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n° 07717Fiche technique9904 caractères9904
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Temps de lecture estimé : 7 mn
20/09/04
Résumé:  Enceinte de quatre mois et quittée par son copain, elle retrouve goût à la vie au sixième mois de la grossesse avec un homme plus âgé qu'elle
Critères:  fh hplusag hagé enceinte fellation pénétratio fsodo
Auteur : Fred hihic  (Homme separé 37 ans en region Parisienne)      
Hélène et le vieil homme

Hélène rentrait chez elle plus tôt qu’à l’accoutumée. Enceinte de quatre mois, elle avait eu un petit malaise, sa chef de service lui avait permis de quitter avant l’heure.


Elle poussa la porte d’entrée de son appartement. Une fois à l’intérieur, elle se dirigea vers sa chambre pour aller s’allonger un peu ; elle poussa la porte de celle-ci, et là, le choc !

Son compagnon qui aurait dû, vue l’heure, se trouver au travail, était en pleins ébats amoureux, à quatre pattes sur le lit, en compagnie d’une femme.

Hélène ne put étouffer un petit cri, ce qui attira l’attention du couple alité.

Elle s’enfuit tout de suite de l’appartement.


Arrivée dehors, elle prit la direction du domicile de ses parents, qui habitaient non loin de là, et y passa la nuit.

Au matin, lorsqu’elle retourna chez elle, elle ne trouva qu’une misérable petite lettre, au ton lâche, de son copain.


« Je pars avec elle, excuse-moi, j’ai honte, puisses-tu me pardonner, je ne suis pas digne de toi. »


Elle en fut abasourdie, mais le choc était tellement démesuré qu’elle préféra ne pas y penser dans toute sa dimension. Elle reprit sa vie comme si de rien n’était et se hâta pour regagner son travail.


Au sixième mois de grossesse, elle se fit arrêter pour grossesse pathologique, vue sa surcharge pondérale, elle attendait des jumelles. À six mois, son ventre ressemblait à celui d’une femme qui aurait presque dépassée le terme.

Elle s’ennuyait plus que ferme, alternant les moments de tristesse, à ressasser cet instant de stupeur où elle avait découvert l’infidélité de son copain.


Il faisait beau, elle sortit au parc, à deux pas de chez elle, afin de profiter un peu du soleil.

Assise seule sur un banc, avec un livre qu’elle ne lisait pas, elle regardait autour d’elle, et ce ne fut qu’au bout d’un long instant, qu’elle vit cet homme, la soixantaine, cheveux gris mais pas de calvitie, un visage doux et agréable, malgré les années.

L’homme la regardait de façon légèrement appuyée, mais rien de déplacé dans son attitude.

Les minutes s’égrainèrent, elle se leva et rentra chez elle.


Dans la soirée, en regardant la télévision seule, elle se remémora étrangement cet homme, puis elle se coucha en pensant avec grande tristesse à ses jumelles qui n’auraient pas de père. Elle s’endormit pleine de mélancolie et de tristesse. La dépression la guettait elle ?


Le lendemain, dans l’après-midi elle retourna au parc, sur le même banc. L’homme était déjà là.

Elle essaya de lire un peu, mais des pensées noires la submergeaient. Elle posa finalement son livre sur les genoux puis se mit à sangloter dans ses mains avec le plus de discrétion possible.

Mais l’homme s’approcha et s’assit doucement à ses côtés.



Et le temps faisant, après quelques paroles confuses, elle se mit à confier ses soucis, à cet homme qu’elle ne connaissait pas. Lui essaya de l’aider en lui donnant un cours de philosophie pratique et appliquée. Il lui parla également de son veuvage et de la ressemblance d’Hélène avec feu son épouse.


Le temps passa. Hélène ne vit même pas les heures s’écouler.



Sans crainte, elle accepta.



Assise à côté de Jean, dans son salon, sur le canapé, une tasse de café à la main, elle ne put réprimer encore un sanglot, Jean lui posa sa main sur la sienne. Un silence s’installa. Ils se regardèrent dans les yeux, eux qui étaient si seuls dans la vie.

Inconsciemment, Hélène s’offrait à cet homme. Ils se rapprochèrent l’un de l’autre. Ils s’embrassèrent.

Jean, un peu fougueux, saisit la poitrine d’Hélène, en la pressant vigoureusement. Cet afflux si subit et si imprévisible la rendit folle de désir.


Elle releva son sweat-shirt pour permettre à Jean d’accéder à elle plus facilement, Jean posa une main son sur ventre rond.

Ils continuèrent leurs effeuillages mutuels, le soutien-gorge d’Hélène restait autour de son buste mais les bonnets avaient libéré ses seins fermes, vergeturés, aux larges aréoles brunes.

Jean, lui, avait retiré lui-même son pantalon et son slip, démasquant ainsi son membre de vieux, mais encore si raide.

Hélène se saisit délicatement de ce sexe, elle le caressa tendrement, comme pour modérer les ardeurs de Jean, comme pour lui dire « Je veux bien mais soit plus tendre et moins pressé ».

Elle enleva elle-même sa culotte de grossesse.


