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Temps de lecture estimé : 9 mn
22/09/04
Résumé:  Victoria veut devenir une femme épanouie...à tout prix !
Critères:  f fh frousses couple médical gros(ses) grosseins groscul fépilée complexe
Auteur : Berliner            Envoi mini-message

Série : Une beauté de Rubens

Chapitre 01 / 02
Une beauté de Rubens


Victoria est une jeune épouse comblée par un mari médecin de campagne réputé. Issue d’une famille aisée de Normandie, Victoria est très heureuse de sa vie au cœur de la campagne bretonne.


Contrairement à l’immense majorité des femmes, Victoria se sent trop maigre bien qu’elle soit en parfaite santé. Alors que ses rondeurs, peu prononcées il est vrai, alarmeraient n’importe quelle lolita, Victoria, elle, se pâme devant les beautés de Rubens et de Botero.


Son mari s’est souvent étonné d’un tel comportement mais il s’est aussi toujours demandé si cette insatisfaction n’était pas la raison pour laquelle il s’était marié à cette rousse flamboyante que toute la ville lui enviait. Et si secrètement, il ne pourrait pas la rendre heureuse avec l’aide de la médecine et de la gastronomie locale dont il est à la fois un des plus grands consommateurs et représentants.


Nul doute que les membres de la confrérie, aux banquets de laquelle il ne ferait pas faux bond, se verraient bien déguster sa femme en hors d’œuvre… Sans être très loin de la vérité car Victoria raffole que la langue de son mari se glisse dans son intimité pour lui procurer d’immenses orgasmes. Nul doute que son assiduité aux cours de gynécologie soit pour quelque chose dans sa maîtrise du cunnilingus !


C’est vrai que ce regard vert émeraude enchâssé dans un visage lisse a fait chaviré plus d’un gentilhomme, pour leur plus grande frustration d’ailleurs, Victoria étant d’une fidélité absolue à son mari. Lequel a trouvé en elle l’écho à sa vie sexuelle peu extravagante mais très remplie. La somme des rapports sexuels quotidiens entre ces deux époux, si elle venait à être connue, leur vaudrait une réputation d’acteur de hard et de nymphomane. Le cabinet de Laurent étant situé au rez-de-chaussée de la maison de maître, il leur est facile de se jeter dans les bras l’un de l’autre entre deux rendez-vous.


Pourtant, à trente-trois ans, Victoria se sent si frêle, si creuse que son mari sent qu’il faut qu’il trouve une solution rapide à ses tourments avant que son moral n’en souffre de façon excessive. Il réfléchit à tout ce qu’ils ont tenté ensemble.


En se gavant comme une petite caille, Victoria n’a fait que voir son ventre grossir mais non ses seins ou ses fesses, à son grand désespoir. Un régime volontairement déséquilibré n’a rien donné non plus mais, Laurent le sait, la diététique n’est pas sa spécialité. C’est celle de son copain de promo, Hector del Ortega, un descendant d’une grande fortune argentine qui a émigré en France pour y faire sa médecine puis finalement y résider à vie, séduit par les femmes et la qualité de vie qu’offre la campagne bretonne.


Un homme étrange, très cultivé mais un véritable obsédé. Les étudiantes qu’il culbutait avec Laurent confessaient souvent à ce dernier qu’Hector était un vrai pervers, ne reculant devant aucune luxure pour jouir jusque dans les déchéances les plus abjectes. Mais jamais ils n’avaient baisé des filles ensemble.


Hector, diététicien de génie et spécialiste des hormonothérapies, officiait dans sa clinique privée, fruit de l’héritage de ses parents. La communauté médicale admirait les résultats de la clinique mais déplorait que les patientes soient admises et refusées sur des critères purement subjectifs. Laurent le savait, Hector avait comme lui la passion des femmes rebondies et toutes en rondeurs. Faire maigrir des filles presque anorexiques lui semblait la dernière des monstruosités, voilà pourquoi il n’était pas devenu la nouvelle coqueluche des stars qu’il aurait pourtant tout à fait été capable d’être.


L’inviter à partager un week-end fut chose aisée pour Laurent. Il n’avait jusqu’ici pas présenté Victoria à Hector, de peur que celle-ci soit troublée par la personnalité complexe et parfois tordue de son compagnon d’études.


A son arrivée, Victoria fut saisie par la prestance et la classe de leur invité. Se fendant d’un chaleureux sourire, il salua tour à tour son vieil ami et sa femme dont il subodorait déjà qu’elle serait le sujet le plus agréable de son séjour.


A l’issue d’un repas qui fit appel aux plus belles figures de la cuisine française accompagnées de beaux flacons, Victoria, grisée par le Sauternes et rassurée par sa spécialité médicale, interrogea Hector sur son absence de prise de poids. Celui-ci avait vite compris à qui il avait affaire, lisant en elle comme dans un livre.


