi, les épisodes du restaurant et des dernières séances photos ont mis en évidence chez elle un penchant pour l’exhibitionisme et un goût certain pour la réalisation de choses non convenables dans des lieux à priori inadaptés. C’est donc pour l’instant sur la confirmation de ces points là que je compte travailler. Il s’agit ainsi :


· D’approfondir l’usage de la photographie voire de la vidéo. Nous en avons déjà fait pas mal, mais je ne me lasse pas de ce plaisir qui est une source d’érotisme et d’excitation inépuisable pour nous deux. Nous avons un goût commun pour les photos en extérieur dans des endroits où la possibilité d’être surpris nous excite encore un peu plus. Par exemple, nous prévoyons un voyage à Paris dans les prochains mois et je rêve de photographier Carole dans les hauts lieux de la capitale. J’aimerai également la photographier sur un golf dans des poses pas très académiques pour la discipline, ainsi que poursuivre ma collection de photos dans les club-houses. Nous allons, par ailleurs, bientôt acheter un caméscope numérique, ce qui devrait nous permettre de découvrir de nouveaux jeux.


· De généraliser l’usage du sans-culotte, qui est également très excitant pour tous les deux. Il y a quelques semaines Carole me dit un samedi matin, « je ne mets plus de culotte le week-end» et elle a passé les deux jours nues sous ses robes. Cela m’a plu énormément et je me suis dit « super ». Cela n’a cependant été qu’un effet d’annonce et n’a pas duré. Je rêve donc qu’elle pratique cela plus souvent sans que je n’aie besoin de le demander. Quoi de plus excitant en effet, de constater à l’occasion d’une caresse ou d’un souffle de vent que notre femme est nue sous sa robe ou sa jupe. À l’occasion d’une soirée à l’extérieur, je l’imagine très bien le cul nu et me montrant innocemment sa chatte à l’insu des autres convives à un moment de la soirée. À défaut d’être toujours sans culotte, j’aimerais que Carole généralise le port du string, au moins quand elle est avec moi. Elle en a une collection assez variée dans ses tiroirs, mais je dois toujours faire la démarche pour qu’elle en mette un, alors que c’est une pièce de lingerie magique qui met en valeur ses belles fesses.


· D’introduire un peu plus de jeu dans nos pratiques. Fidèle à l’idée que la phase de préparation est tout aussi importante que l’acte en lui même, j’aimerais que l’on passe un peu plus de temps à cette période pendant laquelle on sait comment cela va se finir mais au cours de laquelle on ne conclut pas ; en essayant par exemple des jeux avec des gages coquins qui font petit à petit monter la tension. Dans le même ordre d’idée, j’essayerai une nouvelle fois de recourir à un scénario pré établi avec des instructions qu’elle devra suivre à la lettre.


· De faire prendre à Carole un peu plus d’initiative tant par ses actes que par ses mots. J’apprécierais d’être de temps en temps sexuellement surpris, et ne pas être le seul à essayer d’intoduire de la nouveauté ; certainement aura-elle alors des idées que je n’avais pas imaginées ou qui correspondront plus à ses phantasmes. Pour cela, je lui suggère depuis longtemps de s’adonner de temps en temps à la masturbation et je lui conseille par ailleurs quelques lectures érotiques histoire de stimuler un peu sa libido ; pour l’instant je n’ai pas été très entendu sur ces points.


· De délocaliser plus fréquemment nos étreintes en sachant saisir les opportunités. Si le lit est un endroit confortable et rassurant, il faut savoir de temps en temps en sortir.


A la relecture, je me suis aperçu avoir oublié quelque chose. Si j’ai évoqué notre première fellation, il n’en est pas de même en ce qui concerne le cunnilingus. Je ne me souviens pas de la première fois, si ce n’est que cela est venu très rapidement après notre rencontre ; curieux que j’étais de tout essayer. Avoir la tête enfouie entre les cuisses de ma femme, et sentir son sexe palpiter sous ma langue, est un plaisir dont je ne me lasse pas, mais qui se fait rare. Carole y est en effet de plus en plus réticente : « c’est sale ! » dit-elle. Je rajouterai donc un dernier point aux cinq points précédents. J’espère arriver un jour à la faire changer d’avis, et pouvoir ainsi profiter plus souvent de la saveur exquise de son sexe ainsi que de son odeur.


Et Carole ! qu’est-ce qu’elle pense de tout cela ?


J’avais d’abord appelé ce paragraphe « les envies de Carole pour la suite ». Il s’avère cependant qu’àprès la lecture de mon texte, elle s’est plus évertuée à le commenter qu’à le compléter de ses désirs et phantasmes. On en revient à ce que j’écrivais précédemment « plutôt passive qu’active ». J’en ai donc modifié le titre.


Elle a globalement apprécié ma façon de relater notre première décennie de vie sexuelle. Elle m’a néanmoins repprocher d’y apparaître comme une sainte nitouche qui doit toujours se faire prier pour les choses de l’amour. Ce n’était pas mon but et ce n’est pas le sentiment que j’ai à la relecture. Comme je l’ai déjà écrit, je la trouve globalement plutôt réceptive à mes petits jeux, et je pense que tous les maris n’ont pas la chance d’avoir une femme comme cela. Ce n’est cependant pas une raison pour nous endormir sur nos lauriers.


