n° 07719 | Fiche technique | 16066 caractères | 16066Temps de lecture estimé : 10 mn | 20/09/04 |
Résumé: Comment tomber amoureux d'une jeune stagiaire malgré ses grands principes ! | ||||
Critères: fh hplusag collègues fsoumise anulingus | ||||
Auteur : Coquin te sort |
Je suis Marc, patron d’une toute petite PME, 34 ans à l’époque de ce récit.
Un beau jour du mois d’août d’une autre année de canicule que la dernière, je suis seul au bureau, mes deux secrétaires sont en vacances. Quand je dis que je suis au bureau c’est un bien grand mot : pas grand chose à faire alors je fais un grand nettoyage au "Karcher" devant mes bureaux, ça rafraîchit et ça fait tout beau tout propre !
Tenue de travail ? Heu ! Vieux short en jean, tee-shirt pourri et des magnifiques bottes en caoutchouc, mieux que Lambert WILSON…
Arrivent soudain deux jeunes filles que je prends pour des adolescentes. L’une d’elles demande si je sais où elle peut rencontrer Monsieur X.
" Je crois bien que c’est moi, en quoi puis-je vous être utile ? "
Elle éclate de rire et me décoche son sourire numéro un qui me fait fondre immédiatement, mais son bien trop jeune âge…
J’invite les donzelles à aller m’attendre dans mon bureau ouvert et vais me changer.
Je viens de faire la connaissance de Patricia (ce n’est pas le vrai prénom) : sublime brune aux yeux bleus d’environ 1,58 m pour 48 kg, une magnifique poitrine ronde et ferme affichant 85 C (cela je le saurai bien plus tard.).
Bien vite j’apprends son âge, en fait elle a eu 19 ans récemment, donc elle est majeure… Mais non je ne peux pas… J’ai des principes : pas les clientes, encore moins si c’est une gamine.
Notre entretien dure un peu moins d’une heure. Elle m’avouera plus tard m’avoir délibérément allumé ; ah ! Bon ? Je n’avais rien remarqué ?
Complètement sous le charme mais tellement coincé dans mes beaux principes, plus elle m’allume et plus je deviens froid et même caustique. Je la joue très "professionnel" et ne décoche aucun début de sourire. En plus sa copine nous observe et ne perd rien de mes éventuelles réactions…
Patricia et son amie finissent par repartir, me laissant sur mon trouble. Très rarement j’ai été aussi charmé par une femme.
A cette époque je sors d’une histoire d’amour (elles finissent mal en général : largué le 23 décembre par celle que je pensais être la femme de ma vie ; dur, dur… Mais de là à aller m’amouracher d’une jeunette lycéenne !
Bref : j’ai immédiatement une crois dessus et j’ai passé ma soirée à regretter ma "femme de la vie"… Belle soirée, je vous jure !
Les vacances finissent et arrive la rentrée, celles des classes aussi, notamment les BTS qui cherchent des stages. Vous sentez venir la suite ?
Gagné : peu de temps après la rentrée des classes, je vois arriver un soir la bellissime Patricia, seule cette fois. Elle vient me demander si je peux la prendre en stage dans ma petite entreprise dans le cadre de son BTS : deux fois trois semaines, en automne et après les vacances de Pâques.
Je la vois encore debout dans le bureau commun vers mes secrétaires, les mains sagement dans le dos et toute timide, faussement timide…
Comment refuser ? Je l’invite à me faire parvenir un dossier de son établissement et voilà comment une vie bascule, merci l’Education Nationale !
Dès cet instant mon attention pour le calendrier devient soutenue : combien de semaines, de jours, d’heures, avant son arrivé ? Je me promets bien de ne rien faire qui puisse paraître équivoque quand elle sera là, mais j’y pense tous les jours, toutes les heures et presque toutes les minutes à cette "sale gamine" comme je l’ai, plus tard, surnommée.
