n° 07703 | Fiche technique | 43848 caractères | 43848Temps de lecture estimé : 26 mn | 19/09/04 |
Résumé: Tante Madeleine. | ||||
Critères: fh fagée oncletante douche pénétratio init | ||||
Auteur : Jean François (H 46 raconte souvenirs) |
Épisode précédent | Série : Tante Madeleine Chapitre 02 / 02 | FIN de la série |
Comme la veille, je déverrouillais la porte du cagibi en passant, de façon à limiter le bruit lors de l’ouverture, puis je me rendis dans ma chambre. J’allais prendre ma douche, et alors que j’étais en train de m’essuyer, j’entendis ma tante monter. Elle allait commencer son déshabillage avant que j’aie pu m’installer, et cela me rendit nerveux. Je fis un geste trop brusque et un flacon d’eau de Cologne tomba et se brisa ! Catastrophe.
Ma tante alertée par le bruit vint et frappa à la porte de la salle de bains, et avant que j’aie pu dire quoi que ce soit, elle entra.
Je n’avais pas réfléchi une seconde que j’étais complètement nu. Ce n’est qu’au bout de plusieurs secondes que je me rendis compte de la situation et tentais de cacher ma nudité en entourant la serviette autour de ma taille. Elle avait eu le temps de voir ma verge, encore au repos, mais rien que sa présence m’excitait et je sentais quelques picotements dans mon bas-ventre.
Je m’exécutais, et à peine eus-je le temps de laver mes jambes à grande eau que tantine était là avec un seau et une serpillière.
Je pris mon mal en patience, et une fois qu’elle eut tout nettoyé, elle me dit :
J’ouvris le battant de la douche, et nu comme un ver je sortis Ma tante me tendit une serviette, et la posant sur mes épaules, elle me frictionna le dos. Même au travers du tissu, la sensation donnée par ses mains sur mon corps m’excita et je me mis à bander. Je voulus essuyer mes jambes, mais l’excitation et ma nervosité firent glisser la serviette, et tantine se trouva face à mon sexe dressé.
Je devins rouge écarlate, et le fait qu’elle ait touché du bout des doigts mon sexe en érection m’excita encore plus ! Le résultat n’était pas celui auquel elle s’attendait ! Finalement je terminais un essuyage rapide, et toujours avec ma serviette autour de la taille, je regagnai ma chambre.
J’étais complètement désabusé, n’osant sortir de ma chambre pour aller à mon poste d’observation. Je tremblais même un peu je crois et mon érection était retombée aussi vite qu’elle avait débuté !
Après quelques minutes, je l’entendis fermer la porte de sa chambre. Reprenant mes esprits, j’estimais qu’il était temps d’aller rejoindre mon observatoire. Je sortais, j’ouvrais avec précaution la porte du cagibi, et comme la veille je cherchais à voir tantine. Mais elle était dans un endroit de la pièce échappant à ma vue. Puis elle apparut, toujours habillée, marchant, je me demandais ce qu’elle avait à marcher comma ça. Puis elle se dirigeât vers la porte, et l’ouvrit, comme la veille. Je me mis à suer à grosses gouttes.
Je l’entendis alors distinctement frapper à ma porte et m’appeler !
Inutile de dire dans quel état j’étais ! Je me mordais les lèvres jusqu’au sang. Si elle me cherche ? Dans quel pétrin je m’étais mis. Mais elle regagna sa chambre. Elle fit encore quelques allers-retours, puis fit glisser sa jupe, et ôta son chemisier. C’est alors que je la découvris vêtue du fameux combiné noir que j’avais vu dans son armoire.
Dieu qu’elle était désirable ainsi vêtue (ou plutôt partiellement dévêtue). Je me dis que le spectacle de la veille aller recommencer, lorsque ainsi vêtue, elle sortit à nouveau, et revînt frappe à ma porte ! Ma tante en tenue sexy, venant me chercher, et moi qui suis caché pour la mater ! Quelle guigne. Voyant une absence de réponse de ma part, elle se dirigeât alors vers les toilettes, qui par chance étaient situées à l’autre bout du couloir. Je ressortis précipitamment du débarras, mais la porte claqua tellement je tremblais !
