Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 07665Fiche technique22500 caractères22500
Temps de lecture estimé : 13 mn
16/09/04
Résumé:  Un homme découvre les plaisirs du voyeurisme.
Critères:  fh extracon grossexe fépilée parking boitenuit voir photofilm lingerie fellation pénétratio
Auteur : Eric1  (38 ans et besoin d'autre chose)

Série : Le bonheur d être voyeur

Chapitre 01 / 02
Le bonheur d'être voyeur !


J’ai 38 ans et je suis marié avec Agnès depuis 13 ans. Treize années de bonheur ! Enfin presque, car depuis quelques temps déjà, j’étais en manque de sensations sexuelles. Non pas que ma femme soit devenue laide. Bien au contraire, 35 ans, brune, yeux bleus, bien foutue, mais j’étais plutôt las d’une sorte de routine.


Alors je suis allé sur des sites pornos sur Internet jusqu’à ce que je trouve des sites amateurs de voyeurs : photos ou vidéos de leur copine ou femme et ça m’a assez plu. Seulement ce qui me manquait au final, c’était de voir ma femme sur ces sites.


Ni une ni deux, je suis allé acheter un appareil photo numérique et j’ai commencé à la prendre en photo. Au début, gentilles les photos, du style : Agnès se promenant, Agnès dans la cuisine etc. Durant une semaine, je prenais des photos d’elle très classiques afin de ne pas lui mettre la puce à l’oreille. D’ailleurs elle semblait contente d’être prise en photo. Ensuite, je suis allé plus loin prétextant un album perso pour mes vieux jours : Photos d’elle nue sortant de la douche, en train de se déshabiller, en maillot de bain seins nus en train de bronzer dans le jardin, etc. C’est même devenu pour nous un stimulant sexuel. Quelque part ça excitait ma femme. Elle en est venue à me faire des strip-teases ou à poser dans des tenues sexy et des positions sensuelles.


J’avais réussi comme ça à avoir une belle collection de photos coquines. Je fis un premier tri et décidai d’en envoyer une série plutôt soft sur un site amateur américain qui notait les photos. Après 3 jours d’attente, mes photos apparurent et ce fut pour moi un vrai moment d’excitation de voir ma femme sur le net et, comme les photos étaient plutôt bien notées, je continuai à envoyer mes autres séries. Pendant 15 jours, ce fut un régal (pour moi). Et puis l’excitation tomba. J’en voulais encore plus.

Alors je décidai d’acheter un caméscope numérique et de la filmer.


Surprise au début, elle accepta finalement ce léger changement. Je me rendais compte que cela l’excitait encore plus que les photos. Alors notre jeu reprit de plus belle. Un soir elle sortit de la salle de bain dans une chemise de nuit des plus indécentes : blanche, très courte et transparente. Je voyais sous la chemise un string blanc et un décolleté montrait la naissance des seins que l’on voyait d’ailleurs sous le tissu.



Je sentais monter en moi de la jalousie mêlée à de l’excitation. Inquiet quand même je demandais :



C’était gonflé de ma part de dire ça, car sans doute des milliers de gens l’avait vue en photos sur le net, mais ce n’étaient que des photos alors que là…



J’étais maintenant très jaloux et très excité. Câline, ma femme s’approcha de moi et dit :



C’était un ordre. Elle partit vers notre chambre et moi chercher le caméscope. Quand j’arrivai dans la chambre, Agnès me dit :



Je m’assis dans le fauteuil et mis la caméra en route, le coude droit bien calé. Agnès s’approcha de la caméra. Elle se retourna et souleva le léger bout de tissu pour bien me montrer son cul. Elle alla se mettre à quatre pattes sur le lit. En gros plan je filmais ce cul superbe dont la raie était cachée par la ficelle du string. Elle se caressa les fesses et ensuite avec une main écarta la ficelle. Je vis alors son petit trou et la naissance de son sexe. Sa main allait et venait sur son sexe. Elle commençait à se masturber. Je n’en revenais pas et ma queue non plus d’ailleurs qui avait atteint sa taille maximale. J’avais du mal à continuer à la filmer. Elle ondulait sérieusement du bassin et gémissait. Tout en filmant je lui dis, assez jaloux :



Elle se mit alors sur le dos et écarta bien les cuisses, sa main droite frottant de plus en plus sur son sexe humide et moi zoomant au maximum.



