n° 07701 | Fiche technique | 19410 caractères | 19410Temps de lecture estimé : 12 mn | 19/09/04 |
Résumé: Après les autres récits pubiés sur revebebe, Véronique rencontre l'un de ses lecteurs. | ||||
Critères: fh grosseins ecriv_f | ||||
Auteur : Véronique D (Une jeune bourgeoise découvre les plaisirs du sexe.) |
Lettre à Franck avec qui j’ai fait connaissance par messagerie interposée. Ses messages torrides m’ont donné envie de le rencontrer. Il est d’accord pour que je publie cette lettre qui raconte un après-midi passé ensemble.
Alors, juste pour vous Franck…
Nous sommes un jour de semaine, mon mari n’est pas là, il travaille aujourd’hui. Je vous ai donné rendez-vous chez moi en début d’après-midi.
On sonne, je vais ouvrir, c’est vous, enfin, en chair et en os. Curieusement, vous correspondez à l’idée que je m’étais faite de vous. Il arrive souvent que lors d’une rencontre physique après une longue relation virtuelle, on soit déçu, que la personne que l’on a en face de soi ne corresponde pas du tout à l’image que l’on s’était projetée. Je me souviens d’un correspondant téléphonique qui avait une voix chaude, presque ensorcelante. Je l’imaginais grand, brun, fort et certainement très glamour… J’ai eu l’occasion de rencontrer cette personne en chair et os et j’ai été très déçue. Il était bien brun mais petit, gros et peu soigné de sa personne. D’ailleurs, je ne me suis même pas fait connaître…
Vous, vous êtes tel que je vous avais imaginé, pas très grand mais d’allure sportive et soignée, vous portez même une eau de toilette légèrement musquée pour mon plus grand plaisir. Il ressort de votre personne une sensualité animale que j’avais déjà ressentie au travers de vos messages.
On commence par une bise, mais je suis déjà sûre que ce ne sont que des prémices… C’est déjà très chaud et à ce simple contact, ma peau s’est comme électrisée.
Pour vous accueillir, je me suis habillée bien sagement, une jupe plissée bleu marine, un chemisier blanc légèrement transparent qui laisse deviner un wonderbra en dentelle qui met si bien mes seins en valeur. Je sais très bien que vous fantasmez complètement sur mes seins, aussi, je ne veux pas que vous soyez déçu… Sous ma jupe, j’ai mis des DimUp et un string blanc. J’ai un peu taillé ma toison mais je n’aime pas être rasée, peut-être que auriez-vous préféré ? Enfin, j’ai décidé de porter des chaussures vernies à talons hauts.
Je vous prends par la main et je vous entraîne jusque dans cette cuisine où j’ai déjà vécu tant d’aventures. Je vous sers une tasse de café. Je me suis assise au bord de la table, ma jupe s’est ouverte en corolle autour de mes cuisses et je vois bien que vous ne pouvez plus en détacher vos yeux… Je souris. Je sens votre trouble et je le laisse s’installer, je vous laisse le soin de prendre l’initiative mais il semble que je vous intimide…
Vous vous êtes approché et je suis restée assise au bord de la table, les jambes écartées, les pieds sur le banc. J’attends le contact de vos mains les yeux fermés. Vous mettez vos mains juste au-dessus de mes genoux, j’ai posé mes coudes sur la table et j’ai cambré les reins pour vous offrir ma poitrine. Vos mains toujours sur mes genoux, à votre tour, vous vous penchez et vous posez votre tête entre mes seins à travers mon chemisier. Sensation exquise, je garde les yeux fermés et je sens la chaleur de votre souffle à la naissance de ma poitrine. Vos mains remontent doucement à l’intérieur de mes cuisses atteignant la limite de mes DimUp. Elles sont maintenant directement sur ma peau, elles sont chaudes, fiévreuses et fébriles, sensation délicieuse que cette chaleur proche de mon intimité. Vous venez de vous mettre à genou et vous déposez des baisers sur mes genoux puis sur mes cuisses, vous remontez ma jupe découvrant mes cuisses ouvertes, tout en haut, le triangle blanc de ma culotte se découpe sur la jupe bleue marine. Vos baisers se rapprochent de mon intimité et vos lèvres se posent sur mon mont de vénus à travers la culotte. Je suis parcourue de frissons. Il n’y a que quelques minutes que nous sommes ensemble et déjà, je suis offerte et trempée. Je crois qu’à cet instant j’ai eu un premier orgasme, dû à l’étrangeté de la situation…
Je vous prends par la main et vous entraîne dans l’escalier jusqu’à ma chambre. C’est une grande chambre avec un grand lit. Le mur au pied du lit est occupé par des placards dont les portes sont faites de miroirs. C’est comme si tout le pan de mur ne faisait qu’un seul miroir. Je m’allonge en travers du lit et vous invite à venir me rejoindre.
