n° 07757 | Fiche technique | 62463 caractères | 62463Temps de lecture estimé : 35 mn | 23/09/04 |
Résumé: Une servante arrive dans une famille qui aime les jeunes filles obéissantes | ||||
Critères: fh hplusag fsoumise soubrette humilié(e) couche cunnilingu fgode jeu uro | ||||
Auteur : Sensuel amant en couches |
Klapp… Klapp… Klapp… Retentissaient les sabots des pattes du cheval sur les pavés durs et brûlants de la route, faisant tourbillonner de petits nuages de poussière. Denise s’appuyait en arrière et regardait, intéressée, le large dos du cocher taciturne assis devant elle. Alors elle ouvrit son sac à main, prit la lettre d’embauche de Madame Babouche et recommença à la lire minutieusement. Finalement elle toucha le bras du cocher et demanda :
"Dites moi, Jacques, quel âge ont les enfants à Saint-Montagneux ?"
"Brrr… ?"
Jacques, le cocher noir de cheveux, tira sur les rênes et arrêta la voiture lentement il se retourna et regarda en fronçant les sourcils la jeune-femme, élancée, sur le siège arrière.
"Il ressemble à un pirate, pas mal…" pensa Denise un long moment après.
"Des enfants ? Pourquoi parlez-vous d’enfants ? Il n’y a aucun enfant à Saint-Montagneux. Là habitent le vieux Monsieur, Madame et Monsieur.
Mademoiselle Lisette, mais qui est déjà adulte, Madeleine la vieille femme de ménage, la cuisinière et moi."
"C’est curieux", expliqua Denise, et elle montra dans sa main la lettre.
"Madame demande en plus si je suis qualifiée dans l’entretien et les soins à donner aux bébés et aux petits enfants."
Sur le visage du cocher apparut un large rictus.
"Ah, bon…" dit-il d’une voix traînante.
Il se retourna de nouveau par-devant et rendit les rênes au cheval. Avec un énergique "Hue, vieux !" la voiture continua de nouveau à rouler.
"Hé, Jacques, vous êtes un grossier personnage !" protesta Denise, "Ce n’est pas une réponse. Comment se fait-il que Madame m’écrive cela, s’il n’y a aucun enfant au domaine ?"
Jacques regarda par derrière au-dessus de son épaule. Il ricana encore.
"Attendez, Mademoiselle. Vous serez bientôt renseignée." Alors il fit claquer son fouet et laissa trotter le cheval.
Après environ vingt minutes de trajet, ils atteignirent Saint-Montagneux.
Ils tournèrent dans la cour large et spacieuse du Domaine. Denise curieuse, regarda autour d’elle pendant que le cocher mettait pied à terre et déchargeait sa valise.
"Venez, Mademoiselle," et faisant un signe, "Je vous conduis à la maison."
Denise descendit et suivit le cocher qui avait pris la valise et gagnait la maison à grandes enjambées. Elle se dépêcha de rejoindre Jacques autant que ses bottines et sa robe étroite le permettaient. Ils s’arrêtèrent devant l’entrée imposante à double battant. Jacques s’assit sur la valise et l’observa en la jaugeant. Denise sourit encore un peu et remonta une mèche cheveux sur son front.
"Je crois que mon tailleur de Paris n’est pas approprié à la Normandie.
Je devrai m’habituer à des affaires plus solides."
"Sûrement", approuva Jacques de la tête, "vous devrez vous habituer encore à de toutes autres choses si vous voulez rester ici."
Denise hocha la tête, agacée.
"Jacques, que voulez vous encore dire maintenant ?"
"Ah, rien de plus. Vous êtes une personne dégourdie. Vous le verrez bien vous-même. Vraisemblablement plus tôt que vous ne pensez. Au revoir.
Jusqu’au dîner."
"Au revoir, Jacques."
Elle lui tendit la main et dit en riant :
"Dites-moi simplement Denise. J’espère que nous nous entendrons bien ensemble."
Là-dessus il fit un mouvement du pouce en direction de la maison et de nouveau sur son visage de pirate audacieux, apparut une grimace joyeuse et puérile. Rêveuse, elle le suivit des yeux lorsqu’il retourna lentement vers la voiture et s’assit sur le siège. Que voulait dire Jacques avec ses allusions ?
Denise avait 28 ans. Depuis sa dix-huitième année elle travaillait comme femme de chambre, et elle avait acquis une grande expérience de la vie.
Bien qu’au service exclusif des dames dans une maison il était usuel que les hommes par nature, du maître de maison en passant par le valet de chambre jusqu’au jardinier aient des prétentions de possession plus ou moins palpable contre lesquelles Denise pouvait quelquefois difficilement se défendre. Maintenant Denise n’était plus prude. Celui qui lui plaisait avait tout à fait sa chance auprès d’elle. Seulement elle voulait elle-même décider avec lequel elle se mettrait au lit, ou pour lequel elle se coucherait une fois rapidement sur un banc de jardin. Mais qu’attendait-elle, ici, au Domaine de Saint-Montagneux ? Elle se raidit, prit sa valise et frappa au lourd heurtoir bronzé. Des pas résonnèrent dans la maison, la porte s’ouvrit, et devant Denise se tint une jeune-fille assez potelée, avec un petit nez retroussé, des amusantes taches de rousseur et des cheveux bruns bouclés en désordre. La tête bouclée lorgna curieusement Denise et dit ensuite favorablement :
"Mais tu es jolie. Nous n’avons encore jamais eu ici une aussi jolie jeune-fille, alors tu es Denise, la nouvelle servante, pas vrai? Maman m’a dit que tu arriverais aujourd’hui."
Denise approuva de la tête et entra dans le vaste vestibule. La tête bouclée lui tendit une petite main ferme et dit :
"Bienvenue à Saint-Montagneux. Je suis Mademoiselle Lisette."
Là-dessus, elle pinça les lèvres d’une manière distinguée et sur son visage agréable et espiègle apparut une grimace qui se brisa aussitôt dans un rire joyeux et dit :
"Dis-moi tranquillement Lisette, lorsque nous serons entre nous. Je ne suis ni sévère ni consciente des traditions comme maman et grand-père Pierre. Viens, je te montre ta chambre et ensuite je te présente à maman."
Lisette laissait monter autour d’elle une odeur douçatre et acide que Denise ne pouvait localiser. Elle regarda la jeune fille montant les escaliers devant elle, les cuisses et les fesses fermes sous une robe d’été courte et légère et elle pensa en plus que la petite avait une culotte impossible à mettre. Lisette, d’une voix joyeuse l’arracha à ses pensées.
"Nous y sommes. Tu habites là."
