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n° 07729Fiche technique34531 caractères34531
Temps de lecture estimé : 21 mn
21/09/04
Résumé:  Stage ds 1 ferme maîtres de stage chauds
Critères:  fh hh grp fellation hsodo
Auteur : Antoine A
Vive les agriculteurs normands


C’était durant l’été 1998, alors que la France se remettait de sa victoire en coupe du monde, j’entamais ma troisième semaine de stage dans cette exploitation de Normandie. J’étais, à l’époque, en BTS agricole et mon stage de 10 semaines servait de support à mon mémoire pour l’examen. C’était entre la première et la deuxième année, j’avais 20 ans et comme beaucoup dans ma classe, j’avais une copine.


Comme dans tout lycée agricole, l’alcool était notre sujet de conversation n°1 et notre passe-temps favori. Pourtant doté d’un physique assez classique (1,80m, 75 kg, 17 cm en érection), je tenais particulièrement bien l’alcool et était capable de boire une bouteille de Whisky en une soirée sans faire appel à Raoul… Aujourd’hui, avec du recul, je me rends compte des risques d’une telle pratique pour l’organisme, mais bon, nous étions jeunes et surtout nous ne conduisions jamais avec de l’alcool dans le sang.


J’étais donc en stage et me trouvais un peu seul compte tenu de mon éloignement de mes potes du lycée et de ma copine, partie travailler chez ses cousins dans un restaurant pour la durée des vacances. J’étais logé chez mon maître de stage, dans un petit studio, à l’étage d’une ancienne étable aménagée en rendez-vous de chasse. C’était en Normandie, dans la Manche, près de Ste-Mère-L’Église.


Pierre, mon maître de stage, et sa femme Catherine, exploitaient 90 hectares, élevaient une trentaine de vaches laitières et environ 200 truies. Ils avaient un ouvrier, Marc. Pierre et Catherine avaient tous les deux 43 ans et avaient deux fils, des jumeaux de 21 ans qui étaient à l’époque en stage en Nouvelle-Zélande.


Je logeais donc dans ce petit studio et mes principales occupations du soir étaient la télé et la branlette… Autant dire que durant ces deux premières semaines de stage, si j’étais passionné par la découverte de cette exploitation, mes soirées étaient longues, isolé que j’étais de mes amis.


J’avais décidé de rester chez eux un week-end sur deux pour limiter mes coûts de transport (j’habite dans la Nièvre!).




C’était donc le vendredi soir, je venais de terminer la traite et je prenais ma douche tranquillement en attendant d’aller manger.


Le milieu agricole est un milieu assez homophobe, mais j’ai personnellement toujours eu pour fantasme de faire l’amour au moins une fois dans ma vie avec un homme, plus pour essayer, pour le délire, pour varier les plaisirs, que vraiment par attirance pour les hommes. J’étais donc en train de me doucher et je m’imaginais avec Marc l’ouvrier, je le suçais et le masturbais lentement. Je me branlais énergiquement quand soudain la voie de Pierre me fit sortir de mes rêves:



J’étais vraiment mort de honte. Mon patron venait de me prendre en flagrant délit, la bite à la main ! Il était venu sans frapper, sans prévenir, mais bon j’avais tout de même ressenti une petite excitation de me retrouver devant lui dans cet état, et surtout il avait pris cela à la rigolade. Je me dépêchais de me doucher et le rejoignais dans sa maison.




Après avoir préparé une omelette dont j’ai le secret, il me proposa l’apéro. Je pris un pommeau, puis deux, puis trois, puis quatre ! Nos discussions portaient sur les études agricoles et les cuites prises à cette occasion. Pierre était assez ouvert d’esprit et je me sentais en confiance avec lui. Puis nous mangeâmes l’omelette et il me proposa un verre de calva en guise de digestif. Après quatre ou cinq verres de ce précieux breuvage, nous nous trouvions bien ivres, surtout lui qui avait du mal à revisser le bouchon de la bouteille ! Moi ça allait, je me sentais tellement bien à délirer avec mon maître de stage ! Puis les discussions dérivèrent inévitablement sur le cul.


