Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 07654Fiche technique20300 caractères20300
Temps de lecture estimé : 12 mn
16/09/04
Résumé:  Une jeune fille perdue dans les bois trouve refuge dans une cabane et découvre l'amour avec son propriétaire...
Critères:  fh intermast cunnilingu pénétratio init ecriv_f
Auteur : Mercurie      Envoi mini-message
Amours enneigés


Il fait froid, il fait nuit, Sophie avançait au hasard, s’enfonçant de plus en plus dans les bois, grelottant dans le froid mordant de cette nuit de janvier, les pieds gelés et profondément enfouis dans la neige fraîchement tombée. La tempête s’était calmée, et elle en profita pour essayer de retrouver son chemin. Mais peine perdue, dans cette noirceur, à peine éclairée par la lune, elle ne savait plus ou aller, elle n’arrivait pas à se retrouver, et errait, s’aventurait toujours plus loin. elle finirait bien par trouver quelque chose…


C’est alors qu’elle distingua quelque chose à quelques mètres et en s’approchant, reconnu la silhouette massive d’une cabane. Enfin !


Elle se précipita, trébuchant dans la neige, chercha à tâtons la porte et l’ouvrit brutalement. Il n’y avait personne, son espoir tomba. Mais dans la cheminée, les braises étaient encore rougeoyantes, une douce chaleur régnait dans la petite pièce. Une table de bois brut, un lit avec une grande couverture en peau de marmotte, un grand vaisselier… Elle posa ses affaires et alla aussitôt raviver le feu pour se réchauffer. Puis elle fit un tour dans la cabane. De jolies estampes accrochées aux murs, des figurines de bois posées sur le buffet. À l’intérieur, elle y trouva des tranches de viandes séchées, des boites de conserves et des sachets de soupes déshydratées.

Quelqu’un vivait dans cette cabane, et elle se sentit brusquement soulagée, elle n’était pas seule dans ces bois, et l’occupant de la cabane pourrait la ramener chez elle le lendemain.

Sécurisée, elle se fit chauffer une soupe et alla s’allonger près du feu, où elle ne tarda pas à s’endormir.

Mais pendant son sommeil, l’occupant de la cabane revint…


Pierre décida d’accélérer en voyant son refuge. Le vent était devenu glacial avec la nuit tombée. De la fumée tourbillonnait autour de la cheminée. Etrange… La bûche posait dans l’âtre aurait déjà dû se consumer. Il m’approcha en silence puis ouvrit doucement la porte. C’est alors que ses yeux découvrirent une jeune fille endormie sur le canapé près du feu. Il resta quelques instants immobiles, ses yeux fascinés par cette présence inattendue et ce corps innocent dans son profond sommeil.

Il déposa ses affaires, prépara un bol de thé bouillant et s’assit près du feu face à cette jeune inconnue. Elle était habillée d’un gros pull rose qui se soulevait au rythme de sa respiration régulière, et d’un fuseau bleu marine qui mettaient en valeur ses longues jambes et le bas de ses reins. Son visage n’était pas d’une grande beauté mais fascinait par la sensualité de ses lèvres.


Il savait qu’elle ne se réveillerait pas s’il restait silencieux.

Il en profita pour découvrir en silence la beauté de la jeune femme qui semblait s’offrir à lui, comme dans un rêve.