La petite chambre était claire et gaie. Le regard de Denise détailla l’installation simple mais propre et resta accroché au lit fraîchement fait. Elle regarda d’un air interrogateur Lisette qui ouvrit le lit et effleura je drap lisse de couleur rouge brun.
"C’est un drap en caoutchouc tout neuf. Tu es surprise, pas vrai ? Je suis venue spécialement pour voir ton visage lorsque tu découvrirais le caoutchouc."
Elle s’assit sur le lit avec un ’plouf’ sonore et montrant la table de nuit :
"Tu seras encore plus étonnée lorsque tu verras ce qu’il y a dedans. Tu paries ?"
Denise tira lentement le tiroir et toucha l’intérieur.
"Qu’est-ce…pour qui sont ces affaires ?" bredouilla-t-elle, consternée.
Dans le tiroir étaient rangées des culottes en caoutchouc et pour le moins trois douzaines de couches proprement empilées. Lisette éclata de rire.
"Mon Dieu, si tu pouvais te voir maintenant ! Oui, toutes ces choses là sont pour toi. J’ai choisi pour toi, en commun avec maman, les culottes en caoutchouc. Viens ne fais pas une tête si épouvantable assise toi à côté de moi !"
Ce faisant elle tira Denise sur le lit.
"Regardes," continua-t-elle sérieusement, "Maman a un faible pour le caoutchouc et les bébés. Elle est très sévère et ne voit là dedans aucun amusement. Elle a reporté son faible sur toute la famille. Regardes !"
Lisette se leva et remonta sa robe au-dessus de la taille. Elle portait une culotte en caoutchouc d’un rouge éclatant, bien remplie. À ce moment Denise sut d’où venait l’odeur douceâtre.
"Sais-tu que dans la journée je la porte souvent sur la peau nue. Maman pense que çà ne se voit pas, d’habitude elle me descend jusqu’aux genoux."
Elle prit Denise par la main et un espoir craintif perça dans sa voix lorsqu’elle dit :
"Tu ne repars pas, Denise ? Tu restes quand même parmi nous ? Toutes les autres jeunes filles sont reparties à cause du caoutchouc et aussi parce que maman est très sévère. Pourtant tu restes avec nous, pas vrai ? On peut avoir aussi beaucoup de plaisir avec le caoutchouc. Ensemble avec Jacques, par exemple."
Sa voix devint comme un murmure.
"Cela peut rendre quelqu’un entièrement lubrique. S’il te plaît, Denise, restes !" Denise se leva et dans un emportement de tendresse prit pour un moment Lisette contre sa poitrine.
"Viens, nous devons aller voir ta mère, d’ailleurs elle est certainement impatiente." Elle jeta un regard dans le tiroir ouvert et demanda en clignant des yeux :
"Si je m’habillais tout de suite ?"
Interloquée, Lisette regarda Denise.
"Tu voudrais bien le faire ?"
Denise haussa les épaules.
"Je dois bien commencer un jour, si je veux rester ici. Aides-moi à défaire mes affaires."
Elle posa sa valise sur la table et ouvrit les serrures. Contente Lisette l’aida à la déballer. Denise retira une courte robe noire, des bas noirs, un petit bonnet et un tablier, et elle commença à se déshabiller. Lisette l’observait avec un regard émerveillé.
"Oh, Denise !" cria-t-elle enthousiasmée, "comme tu es jolie, que tu as une mignonne culotte."
Denise encore vêtue de son slip en soie rose bien ajustée, se tourna coquette. Lisette s’approcha d’elle et caressa du bout des doigts le tissu brillant.
"Merveilleusement lisse, n’est ce pas ?" demanda Denise.
Lisette hocha la tête.
"Excitant de douceur, où l’as tu eu ?"
Denise pinça les lèvres.
"A ce sujet, on n’en parle pas en femme, mais tout à fait confidentiellement, ma dernière patronne avait cinquante ans et Monsieur seulement trente-huit et il était fichtrement bien. Ho, oui !"
"Oui et pourquoi es tu partie de là ?"
"Pffft ! Madame a trouvé tous les jolis dessous que Monsieur m’avait offert."
"Et tu aimes la soie lisse ?"
"Oui, évidemment ! Elle est si caressante, si douce, si légére, divinement excitante."
Lisette sourit, futée.
"Alors tu trouveras le caoutchouc encore plus excitant." et elle donna une tape amicale sur les fesses de Denise. "Viens, enlèves ton slip. Je te cherche une culotte en caoutchouc qui t’ira bien. Je peux ? Je sais déjà laquelle."
Elle ouvrit encore plus le tiroir et après une courte recherche, elle retira une culotte en caoutchouc rose, collante avec des élastiques aux cuisses.
"Elle est bien. Tu n’as pas besoin de mettre de couche avec, mais tu peux, par précaution mettre dessous une petite culotte en coton au cas où maman t’examine."
"Effectivement, c’est encore plus lisse que la soie, et même plus excitant.
Je veux l’essayer tout de suite, mais sans rien dessous."
Elle regarda Lisette. "Tu m’aides ?"
D’un court mouvement de la main, elle ôta la culotte de soie, et reprenant son souffle, enfila la culotte en caoutchouc tenue par Lisette qui la lui remonta lentement sur les cuisses. Mais tu as à peine de poils à ta moule, et comme elle est étroite et rose dit Lisette étonnée et elle regarda fascinée le coquillage de Denise orné d’un duvet tout léger et roussâtre.
"Je me suis toujours rasée autrefois. Monsieur me voulait ainsi."
"Ah oui, pour faire ’minette’ avec plus de plaisir."
Denise se mit à rire.
"Mais tu t’y connais, Lisette. Quel âge as tu vraiment ?"
"Dix-huit ans, mais j’ai commencé depuis l’âge de seize ans, ici dans le pays on commence de bonne heure."
"As-tu une idée de l’âge auquel commencent les jeunes parisiennes ? Mais arrêtes, tu m’excites avec tes doigts. Laisses-moi remonter ma culotte."
Denise se regarda un moment dans la glace et tendit le caoutchouc sur sa moule.
"Oui… Mais on peut tout voir !" s’écria-t-elle avec effroi, lorsqu’elle remarqua comme le caoutchouc épousait les formes de son corps.
"Il est vraiment excitant, n’est-ce pas ? Si Jacques voit cela, il te baisera sûrement aussitôt."
"Jacques ?"
"Oui, Jacques est insatiable, et il se jette sur tout ce qu’il peut trouver, ici, à Saint-Montagneux. Il n’y a que maman, toi et moi, qui répondons à sa demande. Charlotte et Madeleine sont trop vieilles."
Denise était un peu habituée, mais maintenant elle dévisageait Lisette, assez interloquée.
"Madame… ta mère… et Jacques ?"