Je n’étais d’habitude pas très bavard sur mon intimité avec ma copine mais l’alcool aidant, la conversation devint vite très chaude. Il me demandait ce que nous pratiquions, je lui répondais que je n’avais jamais osé proposer à ma copine la sodomie.


Lui me confia qu’il était très ouvert question sexe et qu’il n’était pas rare qu’il aille avec sa femme dans une boite échangiste non loin d’ici. Il me confia qu’il lui arrivait d’avoir des relations avec des hommes dans un sauna gay.


J’étais tout de même assez surpris mais je commençais à douter de ses propos lorsqu’il me dit qu’il lui arrivait d’avoir des relations avec Marc, l’ouvrier, qui est lui-même homosexuel, et que c’est justement lui qui lui a fait découvrir les plaisirs entre hommes.


N’osant pas le contredire, je me contentais de rigoler quand il me demanda si j’avais déjà eu des relations homosexuelles. Je lui répondais que non, et il me dit en rigolant que si je voulais essayer, il était à ma disposition. J’étais maintenant gêné car s’il était vrai que j’étais tenté d’essayer, tout de même, là, avec mon maître de stage!


Je tentais de dévier la conversation en lui disant que sa femme devait avoir du succès auprès des autres hommes, tant elle était attirante. Il me répondit alors qu’elle lui avait confié que mon physique l’excitait et qu’elle comptait bien tenter quelque chose avec moi !


Je décidais de le laisser à sa bouteille de calva et partais me coucher, titubant, la tête pleine de pensées. Inutile de vous dire qu’après ce que venais de me dire mon maître de stage, je n’arrivais pas à fermer l’œil de la nuit. J’étais tombé sur des patrons de stage obsédés sexuels et cela m’excitait au plus au point. Qui a dit que les agriculteurs étaient perdus dans leurs fermes ?


Je terminais la masturbation commencée sous la douche et m’endormais épuisé.




Le lendemain matin, je me levais trop tard pour la traite, mais c’était samedi alors je me recouchais. Le midi, Catherine me dit que Pierre lui avait fait part de notre conversation de la veille. Je devint rouge quand elle me demanda si c’était vrai que j’étais attiré par elle.



Je rigolais pour cacher ma tension et me disais intérieurement que j’étais bel et bien tombé chez des obsédés.


L’après midi j’aidais Pierre à réparer des clôtures et il n’arrêtait pas de me chauffer pour que je « baise » sa femme. Je me dis qu’après tout, ma copine ne serait jamais au courant, que j’étais loin de chez moi. J’étais décidé à passer à l’acte.




Le soir, je fit la traite avec Catherine. Elle était vêtue d’un tablier et avait attaché ses cheveux d’un foulard. Elle portait un short très court et à ma grande surprise elle ne portait qu’un soutien-gorge sous son tablier. Il faut dire que le temps était très chaud en ce mois de juillet. Elle était belle, brune, la peau assez mate, des yeux noirs et un visage fin.


Elle n’était pas très grande mais avait des seins plus gros que la moyenne. Elle avait des jambes musclées et bien bronzées. Elle était tout simplement mignonne et la voir en sueur dans la fosse de la salle de traite ne faisait qu’augmenter mon excitation.


Après avoir commencé la traite, elle me demanda si j’avais réfléchi à sa proposition, tout en se caressant les seins par-dessus son soutien-gorge. Je lui répondais que je ne savais pas. À la voir me fixer comme ça du regard et se tripoter, je ne mit pas longtemps à me retrouver en érection ce qui se voit vite quand on est à poil dans une combinaison !


Elle le vit et se rapprocha de moi en souriant, en me disant que c’était une invitation. Elle commençait à ouvrir ma combinaison quand je lui dis que je ne pouvais pas à cause de ma copine. Catherine me dit qu’elle n’était pas jalouse et qu’elle ne pouvait plus attendre une minute de plus!