Elle s’est également étonnée de ne pas y retrouver certains épisodes qui l’ont particulièrement marquée. Elle a ainsi notamment évoqué un de nos coïts de jeunes étudiants. Nous étions alors dans la cuisine de son appartement ; sa co-locataire étant absente. Carole est en train de faire la cuisine en jupe et chemisier. Moi, je suis en pantalon et tee-shirt et je m’approche doucement par derrière pour l’embrasser dans le cou alors qu’elle est devant la gazinière en train de surveiller la cuisson dans sa poële. Mes mains enserrent sa taille et remonte doucement vers ses seins. Je passe une main dans l’encolure de son chemisier et lui caresse un sein. Nous restons un bon moment ainsi, moi à l’embrasser et à la caresser, elle à se frotter contre moi. Ensuite, elle se retourne, et nous nous embrassons. Je la serre contre moi pour lui faire sentir mon désir. D’une main, j’éteins le gaz, et j’allonge Carole à même le sol sur le carrelage froid. Je lui ôte sa culotte, dégraffe mon pantalon pour en sortir mon sexe et pénétre directement son sexe moite de désir. Ce fut l’une de notre première expérience d’un coït improvisé en dehors de la classique chambre à coucher.


Un autre souvenir qu’elle n’y a pas trouvé concerne notre première levrette ; une des positions préférées des hommes, à juste titre à mon avis. Cela se passait à l’occasion d’un week-end en amoureux, alors que nous avions confié la garde des enfants à la famille. Nous étions logés dans un bel hôtel restaurant en bord de mer. Le soir Carole s’était habillée pour le repas très simplement ; une robe légère, un châle autour du cou et quelques bijoux. Cela suffisait amplement pour aller de notre chambre à la salle à manger. Le repas à la carte était très bon, et nous sommes arrivés au dessert un peu grisés par le champagne bu en apéritif et la bouteille de vin consommée pendant le repas. En retournant à notre chambre, je ne peux m’empêcher dans le couloir de l’hôtel de caresser les fesses de Carole nues sous sa robe légère. Arrivés à la chambre nous allons sur le balcon qui donne directement sur la mer pour admirer la vue avec les lumières du port et des bateaux au loin. Carole s’appuie à la rambarde et je me love contre elle. Je l’embrasse dans le cou et lui caresse les seins. Nous sommes tous les deux très excités par l’ambiance de cette soirée à deux, et je lui remonte doucement sa robe pour prendre possession de ses fesses. Nous faisons face à la nuit, et la perspective d’être vu par quelqu’un dissimulé dans la pénombre accentue notre excitation. Je passe une main entre ses cuisses et l’humidité de son sexe ne me laisse aucun doute sur son envie. J’ouvre alors la braguette de mon pantalon et glisse ma verge entre ses cuisses. Elle se penche un peu en avant, et de sa main droite attrape ma bite pour l’enfoncer dans son vagin. Je lui empoigne alors les fesses et commence un lent mouvement de va-et-vient. Je découvre de nouvelles sensations engendrées par cette position inédite pour nous. Carole a également l’air d’apprécier, ce qui ne l’empêche pas de mettre sa main sur son sexe pour se caresser le clitoris et augmenter ainsi son plaisir. Là encore, comme souvent dans ce genre de situation nous arrivons très vite à un orgasme intense. Depuis ce jour là, nous recourons fréquemment à cette position, notamment lorsque Carole jouit avant moi et quelle souhaite que je la rejoigne rapidement dans le plaisir. C’est une position qui me donne en effet beaucoup de plaisir et qui vient rapidement à bout de mon endurance. Quel plaisir en effet à tenir la croupe de sa compagne entre ses mains tout en voyant son sexe pénétrer sa chatte. Cela se fait cependant principalement dans le cadre plus classique de la chambre à coucher, et à genou sur le lit.


Suite à sa lecture, Carole a confirmé son penchant pour l’exhibitionisme et son plaisir à se montrer. Elle a également globalement approuvé mes envies pour la suite. Ainsi, l’avenir nous réserve de chaudes séances de photographie et de film. Elle se dit prête à généraliser le sans culotte, mais principalement lors des soirées. L’idée d’allonger les préliminaires, notamment en introduisant un peu plus de jeux, semble lui plaire. En ce qui concerne la prise d’initiatives, elle juge mon analyse injuste et considère qu’elle en fait déjà beaucoup ; ce point sera à surveiller.


Ainsi, par exemple, elle considère que c’est elle qui choisit systématiqement notre position amoureuse. C’est d’ailleurs l’occasion d’en dire un peu plus à ce sujet. Notre catalogue à ce niveau est encore un peu réduit et devrait pouvoir s’étoffer encore un peu.




Voilà ! C’est tout pour l’instant. Il reste maintenant à mettre tout cela en pratique. Peut-être aurez vous de nos nouvelles dans quelques mois ou dans dix ans pour la suite de nos aventures à deux.