Lisette haussa les épaules.
"Maintenant papa s’occupe toujours de notre servante, alors maman a conclu avec lui un agrément loyal. Mais je veille à ce que Jacques ne sorte pas trop souvent avec maman, sinon il est trop fatigué le soir. Avant je suis allée chez mon grand père Pierre et je me suis laissée chatouiller par lui.
Çà, il peut bien, mais pour le reste ce n’est plus une vraie queue.
D’ailleurs, avec maman, je laisse Jacques me mettre mes couches. Claire, notre dernière servante m’a toujours langée avec dégout. Et lorsque j’étais mouillée le matin, elle voulait me punir pour de bon, ainsi que maman le fait. Elle ne pouvait pas concevoir que je prenne du plaisir à mouiller mes couches. Jacques est beaucoup plus affectueux, et lorsqu’il me tanne réellement le derrière, alors j’en jouis vraiment. Dis, Denise, veux-tu me langer avec douceur et me prendre souvent sur tes genoux ?
D’accord aussi pour que maman, papa et grand-père te tannent les fesses ?"
"Ainsi ils font cela ?" dit Denise en levant les sourcils.
"Naturellement Grand-père le fait symboliquement, papa seulement lorsqu’il veut te baiser, maman bien entendu le prend très au sérieux."
"Eh bien…", médita Denise, "Alors je peux m’attendre à certaines choses."
Là-dessus elle remonta ses bas, les attacha à son porte-jarretelles, se glissa dans ses vêtements de femme de chambre, noua le tablier et se coiffa du bonnet.
"Nous partons ?" demanda-t-elle à Lisette.
Lisette hocha la tête. Avant qu’elles ne sortent de la chambre, elle se retourna vers Denise et lui demanda :
"Baisses-toi, s’il te plaît !"
Denise la regarda sans comprendre mais se baissa cependant, la tête en avant. Lisette claqua des mains.
"Magnifique, la culotte en caoutchouc te va à ravir. Maman sera enchantée."
Madame, quarante ans, mince, de haute taille, accueillit Denise d’une manière réservée, mais très amicale. Elle lui posa les questions habituelles et lui expliqua son travail.
"Denise", dit-elle, "en premier lieu, vous vous tiendrez à la disposition de Lisette et de moi. Ceci dit, vous êtes là aussi pour mon mari et une fois par semaine, le soir, vous vous occuperez de mon père, spécialement en lui faisant de la musique et la lecture. Je vous ai déjà informée des limites de mes conditions d’embauche. Une de vos taches principales a peut-être quelque chose d’étrange et demande pour cela beaucoup de facultés d’intuition et de compréhension. Je vous l’expliquerai."
A ce moment Lisette qui se tenait à côté de Denise, laissa tomber son mouchoir. En une fraction de seconde, Denise regarda Lisette et comprit.
Elle se pencha le dos tourné à Madame, et ramassa le mouchoir. Madame Babouche fut surprise et interrompit son discours. Un sourire conquérant se répandit sur elle. Avec un léger mouvement de la main, elle attira Denise près d’elle et souleva sa robe.
"Je suis contente. Ma fille vous a déjà admise. Vous vous adaptez vite, Denise, cela me plaît. Mais vous devriez, au moins pendant la journée, porter une culotte de coton sous la culotte en caoutchouc. Le caoutchouc sur la peau nue excite beaucoup trop. Vous serez vite irritée et des fesses rouges fortement talquées ne sont pas un spectacle réjouissant pour un homme. De plus la culotte en caoutchouc ne serait pas assez étanche si vous vouliez vous laisser aller dedans."
Denise rougit et fit la révérence.
"Très bien, Madame." Madame Babouche fit signe que non.
"Je veux le faire rapidement."
"Chaque matin à neuf heures nous avons l’habitude de déjeuner. Notre cuisinière prépare tout, vous n’avez qu’à nous l’apporter. Vous vous présenterez à moi à huit heures et demi et vous m’aiderez à m’habiller.
Vous pouvez déjà avant desservir Lisette. Après le petit-déjeuner vous vous souciez de ma chambre et de celle de Lisette. Mon mari vous dira s’il a besoin de vous. Vous faites les achats avec Charlotte et vous préparez la table pour midi. Après midi vous vous occupez des Meurs et des plantes vertes. J’aime avoir des Meurs fraîches tous les jours. Le café est servi à seize heures, le dîner à dix-neuf heures. Je me retire le plus souvent à vingt-et-une heures. Quand Lisette va au lit, vous vous conformez avec elle. Suivant le cas, nous discuterons de votre jour de sortie. Avez-vous quelque chose à demander la dessus ?"
"Non, Madame."
"Bien ! Lisette, montres la maison et la cuisine à Denise. Votre service commence demain matin. Alors je vous présenterai à mon mari et aussi à mon père. Vous pouvez aller maintenant !"
"Merci, Madame."
Ce soir-là Denise resta longtemps éveillée. Le drap en caoutchouc qu’elle n’avait pas retiré du lit par curiosité, déclenchait à chaque mouvement sur sa peau, un picotement étrange. La culotte en caoutchouc serrée à la taille et aux cuisses lui donnait un sentiment nouveau et inhabituel de sécurité. Elle commençait à comprendre Lisette et Madame Babouche.
Reprenant haleine, elle se coucha en arrière et chercha à se détendre.
En vain. Lentement elle promena ses mains çà et là. Ses cuisses s’ouvrirent et ses doigts énervés commencèrent à caresser sa chatte à travers le caoutchouc protecteur de la culotte. Une sensation agréable encore inconnue, s’empara du corps de Denise.
"Mon Dieu, je jouis !" murmura-t-elle doucement et elle se roula sur le ventre en gémissant. La sensation du drap en caoutchouc chaud avec lequel son visage et le bout de ses seins étaient maintenant en contact intensif, était si nouvelle et sa lubricité telle qu’elle releva les genoux, écarta encore plus ses jambes et commença à se branler violemment. L’orgasme vint rapidement comme une nuée de flammes, il embrassa tout son corps. Un cri étranglé s’échappa de ses lèvres, elle s’allongea exténuée sur le drap en caoutchouc et ferma les yeux. Elle sentit comme sa sève coulait de sa moule dans la culotte et répandait une chaleur bienfaisante. Elle s’étira sur le caoutchouc et s’endormit heureuse. Le sommeil de Denise fut paisible et sans rêve.
Elle fut réveillée en premier par un coup frappé à la porte de la chambre.
Effrayée, elle regarda à sa montre et se trouva rassurée qu’il ne fut que sept heures.
"Oui ?" demanda-t-elle encore endormie. "Qui est là ?"