Il se laissa aller à deviner la forme de ses seins. Ils devaient être plutôt petits. il imaginait leur chaleur, leur douceur et leur parfum aussi. Le rose délicat de leur alvéole devait se détacher sur cette peau blanche. Combien de garçons avaient pu caresser ces deux fruits ? Avaient su dégrafer d’abord son corsage ? Avaient pu suivre leur contour, les soulever puis les presser légèrement ? Des lèvres avaient-elles su faire se dresser leur extrémité de plaisir à venir ? il aurai peut-être été un de ceux-là s’il l’avait rencontrée. il se voyait l’enlacer dans ses bras, son dos contre son torse ; ses mains parcourir son ventre puis remonter doucement pour presser légèrement sa poitrine encore cachée sous son pull. il l’aurait certainement embrassée en même temps dans le cou, elle lui aurait peut-être offert sa bouche en tournant son visage. il aurai alors senti sa langue répondre à ses appels et se serais aventuré à glisser ses mains sous son vêtement. il aurait découvert la tiédeur du haut de sa poitrine, la chaleur qui se dégageait de son soutien-gorge. ses doigts glissants sous le tissu pour jouer avec leur pointe. il aurait attendu avant de dégrafer son soutien-gorge et de contempler leur beauté. Elle se serait alors allongée sur le lit et sa bouche serait partie à la découverte de ce corps, sans doute sublime. il aurai déposé quelques baisers tout autour de ses seins puis, plus fermement, goûté leur extrémité. sa langue…


Les yeux de la jeune fille s’ouvrirent, il sortit brutalement de ses errements imaginaires.



Le sixième sens de Sophie l’avertit d’une présence dans la pièce et elle se réveilla. ouvrant les yeux elle les laissa visiter la pièce jusqu’a ce qu’il se pose sur un homme. un homme qui la regardait avec des yeux brillants, un léger sourire qui lui donnait un air rêveur. elle bondis sur ses pieds, le cœur battant a tout rompre, balbutiant des paroles d’excuses. quelle idiote elle avait été de s’endormir comme ça ! Aussitot, l’homme se leva et tendit la main vers elle.


" Non ne bougez pas, restez !"


Son air implorant la fit s’arrêter et sa panique s’évanouit.


"Vous dormiez si bien que je n’ai pas eu le cœur de vous réveiller, lui dit il. j’ai fait du thé, vous en voulez?


Elle le regardait, attentivement. de grands yeux, des cheveux mi-long un peu mouillé par la neige, des traits durs et fermes, un corps fort dissimulé par un jean et un gros pull de laine. des mains puissantes, de larges épaules… très séduisant.

Aussitôt elle se surprit a imaginer ses mains parcourant son corps, que personne encore n’avait vu, touché, caressé. Quelle sensation cela lui ferait il de sentir ses paumes sur elle, sur ses seins, entre ses cuisses ? Ses lèvres dans son cou?

Elle se reprit brusquement, les joues brûlantes, et pour se donner une contenance, accepta la tasse de thé qu’il lui proposait.

Mais quel trouble venait de la frapper ? Elle ne ressentais plus le froid, son corps baignait dans une douce chaleur…


Pierre la sentait, ainsi surprise dans son sommeil, mal à l’aise. Une légère rougeur empourprait son visage. Le thé bouillant en était-il la seule cause, il en doutait. Sa jeunesse et son innocence irradiaient dans la pièce.



Elle se leva pour poser sa tasse. les yeux de Pierre descendirent alors le long de son dos. Sa taille fine annonçait des fesses aux lignes parfaites que mettait en valeur son fuseau. Cintré, son pantalon laissait d’ailleurs devinait une fente… Il décida de détourner ses yeux de cette vision à laquelle aucun homme ne pouvait résister.

Lorsqu’elle se dressa sur la pointe des pieds pour trouver le sucre dans le placard, le pull découvrit une petite partie du bas de ses reins et le haut de sa culotte blanche et dentelée. Il aurait tant voulu arrêter le temps, profiter de cette image qu’elle lui offrait en toute innocence. Elle perçut sa gêne en se retournant mais ne parut pas effrayée.

Après avoir repris une certaine contenance, Pierre lui demanda comment elle était arrivée ici et lui proposa de passer la nuit.



Il lui tendit une serviette et un de ses tee-shirt en guise de chemise de nuit et l’invita à utiliser la salle de bains.