J’entrais dans sa chambre, vêtu uniquement de mon slip, et j’attendis. La porte étant ouverte, au bruit je l’entendis uriner car elle ne devait pas voir fermé la porte des WC, ce qui contribua à augmenter mon excitation ; je savais par avance qu’elle allait entrer vêtue de ce combiné noir mettant ses seins en valeur, et des bas noirs que je lui avais vus. Au fait pourquoi s’était-elle changé depuis ce matin ? La question restait sans réponse, moi qui comptais lui donner un coup de main pour dégrafer robe et soutien-gorge, j’étais refait.
Elle entra et referma la porte derrière elle. Alors là, je restais pantois ! La dernière vision que j’en avais, elle avait son fameux combiné noir, et là elle entrait toujours avec ce même combiné, mais comme elle avait du dégrafer l’entrejambes pour pisser, elle n’avait pas jugé bon de les remettre. Mes yeux ne pouvaient se décoller de cette bande de tissu qui flottait entre ses jambes.
Je m’installais, et elle se planta face à moi, mes bras posés sur les accoudoirs.
Peut être as-tu fait exprès pour que je vienne dans la salle de bains ? Oh tu sais je connais les hommes !
Elle dégrafa elle-même les quatre jarretelles retenant ses bas, et fit glisser ceux-ci jusqu’au genou, puis elle posa d’abord son pied droit sur l’accoudoir, tout près de ma main, et fini de l’enlever. À l’instant où elle terminait, son sexe était exactement à hauteur de mon visage, je distinguais même les quelques gouttes d’urine qui y étaient restés entre ses cuisses.
Je ne savais plus quoi faire, et mon slip qui commençait à gonfler. Puis ce fut le bas gauche, avec toujours la même vision excitante. Alors pour terminer, elle se recula légèrement, et souleva la bande de tissu, offrant à ma vue son entrejambes garni des mêmes poils que ceux déjà vus la veille.
Relâchant alors la bande de tissu située en bas, elle prit la fermeture située entre ses seins, puis se ravisant :
Je me levais, et tout émotionné, tremblant, je tentais de faire glisser cette fermeture, mais je compris vite qu’avec ses rondeurs, il fallait que j’appuie de chaque côté pour me faciliter la tâche. Je posais ma main gauche sur son sein, tandis que la droite faisait glisser la fermeture, puis ma main gauche descendit à son tour, le tout lentement. Sa peau blanche, tranchant avec la couleur du combiné gaine m’apparaissait au fur et à mesure de la descente de fermeture éclair. Mais celle-ci s’arrêtait à hauteur du nombril. Elle tira alors sur les bonnets, en extrayant ses deux globes qui me sautèrent au visage, et je pus me retenir et je les saisis à pleines mains !
Disant cela elle repoussa fermement mes mains.
J’attrapais alors le combiné à hauteur des bonnets et tirait doucement vers le bas. Ma tête se trouva à hauteur de son sexe, à quelques centimètres, je sentais nettement l’odeur de l’urine qui était entre les poils, et cela m’excitait terriblement. Pour terminer elle leva les jambes l’une après l’autre, en s’appuyant sur mon épaule, et à chaque fois je vis, oh un très court instant, quelque chose de rose au milieu de la toison.
Je lui tendis la gaine.
J’obéissais. Elle était la maîtresse, j’étais l’élève.
Une fois revenu dans le fauteuil elle sa campa face à moi, entièrement nue.
Elle s’approcha doucement, se pencha vers moi et m’embrassa sur le front, puis sur les joues. Ses seins pendaient, là face à moi, et je savais que je n’avais pas le droit de toucher, tandis que ma queue elle se dressait comme un obélisque vers son ventre distant de quelques centimètres seulement.
Ah quelle soirée ! Elle passa sa main autour de mon cou, et me caressa les épaules, ce qui continuait à m’exciter encore plus. Mes mains, griffaient les accoudoirs, mais j’étais décidé à être un élève obéissant ! Puis, d’un mouvement du genou, elle me fit comprendre de serrer mes jambes, et elle s’assit sur mes genoux, ses mains derrière ma tête.
Je regardais son ventre rond, mais celui-ci étant assez imposant, je ne pouvais ainsi voir que le début de sa pilosité. Je n’avais d’yeux que pour ces seins, là à portée de mes mains, n’attendant qu’une autorisation.