A ce moment la porte s’ouvrit et Lisette entra rapidement. Denise remarqua que sa culotte était mouillée et collait à sa peau et qu’on pouvait le voir très clairement. Vite elle Lira la couverture jusqu’au menton.
"Tu es déjà réveillée, Denise ? Je peux venir près de toi ?" chuchota doucement Lisette et elle s’assit sur le bord du lit.
Denise chercha une réponse mais déjà Lisette avait découvert le drap en caoutchouc bouleversé, et d’un mouvement rapide elle rejeta la couverture.
"Denise !" s’écria-t-elle surprise, "Tu es toute mouillée. Tu t’es branlée avec le caoutchouc ! Le caoutchouc te plaît donc vraiment ? C’est magnifique. Attends, je viens près de toi !"
Elle enleva sa robe de chambre et sauta dans le lit près de Denise, la culotte en caoutchouc remplie d’une épaisse garniture pendait lourdement sur ses hanches et laissait voir au bord des cuisses des traces révélatrices d’humidité fort abondante.
Lisette porta aussitôt la main entre les jambes de Denise et attendit une réaction défensive. Comme rien ne se produisit, Lisette prit l’offensive.
Elle se pencha entre les cuisses de Denise et enfouit son visage entre les jambes qui s’ouvrirent automatiquement.
"Lisette, que fais-tu là ?" gémit Denise, dans un état de lubricité renaissant, et pressa la tête bouclée encore plus profondément contre sa chatte brûlante, emballée de caoutchouc. Lisette su d’avance que cela arrivait. Elle trouva très vite, malgré la culotte protectrice en caoutchouc, l’endroit sensible de Denise et laissa le bout de sa langue se promener dessus. Le front de Denise était inondé de sueur. Elle respirait avec difficulté, elle avait le vertige. Alors l’orgasme l’emporta dans une vague unique et brûlante.
"Mais tu es vite partie, Denise." dit Lisette un peu plus tard, en se serrant étroitement contre sa nouvelle amie.
"Le caoutchouc m’a terrassée. Je n’ai jamais été aussi magnifiquement léchée depuis longtemps." dit Denise, languissante, en souriant.
Elle se jeta alors dans les bras de Lisette avec reconnaissance.
"Tu es si gentille. Comment te remercier ?" Lisette s’assit.
"Veux-tu me baiser avec Gustave ?"
"Avec Gustave ?"
"Oui, c’est mon godmichet. Je l’appelle Gustave en souvenir du jeune qui m’a dépucelée derrière l’étang au milieu des prés. Viens, Denise. Nous allons dans ma chambre. Tu pourras te laver et t’habiller chez moi."
Lisette se leva et descendit sa culotte en caoutchouc.
"Veux-tu défaire ma couche, Denise ?" demanda-t-elle en levant les bras.
Denise s’agenouilla et défit l’épaisse couche en molleton, lourde de pisse.
Pour la première fois elle vit la moule enfantine, pulpeuse et béante de Lisette. Elle embrassa l’épaisse toison noire, brillante d’humidité qu’elle avait découverte. Elle saisit ses vêtements, prit encore dans le tiroir une culotte en caoutchouc propre. Ensuite elles traversèrent toutes les deux le couloir et entrèrent dans la chambre de Lisette. Lisette posa un doigt sur ses lèvres, ouvrit l’armoire à vêtements et en retira un membre en caoutchouc couleur chair, muni de courroies et de boucles.
"Viens ici, Denise, afin que je puisse te le poser. Gardes ta culotte en caoutchouc, je te le boucle par dessus. Je voudrais sentir le caoutchouc lorsque tu m’enfonceras Gustave à l’intérieur… Ne bouges pas, s’il te plaît !"
Elle disposa les courroies autour des hanches de Denise et les boucla solidement. Denise se regarda dans la glace de l’armoire et devint de nouveau lubrique à la vue de sa culotte en caoutchouc mouillée et collant à sa peau, et du membre en caoutchouc dressé et raide. Elle vit le visage de Lisette bouleversé d’excitation et se retourna lentement.
"Maintenant, je suis ton homme, Lisette. Maintenant je suis Gustave. Je me tiens avec toi au milieu d’une grande prairie. Tu es lubrique en regardant ma grosse queue, mais tu as peur, parce que tu es encore vierge.
Je t’écarterai les jambes et je te l’enfoncerai !"
Elle saisit Lisette aux épaules, la poussa doucement mais irrésistiblement vers son lit. Lisette tremblait d’émotion, de plaisir et aussi de peur.
Pour une fois Denise la regarda différemment, comme un homme qui voudrait la violer. Elle ferma les yeux et se laissa guider. Elle avait toujours désiré avoir cela, un homme qui la violenterait doucement.
Elle se mit tellement dans cette situation qu’elle se crispa et qu’elle commença à pisser de peur. Denise la jeta sur le drap de caoutchouc qui recouvrait le lit dans toute sa largeur, et la pénétra brutalement.
Lisette se cabra, cherchant à se soustraire à la queue en caoutchouc.
Mais Denise la clouait inexorablement sur le drap en caoutchouc et commença à la baiser à grands coups. La dessus, une étrange tension s’empara d’elle. Elle regarda attentivement sous elle, Lisette haletante, les jambes écartées et sut d’un seul coup ce qu’éprouve un homme lorsqu’il monte une femme, lorsqu’il la terrasse et la possède avec sa ’baguette magique’. Elle n’était plus Denise tout à coup, mais Gustave qui dépucelait Lisette maintenant consentante et soumise, les jambes écartées. Cette pensée excita considérablement Denise. La culotte mouillée et le pieu en caoutchouc bouclé directement sur sa moule firent le reste en gonflant son clitoris. Lorsque Lisette commença à gigoter sous elle, Denise jouit encore une fois et tomba frémissante sur son amie qui gémissait violemment.
Enlacées étroitement, elles laissèrent fondre leur excitation. Alors Denise retira avec un bruit de succion, le membre en caoutchouc de la chatte ruisselante de Lisette et se leva un peu raidie. Elle jeta un regard à sa montre et dit :
"Nous devons nous lever. Il est déjà huit heures et je ne voudrais pas, le premier jour aller en retard chez ta mère."
Lisette s’étira sur le drap en caoutchouc et, frémissante, pressa ses deux mains entre ses cuisses.
"Ha, Denise !" soupira-t-elle, "pourquoi n’es tu pas un homme ? Tu m’as vraiment fait l’amour. Je suis venue à l’orgasme en courant. Je voudrais chaque jour me laisser baiser par toi, toi, le magnifique membre et le caoutchouc… Simplement divin."
Un quart d’heure plus tard, Denise était de nouveau une femme de chambre.