Je posai donc ma caméra en faisant un zoom arrière, espérant que le cadrage était correct, puis je m’approchai de ma femme. Je me positionnai debout et de profil pour la caméra et Agnès se rua sur mon sexe. Après qu’elle m’ait sucé quelques instants, je la mis à quatre pattes, toujours de profil pour la caméra, et la pénétrai.

La sentant venir vers la jouissance, je lui dis pour m’exciter encore plus :



Ensuite elle s’envola vers le 7ème ciel et moi, quelques secondes plus tard, je me vidai en elle en souriant à la caméra.


Le lendemain, je visionnai la vidéo et me masturbai tout en regardant. Le plus excitant était de penser à tous ces types qui allaient se branler en visionnant cette vidéo sur le net.

Malgré la jalousie qui m’avait prise avec cette histoire de vendeur, je me dis que le summum de l’excitation serait de filmer ma femme en train de baiser avec un autre type. Cette idée fit peu à peu son chemin.

Alors, à chacune de nos sorties nocturnes, j’invitais ma femme à s’habiller sexy voire limite provocation. Elle semblait apprécier de sentir le regard des mâles sur elle, seulement le moment tant attendu et redouté pour moi arriva plus tard.


Un soir, nous étions allés à une soirée chez des amis. Agnès portait un pantalon blanc très léger qui devenait transparent dans le contre jour avec dessous un léger string qui lassait penser qu’elle ne portait rien. En haut elle portait un chemisier blanc fermé par des pressions qui laissait deviner une poitrine généreuse libre à souhait. D’ailleurs, quand nous arrivâmes chez ces amis, les regards se posèrent tout de suite sur elle car on pouvait penser qu’elle était nue sous ses vêtements (ce qui était vrai hormis le string) : tétons gonflés par le frottement du tissu du chemisier et pantalon collant sur les fesses ne laissant aucune marque de culotte. La 1ère partie de soirée fut agréable, sans plus. Je voyais bien le manège de 2 types avec Agnès, se trouvant toujours dans son sillage mais pas de quoi s’exciter. Finalement, avec des amis, Paul et Alain, nous décidâmes de terminer la soirée dans une boîte qui passait de la musique des années 70. Paul et sa femme furent ravis d’aller dans cette boîte, par contre la femme d’Alain prétexta la fatigue pour ne pas y aller. Alain lui dit alors :



Je compris, plus tard, son refus initial. Je dois dire que la femme d’Alain était très bandante, elle aussi. Grande, blonde, elle avait des atouts physiques indéniables : seins généreux, jambes et cul superbes, bref, c’est le genre de femmes qui fait détourner le regard.

Arrivés, les femmes allèrent sur la piste et nous au bar.



En effet, en se retournant, Alain vit sa femme en train de se déhancher sur une musique latino avec 2 mecs assez entreprenants. L’un avait ses mains sur les hanches et l’autre se frottait presque sur son cul.

Alain devint vert et dit :



Une série de slows arriva.

Un des deux types pris la femme d’Alain par la main et dansa avec elle.



Alain devenait de plus en plus nerveux et attaquait un autre whisky. Sa femme était contre le mec qui avait posé ses mains sur ses fesses. On distinguait clairement des caresses. Le mec enleva une main pour la passer dans le dos sous le chemisier.



Et Alain, furax, se dirigea vers la sortie.

A ce moment, ma femme invita Paul à danser.



Et ils partirent vers la piste. Mon regard était à nouveau attiré par la femme d’Alain et son chevalier caressant. Il n’avait pas perdu de temps. Sa main qui caressait le dos était passée dans la nuque et il lui embrassait l’autre côté du cou. Les slows finirent et ils restèrent quelques secondes à parler. Le type se dirigea vers une table, parla et alla vers la sortie. Je le suivis. Une fois dehors, il alla vers le parking, s’appuya sur un gros 4x4 et alluma une clope.

Je vis alors au loin Alain entrer à nouveau dans la boite.

Ce à quoi je pensais arriva. La femme d’Alain apparut environ 5 minutes plus tard et se dirigea vers le 4x4. Je me planquai en pensant que j’allai assister à un spectacle inattendu.