Dans ma vie j’en ai entendu, mais à cet âge, j’étais, je dois bien le confesser, encore un peu naïf. Ainsi tante Madeleine me confia, (ce que savait en partie ma mère, mais savait-elle tout?), qu’elle avait servi dans une famille d’anciens nobles lorsqu’elle avait seize ans, en pleine guerre. Elle y est restée jusqu’à la libération. Et bien dans cette famille qui comptait sept enfants, dont quatre garçons, c’est la vieille gouvernante qui était chargée de leur « éducation » lorsqu’ils atteignaient l’âge de dix-sept ans ou dix-huit ans.
Un rapide calcul m’indiqua que cette femme, qui vers la fin de la guerre avait donc cinquante deux ou trois ans était chargée de dépuceler les enfants de ses patrons ! Moi ce n’était guère mieux, ma tante allait sur ces quarante-neuf ans, et elle était là, les cuisses ouvertes devant moi. Il est vrai que nous n’étions pas passés à la phase pénétration, mais j’en avais envie !
Et elle posa sa main sur mon sexe en érection lequel sentant cette main douce repris encore de la vigueur. Estimant que je pouvais en faire autant je décollais ma main de l’accoudoir, mais elle veillait !
Et elle se mit à me branler doucement. Oh la la ! Encore deux ou trois caresses et j’explose ! Je ne pus que lui prendre les bras, ce en quoi elle ne me repoussa pas, puis je remontais mes mains en direction de ses épaules, et l’essayais de l’attirer vers moi pour lui rouler un patin.
Ca alors : Pas de bêtises ! Elle en a de bonnes, et elle c’est quoi qu’elle fait ?
Ainsi c’était ça elle voulait me faire jouir. Je pétrissais ses épaules, puisque c’était la seule partie de son corps qui m’était autorisée, et sentant les soubresauts de mon ventre indiquant que j’allais exploser, elle se leva, puis se penchant au-dessus de mon ventre, elle prit ma verge dans sa bouche juste au moment où ma semence giclait en longs jets entre ses lèvres.
Près de trente ans après ce bruit de succion qu’elle fit à ce moment, résonne encore dans mes oreilles.
Mais là la tentation était trop forte, ses gros seins pendaient devant moi. Je ne privais pas de les peloter, ce qu’elle accepta car elle ne dit plus rien. Les « Hummpff » se succédaient, ses lèvres collées à mon gland finissant de vider mes couilles.
Un rêve, je vivais un rêve. Moi qui n’avais qu’une envie celui de voir le sexe de ma tante au travers de cette bouche d’aération la voilà qui me suce la verge, et aspire toute ma purée ! Mais le plaisir n’a qu’un temps, elle se recula, repoussant doucement cette fois ma main de son sein, et par geste m’indiqua qu’elle allait dans la salle de bains. Je l’entendis se rincer la bouche, puis elle m’appela :
Mes jambes tremblaient, ma verge pendait lamentablement, mais contrairement à l’état où je la laissais après mes branlettes, elle était aussi propre qu’au sortir de la douche. J’eus, je dois l’avouer, un peu de mal à me lever, mais finalement je la rejoignis dans la salle de bains.
Elle était déjà sous la douche, et elle m’invita à l’y rejoindre. La cabine était assez pratique car de forme rectangulaire, et il y avait même un rebord pour poser le pied.
Je la savonnais dans le dos, puis c’est elle-même qui se tourna offrant ses seins à mes soins, dont le téton était dressé. Je notais bien qu’à chaque fois que je m’attardais sur ceux-ci, elle avait comme des convulsions, tandis qu’elle se tenait à mes épaules.
Je n’en demandais pas tant, et je posais une bouche maladroite et inexpérimentée sur ces seins, c’est elle qui m’a appris comment exciter une femme par ces caresses buccales. Mais moi, ce qui m’intéressait c’était on sexe, car si elle m’avait vidé les couilles avec sa bouche, je n’avais pas encore eu ma leçon d’anatomie. Aussi j’anticipais et je descendais petit à petit vers son ventre, puis vers son entre cuisses, mais là, elle les resserra, et pris ma main.
Maîtrisé ! Tu parles, j’aurais aimé à l’époque, et encore aujourd’hui, être maîtrisé de cette façon !