Toutes les traces du combat amoureux précédent avaient disparu. Dans sa culotte en caoutchouc propre elle avait collé une légère garniture de slip que Lisette lui avait donnée sur sa réserve. Lisette, quant à elle, avait renoncé à ses couches. Elle demanda à Denise de lui mettre à la place, une solide culotte en caoutchouc brun. Pendant qu’elle tenait sa chemise et sa robe remontées à la taille, Denise lui plaçait tendrement la culotte autour de ses hanches, passait entre ses cuisses la partie de devant et boutonnait avec soins la culotte en caoutchouc. Elle examina son travail et pleine de convoitise, passa encore une fois la main entre les cuisses de Lisette, lui donna une fine tape finale sur son derrière caoutchouté et dit en faisant la révérence :
"Mademoiselle, la culotte vous va d’une manière distinguée."
"Vous semblez rudement lubrique, Mademoiselle !" singea Lisette en riant et elle laissa retomber sa chemise et sa robe. Exactement à huit heures trente Denise se présenta devant la chambre de Madame, et frappa à la porte.
"Entrez, Denise."
Elle entendit la voix de Madame et entra. Madame Babouche était couchée dans son lit et était occupée à peigner ses longs cheveux blonds cendrés.
Elle adressa un sourire à Denise et lui fit signe d’approcher. D’un mouvement rapide et naturel elle passa la main sous la robe, et, satisfaite, hocha la tête.
"C’est bien, je vois que vous avez suivi mes conseils. Une couche aurait été certainement bien plus sûre. Cependant pour vous habituer, je veux vous laisser d’abord essayer la petite garniture de slip. En tout cas elle convient pour une jeune fille. Le caoutchouc nu est trop excitant et conduit à des idées inconvenantes."
Pendant qu’elle parlait, les bouts de ses doigts caressaient délibérément la place où l’on pouvait sentir, malgré la culotte en caoutchouc et la garniture, sa fente. Denise devint nerveuse.
"Pas cela, Madame, cela me chatouille." gémit Denise rougissante, mais consentante, elle écarta les cuisses.
"Ainsi, c’est l’effet que ça te fait." répliqua Madame Babouche en souriant et elle glissa encore une fois sa main plus intimement. "On devrait te tanner le derrière. Mais viens, aides-moi à changer de linge !"
Elle rabattit la couverture de soie et ouvrit son négligé. Denise retint sa respiration. Fascinée, elle regarda ce corps de femme immaculé, nue jusqu’à sa culotte en caoutchouc rose, couchée devant elle dans son négligé comme une séductrice.
"Qu’y a-t-il, Denise ?" retentit la voix un peu goguenarde de Madame.
"Pourquoi me regardez-vous si fixement ?"
"C’est… C’est… Oh, Madame, vous êtes merveilleuse !"
Lentement, comme sous une pression inexorable, elle se pencha sur le lit et en gémissant enfouit son visage dans la culotte en caoutchouc chaude et humide de Madame. Comme une asphyxiée, elle aspira le parfum indescriptible si excitant qui se dégageait d’elle, un mélange d’odeurs de poudre, de lit, de femme en chaleur et de couches pleines de pisse chaude. Madame Babouche passa doucement la main dans les cheveux de Denise et commença à la caresser tendrement.
"Denise, ma petite, la caoutchouc vous rend complètement lubrique. Mais par contre, nous devons absolument essayer quelque chose !"
Là-dessus, elle ouvrit ses cuisses accueillantes pour donner à Denise les meilleures possibilité de venir à sa moule. Denise comprit l’invitation et fouilla violemment de ses lèvres chaudes les plis de sa culotte en caoutchouc.
"Mon Dieu, Denise…" gémit Madame Babouche, elle leva son derrière en l’air et glissa sa culotte en caoutchouc avec les couches mouillées au-dessus de ses fesses. Denise réprima un gémissement de volupté. Madame Babouche était proprement rasée, sa fente rose pâle luisait comme une pêche veloutée. D’un grand cri éraillé, Denise tira plus haut la culotte en caoutchouc, écarta les lèvres lisse de sa chatte entre lesquelles elle laissa glisser sa langue. Au même moment, Madame Babouche glissa sa main gauche dans la culotte en caoutchouc de Denise, se fraya un chemin dans sa fente brûlante jusqu’au clitoris même. Ses doigts fouillèrent profondément dans le trou avide. Les orgasmes arrivèrent presque en même temps. Pendant que Madame Babouche gémissante, jouissait des dernières ondes de plaisir, une éruption se déclencha chez Denise que sa moule laissa déborder. Denise, son visage trempé de sueur, fouillant encore profondément dans la culotte en caoutchouc mouillée, dans un gémissement étranglé, serra ses cuisses sur les doigts de Madame Babouche qui la branlait. Un silence pesant régna durant les deux ou trois minutes qui suivirent.
Alors Denise perçut la voix de Madame.
"Denise, levez-vous ! Comment pouvez-vous vous laisser aller ainsi ? C’est Pire que ce que j’avais redouté. Je devrais vous tanner les fesses, mais nous n’avons pas le temps. Venez m’aider ! Nous sommes déjà en retard pour le petit déjeuner."
Madame avait entièrement retiré sa culotte en caoutchouc et se tenait maintenant implorante devant sa femme de chambre. Se sentant un peu coupable, Denise se hâta de préparer Je bain et rangea la garde-robe de Madame. Ensuite elle l’aida à mettre son porte-jarretelles, ses bas de soie et à passer un slip en caoutchouc de couleur lilas, lui apporta sa robe de chambre, la parfuma discrètement et termina en la frisant.
"Vous êtes très adroite, Denise." remarqua Madame Babouche.
"Lorsque vous vous levez, on note que vous avez travaillé dans de bonnes maisons. Cela me tranquillise. Je pense que nous nous entendrons très bien, malgré votre manque de maîtrise. Mais vous ne pouvez pas servir aussi ébouriffée que vous êtes maintenant."
Elle claqua des mains.
"Vite ! Faites-vous fraîche et mettez de l’ordre dans vos vêtements, et changez votre culotte. J’ai dans l’idée aussi que ces garnitures épaisses ne seront pas suffisantes ! Tenez, vous pouvez en prendre une des miennes.
Un moment. Oui, c’est ce qu’il y a de mieux pour vous !"
Madame prit dans son armoire une culotte en caoutchouc descendant jusqu’aux genoux et une couche épaisse. Denise, rouge de honte, ôta sa culotte et en retira la garniture trempée de son débordement.
Sous le regard bienveillant de Madame, elle se lava dans le bidet.
Ensuite elle plaça la couche entre ses jambes et commença à remonter la culotte. Madame Babouche l’aida ensuite à bien la mettre en place.
