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Temps de lecture estimé : 9 mn
19/09/04
Résumé:  Après mûre réflexion... j'y retourne !
Critères:  fh fhh grp extracon extraoffre cocus voir pénétratio
Auteur : Nathalie      

Série : Nathalie2

Chapitre 02 / 02
Deuxième rencontre, la confirmation


Ce n’est que le soir venu que Philippe et moi parlâmes des événements de la journée. Evidemment sa première réaction fut de me demander ce que j’avais éprouvé.



Rendez-vous fut pris pour le soir même.



Nous fûmes accueillis le soir dans un super ranch, genre hacienda.


Kojak avait hérité de ses parents une immense propriété en Camargue, propriété qu’il avait revendue quelques années auparavant. Il vivait donc très bien de ses rentes, et avait gardé d’excellentes relations avec les gens qui avaient racheté sa propriété. C’étaient des amis d’enfance qui lui confiaient le mas et les chevaux et taureaux quand ils partaient en vacances. Ça lui avait permis de ne pas couper totalement avec le métier et eux pouvaient partir tranquilles, certains que les animaux seraient bien soignés. Il avait connu sa femme, Sung, en Thaïlande et ils étaient mariés depuis une dizaine d’années. Aussi perverse que lui, mais avec un côté nettement plus sadique, ils vivaient heureux de nombreuses aventures sexuelles depuis ce temps. Comme il me l’avait raconté, elle n’était pas jalouse et ça lui permettait à lui, macho typique des pays du sud, d’aligner de nombreuses conquêtes. Il adorait chiper les femmes des autres, coïncidant parfaitement avec ses goûts à elle qui trouvait jouissif qu’il fasse de si nombreux cocus. Le fait que mon mari était d’accord augmentait encore leur plaisir à tous deux.


De mon côté j’avoue que si j’avais trouvé autant de plaisir dans cette première journée d’adultère c’était surtout parce qu’elle avait été partagée avec mon ami. Pour rien au monde je ne l’aurais trompé, dans mon cas c’était avec son accord et il participait donc à sa manière.


C’est vrai aussi que j’appréciais énormément l’opposition de mon côté prude avec celui de parfaite salope. J’avais vraiment envie que Kojak me fasse connaître le côté obscur de ma personnalité, qu’il me modèle à son goût, que je devienne sa putain dévouée. Quand j’y réfléchissais, je me disais que vraiment j’avais énormément changé en une journée à peine. Ma mutation se faisait à vitesse grand V. L’expression populaire disait sage le jour pute la nuit, et ça me correspondait pleinement, quoique mon côté pute n’était encore que débutant.



Kojak nous fit faire un tour du propriétaire. De nombreuses dépendances jouxtaient le corps de bâtiment principal. Il me dit que le lendemain nous partirions à cheval faire le tour du domaine, de nombreux taureaux et chevaux étant éparpillés un peu partout.


Pendant ce temps, Sung et Philippe marchaient derrière nous, mais nous pouvions entendre leur conversation.



Kojak qui avait tout entendu précisa



En fait je crois avoir cerné nos envies à tous.

Moi, tout le monde l’aura compris je suis un gros macho qui prend son pied en multipliant les conquêtes, mon plaisir est d’autant plus grand que je pique les femmes des autres, montrant ainsi que je leur suis supérieur, c’est comme si je les vainquais en duel. Sung, elle, a un côté sadique qui est d’autant plus comblé que je domine les femmes .Plus je les humilie, plus elle est contente.

Ca tombe bien, car Nathalie aime s’offrir à ma volonté, j’ai remarqué qu’hier quand je l’ai exhibée devant mes amis, malgré sa honte elle a pris son pied. Elle a été tellement coincée dans son rôle de femme fidèle, qu’elle veut maintenant se débarrasser de son carcan et être d’autant plus cochonne qu’elle a été sage. Philippe lui est content d’offrir sa femme, il adore qu’un autre prenne les choses en mains, et plus j’en demanderais à sa femme plus il appréciera.



Nous passâmes ensuite à table. Un excellent repas, comme il se doit, nous fût servi. Décidément, Kojak avait du savoir vivre. Il appréciait la bonne chère et la bonne chair…


Ce n’est qu’après le café, au moment du digestif que les choses sérieuses commencèrent. Kojak s’adressa à moi



Je passais alors au milieu du salon. J’étais le centre d’attention de ces messieurs, et dame… Philippe surtout regardait fixement, curieux se savoir quelle tenue j’avais décidé de mettre pour Kojak.