C’est vrai que je ne me suis pas encore décrite et que, même dans les histoires que j’ai publiées, je ne l’ai encore jamais fait. Ceux qui ont lu mes autres aventures savent que je suis une bourgeoise de 35 ans, que mon mari n’est pas souvent à la maison et quand il y est, me délaisse quelque peu… Je suis une belle plante d’1m72 pour 65 kg, j’ai de longues jambes mais surtout une poitrine sur laquelle les hommes se retournent, 95C. Les gens me disent jolie même si moi je trouve mon visage ordinaire. Et, non, je ne suis pas blonde, j’ai les cheveux bruns coupés juste au-dessus des épaules.
Je suis donc allongée en travers du lit, vous vous êtes installé à califourchon sur mon ventre. Vous avez commencé par défaire un à un les boutons de mon chemisier découvrant mon soutien-gorge pigeonnant et bien rempli. Je m’abandonne bien volontiers à cet effeuillage. Le chemisier enlevé, c’est au tour de la jupe de suivre le même chemin. J’ai soulevé les reins pour vous aider à l’enlever et maintenant, je suis là devant vous, en soutien-gorge, string, DimUp, et chaussures vernies. Vous êtes debout et vous me contemplez. J’aime le regard que vous portez sur moi, j’espère que ce que vous voyez correspond à l’idée que vous vous étiez faite à travers les messages érotiques que nous avons échangé. J’imagine que vous me trouvez belle dans ma pose lascive et offerte. C’est à mon tour de vous attraper et de vous basculer sur le lit.
Je me suis mise à genou à côté de vous et j’ai défait les boutons de votre chemise dont j’ai écarté les pans. J’ai posé mes longs doigts fins sur votre poitrine et avec mes ongles, je sens vos pectoraux, dont vous êtes si fier comme la plupart des hommes, réagir. J’ai griffé les mamelons et les tétons. Je sens bien que vous n’êtes pas indifférent à cette caresse, et je vois une grosse bosse se dessiner dans votre pantalon. Il va être temps de s’en occuper… Le temps de défaire votre ceinture, d’ouvrir votre braguette et je découvre vos dessous. J’aime beaucoup votre slip moulant en lycra, un vrai slip de sportif… J’ai posé ma main sur la bosse, c’est chaud, ça grossit, ça palpite. Mutine, je me contente de ce geste et je vous regarde dans les yeux.
J’ai enlevé vos chaussures et j’ai tiré sur votre pantalon. Vous êtes là, et c’est à mon tour de vous contempler, vous êtes drôle, allongé sur le lit en slip et en chaussettes, la chemise ouverte. Je retire les chaussettes et je baisse tout doucement votre slip découvrant votre sexe. Ne pouvant résister, je me penche pour l’embrasser doucement. De votre place, vous pouvez voir mes seins encore enfermés mais qui bougent au rythme des baisers que je prodigue à votre sexe. Que c’est excitant de tenir un homme à sa merci, de ne plus le sentir vivre que par son sexe.