"Bien !" dit-elle, satisfaite, "Je pense que vous plairez particulièrement à mon père. Il aime quand on peut voir la culotte. Nous y allons ?"
Denise vit avec effarement dans la glace, que les bords élastiques de la culotte en caoutchouc dépassaient de plus de la largeur d’une main de la robe et regarda Madame un peu effrayée. Celle-ci fit cependant un signe de tête encourageant à sa femme de chambre, et dit :
"Mais si, mais si, venez ! Vous plairez sûrement à ma famille."
Avec des sentiments mélangés, elle entra derrière Madame babouche dans la salle du petit-déjeuner où elle était attendue avec un vif intérêt.
Madeleine, une personne décharnée aux cheveux blancs et Charlotte, la cuisinière, épaisse, au visage rouge, se tenaient contre la porte et l’attendaient avec un regard sans équivoque.
"Un petit derrière bien ferme, comme Monsieur aime les tanner…"
entendit Denise. Grand père Pierre se leva de table, côté face, et examina Denise avec ses sourcils relevés, comme un officier de Cavalerie examine un nouveau cheval. Alors son visage, creusé de mille petites rides par le temps, grimaça et le collier de barbe grise commença à trembler. Une charmante révérence à sa fille et un clignements d’yeux fugitif à peine perceptible pour Denise.
"Saillante, mon aimée."
Ces trois mots sortirent favorablement de ses lèvres et la tension générale tomba. Denise vit d’un seul coup d’oeil qu’elle était adoptée à Saint-Montagneux. Le vieux monsieur lui plut. Elle se connait un faible pour les hommes grisonnants, les vrais hommes, et elle sut avec un serrement de coeur qu’elle ne dirait pas non au grand père Pierre.
Furtivement elle observa Monsieur Babouche qui était relégué un peu à l’arrière plan à la suite de l’entrée en scène pétulante de son beau-père. Il était grand et sombre de cheveux. Au premier regard, un bel homme. Mais il paraissait nerveux et ses mouvements consomptifs et incontrôlés. La façon dont il la regardait, le regard lubrique qui la déshabillait en bonne et due forme et ses lèvres beaucoup trop molles pour un homme, tout cela déplut à Denise. Elle connaissait ce genre d’homme et se doutait que Monsieur Babouche chercherait le premier à l’entreprendre. Elle décida d’être sur ses gardes et de créer une situation claire. Le petit-déjeuner se passa joyeusement et l’appétit fut en rapport. Denise avait besoin de ses deux mains pour servir les friandises amenées par Charlotte en sueur. Lorsqu’elle servit grand-père Pierre, celui-ci passa la main sous la robe et lui pinça les fesses de grand coeur. Sans un mot de surprise et sans interrompre son travail, elle le frappa sur les doigts. Alors elle se retourna, coquette, faisant virevolter sa petite robe étroite ce qui attira encore plus son regard sur sa culotte en caoutchouc. Elle lui dit si doucement que Lisette assise à côté de lui ne le comprit pas :
"Attention, Monsieur, une jument rue volontiers le matin de bonne heure."
"Parbleu, vous me plaisez." répondit-il aussitôt à voix basse, et tous les deux furent d’accord. Après que la table fut ramassée et que Madeleine et Charlotte eurent desservi, Monsieur Babouche se leva en toute hâte, effaça les plis de sa cravate et dit :
"Denise, venez aussitôt après dans ma chambre, je vous prie. J’ai à vous parler !"
Denise hocha la tête et intercepta le long regard scrutateur que Madame Babouche jetait à son mari. Grand-père Pierre faisait le désintéressé, Lisette avait incliné la tête et se mordait les lèvres.
"Ha !" pensa Denise, "Ca se déclenche !"
Docile elle se rendit dans la chambre de Monsieur Babouche. Lorsqu’elle entra, il se tenait, l’attendant déjà, devant son gigantesque bureau sur le dessus en marbre duquel, se trouvait une canne de jonc jaune. Il la regarda sévèrement. Il toussota et dit :
"Denise vous êtes jeune et récalcitrante. Vous avez montré votre derrière à mon beau-père, ce respectable vieillard au-dessus de tout reproche.
C’était tout simplement dévergondé. Pour cela je vous tannerai les fesses afin qu’à l’avenir vous teniez mieux votre lubricité sous contrôle."
A ces mots, il sortit de derrière son bureau et saisit Denise sous le menton.
"D’ailleurs ma femme semble vous apprécier. Je veux connaître et voir au moins une fois, ce que l’on peut entreprendre avec vous. Et ainsi, faire.
Marchez, couchez vous sur le dossier du fauteuil !"
Denise sourit, passa de l’autre côté du bureau à petits pas, d’un léger mouvement jeta en l’air la canne et se pencha sur le dossier du fauteuil.
Des deux mains, elle tendit la culotte en caoutchouc sur ses fesses.
Monsieur Babouche était pour le moins justement surpris comme l’était son beau-père peu de temps auparavant. Cette jeune fille réagissait tout à fait autrement que les jeunes filles de province qui avaient travaillé jusque maintenant à Saint-Montagneux. Il avait attendu une protestation ou au moins une marque de frayeur. Maintenant, indécis, il tenait la canne dans la main, lorsque Denise prit l’initiative. Provocante, elle se retourna et alla s’asseoir sur les genoux de Monsieur Babouche. Du bout des doigts elle ouvrit son pantalon et en très peu de temps elle avait fourré dans sa bouche la longue queue dure comme un os.
Sa tête commença un lent et régulier mouvement de haut en bas. Lorsque sa main menue et fraîche se referma autour de ses couilles tendues, la sueur envahit le front de Monsieur Babouche et un bruit sifflant s’échappa de ses lèvres. Hâtivement, il arracha de son pantalon descendu, un mouchoir de soie et le pressa dans la main de Denise. Une seule fois seulement elle leva rapidement les yeux et hocha brusquement la tête.
"Je prends le café par principe avec de la crème." Dit-elle, avec jouissance dans un clappement de langue et elle retroussa les lèvres sur le gland palpitant. La dessus elle commença à pomper et absorba la sève blanche s’échappant en de longs jets. Elle effleura doucement le gland rouge du bout de la langue et arrima soigneusement l’objet tout entier dans le pantalon. Avec un sourire impénétrable sur ses lèvres brillantes d’humidité, elle se releva et souhaita une heureuse journée à Monsieur Babouche. Dans le vestibule, attendait Lisette qui la pressa de questions, pour savoir si cela lui avait fait mal. Denise posa un doigt sur ses lèvres et tira Lisette dans la niche la plus proche. Riant sous cape, elle souleva sa robe et baissa sa culotte en caoutchouc, montrant fièrement son derrière lisse à son amie. Lisette frappa dans ses mains avec enthousiasme et glissa indiscrètement sa main dans la couche de Denise.