Amusé, Hector lui demanda pour la forme : « Mais que veux-tu exactement, Victoria ? Ton poids correspond parfaitement à ta taille. C’est une requête peu courante pour une femme que de vouloir être aidée à grossir ! »


Dans un soupir, Victoria lui répondit « Je me sens si plate, si peu féminine, je veux être belle, sentir les rondeurs me donner un vrai corps de femme, plaire à Laurent encore plus que je ne lui plais maintenant » L’intéressé répondit par un léger rougissement alors que ses sens s’échauffaient rien qu’à penser sa femme en déesse de la lubricité.


Hector pris le ton d’un professeur d’université pour leur expliquer qu’il pouvait tout à fait répondre aux désirs de Victoria, qu’il se chargerait de lui donner le corps d’une beauté de Rubens en un mois. Tout ceci gracieusement bien entendu et grâce à un nouveau programme d’hormonothérapie qu’il avait crée pour des jeunes anorexiques.


Un peu prise au dépourvu, Victoria hésite et reste silencieuse. Hector sent qu’il est temps de prendre les choses en main. Il invite la jeune femme à se lever de table et la place devant lui, face au grand miroir qui orne une antique armoire. Glissant ses mains sous les petits seins de Victoria, il lui dit « ne voudrais-tu pas sentir une vraie poitrine tendre ton chemisier, avoir les seins d’une femme épanouie? Et ces hanches, je leur donnerai les courbes d’un violoncelle! ». Confiante et rassurée par le ton sans équivoque d’Hector, Victoria ne peut que lui exprimer sa gratitude. Son esprit flotte un temps et elle se voit comblée et toute en rondeur. Et pourtant, derrière l’espoir perce le doute. Saura-t-il réaliser ses promesses? En réalité, Victoria craint aussi un peu qu’il ne réussisse trop parfaitement et qu’elle ne se reconnaisse pas dans un corps plus volumineux.


Enthousiasmé par la proposition d’Hector, Laurent dissipe les dernières inquiétudes de Victoria par une tendre nuit d’amour. L’imagination stimulée par cette délicieuse perspective, Victoria encourage son mari à se glisser au fond d’elle. Son vagin humide et chaud semble réclamer son dû, qu’elle obtient sans avoir à le demander!


Trois jours plus tard, Victoria entrait à la clinique. Après un examen complet effectué par un infirmier placide et silencieux, Laurent et elle se retrouvèrent dans le bureau d’Hector.


Voyant que le couple était intrigué par les vitrines qui meublaient la pièce, Hector leur fit les commentaires suivants :


« Le merveilleux spécimen de butt plug que vous voyez dans la vitrine derrière vous est le plus gros modèle jamais crée dans cette clinique pour une de nos pensionnaires spéciales. Il faut dire qu’avec un diamètre de 23 cm, on a peine à imaginer qu’un tel champignon de silicone se soit un jour logé dans un rectum!


Bien Victoria, reprenons quelques données de votre bilan de santé. 1m72, 63 kg, 90B et écartement anal maximum de 2 cm. Risible, pitoyable en quelque sorte! Votre mari est en droit d’attendre plus de satisfaction de vous. N’ayez crainte, la médecine va venir à votre secours.


Je vous propose de changer de silhouette et de connaître les joies du sexe sans limites…de fantaisie !


Je vais d’abord m’occuper de votre cul. Il est ferme et déjà dodu. Cependant, il manque très nettement de volume et d’arrondi. Je veux que vos deux cuisses se touchent en permanence, qu’elles soient toujours moites, de sueur ou de mouille… Le repli fessier doit aussi être convenablement rembourré. Pareil pour votre motte, il est absolument nécessaire qu’elle se transforme en belles courbes et attire l’attention, on va lui donner un peu de constance!


Vous suivrez un régime hypercalorique accompagné d’hormones qui vont vous arrondir plus vite qu’une femme enceinte, deux kilos par jour pendant dix jours, cela va vous alourdir quelque peu.


Enfin, votre gorge est bien insignifiante. Je préconise de vous faire passer du 90B au 100E, c’est une chose courante ici. Rappelez moi de vous inscrire à des cours de rééducation dorsale, il va falloir apprendre à porter vos seins qui devraient faire dans les 3kg pièce !


Concernant votre anus, il faut décidément faire quelque chose. Une dilatation progressive devrait aider.


Nous procédons de façon personnalisée. Après examen, un infirmier va fabriquer aux mesures de votre rectum et selon la résistance musculaire de votre anus une série de butt plugs plus ou moins gros. Il sera nécessaire de suivre à la lettre les prescriptions en la matière jusqu’à 5 centimètres de diamètre environ ».