Elle ouvrit donc ma combinaison et je me retrouvais nu, la combinaison sur les bottes. Elle me branlait d’abord tranquillement en me fixant du regard. Puis elle me prit en bouche, me pratiquant une fellation de rêve, bien loin des piètres pipes de ma copine. J’étais aux anges. Je lui caressais les cheveux après avoir retiré son foulard et entrepris de lui défaire le tablier et le soutien-gorge. Sa poitrine était merveilleuse. Elle se balançait librement au rythme de ses succions. Je la malaxais des mains.


Elle stoppa sa fellation pour aller brancher les vaches qui attendaient et me dit de ne pas bouger. J’étais là, debout à poil, la bite à l’air dans la salle de traite, et je la voyais les seins à l’air en train de brancher ses vaches. Puis elle revenait, me reprenait en bouche quand elle avait une minute devant elle. Elle alternait ainsi entre travail et fellation.


C’est alors qu’elle entrepris de téter le pis d’une vache. Elle suçait le trayon en me regardant. Puis elle revint vers moi, la bouche remplie de lait et elle me reprit en bouche. Quelle sensation ! Le lait chaud qui vous envahit la verge, quel plaisir ! C’était vraiment une déesse du sexe, quelle technique, quelle expérience !


Elle continua à me besogner ainsi durant 10 bonnes minutes quand je lui fit signe d’arrêter. Elle me dit qu’elle voulait goûter à ma semence. Elle serra ma verge contre ses seins et entrepris une branlette espagnole des plus torrides. Lorsqu’elle ressentit mes premiers spasmes, elle me reprit en bouche et j’éjaculais dans un râle de mal en rûte.


Quelle éjaculation ! La qualité de la fellation alliée à l’excitation que me provoquait le physique et le culot de cette agricultrice ainsi que l’excitation d’être au milieu de ses vaches qui se faisaient peloter par la machine à traire, tout cela me procura une jouissance des plus explosives. Je lui administrais une quantité de sperme incroyable. Satisfaite, elle vint m’embrasser tendrement, me faisant goûter mon sperme. Je n’avais jamais fait ça avec ma copine et je découvrais que c’est terriblement excitant.


Puis elle garda un peu de sperme en bouche et alla en cracher un peu dans un trayon qui venait de tomber… Quelle garce cette Catherine !


C’est alors que Pierre fit irruption dans la salle de traite en rigolant:



Ma copine ! Je n’y pensais plus à elle, de toute façon ne dis-t-on pas sucer n’est pas tromper ?


Catherine s’avança vers son mari et lui roula une pelle avec le reste de mon sperme ! Puis celui-ci lécha le mélange de sperme et de salive qui avait coulé de ses lèvres à sa poitrine !



Je me rappelais alors les allusions homosexuelles de la veille et me dit qu’il était véritablement attiré par les hommes. Je me rhabillais sans rien dire et quittais la salle de traite en remerciant Catherine d’un sourire des plus apaisé. Je montais prendre ma douche et restais sous le choc.


Que devais-je faire? Oublier cet accident et refuser dorénavant toutes leurs avances au risque d’être mal vu ? Ou au contraire en profiter à fond sachant que ma copine était à 500 Km de là ? Je penchais pour la deuxième solution en me disant qu’après tout on ne vit qu’une fois et c’est tout de même assez rare de tomber sur un couple excité à se point.


Je retournais manger avec eux et curieusement les conversations ne partirent pas sur nos activités de l’après midi. Les voyant s’endormir devant la télé, je décidais de les laisser à leur intimité et partit me coucher.




Le lendemain matin, c’est avec Pierre que je fit la traite. Et devinez quoi ? Il me demanda la même chose que sa femme. Je décidais de me laissais faire…


Pierre était assez costaud, comme tous les agriculteurs. Cheveux bruns, épaules larges, un visage massif et une allure de troisième ligne aile des plus robustes.