"Tu n’es pas encore mouillée." constata-t-elle avec étonnement.
"Si papa ne t’a pas tanné le derrière ; il t’a sûrement couchée sur le bureau. Denise, ne me mets pas ainsi au supplice ! Dis-moi comment mon père t’a fait cela."
"Tu peux deviner trois fois." répliqua Denise et une donna à Lisette un bon baiser. Lisette hésita, et promena le bout de sa langue sur ses lèvres.
"Tu sens le sperme ! Tu as sucé papa, avoues-le !"
"Devines." répondit Denise en riant. "Il ne savait absolument pas ce qui lui arrivait et il a éjaculé du premier coup." Elle cligna de l’oeil, confiante.
"Toutes les deux, nous l’enseignerons aux hommes du domaine. Ne le penses-tu pas aussi ? Et ce soir je vais mettre Jacques à l’épreuve !"
Lisette regarda Denise un peu septique.
"Jacques pourra à peine attendre pour te prendre sur sa queue. Il est fort. Beaucoup plus fort que papa. Ne sois pas si sûre de pouvoir t ’en débarrasser si rapidement. Je pense plus tôt qu’il te donnera le coup de grâce en une seule fois. Maintenant viens, nous devons nous changer et conduire ensuite Madeleine au marché."
La journée s’écoula très vite. Après le dîner elle eut du mal a attendre que Madame se retire et qu’elle la libère pour le reste de la soirée. Elle avait enveloppé Lisette dans ses couches et dans sa culotte en caoutchouc.
Un peu plus tard elle la regarda avec jalousie entrer furtivement chez Jacques après s’être glissée le long des bâtiments d’exploitation.
Maintenant Denise se tenait nue, tremblante d’émotion devant la commode ouverte et examinait ce qu’elle devait mettre comme culotte. Enfin elle se décida pour une culotte en caoutchouc blanc qui se fermait sur les cotés par des boutons pressions. Pendant un moment elle s’imagina comme elle serait tannée par Jacques dans la paille avec sa robe remontée et sa culotte en caoutchouc déboutonnée. Vite elle balaya ses pensées lubriques, elle mit un porte-jarretelles, enfila ses bas de soie noire sur ses longues jambes, les accrocha solidement et boutonna ensuite sa culotte en caoutchouc tout en se regardant dans la glace.
"Je me sens follement lubrique." constata-t-elle et elle glissa une main entre ses cuisses.
"Mon Dieu, le caoutchouc me rend folle, entièrement folle !"
Vite elle passa sa petite robe courte, ouvrit doucement la porte de la chambre et scruta les alentours. Tout était tranquille. Elle descendit l’escalier sur la pointe des pieds et quitta la maison sans bruit. À la pénombre du crépuscule, elle traversa rapidement la cour vers la petite maison des domestiques dont les fenêtres tendues de rideaux, laissaient filtrer une lueur traîtresse. Lorsqu’elle s’approcha très près, elle entendit des gémissements et des mots incohérents bredouillés par Lisette.
La porte craqua nettement lorsqu’elle l’ouvrit et se glissa à l’intérieur.
Mais elle ne sembla pas troubler les deux acteurs sur le sofa. Denise s’arrêta brutalement. Le tableau qui s’offrait à ses yeux la rendit instantanément humide entre les cuisses. Devant elle, Jacques, les fesses nues, couvertes de poils, se motivait à grands coup de haut en bas. Son dard énorme semblait défoncer la chatte humide et ruisselante de Lisette.
En dehors des deux cuisses qui gigotaient elle ne voyait à première vue, absolument rien de Lisette. Tout le reste de son corps était enseveli sous Jacques et sous un grand drap en caoutchouc brun qui recouvrait aussi son visage. Les mains de Denise se dirigèrent tout naturellement entre ses cuisses, vers la culotte en caoutchouc chaude et humide. Fascinée, elle regarda fixement les jambes largement écartées de Lisette. L’une d’elle pendait sur le bord du sofa, l’autre à la cheville de laquelle pendait la culotte en caoutchouc mouillée de Lisette, se balançait, dressée contre le dossier du sofa. Peu après, Lisette commença à geindre d’une voix caverneuse et à freiner la queue de Jacques entre ses fesses.
"Dieu, maintenant, ça vient !" murmura-t-elle, excitée. Jacques s’arrêta et descendit de Lisette, lorsqu’il sentit le corps de la jeune fille mollir sous lui. Encore un peu absente, Lisette s’assit aussi. Le drap en caoutchouc glissa à terre en bruissant. Avec des yeux ravis, elle vit d’abord Jacques avec sa queue toujours raide et ensuite Denise.
"Oh !" dit-elle d’un air effrayé. "Tu es déjà là ? As-tu vu comme Jacques m’a merveilleusement baisée. Trois fois il m’a fait jouir et il est encore prêt à côté de moi. Ça c’est un homme !"
Son regard tomba sur les mains de Denise qui jouaient toujours entre ses jambes et avec en regard de côté sur Jacques, elle dit :
"Vas-y, Jacques ! Qu’attends-tu ? Tu ne vois pas comme elle mouille déjà ?
Viens, maintenant c’est ton tour, Denise !"
Ce faisant, elle se leva et poussa Denise presque avec violence sur le sofa. Nerveuses et brûlantes, ses mains retroussèrent la robe au-dessus de sa tête et une langue rugueuse agaça ses mamelons de sorte que les boutons se redressèrent durs et raides. En un tour de main, le caoutchouc brun fut étendu sur le sofa et une voix à peine perceptible murmura à son oreille :
"A genoux, Denise, à genoux que je puisse déboutonner ta culotte en caoutchouc. Jacques doit te prendre par derrière. C’est généralement par là qu’on jouit le plus."
Denise explosa pratiquement de lubricité. Gémissante, elle se baissa, la tête en avant et ouvrit automatiquement les cuisses. Elle sentit le drap humide sur sa peau et y enfonça exprès son visage et sa poitrine. Ce faisant, elle aspira l’odeur intime de Lisette parfumant encore le caoutchouc. Sa culotte en caoutchouc était à peine déboutonnée que Jacques commença à la baiser. Maintenant elle était couchée, les jambes relevées haut et ouvertes.
"Ah…" gémissait-elle dans le drap en caoutchouc. "Fourres-le moi maintenant. Ne me laisses pas attendre plus longtemps. Il y a longtemps que je n’ai pas eu une queue brûlante dans la chatte. Oui !…"
Tremblante, elle leva son derrière et accueillit la queue de Jacques dans toute sa longueur. Dieu, qu’il entra profondément ! Denise commença à étouffer. Peu s’en fallu qu’elle y reste.