Vous vous êtes relevé, vous êtes passé derrière moi. Vous avez défait l’attache de mon soutien-gorge et mes seins bien qu’imposants ne sont pas tombés, ils tiennent bien et vous les avez empoignés. Vous êtes collé contre moi, vos deux mains sur mes seins et votre érection bien calée dans la raie de mes fesses. Je la sens vraiment bien, mon string permettant un contact très étroit. Jaime sentir vos mains sur mes seins, j’aime votre façon d’en titiller et d’en pincer les bouts. Je suis trempée et j’ai rejeté ma tête sur votre épaule, je m’abandonne à votre caresse, je suis très sensible des tétons et je sens que vous allez me faire jouir.
Et j’ai joui, seulement par votre caresse sur mes gros seins, un vrai bonheur. Plaisir d’être emporté par la jouissance, de vibrer, d’oublier où l’on se trouve et de se réveiller dans une réalité qui va continuer à être merveilleuse. Votre main droite a quitté mes seins pour s’immiscer dans ma culotte en descendant lentement sur mon ventre plat. Vous avez empoigné mon mont de Vénus dans votre main avant d’en écarter les lèvres et y glisser vos doigts. Mon sexe n’offre aucune résistance à votre caresse, trempé par l’orgasme que je viens d’avoir. C’est un puis deux et enfin trois doigts qui me pénètrent et me fouillent. J’écarte les jambes au maximum pour faciliter cette pénétration. Que c’est bon, d’être collée contre vous, j’ai pris vos fesses dans mes mains pour vous sentir encore mieux tout contre moi. Que c’est bon d’être possédée par ces doigts qui me fouillent à la recherche de mon plaisir, je sens votre main qui frotte contre mon clitoris pendant que vos doigts vont et viennent au plus profond de mon intimité. Une fois de plus, le plaisir déborde et m’emporte au pays des étoiles. J’en reste pantelante, je crois que j’ai crié mon plaisir mais cela n’a aucune importance, nous sommes seuls dans la maison, j’ai donné congé à la bonne.
J’ai pris un oreiller que j’ai posé au pied du lit. Je me suis allongée sur le lit, la tête sur l’oreiller.
Vous avez placé votre sexe entre mes seins et je les ai refermés sur lui, l’emprisonnant dans un fourreau de chair ferme et tendre à la fois.
La bourgeoise est devenue presque ordurière, ce sont des mots qui ne me ressemblent pas mais je sais que vous, les hommes, vous les appréciez dans ces circonstances.
Je voyais votre gland apparaître et disparaître entre les rondeurs de mes seins et je serrais plus ou moins fort mes mains pour que la sensation soit toujours différente pour vous. Moi aussi, j’ai aimé sentir ce barreau de chair palpitant entre mes seins. Je sentais aussi vos fesses aller et venir sur mon ventre. J’ai rejeté la tête en arrière pour vous permettre de mieux vous voir dans la glace. Et cette vue de vous, la bite allant et venant entre mes seins, vous a encore plus excité et j’ai senti votre sexe grossir encore, j’ai vu le liquide séminal commencer à sortir et j’ai su que vous alliez exploser bientôt. J’ai rapproché ma bouche de votre gland, mais pas assez pour avaler et c’est sur ma poitrine et mon visage que vous avez éjaculé de longs jets de sperme. Vous êtes alors venu embrasser mes seins et lécher votre propre perme sur ma poitrine et mon visage puis nous l’avons partagé dans un long baiser. Vous avez repris mes seins dans vos mains.