Elle me demanda de sortir de la douche, ce que je fis, toujours en bon élève obéissant. Je rentrais dans ma chambre, et je n’avais plus envie d’aller mater ma tante depuis le débarras, car j’en avais vu assez, et j’espérais secrètement qu’au sortir de la douche elle vienne me rejoindre.
Je me glissais donc entièrement nu dans mes draps et j’attendis, sans éteindre la lumière. Ce ne fut pas long.
Elle frappa deux ou trois petits coups à ma porte, et la poussa. Elle s’avança et s’assit sur le bord de mon lit. Elle avait passé une chemise de nuit en coton, pas sexy du tout, et elle me regardait en souriant, sans dire un mot.
Je posais ma main sur la sienne, elle voulu la retirer, mais j’insistai ; elle la laissa un instant. Je tentais bien de poser mon autre main sur sa poitrine, mais là elle se rebiffa :
Puis elle posa un baiser sur ma joue, et je tentais bien de tourner la tête pour qu’il arrive sur mes lèvres, mais elle avait du savoir faire ; c’est bien ma joue qui hérita du baiser.
Puis elle retira sa main, assez énergiquement, se leva et referma la porte. Je tendais l’oreille, et comme la veille, j’étais quasiment sûr qu’elle n’avait pas verrouillé sa porte.
Seul. J’étais seul au fond de mon grand lit, elle aussi à quelques mètres, je l’imaginais seule, elle devait se toucher, car l’étais sûr que mes baisers sur ses seins l’avaient excitée. C’est en y pensant que je me remis à bander, et surtout à ce contact de ses lèvres qui avaient aspiré mon sperme. J’avais eu ma première pipe !
A dix huit ans, et c’est la sœur de ma mère qui me l’avait prodiguée ! A bien réfléchir j’en étais un peu fier, mais je n’avais personne à qui le raconter. Ce texte est ma première confession !
Je me masturbais un peu, puis j’arrêtais. Je ne pouvais pas m’imaginer rester seul cette nuit. Tant pis, nous n’étions que tous les deux, qu’est-ce que je risquais ? Au pire une paire de gifles ! Après tout c’est elle qui m’avait excité !
J’attendis plus d’une demi heure, et à pas de loup, je me dirigeais vers ma porte. Il fallait redoubler de prudence car le parquet craquait un peu, mais une fois dans le couloir c’était du carrelage, et là je me déplaçais en silence. La lumière était éteinte dans sa chambre, et tendant l’oreille, je l’entais très distinctement respirer, et même émettre un léger ronflement.
Avec des précautions dignes d’Arsène Lupin, j’ouvris sa porte (l’ayant manœuvrée à plusieurs reprises la journée, je savais comment en éviter les grincements), et sur la pointe des pieds, je m’approchais du lit.
La faible lumière diffusée au travers des volets me permettait de la voir, mes yeux s’étant parfaitement habitués à l’obscurité. Elle avait conservé sa chemise de nuit, et dormait sur le dos, les jambes écartées à voir la position des bosses de ses cuisses au travers de la couverture.
Je pris mon courage à deux mains, et avec encore plus de précautions, je me glissais à ses côtés. Tante Madeleine étant assez rondelette, je dus me faire tout petit, mais après quelques minutes, j’étais allongé à ses côtés, sans la toucher. Je ne pouvais pas dormir, et j’avais une des plus fortes érections de ma vie !
Je restais ainsi éveillé de longues minutes, combien ? Je ne sais pas, peut être une demie heure, une heure, plus ? Il n’y avait pas de radio réveil à cette époque, et le réveil, bien que lumineux m’était caché par les rondeurs de tante Madeleine.
Ce qui m’intriguait, je l’ai déjà dit c’est son sexe. Me déplaçant centimètre après centimètre, je descendis un peu dans le lit, et avec d’infini précautions, je soulevais sa chemise de nuit entre ses jambes, et en remontant, mes doigts effleurèrent sa toison : elle n’avait donc pas de slip !
Mon érection n’en fut que renforcée. À ce moment elle se tourna un peu et sa main heurta mon bras. J’eus une belle frayeur, mais je réussis prestement à sortir ma main, et à me remettre allongé à ses côtés.
Je devais dormir depuis combien de temps, je l’ignore, lorsque je sentis une jambe de femme sur mes cuisses, puis sa tête posée au creux de mon épaule. Elle commença à m’embrasser dans le cou, puis sa main descendit et s’empara de ma verge qui avait déjà commencé à grossir. Elle posa alors son autre bras sur mon épaule, et m’attira sur elle, tout cela alors qu’elle semblait endormie, ou qu’elle faisait semblant.