Je sortis donc ma verge de la combinaison et il commença par me faire asseoir sur les marches de la fosse après m’avoir descendu ma combinaison. Comme je n’étais pas en érection, il me tripota la bite jusqu’à ce qu’il puisse me prendre en bouche. Puis l’excitation montant, j’atteignais une taille respectable et il me suça langoureusement. Et là je peux maintenant vous dire qu’un homme suce beaucoup mieux qu’une femme. Quelle application ! Quelle technique ! J’étais aux anges. J’étais en train de me faire sucer par un homme et qui plus est par mon maître de stage, au milieu de ses vaches et le pire c’est que j’y prenais goût. À tel point qu’au bout de cinq minutes de ce traitement je lui fit signe d’arrêter.


Il me dit qu’il ne voulait pas que je jouisse tout de suite, pas avant que je ne l’ai sucé ! Là, je vous dis tout de suite que je n’avais pas pensé à ça. S’il est vrai que j’avais souvent rêvé de pouvoir toucher et sucer une belle verge, là dans la salle de traite, et avec mon maître de stage ! Mais dans l’état d’excitation où j’étais, je ne pus m’empêcher d’acquiescer.


Après être allé brancher les vaches suivantes, il se déshabilla entièrement, gardant ses tennis dans les pieds et il me présenta sa verge en pleine érection. Elle était à son image : très large, de taille standard (16 cm) et surtout surmontée d’un gland énorme. Elle était totalement dépourvue de poils. J’ai su plus tard qu’il avait réalisé une épilation au laser (qui a dit que les paysans n’était pas tendance ?).


Je me mis à genoux entre ses jambes et je le décalottais en tremblant et commençais à le masturber sans oser le croiser du regard. Il me dit que je devais me détendre, que si je voulais qu’on arrête, il n’y avait pas de problème, qu’il était encore temps.


Moi j’étais convaincu que nous ne pouvions plus faire machine arrière et je décidais de me concentrer sur ma tâche. Je rassemblais donc toute ma salive et pris son gland en bouche. Là je lui léchais le gland de la langue ce qui le faisait frissonner de la tête aux pieds. J’entrepris de faire progresser sa verge dans ma bouche. Puis j’entamais un mouvement de va-et-vient. J’essayais de me rappeler les conseils de fellation que j’avais lu sur un site Internet gay consacré à la fellation (LCDP) et je m’appliquais à alterner prise en bouche totale, léchage et gobage de couilles, titillage du gland, et même gorge profonde ! A force, j’étais devenu totalement accros à cette verge, je n’étais plus qu’une bouche qui travaillait ce mât lentement pour l’amener à la jouissance.


Au bout de 10 minutes de ce traitement, il me fit signe d’arrêter :



Je quittais totalement ma combinaison et mes bottes et m’installais comme il me l’avait dit, allongé sur le dos sur les marches de la fosse. Il se plaça alors par-dessus moi, prenant appuis sur ses jambes, de façon à ce que je puisse le prendre en bouche et lui aussi.


Moi, je retrouvais vite mon érection, et je ne mis pas plus de trente secondes à sentir la sève monter tellement la situation me faisait halluciner. Je déchargeais donc dans sa bouche et je l’entendais gémir en avalant cette quantité importante de sperme. Je continuais à le sucer mais cette fois, ayant déjà éjaculé, je sentais cette vague de honte qui vous gagne après une jouissance interdite. C’est donc en me forçant que je le finis dans ma bouche, en lui faisant un aspirateur qui le fit éclater en longs jets de chaude liqueur. J’avalais tout, en étant partagé entre la perversité de la situation et les remords qui me gagnaient.