Je dénouais le haut de ma robe laissant apparaître mes épaules. Je fis glisser progressivement ma robe vers le bas. J’apparus enfin en nuisette noire transparente, string orange et bas noirs à résille. Je sentis souffler un air d’érotisme sur l’assistance.



Kojak se dirigea d’emblée vers moi, voulant être le premier pour bien asseoir sa propriété sur moi. Il m’enlaça et ses mains parcoururent mon corps. Je me laissais faire, profitant de l’instant. C’était en effet la première fois que je me laissais tripoter devant Philippe. Je vis du coin de l’œil qu’il n’en perdait pas une miette.

Kojak m’entraîna vers sa chambre. Philippe et Sung nous suivirent mais restèrent à l’entée de la chambre confirmant ainsi leur statut de voyeurs.

Je me retrouvais vite sur le lit. Kojak m’embrassait et me caressait comme un fou, je lui rendais ardemment ses baisers. Kojak me retourna sur le ventre. Il souleva ma nuisette et écarta la ficelle de mon string. Sa langue partit à la rencontre de mon minou. J’étais déjà complètement trempe et sa langue ne fit qu’accentuer ma cyprine. Il s’aventura aussi vers mon petit trou. N’ayant jamais pratiqué la sodomie, j’eus un petit mouvement de défense vite réprimé. Kojak commença par me saliver sur l’anus, puis par petits coups de langue à me le caresser. Petit à petit mon anus se détendait et je me laissais aller. Que devait penser Philippe, lui qui n’a jamais eu droit à mes faveurs anales!


Kojak alternait maintenant mon anus et mon minou. Puis il me caressa avec un doigt qui ne tarda pas à s’enfoncer dans mon petit trou. Je l’accueillis douillettement. Pendant que son index s’enfonçait dans mon anus, son pouce me caressait le clitoris et pénétrait mon minou. Que de sensations!

Kojak s’allongea sur moi et me pénétra. Il me ramona plusieurs minutes dans cette position, puis me mit sur le côté et me pénétra de nouveau. Je pense qu’il faisait ainsi pour que nos deux voyeurs puissent mieux jouir du spectacle.


Dans un éclair de lucidité, je regardais Philippe pour savoir sa réaction.

Il était dans un état indescriptible. Il voyait pour la première fois sa femme adorée dans les bras d’un autre homme, la bite fichée entre les cuisses.


Il était tellement excité, qu’il avait sorti sa queue et commençait à se caresser en nous regardant.

Sung semblait garder son sang-froid. Elle nous regardait apparemment imperturbable. Seuls ses yeux réagissaient. Une lueur cruelle y flottait. On devinait sa jouissance rien qu’à son regard.

Je jouis dans les bras de Kojak. Mes hurlements déclenchèrent la jouissance de Philippe qui se vida sur la moquette, les yeux exorbités. Kojak fut le dernier à partir. Comme la veille il inonda mon minou de sperme. Je me demandais s’il avait demandé le même traitement que la veille à Sung pour en avoir une telle quantité.

La jouissance passée, je m’endormis dans ses bras.



Ce n’est que quelques heures plus tard que je me réveillais. J’étais seule. Kojak était parti. En me levant j’entendis des voix et je me dirigeais vers le salon.



Je crois que vous avez apprécié nos petites aventures tous les deux.



Je vais vous laisser quelques instants. Prenez votre temps réfléchissez-y et donnez-moi votre réponse, mais sachez qu’elle sera définitive et que l’on ne modifiera pas quoique ce soit.


Philippe et moi nous retirâmes pour discuter de tout cela. Nous arrivâmes vite à la conclusion qu’autant un que l’autre étions excités par tout ce que nous venions d’entendre. Nous décidâmes donc de tout accepter. Comme l’avait dit Kojak, nous ne risquions rien et si d’aventure, mais ça m’étonnerait, nous en avions marre, et bien on pourrait tout arrêter. C’est donc fermes et bien décidés que nous annonçâmes à Kojak notre désir de poursuivre cette aventure.


Un air fier et victorieux se fit jour sur son visage.