Le type toujours appuyé contre le 4x4 la regarda venir et sourit. Quand elle le rejoignit, il dit :



Je compris qu’ils étaient amants. Il s’approcha d’elle et la prenant dans ses bras lui dit :



Et il se pencha vers elle pour lui embrasser le cou. Elle murmura quelque chose d’inaudible pour moi. Le type passa une main sous le chemisier et l’autre sur les fesses puis embrassa la femme d’Alain à pleine bouche. Après quelques secondes, Fabienne s’arracha à cette étreinte :



À ce moment, il ouvrit son pantalon et sortit un sexe qui était déjà bien raide. Il posa ses mains sur ses épaules et elle s’abaissa. Le sexe du mec, qui me sembla énorme (surtout de diamètre), était à quelques centimètres de sa bouche.



Ce qu’elle commença à faire. Ce fut pour moi un moment extraordinaire. Je voyais la belle Fabienne en train de sucer un type sur un parking de boîte de nuit. Je pensais à ma caméra pour immortaliser ce moment, mais elle était dans ma voiture et je risquais de rater le spectacle et surtout de me faire repérer, alors j’ouvris grand les yeux. Accroupie, elle y allait de bon cœur. Le type continuait de parler comme pour s’exciter davantage.



J’étais super excité, le type se comportait comme un macho et j’aimais. Et il continua son festival :



Fabienne se releva et s’appuya sur une portière. Le type, toujours la bite bien raide (vraiment très grosse) commença à œuvrer : il déboutonna le chemisier, faisant apparaître des seins gonflés mais emprisonnés dans un soutien-gorge des plus sexy.



Elle s’exécuta. Ses seins apparurent, lourds mais splendides. Il toucha, soupesa, palpa.



Il passa alors sa main sous la jupe et après plusieurs secondes, elle se mit à gémir.



Il ouvrit la portière et y allongea Fabienne. Elle était alors couchée sur la banquette arrière. Seules ses jambes sortaient de la voiture.



En effet, le type debout avait sa proie à sa hauteur. Pas besoin de faire de la gymnastique pour la pénétrer. Il n’avait qu’à soulever et écarter les cuisses.



Fabienne s’exécuta.



Il lui caressait le clitoris.



Et il avança en prenant le dessous des cuisses. La pénétration fut brutale. Fabienne ne résista pas. Au contraire elle gémit bruyamment quand ce gros sexe fut entièrement en elle.



Il allait et venait lentement en elle.



Il allait et venait toujours lentement en faisant des arcs de cercle avec son bassin. Il était en train de lui administrer un traitement haut de gamme. Et moi ça me plaisait. J’étais excité comme jamais. Être voyeur, le bonheur total !

Après quelques secondes de ce traitement, j’entendis Fabienne partir dans le pur plaisir.



Le mec avait vraiment une santé de fer. Il continuait ses pénétrations lentes et profondes qui rendaient folles Fabienne. Elle subissait maintenant chaque assaut en gémissant de plaisir. Je ne sais pas combien de fois elle a joui mais ce fut impressionnant. Le mec se retira, et je vis alors sa queue énorme luisante de mouille cracher sa semence sur Fabienne.

J’étais dans un état second. Mon sexe me faisait mal tellement il était dur, mais je venais d’assister un spectacle unique, formidable et gratuit.

Le type, après quelques secondes, remonta son pantalon et sortit d’une poche un paquet de mouchoirs en papier qu’il donna à sa maîtresse. Alors qu’elle essuyait le sperme sur son ventre, il lui dit :



Le type parlait de ma femme et mon cœur se mit à battre très fort.



Le type partit en premier. Pendant ce temps, Fabienne se refit une beauté. Elle le suivit quelques minutes plus tard.


Je me dépêchai afin de pouvoir la rejoindre en faisant semblant de venir d’une autre direction. Quand elle me vit, semblant venir de sa droite, elle me demanda :



La garce comptait sur moi pour excuser son absence.



Puis nous entrâmes dans la boite. Le mari de Fabienne nous vit, se dirigea vers nous et demanda :



Fabienne me fit un sourire qui disait merci.


Cette histoire devient un peu longue, alors la suite au prochain épisode……