Etait-je devenu homosexuel ? Je ne pense pas, ce n’était pas cet homme qui m’attirait, mais bien cette verge et ce qu’on pouvait faire avec. Peut être bitophile alors ? Sans doute, toujours est-il que je refusais le baiser qu’il me proposa et lui dit que j’allais me doucher. Je le laissais là dans sa salle de traite, et cette fois j’étais réellement gêné par ce que je venais de réaliser. Je n’arrêtais pas de me poser des questions et petit à petit, mes vrais motivations reprirent le dessus. Oui, je venais de faire l’amour avec un homme, et alors ? On ne vit qu’une fois et de toute façon j’avais quand même pris mon pied quand je l’ai sucé et lui ai éjaculé dans la bouche !




Je passais le reste de la matinée dans ma chambre à bosser mon rapport de stage et le midi j’allais manger avec eux.


En arrivant Catherine m’accueillait avec un large sourire. Elle me dit qu’elle savait ce que j’avais fait avec son mari et me fit comprendre que celui ci espérait aller plus loin. Lorsque celui ci arriva, il me déclara :



Je me contentais de lui dire que j’allais réfléchir. Le repas se passa sans événement particulier et je passais l’après midi et la soirée sur mon rapport de stage. Le lendemain matin, je fis la traite avec Pierre et cette fois rien ne ce passa. Ensuite, il était prévu que nous allions aider Catherine et Marc (l’ouvrier) à la porcherie pour les aider au sevrage.


Arrivé dans le vestiaire, je me déshabille et Pierre fait de même. Et là surprise, Pierre ne porte rien sous sa combinaison ! Et même pire encore il se trouve en semi-érection. Je ne peux m’empêcher de fixer cette verge que j’ai déjà sucé la veille. Et c’est mon instinct qui m’a poussé à m’en approcher. Il me sourit, cela m’encouragea. Je me dirige vers lui et m’agenouille. Sa verge est à quelques centimètre de mon visage. Je la prends en main. Elle gonfle rapidement. Il me sourit. Je la décalotte délicatement. Je la prends en bouche.


Voilà, j’avais franchit le pas et cette fois c’est moi qui prenais les initiatives. Je le suçais ainsi un bon moment, me délectant de cette bite si large, si attirante.


Je me risquais à lui caresser les fesses et bientôt à lui tâter la raie. Puis, je risquais un doigt sur sa rondelle. Il gémissait et me disait de continuer. Je suçais maintenant mon doigt et le redirigeais vers sa rondelle. Je caressais sa rondelle et tenter d’y introduire un doigt. À ma grande surprise il rentra sans résistance. Je réhumectais mes doigts et en introduisais maintenant deux puis trois dans son anus. Je le branlais ainsi du cul tout en le suçant du mieux possible. Il ne mit pas longtemps à me dire d’arrêter.


Après avoir retiré mon caleçon, nous inversâmes instinctivement les rôles. Il me suçait tout en me titillant, l’anus. Il s’y prenait bien, doucement, ne forçant à aucun moment le passage si bien qu’il réussit à m’introduire lui aussi trois doigts. C’était une sensation nouvelle pour moi. Je m’étais déjà enfoncé des carottes dans l’anus et même une bombe de déodorant mais seulement avec du lubrifiant. Et là avec seulement sa salive, Pierre parvenait à me stimuler la prostate au plus haut point. J’étais aux anges, partagé entre le plaisir de sa fellation et de ses doigts qui m’excitaient le cul.


Il s’arrêtait subitement, se relevait et tentait de m’embrasser. Je me laissais faire après un moment d’hésitation. Il était aussi doux dans son baiser que dans sa fellation. C’était mon premier baiser avec un homme et je dois avouer que la barbe qui pique et la grosse langue ne vaudront jamais la douceur d’un baiser féminin…




Puis Pierre me demanda si je voulais aller plus loin. Le feu qu’il m’avait mis au cul en me branlant m’avait terriblement excité et je lui répondais en lui renvoyant son baiser.


Il me fit donc mettre à quatre pattes et recommença sa préparation. Après quelques minutes de travail, il me demanda si ça me dérangeait de baiser sans capote. Je lui répondais que non et il posa alors son gland sur ma rondelle.