Ses jambes remontèrent, sa main guida ma verge tendue dans son sexe. Que ce fut bon ! Mais c’était la première fois, je n’eus même pas le temps de la pénétrer entièrement, j’éjaculais à l’entrée du vagin et c’est là qu’elle se réveilla !
Elle m’avait attiré sur elle sans savoir qui j’étais, me prenant certainement pour son mari, mais le mal était fait ! Elle se cachait le visage avec ses mains, sans d’ailleurs chercher à me repousser, ma verge, légèrement ramollie était toujours à l’entrée, et malgré quelques ondulations de mes reins mais ça ne voulait pas rentrer !
Pour la première fois depuis nos petits jeux, elle faisait référence à mon oncle, je me demandais ce qu’il lui prodiguait comme caresses, en tout cas à ses dires, il ne devait plus avoir grand chose à lui donner. Et puis c’est vrai qu’ils n’avaient pas eu d’enfants !
Elle me repoussa sur le côté, alluma la lumière et repoussa le drap ; c’est ainsi que pour la première fois de ma vie une femme m’offrait le spectacle de son sexe en premier plan! La fente rose que j’avais entr’aperçu la veille était bien là, béante, surmontée, mais je l’ignorais à cet instant d’un petit clitoris tout dressé, le tout baignant dans le liquide que ma verge avait déversé.
Elle ôta sa chemise de nuit, et la maintenait entre ses jambes pour éviter de laisser couler ma liqueur, puis se rendit dans la salle de bains
Je la rejoignis, tandis qu’elle se tamponnait l’entrejambes avec une serviette, et me dit:
Elle entra dans la douche, posa un pied sur le tabouret qui était là, et elle me tendit la pomme de douche. Je réglais la température et le débit, et je commençais ma première toilette de sexe féminin.
Cette phase fut pour moi extrêmement excitante et instructive ; c’est à cette occasion que j’appris la signification des mots clitoris, nymphes, grandes et petites lèvres, méat urinaire ! Bref un vrai cours d’anatomie !
A la fin de la toilette, je ne manquais pas lui introduire mon index dans le vagin, tandis qu’elle tirait sur ses petites lèvres pour m’en offrir le spectacle de ce sexe ouvert au-delà du raisonnable.
Suivant ses conseils, je posais mes lèvres sur les siennes, et sur ses conseils je sortais ma langue. Sans le savoir, j’ai du effleure son clitoris, car elle laissa échapper un petit cri, et un violent mouvement du bas-ventre qui me repoussa.
Elle me conduisit dans ma chambre, ouvrit le lit en grand, s’installa en travers de ce dernier, les jambes relevées autant que ses rondeurs le lui permettaient et me demanda à nouveau d’embrasser son intimité. Ce fut là aussi une leçon de la pratique de cunnilingus qui me fut donnée. J’appris à cette occasion comment trouver un clitoris et le titiller avec les lèvres et la langue. Comme c’était le premier que je voyais, j’imaginais que toutes les femmes avaient une « petite bite » comme la sienne, mais mes expériences ultérieures m’ont démontré le contraire, et tante Madeleine compte parmi les femmes munies d’un organe de belle taille.
L’ayant bien excitée, elle me fit relever, et voyant que ma queue était encore prête à faire feu, elle s’assit sur le lit, me demanda d’approcher, et là elle se mit à me sucer, mais contrairement à ce qu’elle avait fait un peu plus tôt, elle prit ma queue en entier dans sa bouche, et la fit naviguer, tandis qu’une de ses mains caressaient délicatement mes testicules. Elle s’arrêta car elle devait penser qu’à la vitesse où j’avais éjaculé tout à l’heure, elle n’allait pas tarder à en recevoir encore une giclée. Elle se laissa aller sur le lit, ouvrant et relevant ses jambes qu’elle tenait avec ses mains, tandis qu’avec ses doigts elle tirait sur ses lèvres, ouvrant par cela même l’entrée de son vagin
Je m’approchais, et je ne pus me retenir d’écarter davantage cette partie de son corps. Je guidais ma queue vers l’entrée de son sexe, et je poussais doucement.