La convention de stage est vite signée, son professeur me charge de faire respecter une certaine discipline, de la même façon qu’avec mon personnel (!) car Patricia est encore un peu scolaire et quelque peu dissipée parfois, et en plus peu ponctuelle. J’ai donc pour instructions du lycée d’être sévère et intransigeant. L’avenir… Mais vous lirez plus loin.
Patricia téléphone le vendredi précédant son arrivée en mes locaux ; conformément à ce qui m’a été demandé, je lui indique qu’elle devra être présente à 9 heures précise.
Lundi suivant, 9 heures 10 et toujours pas de Patricia. J’enrage, j’ai pensé (et bandé malgré mes résolutions) à Patricia tout le week-end, lui ai indiqué ses obligations vendredi et elle commence par arriver en retard.
Mes secrétaires ne comprennent pas trop mon irritation pour une stagiaire sans importance et me le font savoir.
Quand elle arrive enfin, vers 9 heures 20, mes secrétaires comprennent tout de suite le pourquoi du comment (elles me l’ont dit depuis) : Patricia est resplendissante, encore légèrement bronzée de l’été, toute moulée par une robe chaussette en coton beige qui lui va aux chevilles, tellement ajustée qu’elle laisse deviner ce qu’elle porte dessous : slip et collant, soutien-gorge à larges bretelles, belle mais pas encore experte dans l’art de s’habiller.
Mon accueil est glacial malgré ses excuses accompagnées de son sourire pas possible.
Je passe vite sur ce premier stage durant lequel je me suis battu contre moi-même afin qu’il ne se passe rien. Il ne s’est rien passé malgré les attitudes non équivoques de Patricia à mon encontre qui faisaient parfois pouffer de rire mes secrétaires (ambiance, ambiance…
Je dois dire que lors de ces trois premières semaines j’ai été héroïque : glacial comme de l’azote (dixit plus tard Patricia), plus que sévère… Elle a même tenté de me rendre jaloux en venant se faire chercher le soir par des copains (jamais vu deux fois le même), avec qui elle se galochait un quart d’heure devant mes bureaux avant de partir.
Mais je n’ai rien cédé.
L’hiver fut long, très long, même si, surprise, elle débarque au bureau le jour de mon anniversaire avec un gâteau ; tête de mes employées… Je ne sais pas trop quelle contenance adopter, je suis sauvé par le téléphone ; j’invente un rendez-vous imaginaire et m’enfuis.
Mais comment faire pour l’évacuer de ma tête ?
Et puis arrive le stage de mai/juin. Patricia arrive le premier jour à 9 heures précise, vêtue de la même robe chaussette que lors de son arrivée au premier stage ; simplement elle est manifestement jambes nues dessous, mais porte un string et un soutien-gorge à très fines bretelles…
Combien de temps vais-je tenir ? Si je tiens…
J’adopte à nouveau la glaciale attitude, Patricia se fait beaucoup plus discrète mais cela ne change rien à mon comportement.
Quelle surprise lorsque le mardi soir elle reste après 18 heures et vient m’apostropher dans mon bureau (mes secrétaires sont parties) : elle m’engueule littéralement pour mon manque de considération à son égard.
Je la laisse m’engueuler, je suis sans voix.
Debout devant mon bureau, les mains appuyée dessus elle est manifestement folle de rage et demande, exige, des explications à mon indifférence.
Je n’en reviens pas : je me fais critiquer vertement par une jeune poupée Barbie car je ne veux pas lui sauter dessus !!! Je rêve ou quoi ?
J’ai alors une idée de génie (que je crois !) : je lui dis qu’elle est bien trop jeune pour moi et que, surtout, elle manque d’éducation, à commencer par sa façon de s’habiller.