Je me rappelais les conseils lus sur Internet et me détendais pour faciliter le passage. Il procédait doucement. Quand il passa le gland, je me sentais déchiré. J’avais vraiment mal et je décidais de me détendre pour de bon si bien qu’il réussit à progresser davantage. Il restait un moment sans bouger pour que je m’habitue à sa bite et surtout à sa taille. Puis il s’enfonça davantage, lentement, et je sentis rapidement son pubis me toucher les fesses. Il retira alors sa verge et là mes amis, quelle sensation ! C’est vraiment ce que je préfère dans la sodomie : sentir une grosse verge bien large se retirer entièrement de votre anus encore tout serré !


Puis il se réintroduit encore jusqu’à la garde et se retira encore. Il me resodomisa et cette fois entama un mouvement de va-et-vient. Cette verge si massive dans l’anus, c’était vraiment l’extase. Il me travailla ainsi lentement pendant un bon quart d’heure et il accéléra. Je sentais à la dureté de sa verge dans mes boyaux que son foutre arrivait. Et là, il gicla longuement dans mon anus.


Je sentais la chaleur de son sperme dans mon ventre et il resta ainsi longtemps à finir ses va-et-vient, perdant de sa dureté. Son sexe était maintenant à l’étroit dans mon cul dilaté. Il se retira et s’allongea sur le dos profitant de la jouissance qui l’avait poussé dans ses derniers retranchements. Moi j’étais aux anges, j’avais vraiment apprécié ma première sodomie. Quand il est pratiqué par quelqu’un de patient et de délicat, un dépucelage du cul n’est pas du tout douloureux.


Nous étions là, tous les deux, lui la verge baveuse et flasque, et moi le cul suintant de sperme. J’avais certes pris mon pied à me faire sodomiser mais je n’avais pas encore joui.




Nous avions complètement oublié l’heure et pourquoi nous étions là. C’est alors que Catherine et Marc arrivèrent. Quelle ne fut pas leur surprise de nous voir allongés nus sur le sol et dans état qui ne laissait aucun doute sur notre activité précédente ! Ils étaient visiblement ravis et se déshabillèrent en 10 secondes. Marc commençait à se branler et avait maintenant une érection quasi totale. Catherine se faisait caresser par son mari dont la verge reprenait de la vigueur. Marc se dirigeait vers moi, me présentant sa verge. Je le pris en bouche sans hésiter et lorsqu’il atteint une taille maximale, je m’allongeais sur le dos, relevant mes jambes pour lui présenter mon anus. Je lui dis d’une manière assez crue :



Marc était un homme d’une trentaine d’année. Il était blond, les cheveux cours, assez grand et avait une verge très fine, bien plus que celle de Pierre et d’une quinzaine de centimètre. Marc était un homosexuel affiché et il vivait avec son ami non loin d’ici.


Il présenta donc sa verge à l’entrée de mon anus encore très ouvert. Il me chevaucha de tout son corps et s’introduit dans mon anus doucement, sans forcer vu la quantité de sperme de son patron qui lubrifiait mon boyau. Il me sodomisait habilement.


Si la bite de Pierre, très massive, était parfaite pour me remplir l’anus et bien me défoncer, en revanche, celle de Marc était plus adaptée à me limer la rondelle. J’ai donc pus ainsi en l’espace d’une heure recevoir dans mon fondement deux queues tellement opposées, me procurant des plaisirs vraiment différents mes toujours aussi jouissifs.


Marc sentait fort à cause de son activité dans l’élevage de porc, mais curieusement, cela m’excitait. Il se mit sur le dos et me fit venir m’empaler face à lui sur son mât fièrement dressé. Quel plaisir de se sentir maître de la situation en contrôlant la profondeur de la pénétration ! J’arrivais maintenant à la faire pénétrer tout entière, en profitant pour sentir ses couilles sous mes fesses. Lui, pendant ce temps là, avait une main sous mes fesses pour me soulager et de l’autre il tentait de me faire retrouver l’érection que j’avais perdue à cause de la sodomie. Ma verge dégoulinait de liquide séminal et Marc parvint à me faire retrouver une érection quasi totale ce qui avait pour effet de contracter davantage mon anus autour de sa verge. Je restais dans cette position fatigante cinq bonnes minutes.