Que c’était bon !
Une douce chaleur entoura immédiatement mon gland, puis au fur et à mesure de l’intromission, toute ma queue sentait sa chaleur. J’appuyais, de plus en plus, tandis qu’elle me prodiguait ses conseils, et soudain je la vis faire une petite grimace et pousser un gémissement : j’avais atteint le fond de ses organes. Je commençais alors un mouvement de va-et-vient, naturellement.
Elle gémissait doucement, et ses mains quittèrent ses cuisses pour m’attraper aux épaules, puis elle se mit à prendre mon dos et je sentais se ongles entrer dans ma chair, mais à cet instant je ne pensais qu’à mon plaisir. Je sentais que j’allais exploser, aussi je ressortais ma queue quelques secondes, et m’échappant à son étreinte, je me retirais, et j’admirais ce que l’on voit peu chez les femmes, un vagin béant, se refermant doucement.
Je la prenais alors par petites introductions, assez courtes pour que je n’éjacule pas trop tôt, assez profond pour lui arracher des gémissements de plaisir, dont je remarquais que l’amplitude augmentait. Heureusement que les voisins les plus proches étaient à plusieurs dizaines de mètres !
Puis, elle changea de méthode, et c’est elle qui m’imposa le rythme, plus question de sortir, et son souffle était de plus en plus court.
Je n’avais pas de chronomètre, mais je n’ai pas résisté longtemps à ce régime. Je lâchais ma purée au fond de son sexe, en la pistonnant à grands coups de reins.
Le plaisir que j’eus à cet instant dépassait en intensité tout ce que j’avais connu jusqu’à présent. Elle était comme une folle, elle m’attira sur elle et, pour la première fois m’embrassa sur la bouche, sa langue fouillant ma bouche, ses dents mordillant mes lèvres.
Elle n’arrêtait pas de me dire des choses sur le plaisir qu’elle avait ressenti ! Je restais un long moment allongé sur son corps, assez confortable je dois dire, sentant sa transpiration, de grosses gouttes de sueur coulant entre ses seins, et son sexe laissant échapper le mélange de nos sécrétions.
Je me rappelle encore la vision que j’ai eue lorsque, m’étant retiré de son corps, je regardais longuement ce sexe de femme, ouvert, repus, laissant s’écouler le liquide blanchâtre qui souillait le drap. Mais elle n’avait pas l’air de s’en faire, elle se caressait les seins, dont je notais que les tétons avaient disparus, je ne savais pas encore que les femmes bandaient à ce niveau !
Elle alla alors se laver, et je la rejoignis dans la salle de bains. C’est elle qui me lava la verge, et la suça à nouveau, mais là je dois dire que j’étais complètement vidé. Nous avons alors rejoins ma chambre ; il était trois heures du matin.
Lorsque je me réveillai, encore tout étourdi de cette nuit initiatrice, j’étais seul dans mon lit ; il était près de neuf heures du matin. Quelques minutes après je descendis, tante Madeleine était déjà au téléphone avec un client. Je me rendis dans la cuisine et pris mon petit déjeuner.
Tante Madeleine m’ayant entendu, vint me dire bonjour après en avoir terminé avec son interlocuteur, mais elle ne fit aucune allusion à notre nuit. Moi non plus. Le seul geste qu’elle eut fut de me passer la main dans les cheveux.
La journée se passa sans qu’aucun de nous ne fit une quelconque allusion à notre folle nuit, mais autant dire que j’attendais le soir avec impatience, mon oncle ne rentrant que le lendemain.
C’est après le dîner, alors qu’elle terminait de ranger la vaisselle, que je m’approchais d’elle, et lui posais une main sur l’épaule. Elle la retira doucement, se retourna, et me dit :
Et elle me fit une bise sur les deux joues.
Et elle repartit au bureau prétextant des dossiers à terminer. Je montais me coucher, et en prévision de je ne sais quoi, je déverrouillais ma porte du débarras, au moins je pourrais continuer à la mater !
J’étais couché depuis un bon moment lorsque je l’entendis monter l’escalier, et entrer dans sa chambre. Je décidai de rejoindre mon poste d’observation du débarras. Je me levai, dans le noir, et voilà que ma porte s’ouvre, ma tante uniquement vêtue d’un soutien-gorge et d’un slip, assez sexy par rapport aux culottes que je lui connaissais, qui alluma la lumière !