Un bain chaud coulait, derrière le fin rideau. il voyait Sophie, un nouveau nom pour lui, en ombre chinoise. Elle commençait à se déshabiller. Ses mains enlevèrent le pull puis allèrent dans son dos pour dégrafer son soutien-gorge. Quand elle se baissa pour le déposer sur la chaise, la courbe de sa poitrine se dessina sur le rideau. Fantasme ou réalité, il croyait même deviner la pointe de ses seins dressée. D’envie ?

Ses mains attrapèrent alors le haut de son pantalon pour le faire glisser le long de ses jambes. En se retournant pour le ranger, elle n’imaginait sans doute pas qu’elle s’offrait ainsi face à lui. Elle se retourna quelques secondes plus tard puis se baissa pour fermer les robinets.


L’ombre chinoise de son cul se détachait nettement sur le rideau. Pierre imaginait à travers ses jambes légèrement écartées la touffe naissante à cet endroit. il ferma les yeux pour conserver cette scène dans sa mémoire. son corps n’était pas indifférent à la beauté de Sophie. Son sexe, plaqué sur son ventre par le jean, dégageait une chaleur presque insupportable et il sentait ses bourses gonfler de plaisir à venir.

Sophie entra dans son bain. Un silence chargé d’érotisme emplit son refuge que venait rompre parfois quelques clapotis.


Il fallait à Pierre beaucoup de volonté pour ne pas rejoindre ce corps nu caressé par l’eau chaude. il imaginait ses mains savonnant doucement le ventre puis glisser sur ses seins en s’y attardant peut-être pour quelques prémices à des plaisirs solitaires. il se mis à laver les jambes de Sophie en pensée. Elle aurait fermé les yeux comme le font tant de femmes pour exciter leur plaisir. ses mains auraient savonner ses jambes avec délicatesse puis seraient remontés lentement vers son entrejambe couronné d’une fine toison qui cachait mal son trésor, peut-être encore vierge. Après quelques secondes de gêne, Sophie aurait de nouveau sensiblement écartée ses jambes. les mains de Pierre auraient alors parcouru son sexe de bas en haut en découvrant ses lèvres si innocentes. Puis il aurai rincé son nid en faisant couler un fin filet d’eau claire. leurs regards se seraient croisés, celui de Sophie un peu effrayé, celui de Pierre la rassurant.



Le rideau s’ouvrit à ce moment-là. Sophie avait enfilée le tee-shirt blanc qui lui arrivait en haut des cuisses. Elle était immobile. Avait-elle deviné ses pensées ?


"Merci pour ce bain", prononça-t-elle.



Sophie sortit de la salle de bain et tomba sur son regard, qui la détaillait avec une acuité qui la gêna. sans laisser paraître de son trouble elle passa devant lui en le remerciant pour le bain, et alla s’asseoir sur le canapé. il continuait à la détailler, des pieds à la tête. Ses seins se détachaient nettement sous le tee-shirt et l’air frais de la pièce, malgré la cheminée les fit aussitôt pointer. Embarrassée, elle croisa les bras sur ma poitrine et baissa les yeux. Cependant son trouble, loin de disparaître devenait de plus en plus fort et violent, elle frottait inconsciemment ses cuisses l’une contre l’autre, elle l’imaginait avec une précision presque réelle lui caresser lentement le corps, du bout des doigts, pour la mettre au supplice, l’embrasser dans le cou…


Elle se reprit brusquement et décida d’aller se coucher. comme il l’avait dit, il lui céda son lit, et elle s’endormit dès qu’elle eu posé la tête sur l’oreiller. Mais un peu plus tard, elle fut réveillée par le poids d’un corps s’asseyant sur le matelas…



Quand Sophie alla se coucher, Pierre se dirigea à son tour vers la salle de bains. Des flashes de ses pensées érotiques lui revenaient. son sexe se dressait. Il savait qu’il ne pourrai résister à l’idée de la posséder.

Après quelques minutes, il ressortit, hésita puis alla s’asseoir sur le lit doucement, ne sachant si la belle, perdue par bonheur dans son refuge, était endormie. il remarquai que son sommeil était plutôt feint. Comme si…

Tous les hommes ont connu ces moments de doute, craignant de ne pas répondre aux sollicitations muettes d’une femme ou, au contraire, d’apparaître comme un mâle en "rut" brutale et égoïste.