Je me dis que, là, elle va me baffer, me traiter de goujat et qu’enfin je ne serai plus tenté…
Hors donc, voilà que Patricia se redresse, ses yeux brillants et mutins, et me déclare qu’elle est prête à tout accepter de moi… Et plus encore…
Moi, notable de 34 ans aguichée par cette jeunette de 20 ans dans quelques jours… Je me pince discrètement… Je ne rêve pas…
Patricia est bien là devant moi, debout et étincelante, bandante…
" Vous voulez vraiment que je fasse votre éducation ? " lui dis-je en prenant un timbre de voix le plus grave possible et en la regardant d’un air que je tente de rendre le plus dur que je puisse faire.
" Oui, faites mon éducation ! "
…
Que certains silences ou fractions de temps semblent durer une éternité ! Je ne suis pas branché SM du tout, cette connerie d’éducation va me retomber dessus vitesse grand V !
Elle est toujours là devant moi, debout les mains dans le dos.
Faut assumer mec, et tant pis s’il se met à pleuvoir un nuage de baffes. Je suis certain qu’elle va se rebeller avec les âneries que je vais lui sortir.
" Tout d’abord nous allons parler de votre tenue : à partir de ce jour vous devrez impérativement porter des bas, des vrais, avec un porte jarretelles ou des DIM’UP, même sous un pantalon. "
Nos regards se troublent mais elle ne réagit pas.
" C’est tout ? " demande-t-elle.
Comment çà "c’est tout", effrontée !!! Là je lui sors la totale :
" Le port de culotte est toléré mais déconseillé, vous devrez en outre raser votre pubis, si ce n’est déjà fait, et lundi soir à 18 heures je vérifierai moi-même tout cela. "
Que voilà un grand "maître" du SM en action !!! N’importe quoi !
" Ce sera fait dès demain." m’entends-je répondre.
Elle tourne talons et disparaît, me laissant avec une érection de jeune homme boutonneux.
J’ai passé et repassé toute la soirée ce film des évènements, ne sachant plus si j’ai rêvé ou quoi…
Que vais-je lui dire demain ?
Demain est là, Patricia arrive à l’heure, encore vêtue de sa robe chaussette (en fait, elle en possède trois identiques), et là, effet garanti : seules marques de dessous : des bas auto-fixants, rien d’autre, ni culotte ni string, ni soutien-gorge, ce qui me permet déjà d’apprécier sa poitrine car, avec ou sans soutien-gorge cela ne change pas grand chose à son maintien.
Mes secrétaires sont éberluées et je file m’enfermer dans mon bureau.
Je suis d’une humeur massacrante et gare à celle qui ose me déranger, surtout si c’est Patricia.
Patricia… Je sais qu’elle va rester après 18 heures, que lui demander qui la décourage ?
18 heures 10 minutes, la porte de mon bureau s’ouvre et Patricia avance à petits pas, ses mains dans le dos et ses yeux dans les miens.
Elle ne dit rien et se fige, là, debout, faussement sage…
Stop ! Au secours ! Que lui dire pour qu’elle comprenne que nos quinze années de différence sont… Sont quoi, au fait ?
Pas de réponse autre que de la morale dite judéo-chrétienne alors que je suis un mécréant.
Chaleur…
Rien n’a bougé chez elle, sauf ses narines qui palpitent avec son souffle que j’entends, haché et plus rapide que la normale.
Chaleur…
Elle ne va pas oser quand même ?
"Soulevez votre robe afin que je vérifie si vous vous êtes rasée"
Son souffle s’accélère encore, elle va m’envoyer balader et me traitant de vieux cochon…
Nos yeux ne se quittent pas… des yeux, ben oui !
Je ne sais si son hésitation dure une seconde ou une minute mais je vois ses mains quitter son dos et venir sur ses cuisses : toujours les yeux dans les yeux elle commence à retrousser sa longue robe en roulant et tirant le tissu fin.
Je suis éberlué et n’en crois pas mes yeux : sans quitter ceux de Patricia, je vois apparaître les bas noirs, le haut de ses cuisses ; elle tire le tissu à sa ceinture en pliant ses bras, mes yeux n’ont pas quitté les siens et je vois bien que son sexe est tout lisse.