Jean invita Hélène à se relever, ils s’enlacèrent nus, l’un contre l’autre, tout en se câlinant mutuellement. Hélène éprouvait une sensation de bien-être qu’elle n’avait pas connue depuis bien longtemps.

Jean appuya gentiment sur le dessus de la tête d’Hélène.

Elle se retrouva ainsi à genoux, juste à la hauteur du sexe de Jean, elle comprit qu’il fallait le sucer.

Ce type de sexualité un peu dirigée, avec une pointe de soumission, Hélène ne l’avait jamais connu.

Mais elle se mit à sucer Jean, en se disant : « Dire qu’il pourrait être mon père, mais ça m’excite ! »


Le gros ventre d’Hélène frottait un peu contre les jambes de Jean.



Nue devant cet homme, la croupe offerte, son gros ventre, ses seins de femme enceinte, la vulve accueillante, elle prenait maintenant un plaisir indicible, à se venger de son ex, en se vautrant dans les tourbillons du plaisir.

Se donner ainsi, enceinte de six mois, alors que la plupart des femmes dans son état n’auraient jamais oser se donner à un autre homme que le géniteur de leurs enfants, la grisait.


En position, elle attendait qu’il glisse son pénis en elle. Jean la pénétra d’un coup, puis se mit à limer doucement la chatte baveuse d’Hélène, en s’agrippant à la naissance de la courbure du ventre de sa jolie partenaire.

Les seins douloureux, ballottant dans la vide, son gros ventre qui supportait un peu la pression du poids de Jean, tout ceci lui déclencha des râles de plaisir, un plaisir qu’elle n’avait jamais connu avec son ex. supportant son propre poids sur un seul bras, de son autre main elle palpait ses seins er se caressait la raie des fesses.


Jean, un peu fatigué, mais n’ayant toujours pas fléchi ni émis sa semence, demanda à Hélène de s’asseoir, pour qu’elle le suce. Elle n’avait jamais sucé le sexe d’un homme sortant de son propre sexe.

Elle le suça, en goûtant sa propre mouille, elle salivait pour que Jean ait de douces sensations.

Elle écartait bien les jambes pour faire plus salope, elle qui avait toujours été si sage.


Jean s’assit pour faire une pause, et aussi pour prolonger son plaisir et ne pas jouir bêtement pour lui tout seul, il voulait durer pour qu’Hélène se pâme encore.

Ils étaient assis tendrement enlacés, se bécotant, elle caressant la barre dure de Jean, lui, parcourant les courbes d’Hélène, ses seins volumineux et fermes, son pubis, ses lèvres vaginales pulpeuses, l’amplitude de son ventre si tendu et vergeturé qui reposait, tellement il était imposant, sur ses cuisses.



Elle se remit à quatre pattes dans le sens de la largueur du canapé, offrant ses fesses et son petit œillet à Jean.

Celui-ci lécha sa fente pour recueillir la mouille d’Hélène, puis il se mit à lui lécher l’anus, commençant à rentrer aussi ses doigts doucement dans son rectum.

Elle sentit bientôt la rotondité du gland de Jean se poser délicatement sur son anus. Et, presque imperceptiblement, le gland entra en elle sans difficulté, alors qu’elle était encore vierge de ce côté-là. Prise par les vagues de plaisir, elle se surprit à aller à sa rencontre.

Le gland dilatait ses parties intimes. La tige de Jean commençait à s’enfoncer en elle. Jean avertit alors Hélène :



Hélène s’étonna des paroles qu’elle venait de prononcer.

Jean poussa longuement et avec vigueur, Hélène ressentait une vague douleur qui la fit se cabrer un peu, elle poussait de son côté pour accélérer la pénétration.

Jean arriva à tout rentrer, son ventre tapait contre les fesses de sa chérie, il la prit par les épaules comme pour se mettre confortablement à l’aise dans une longue étreinte.

Hélène sentait la dureté de Jean en elle ; elle suffoquait de charme et de volupté, Jean la besognait, la ramonait, la limait sans ménagement.


La rondelle d’Hélène était comme insensible; chaque coup de boutoirs de Jean envoyait Hélène dans une autre dimension.

Il la bousculait presque maintenant, le rectum d’Hélène épousait bien le cylindre de Jean, elle aurait voulu rester ainsi toute sa vie, tout son corps revivait, elle se sentait chienne; la jeune chienne d’un vieux toutou.


Un peu fatiguée par les assauts, Hélène voulut en finir, elle s’agita avec une certaine frénésie, autant que son corps de femme enceinte lui permettait. Jean était au bord de l’orgasme , puis dans d’ultimes efforts pour se retenir il donna à Hélène les coups de grâce en pointant bien son sexe à l’intérieur du cul de sa tendre chérie.

Il explosèrent ensemble dans un Hiroshima orgasmique.

Hélène ne sentait plus son cul. Cependant la charge de sperme de Jean commençait à s’échapper pour dégouliner le long de sa fente, elle se sentait délicieusement sale et fière de l’être.

Peu à peu la tige de Jean mollissait, mais Hélène s’approcha d’elle pour la sucer tendrement comme pour la remercier de l’avoir fait tant de bien. Elle sentait les parfums écœurants qui étaient restés sur le sexe de son chéri.


Ils restèrent enlacés ensemble un long moment dans le silence.