Je me dirigeais vers les toilettes, et je dus faire un gros effort pour faire sortir quelques gouttes d’urine ! Je revins à ma chambre, elle était assise sur mon lit, dans la tenue où je l’avais vue, quelques secondes plus tôt. Je m’approchais d’elle, posais mes mains sur ses épaules et nous avons échangé un long baiser, goulu, excitant.
La nuit que nous avons passé fut aussi torride que la précédente, c’est au cours de celle-ci que j’ai découvert la fellation, car elle m’a sucé jusqu’à ce que toute ma semence se soit vidé dans sa bouche, avant qu’elle parte précipitamment se la rincer car elle n’avalait pas le sperme.
A la différence de la nuit précédente, le matin j’étais réveillé avant elle. Avec beaucoup de précautions, je repoussais le drap, et j’admirais un long moment ce corps de femme mûre. Elle avait alors quarante huit ans. Elle me faisait terriblement bander, je n’osais la toucher. Ses cuisses jointes ne me laissaient pas le loisir d’observer son sexe, seule la touffe de poils à la base de son ventre laissait deviner le haut de la fente vaginale.
Je posais alors au bout de quelques minutes une main sur sa cuisse, puis tentais de trouver un passage, mais elle était assez forte, et cela ne fut pas aisé, cependant, j’arrivais à glisser mon index dans cette fente, et dans la faible lumière de l’aube naissante qui filtrait au travers de ma fenêtre, je vis assez nettement de dresser ses tétons, tandis que de faibles mouvements de son corps indiquaient qu’elle aller se réveiller.
Je profitais du relâchement de la pression de ses cuisses pour continuer mon avancée, lorsqu’elle sursauta, prit ma main, et ouvrant les yeux parut surprise de me voir.
Je n’eus d’autre ressource que de m’allonger sur elle, et l’embrasser à pleine bouche qu’elle m’offrit après un court instant d’hésitation.
J’avais trop envie. Je m’arrangeais alors pour lui mettre un, puis deux doigts dans son large vagin, et lui coller ma queue tendue sur son bras, en la faisant glisser vers sa main. Lorsque je sentis sa main se resserrer autour de mon gland, je sus que c’était gagné ! Ses cuisses s’ouvrirent, elle se laissa masturber, et c’est plus tard, me rappelant cet instant, que je compris qu’elle avait eut un orgasme. Comme beaucoup de femmes, cet instant fut suivit d’une période de répit, je ne compris pas sur l’instant pourquoi mes caresses ne la faisaient plus réagir. Elle m’entoura alors dans ses bras, et se tourna sur le côté, face à moi.
Elle bascula alors sur moi, m’étouffant presque de son corps flasque, m’embrassant à en perdre haleine. Ses cuisses s’ouvrirent, et sans aide de ses mains ni des miennes, je me sentis soudain englouti dans un milieu chaude, humide pour ne pas dire trempé, et tellement agréable. Elle ondulait du bassin, tandis que moi calé sous ses soixante-dix kilos (au moins), j’avais de la peine à me remuer, mais je sentais monter le plaisir en moi.
Soudain elle se dégagea, et se mettant à genoux en travers du lit, elle suça ma queue trempée par sa liqueur, j’en profitais pour reprendre ma séance de masturbation, et elle eut à nouveau un orgasme. Je ne savais pas encore où elle voulait en venir, mais si elle suçait avec avidité, elle s’arrêtait souvent, ne voulant pas que j’éjacule dans sa bouche. Cela contribuait à maintenir mon excitation à son maximum, sans aller au-delà d’une certaine limite.
Elle se tourna alors, et me demanda de passer derrière elle, pour le prendre par derrière. J’avais déjà entendu parler de sodomie, même si le mot n’avait pas explicitement été prononcé, et cela ne me tentait point, mais il ne s’agissait pas de cela : elle voulait une introduction vaginale en levrette.
J’allumai alors ma lampe de chevet, car il ne faisait pas encore jour, il était six heures du matin. Et là debout derrière elle, m’apparut ce que je voulais voir depuis des mois : son sexe ouvert. Il était béant, humide de l’excitation que je lui avais prodiguée, les lèvres brunes fripées, laissant entrevoir l’entrée du vagin tout aussi humide. Je ne pus résister au plaisir d’y enfoncer un puis deux doigts, puis mes deux index et de l’écarter, tandis que, sur ses conseils de la veille, mon pouce caressait son clitoris, qui, je l’ai déjà dit, était de taille respectable. Elle ondulait du bassin, et s’était reposée sur ses avants bras, dont je vis qu’elle mordait la chair pour retenir des gémissements.