Toujours avec vos mains caressant mes seins, votre bouche est venue embrasser mon ventre, votre langue s’est insinuée dans mon nombril avant de commencer à descendre vers mon sexe. Vous avez lâché mes seins le temps de baisser et d’enlever ma culotte. Il ne me restait plus que mes DimUp et mes chaussures à talon. Le contraste était frappant entre mes chaussures et mes DimUp noirs sur le couvre-lit blanc. J’ai relevé mes jambes et je les ai écartées vous invitant à me prodiguer d’autres caresses. Vos mains se sont de nouveau emparées de mes seins et votre bouche s’est posée sur mon sexe grand ouvert, offert comme un fruit mur et trempé. Je sentais mes tétons s’ériger au point de me faire presque mal et ma cyprine couler en abondance entre mes cuisses. Avec vos doigts vous avez délicatement écarté les lèvres de mon sexe et votre langue est partie à la recherche de mon clitoris. Vous n’avez pas eu de mal à le trouver tellement il était lui aussi encore en érection. La caresse de votre langue sur mon clitoris et celles de vos mains sur mes seins ont déclenché un orgasme formidable. Je ne savais plus où j’étais, j’ai crié mon plaisir, je me suis complètement abandonnée. Le plaisir a déferlé par vagues successives, plus fortes les unes que les autres. Je n’aurais jamais cru possible d’avoir autant d’orgasmes aussi rapprochés.
Enfin calmée, j’ai réouvert les yeux et mon regard est tombé sur votre sexe à nouveau en érection.
Je me suis tournée, face au miroir, je me suis appuyée sur le pied de lit. Je me voyais à quatre pattes, jambes écartées, seins pendant entre mes bras. Et je vous voyais derrière moi, le sexe à la main. Vous êtes venu vous coller contre mes fesses et vous avez guidé votre sexe dans mon vagin. J’ai senti votre gland me pénétrer puis votre sexe entier m’a prise. J’ai senti vos mains sur mes hanches, j’étais bien, j’ai creusé les reins pour vous sentir au plus profond de moi. Vous êtes resté un moment sans bouger puis vous avez commencé à aller et venir en moi. Je voyais mes seins bouger au rythme de vos pénétrations. J’aime les changements de rythme et les pénétrations plus ou moins profondes et avec vous, j’ai été servie. Vous savez faire jouir les femmes, vous savez varier le rythme pour vous accorder à celui de votre partenaire. Vous savez être à l’écoute. Vos mains sont passées de mes hanches à mes seins que vous avez à nouveau empoignés. Je me suis redressée creusant encore plus les reins pour vous offrir ma somptueuse poitrine. Je sens votre sexe qui grossit encore venir buter contre ma matrice me remplissant complètement. Que c’est bon, quelle sensation de plénitude d’être prise comme ça. De longs frissons parcourent mon corps annonciateurs d’un orgasme imminent.
Et je me suis mise à onduler des reins, venant à votre rencontre. Un regard dans la glace m’a montré combien nous étions unis dans le plaisir, vos mains sur mes seins, votre corps collé au mien, votre sexe me pénétrant de toute sa longueur. À cette vue, j’ai joui dans un grand cri et je n’ai pas pu m’empêcher de bouger dans tous les sens au risque de vous désarçonner. Mais vous me teniez fermement, votre sexe bien planté au fond de moi, vos mains plaquées sur mes seins, vos doigts pinçant mes tétons m’ont maintenue contre vous.
Et j’ai senti votre sperme envahir ma grotte. De longs jets chauds se sont mêlés à ma cyprine. Puis vous vous êtes écroulé sur mon dos. Je tremblais de tous mes membres tellement le plaisir avait été intense. Nous nous sommes allongés l’un contre l’autre, vous avez passé une jambe entre les miennes et vous avez continué à caresser mes seins pendant que nous échangions un baiser. J’étais repue, j’étais bien allongée contre vous, j’aurais très bien pu m’endormir dans cette position.
Nous sommes allés dans la salle de bain attenante et nous avons pris notre douche ensemble nous lavant mutuellement. Puis, nous nous sommes rhabillés et je vous ai raccompagné jusqu’à la porte et c’est sur un dernier baiser que nous nous sommes quittés.
PS : Vous ferez attention, j’ai glissé mon soutien-gorge dans la poche de votre veste en souvenir.
Véronique.
Du même auteur sur revebebe :
6244 Les élagueurs
6791 Apologie de l’amour ordinaire
6906 Les paysans limousins
6917 L’amour à grande vitesse
Veronique_delalande@yahoo.fr