Puis il me fit mettre sur les genoux, me releva les épaules et me dit de bien me cambrer. Il me sodomisa ainsi comme une bête. C’est alors que je sentis en moi venir une boule du fond de mon être qui me fit exploser en de longs râles de jouissance. Je venais d’atteindre la jouissance par l’anus et quelle jouissance ! Mieux qu’une éjaculation, plus intense, plus longue, plus assommante. Sentant mes spasmes de jouissance, Marc déchargea dans un cri des plus torrides, me faisant déborder l’anus de son sperme.



J’étais inanimé, cet orgasme anal venait de me vider de mes forces et j’étais sur mon nuage. Marc savourait lui aussi et après s’être retiré dans un bruit de succion des plus excitant, il s’allongea sur le dos pour déguster le moment présent. J’avais, il est vrai, la sensation d’avoir le feu au cul mais mon sentiment de satisfaction dépassait largement mes légères souffrances anales. Je n’éprouvais plus cette honte que j’avais ressenti la veille dans la salle de traite avec mon maître de stage.




A côté de nous, Pierre et Catherine n’avaient pas perdu leur temps puisqu’ils se trouvaient maintenant en 69. Voyant que Marc et moi en avions finis, Catherine s’approcha de moi et me pris en bouche. Pendant ce temps, Pierre nettoyait la verge de Marc qui était redevenu molle. Puis Catherine déclara que c’était à moi de me servir de mon sexe. En d’autre terme, elle me demandait de sodomiser son mari. Marc compris nos intentions et commença à travailler l’anus de Pierre. Celui-ci était déjà très dilaté à cause de mon doigté précédent et des enculades régulières qu’il subissait de Marc et de Catherine avec son gode ceinture. Son cul fut donc prêt assez rapidement ce qui m’arrangeait car la fellation de Catherine n’allait pas me laisser insensible très longtemps…


Pierre se plaça donc à quatre pattes pour que je le prenne en levrette. Je me plaçais donc derrière lui et commençait à me rendre compte de la situation : nous étions là, tout nus, les corps couverts de sueur dans le vestiaire de cette porcherie et moi je m’apprêtais à sodomiser mon maître de stage et qui plus est, devant sa femme et son ouvrier qui venait lui-même de décharger dans mes intestins 5 minutes plus tôt. J’étais à des années lumières de ma copine et de mes potes…


Je tentais donc de pénétrer son anus mais me rendis vite compte qu’il fallait privilégier la patience à la force. Je pris mon sexe en main et le pressais contre sa rondelle après avoir craché dessus. En exécutant un mouvement circulaire, mon gland rentra rapidement dans son anus qui goba rapidement le reste de ma verge. Je n’en revenais pas, son cul venait de m’accueillir jusqu’à la garde. Il avait déjà du s’en prendre des kilomètres de queue par ce côté là, lui qui paraissait si viril, si macho quand on ne le connaît pas, et bien j’étais en train de lui remplir l’anus !


Je le limais ainsi instinctivement. C’était la première sodomie que je pratiquais et sentir ma bite si à l’étroit dans ce conduit intestinal m’amena à l’éjaculation assez rapidement. J’explosais ainsi longuement, prenant un pied phénoménal à remplir l’anus de mon maître de stage de mon foutre qui débordait de son cul sous le choc de mes derniers coups de reins. Pendant ce temps, Marc et Catherine nous regardaient en se masturbant mutuellement.


Moi j’étais épuisé, usé, vidé de partout. En une matinée je venais de me faire sodomiser deux fois et avais déchargé dans l’anus de mon patron ! Avec du recul, c’est bien la plus belle expérience sexuelle qu’il m’ai été amené de vivre, ayant eu la chance de tomber sur des gens patients et attentionnés.