Je pris ma queue tendue, et la dirigeais vers cet orifice accueillant, et la fit pénétrer lentement, j’avais bien appris la leçon. Je constatais alors, je l’ai souvent vérifié par la suite, que cette position est plus naturelle pour la copulation, car si elle ne permet aux amants de s’embrasser que moyennant quelques contorsions, elle permet une pénétration profonde, très favorable chez les femmes dites « vaginales ». Je ne savais évidemment pas encore ce qu’était la différence entre une vaginale et une clitoridienne, mais avec le recul (si je puis dire) ma tante Madeleine était une pure vaginale.
A peine eus-je positionné ma queue complètement en elle, je sentais parfaitement le fond de son vagin contre mon gland, qu’elle donna quelques coups de son cul en arrière pour en absorber encore davantage, puis elle se raidit, tandis que son vagin se contractait ! Elle eut de la chance, je n’éjaculais pas lors de cette première tentative, mais à le seconde, quelques minutes (secondes ?) plus tard, je ne pus me retenir, abandonnant en elle toute ma production de la nuit
Elle s’effondra alors sur le lit, moi sur elle ; vidé !
Nous sommes restés un long moment ainsi, jusqu’à ce que je sente ma queue glisser en dehors de son puits d’amour. Elle me fit glisser sur le côté, et se leva.
Un passage dans la salle de bains, où j’eus encore droit à un début de fellation, mais décidément j’étais trop vidé pour réagir aux sollicitations de sa bouche Puis retour à la chambre pour s’habiller. Pour une dernière fois, j’eus le droit de l’aider à passer son soutien-gorge, et juste avant qu’elle n’enfile sa culotte, je lui demandais la permission de voir son sexe une dernière fois.
Et là, à ma grande surprise, elle accéda à ma demande. Elle se tourna, se pencha en avant, les mains sur les genoux, les jambes légèrement ouvertes, me laissant admirer son intimité toute propre. J’étais en admiration devant la vue de ses fesses serrées par la gaine, les deux globes de ses fesses entourant la partie poilue de son sexe à peine entrouvert. Je passais un doigt le long de sa fente, et sans effort, mon index la pénétra encore une fois.
Comme j’étais encore en slip, ma queue avait déjà recommencé à durcir, et là pour la première fois je la pris un peu contre son gré. Jusqu’à présent nous n’avions eu de relation que nus tous les deux, mais là, avec cette gaine couleur chair, retenant des bas beiges, et son soutien-gorge noir, je ne pus résister à l’appel du plaisir. Je la pris debout, elle ne put trouver que rapidement un appui sur le rebord du lit, tandis que je la pistonnait à nouveau.
Je continuais à la défoncer, mon gland écrasant son utérus à chacune de mes pénétrations, mes mains agrippées à sa gaine, puis à ses jarretelles de devant, dont une avait sauté, puis sentant que j’allais exploser, je dégrafais (j’avais bien compris comme cela marchait) son soutien-gorge, et je pris ses mamelles à pleines mains au moment où je la remplissais à nouveau, alors qu’elle poussait des cris comme je ne l’avait jamais entendue :
C’est là aussi plus tard, avec une autre femme, que je compris le pourquoi du comment, la raison en est que le corps enserré par la gaine lui générait encore plus de sensations, sans parler des miennes !
A sept heures et demie passées, nous prenions notre petit-déjeuner en tête à tête, comme si rien ne s’était passé !
La suite ? Et bien évidemment ce ne furent pas les seules relations que j’eus avec elle, mais les suivantes furent rares. Puis je me suis marié, et nous sommes toujours restés très liés, mais sans débordement. La dernière fois, car il y eut une dernière fois, c’était il y a un peu plus de dix ans. Comment cela nous est-il venu, simplement, au cours d’une promenade, nous avons eu envie l’un de l’autre par un bel après midi d’automne. Je l’ai prise alors qu’elle portait une gaine pour contenir ses… quatre-vingt dix kilos.