Patricia est troublée, sa respiration forcée lui fait entrouvrir la bouche.
" Ca vous va, comme ça ? " me dit-elle.
" C’est tout pour aujourd’hui. À partir de demain je vous interdis les jupes ou robes au-dessous des genoux. Vous pouvez disposer. À demain. "
Et de me replonger dans un dossier imaginaire.
Heureusement que mes bureaux sont isolés…
Manifestement troublée et décontenancée par mon attitude, la jeune dame abaisse lentement sa robe, se rajuste et sort sans rien dire. J’ai encore une toute petite chance qu’elle me trouve "malade" et renonce à l’inévitable.
On ne renonce jamais à l’inévitable, on s’adapte.
Et Patricia s’adapte dès le lendemain : jupe noire à mi-cuisses, DIM’UP noirs également (vive les mois de mai frais !), débardeur très échancré avec un soutien-gorge à balconnets noir.
Une invitation au rut !!!
18 heures 10, Patricia ouvre la porte et entre, se fige debout devant mon bureau les mains dans le dos.
" Et maintenant ? " me dit-elle.
Bonne question… et maintenant ? Que faire ?
Il ne reste plus qu’à assumer.
Je me lève et passe derrière elle, presque à me coller, simplement histoire de la frôler… sa respiration redevient saccadée, comme hier soir…
Je m’entends lui dire : " penchez-vous en avant sur mon bureau, votre tête dans vos bras. "
Et la jeune femelle de s’exécuter sans rien dire ; je m’agenouille derrière elle, passe mes mains à l’intérieur de ses genoux. Instinctivement Patricia écarte ses jambes au maximum, formant un angle droit, et cambre son dos.
Quelle vision ! Jupe bien au-dessus du haut de ses bas (vous suivez ?), Patricia exhale déjà son odeur de femme.
Mes mains finissent de trousser la jupe et offrent à ma vue ses fesses rondes et fermes, ses lèvres fines et étroites, déjà perlée de désir ; son petit trou est à peine visible.
Je lui intime l’ordre d’écarter ses fesses avec ses mains ; elle s’exécute immédiatement.
Là je crois que j’ai touché le gros lot !!!
Son petit trou est manifestement vierge de toute intrusion (même pas un doigt avant moi m’a-t-elle avoué plus tard) ; je pose mes mains sur le côté de ses cuisses au-dessus des bas et tends une langue gourmande vers l’anus de la belle stagiaire.
A son contact elle tressaille et fléchit un peu les jambes mais mes mains la soutiennent fermement.
Je force le passage avec ma langue, elle ne résiste pas et marque néanmoins sa surprise, et bientôt ses ondulations laissent voir qu’elle y prend beaucoup de plaisir. Je salive tant et plus sur ce petit trou vierge et le limes désormais comme un fou avec la langue.
Ses râles sont de plus en plus forts.
Ma main droite quitte sa cuisse et vient jouer avec son clitoris. Ses râles deviennent des cris et après un traitement plutôt court, elle se redresse en un orgasme apparemment terrible (si je ne me flatte qui le fera ? Enfin elle m’a dit avoir joui particulièrement fort lors de ces premiers contacts…
J’appuie sur son dos afin qu’elle reprenne sa position couchée en avant sur mon bureau, ma langue n’a pas quitté son anus, mais va désormais à la rencontre de son sexe dégoulinant.
Je la lèche très longtemps et provoque plusieurs orgasmes chez elle. Patricia fait partie de ces femmes, rares, qui n’ont pas besoin de beaucoup de temps pour repartir vers le plaisir après chaque orgasme, il suffit d’éviter de caresse son clitoris une minute ou deux et on peut recommencer immédiatement…
Il est presque 20 heures quand je lui demande de se redresser et partir.
Je n’en reviens pas : mon premier contact sexuel avec Patricia fut un anulingus !!!
Et cela ne fait que commencer…