Il tenta une main dans ses cheveux soyeux qui lui cachaient à moitié le visage. il sentis une réaction presque imperceptible mais pas hostile. Cela l’encouragea. sa main lui caressait maintenant le dos, la nuque. Sa peau glissait sous ses doigts. Elle faisait toujours semblant de dormir lorsque sa main glissa plus avant sous la couverture pour atteindre le bas de ses reins. Il s’y attarda longtemps remontant parfois le long de sa colonne vertébrale. Il sentais sa respiration plus rapide et son inexpérience. il commença à soupçonner que ce fut la première fois. Il lui fallait donc redoubler de douceur et de patience pour honorer ce corps magnifique et si fragile.

Il baissa la couverture jusqu’à la naissance de ses fesses, passa ses mains en dessous pour les lui caresser. Petites, elles se contractaient parfois sous ses caresses. sa main glissa entre ses jambes pour découvrir un sexe humide de plaisir. Une contraction plus forte la fit se cambrer. Pierre imaginait déjà ses mouvements lorsqu’il lui ferai lentement l’amour.


Il prit son temps et promena mes doigts tout autour de son nid où coulait maintenant une rivière. Ses doigts trempés défirent la couverture. Son corps allongé et nu était une offrande. Sophie ne bougeait toujours pas mais appréciait ses attentions. Elle écarta d’ailleurs légèrement ses jambes et il découvris le rose de ses lèvres recouvertes d’une rosée éclatante.



Il admira alors son visage, sa nuque, sa poitrine gonflée de plaisir, son ventre et son pubis qu’il décida d’honorer. Elle se blottit contre lui. il l’embrassa doucement, mordillai sa bouche puis sa langue chercha la sienne. De petits gémissements en sortait, plus réguliers et plus fréquents. Sa poitrine appuyait contre celle de Pierre tandis que le sexe de celui ci brûlait son ventre. La sève de Sophie était plus abondante et facilitait ses caresses sur son clitoris. Elle s’accrocha plus fort à lui lorsque il explora son intimité avec ses doigts entrant et sortant de son sexe encore étroit.



Sa bouche s’amusa quelques instants avec ses petits seins et leur pointe dure d’envie qu’il prenait entre mes lèvres et mordillait avec la plus grande attention. il embrassait à petits coups son ventre allant au rythme de sa respiration. Puis se plaça entre ses jambes en passant ses bras sous son corps pour la ramener tout à lui vers sa bouche. Le parfum de son sexe lavé l’emportait…

Un instant, la gêne la saisit. Aucun garçon n’avait sans doute eu cette attention. Pierre posa ses mains sur son ventre pour la rassurer. Son corps redevint consentant.



Elle le laissait faire, la tirer lentement du sommeil par ses caresses, faisant semblant par la suite de dormir. ses doigts la touchaient à peine et pourtant ses veines charriaient un torrent de lave! ses sensations bondissaient sous ses caresses, passant de ses cuisses à ses seins en passant par son ventre… Très vite l’envie qu’il la prenne se fit intense, elle voulais qu’il lui apprenne, qu’il lui fasse l’amour, lentement, tendrement, qu’il lui montre l’accès au plaisir suprême… le désir était tellement fort, elle baignait dans un océan d’envie et de plaisirs… quand il posa ses lèvres sur ses seins, elle se cambra pour les lui offrir, et il les butina, les mordilla avec une douceur qui lui arracha un gémissement! c’était si fort!