En quinze jours, le programme d’augmentation de poids constitué d’hormones féminines surdosées en œstrogène et de repas bien consistants avait porté ses fruits et se traduisait par un gain de 15 kilos principalement visible au niveau de la croupe de Victoria. Son cul ressemblait à une grosse lune bien pleine à peine fendue. Ses seins n’étaient pas en reste, de plus avec l’aide d’injection localisées, la prise de poids était peu visible à la taille mais étonnante à la poitrine, la gorge autrefois modeste de Victoria s’ouvrait progressivement sur un décolleté profond, passant du 90B au 95D en un demi mois.


Son anus faisait l’objet de soins spéciaux. Chaque nuit, Victoria dormait avec un butt plug de taille modeste pour commencer puis relativement correct vers le 10ème jour. Une infirmière venait masser son anus avec une crème échauffante et décontractante trois fois par jour. Ces massages digitaux dans la partie la plus intime de son corps mettaient Victoria dans un état d’excitation intenable. Sa vulve ruisselait de secrétions odorantes, décidément de plus en plus abondantes sous l’effet des prises d’hormones quotidiennes. L’infirmière ne pouvait ignorer son trouble mais se contentait de sourire légèrement tout en refermant la porte sur sa patiente. Victoria, trop fière pour abdiquer sa dignité devant une tierce personne, glissait alors immédiatement sa main sur sa fente trempée et carresait rapidement son clitoris de manière cadencée jusqu’à monter vers l’orgasme avec une rapidité dont elle aurait été bien incapable auparavant.


Sous l’effet conjugué de l’absence de rapports sexuels, des prises d’hormones et des attouchements réguliers, Victoria sentait en permanence un désir sale enfler dans son bas-ventre, diffusant une chaleur torride et la faisant mouiller d’abondance. Seule l’onanisme lui permettait de tenir nerveusement. Rien qu’imaginer la tige de Laurent grasse de mouille pénétrer sa chatte la mettait dans un état d’excitation inimaginable.


Les quinze jours suivants furent encore plus éprouvant pour Victoria. L’équipe médicale ne lui indiquait plus le résultat de sa pesée quotidienne, cela lui était de toute façon inutile, le miroir la renseignait tout autant sur sa transformation en poupée de chair.


Sa poitrine autrefois très commune était devenu une gorge pulpeuse qui appelait le regard des hommes, elle avait bien croisé le regard lourd de désir des deux internes. Passer du 90B au 105 F lui faisait l’effet de devenir une vraie nourrice, elle ne se lassait pas de caresser ses formidables seins d’un blanc laiteux.


Sa fente était lisse comme celle d’une jeune fille, résultat impeccable d’une épilation au laser. L’hormonothérapie avait eu comme effet de décupler ses secrétions vaginales. À la moindre excitation, Victoria avait l’impression de se liquéfier et en trempait sa culotte comme si elle s’y était oubliée. La honte qui l’envahissait à ce moment décuplait le plaisir sale qu’elle ressentait et qui lui rappelait ses premières masturbations.


Son cul était véritablement celui d’une jument, une vraie croupe large et moelleuse. Son anus était devenu souple et capable de s’ouvrir dans des proportions qu’elle n’aurait crues possible une semaine avant. Le dernier butt plug mesurait six centimètres de diamètre et lui avait laissé un souvenir cuisant lors de sa première intromission. Pourtant, Victoria qui craignait tant de se souiller constatait avec plaisir qu’elle était loin d’être incontinente et se remémora, troublée, les propos du Dr Del Ortega lors de son admission.


Au moment de préparer sa sortie de la clinique, l’infirmière vient lui donner ses vêtements civils qu’elle disposa sur le chevalet sans oublier de mettre une large serviette hygiénique à côté de la large culotte en coton blanc. Victoria, qui n’avait pas fait l’amour depuis 12 jours avait l’impression que son excitation se lisait sur son visage.


Quand elle entra dans la voiture de son époux, elle du se faire violence pour ne pas se jeter sur sa queue tant le manque de sexe la taraudait.


Une fois arrivé chez elle, elle se déshabilla très vite dans sa chambre, heureuse d’être enfin pleine et ronde. Sa peau était lisse et tendue, ses fesses fermes et douces au toucher. Laurent n’en revenait pas de la transformation de Victoria. Ses seins étaient devenus lourds, la main de Laurent ne suffisait plus à en faire le tour.


En se couchant sur elle, il sentit son ventre confortable, ses seins qui ne s’écrasaient pas et surtout, sous ses mains, le volume de ses fesses. Les cuisses massives et blanches de Victoria étaient déjà couvertes de mouille à un tel point que Laurent se demanda si elle n’avait pas pissé sur elle comme cela arrivait parfois quand elle venait de jouir. En se glissant entre ses jambes, il avait l’impression de découvrir une nouvelle femme, celle qu’il a toujours rêvé d’avoir. Quand à Victoria, heureuse et comblée par la queue de son mari, elle criait son plaisir d’être enfin la femme aux formes épanouies qu’elle avait toujours voulu être.