En revanche, le fait que nous ayons fait tout cela sans protection me paraît aujourd’hui inconscient et c’est bien le seul reproche que je peux leur faire car même si l’on peut à priori faire confiance à son partenaire, on ne peut sérieusement se permettre de telles pratiques sans capote, même s’il est vrai que la sodomie sans préservatif est cent fois plus jouissive, mais ne l’essayez qu’après un test par pitié…


Toujours est il que c’est repus de plaisir que nous avons pris notre douche ensemble dans la petite douche du vestiaire et c’est sans avoir vu un seul porc que je quittais la porcherie le sourire aux lèvres, heureux et il faut le dire l’anus en feu.


Le reste de mon stage se passa à merveille. Je fis encore quelques fois l’amour avec Pierre et Catherine. Le plus souvent chez eux, après le dîner. Pierre aimait me sodomiser pendant que Catherine me suçait et nous arrivâmes quelques fois à jouir tous les trois ensembles !


J’étais devenu leur jouet mais ce que je préférais c’était m’envoyer en l’air avec Marc partout où nous travaillions. Cela pouvait être sur le dos dans la porcherie ou sur une botte de paille, debout dans la salle de traite ou l’atelier, ou bien à quatre pattes dans les prairies et même assis sur lui dans un tracteur mais n’étant pas un fin gymnaste, nous ne restions pas dans cette position longtemps. J’aimais me faire sodomiser par Marc, sentir sa fine verge me limer l’anus et me stimuler la prostate. Je rentrais souvent du boulot le cul remplis de sperme. Je n’éprouvais plus le besoin d’éjaculer à tout pris, la sodomie me contentant largement. Il m’arrivait de sodomiser Marc et quelques fois Pierre. Je ne pensais plus qu’à ça et cela me motivait d’autant plus pour el boulot car après l’effort le réconfort ! J’en oubliais presque ma copine.


Un jour, Marc m’invita chez lui et me présenta à son ami. Celui ci étai capable de se faire sodomiser par 2 queues à la fois ce que nous essayâmes sans trop de succès. Nous procédions souvent en trio et je prenais vraiment plaisir à me sentir désiré et honoré de la sorte.


Un week-end sur deux je rentrais voir ma copine et lui avouais mes expériences homo sans trop détailler (comment voulez-vous qu’elle me croie). Elle prit un moment de réflexion et m’avoua que je faisais ce que je voulais du moment que cela restait entre moi et ces gens. Je m’étais déjà préparé à la perdre et sa réaction m’encouragea à profiter de mes dernières semaines de stage, ce que je fit.


Voilà comment j’ai découvert mon attirance pour le sexe entre homme. Je suis toujours amoureux de ma copine et mes expériences de stage m’ont, je crois, apporté beaucoup quant à l’écoute des corps et leur langage. Depuis, j’ai essayé des saunas gays mais les types qu’on y trouve son trop pressés, trop bourrins, et je n’ai jamais réussi à pendre mon pied dans ces lieux cachés où les mecs viennent pour décharger et si possible te faire mal.


Je me souviendrais donc toute ma vie de ce stage en Normandie, chez ces agriculteurs si ouverts et si merveilleux. J’ai eu mon examen sans problème et je suis maintenant moi-même agriculteur. Je rêverai de trouver des stagiaires à mon goût pour leur éduquer les plaisirs entre homme. Je suis retourné une fois les voir pour leur apporter mon rapport de stage mais avec ma copine cette fois, autant dire que nos relations furent purement professionnelles à cette occasion.


Voilà, seule ma copine était pour le moment au courant et c’est en lisant les récits bleus ou Bi de Revebebe que je me suis décidé à vous faire partager mon expérience. C’est donc dans cette ferme, si loin de la ridicule ferme de TF1 que j’ai découvert ces plaisirs inconnus et soi disant interdits. Le monde rural est beaucoup plus ouvert que tout le monde le pense et mon récit, je l’espère, vous en apportera la preuve.