Puis il descendit plus bas, toujours plus bas, lui écarta les cuisses et plongea son visage dans son intimité. surprise, elle ne m’attendait pas au déluge de sensation qui s’empara d’elle. De par ses lectures, elle savait que cette pratique apportait énormément de plaisir, mais là…


Partagée entre la réalité et le septième ciel, elle me laissa porter par ce qu’elle était en train de vivre, par cet instant magique qu’elle souhaitait éternel… Seigneur qu’il s’y prenait bien ! Elle s’agrippait à ses cheveux et il accéléra sa caresse… Elle sentit qu’elle allait jouir, l’orgasme arrivait avec la force d’un raz de marée…


Le parfum intime de Sophie emportait Pierre dans une extase rare. sa bouche goûtait avec délice son musc de jeune fille. ses lèvres se perdaient sur son bouton éclos. Sophie caressait ses cheveux en appuyant légèrement. il la surprenais parfois son visage plaqué contre l’oreiller, se mordillant les lèvres comme pour retenir ses soupirs de plus en plus violents. il devinait ses petits seins pointés vers le ciel. Ses jambes remontaient légèrement et de légers coups de reins annonçaient une jouissance proche à venir. les mains de Pierre se promenaient parfois sur son ventre puis attrapaient sa poitrine pour en découvrir la douceur et la chaleur. Une contraction plus violente accompagna soudain un cri et il sentis les mains de Sophie enfonçaient sa tête entre ses jambes comme si son sexe entier voulait se plaquer contre ses lèvres.


Il se redressa alors pour chercher sa bouche lui faire découvrir la délicatesse de son musc. il commença à s’enfoncer dans son nid doux, chaud et encore étroit. L’ondulation lente de ses reins l’emmenait toujours plus avant. Sophie lui déchirait presque le dos. il voyais ses yeux emplis de bonheur et de plaisir jusque-là sans doute inconnus. Elle comprit très vite que ses reins pouvaient aussi participer à cette danse qui l’emportait.


Il s’arrêta quelques instants pour reprendre ses esprits et admirer encore ce corps parfait qui s’offrait à moi. il caressai le galbe de ses fesses, sa langue lui apprenait de nouveaux baisers longs et sensuels. il remonta enfin ses jambes sur ses épaules et sentis son sexe se refermait pour le retenir à jamais. Ses ongles s’enfonçaient maintenant dans le bas de ses reins. les ondulations de Pierre devinrent plus accentuées.


Lorsque les bras de Sophie le plaquèrent avec amour contre son corps étendu, il compris qu’il lui fallait forcer plus avant pour percer son hymen. Un coup de rein plus violent lui ouvrit les portes de son trésor. Un cri étouffé accompagna ce mouvement.


Ils faisaient maintenant l’amour avec force et passion. Tout s’accéléra. leurs baisers furent plus passionnés encore. C’est au cours de l’un d’eux que Pierre sentit un râle puissant sortir du fond du ventre de Sophie. Sa bouche cherchait de l’air. Son visage allait de gauche à droite, les yeux fermés. Ses jambes firent prisonnières celle de Pierre et tout son corps se tendit vers lui.


Dans un dernier coup de rein, son sexe explosa. son foutre giclant au plus profond de Sophie à plusieurs reprises, son corps à son tour tendu. Il sentait sa semence brûlante couler dans ce sexe vierge jusque-là.

Le visage de Sophie irradiait de bonheur et de volupté. Ses yeux fermés semblant vouloir graver à jamais ce moment unique. il savait qu’elle m’emporterait dans ses souvenirs. Il était heureux de l’avoir ainsi honoré.

Une étreinte passionnée les liait à jamais



Il fallut un bon moment a Sophie pour se remettre de la vague qui venait de la submerger. Elle s’était souvent demandé ce qu’était la jouissance, mais ce qu’elle venait de découvrir dépassait toute réalité! longtemps après, son corps frémissait encore… une douce langueur la surprit, elle se serra contre Pierre. qu’elle bien, blottie dans ses bras sécurisants ! I lui caressait tendrement le bras du bout de l’index et lui demanda si elle était bien. répondant avec un soupir de bien être, elle se lova encore plus étroitement contre lui, ferma les yeux et se laissa doucement glisser dans le pays des rêves…