"Un moment !" haleta-t-elle. "Je dois d’abord m’habituer au calibre !"
et elle jeta la tête en arrière, respirant avec difficulté.
"Ne prends pas ça tant au tragique." dit Lisette cherchant à la réconforter. "Ca m’est arrivé aussi la première fois. J’ai même vomi lorsque j’ai senti son épaisse ceinture dans le creux de l’estomac."
Jacques pressait fermement le visage de Denise trempé de sueur sur le drap en caoutchouc et frappait de gauche à droite, le dos de Denise avec les deux extrémités du caoutchouc. Ensuite il recommença à la pilonner par derrière. Denise eut la chair de poule et tout son corps vibra. Un délicieux élancement se concentra de sa poitrine en passant en passant par les hanches jusqu’au centre de sa chatte en chaleur et le premier orgasme arriva comme une explosion. Avec un cri perçant extraordinaire, elle tordit le drap en caoutchouc placé sous elle et resta les flancs frémissants comme une jument couverte par un étalon fougueux. Sa moule palpitante se contracta autour de la virilité bouillante de Jacques, prête, lorsqu’il eut déchargé, à expulser une queue flasque et glissante.
Mais la queue de Jacques resta dure et raide. Denise le reconnut, douloureusement. Son trou humide resta rempli et elle ressentit alors une nouvelle poussée de Jacques qui la baisa de nouveau tranquillement.
Denise suait de tous les pores et serrait fortement les dents. Tout doucement l’élancement spasmodique se relâcha pour faire place à une nouvelle jouissance. Jacques s’était penché sur la nuque de Denise et avait commencé à malaxer et à masser sa poitrine sous le drap en caoutchouc.
"Ah… Ah… Oh… Ha… Ha, continues… Baises-moi, vas-y…
Maintenant… Ha… Je ne peux plus… Oh… Retires-le moi… Je ne peux plus !"
"Tu ne le crois pas toi-même !" grommela Jacques. "Maintenant ce n’est pas fini. Restes bien la tête sous le drap et redresse ton derrière !"
Là-dessus, il retira sa queue de la chatte béante de Denise et la pressa lentement mais irrésistiblement contre son étroit trou du cul. Denise commença à gémir. Sans volonté, elle gisait sur le drap en caoutchouc qui entre temps avait été trempé comme une soupe, et désirait une seule chose : être délivrée de cette super-queue.
"Lisette, aides-moi donc !" murmura-t-elle, toute apathique et vaincue par Jacques. Lisette se pencha sur les fesses de Denise et laissa sa langue tourner autour de la queue de Jacques et du derrière de Denise.
Sa main malaxait les couilles bien tendues qui pendillaient rythmiquemment contre la chatte tuméfiée de Denise. Celle-ci contracta son anus et enferma fermement la queue de Jacques. Maintenant Jacques poussait également des gémissements et avec un soupir sonore il déversa sa sève dans son derrière. Il griffa les fesses de Denise et souffla profondément, le visage enfoui dans le caoutchouc sur le dos de la jeune fille. Elle sentit venir le dernier orgasme et fermant les yeux, elle perdit presque connaissance.
Lentement elle essaya de se relaxer et se laissa aller. Lorsqu’elle put enfin exprimer une idée claire et qu’elle se fut libérée du caoutchouc, elle vit Jacques qui était assis sur une chaise et qui lui proposait en souriant un verre de vin rouge. Lisette était accroupie entre ses cuisses, déjà de nouveau active car elle avait dans sa bouche sa queue dans un état ramolli et la suçait avec empressement.
"Eh bien, comment te sens-tu ?" demanda Jacques et dans sa voix résonnait un peu d’inquiétude.
Engourdie, Denise se leva, prit le verre de vin et sourit faiblement.
"Tu m’as achevée en beauté !" répondit-elle d’une voix pleine de reproche.
"Je n’ai encore jamais eu une pareille queue et je m’y suis faite difficilement. Et dans les deux trous, encore ! Oui, et par dessus le drap en caoutchouc follement excitant. Ca, aucun homme ne le supporterait."
Jacques hocha la tête.
"Tu vois, je l’ai dit également. Tu es une jeune fille intelligente, tu as assez vite saisi ce qui se passe ici à Saint-Montagneux. Et comment est-ce ? Veux tu y rester ?"
"Hum. Je ne sais plus. Peut-être tout cela est-il trop excitant, trop fatiguant pour moi." Denise sourit par en dessous. "Ou bien, penses-tu que je devrais rester ?"
Jacques regarda sans façon la femme nue devant lui et dit alors d’une voix traînante :
"Nous nous accordons très bien ensemble, ou pas ?" Ce faisant il fit un clin d’oeil, et en signe de possession, passa sa main entre les cuisses de Denise.
"Eh, un moment s’il te plaît !" protesta Lisette. Elle avait recraché le membre flasque de Jacques et s’était levée à son tour.
"Je ne suis absolument pas d’accord avec cela. Je dois déjà partager Jacques avec maman, Denise, tu ne peux pas le revendiquer pour toi toute seule !" Denise leva les mains en signe de défense :
"Tranquillises-toi, je ne te l’enlèves pas. J’ai beaucoup trop peu de temps pour aller voir Jacques constamment. Bien que…?" Ce disant, elle saisit avec envie l’énorme queue et commença à la branler délicatement, "Bien que je voudrais encore l’avoir par-devant et volontiers par derrière.
Mais pourquoi se disputer ? Regardes, il est déjà presque raide.
Laisses-nous nous en servir le soin."
"Tu as raison, Denise ! Viens, Jacques ! Allons dans ta chambre."
Lisette prit le drap en caoutchouc mis à rude épreuve et tira Jacques derrière elle dans la pièce voisine en passant par une petite porte. Là, elle étendit soigneusement le caoutchouc sur le matelas du large lit campagnard et bondit dessus. Elle s’étira agréablement sur le caoutchouc et tendit le bras à Denise.
"Viens, Denise ! Jacques, laisses nous un peu papoter ! Jacques le vit bien lorsque les deux jeunes filles le poussèrent ensemble. Elle tira Denise sur le lit, la laissa s’allonger et les jambes écartées, monta sur elle dans la position du 69. Elle écarta les cuisses de Denise et enfouit son visage dans le triangle rose.
"Aie !" laissa échapper Denise, lorsqu’elle sentit la langue de Lisette sur son clitoris et le caoutchouc humide sur ses fesses. Elle empoigna solidement les fesses de Lisette et les attira à elle. Elle commença d’abord à lécher sa petite rosette et ensuite laboura sa fente rose de sa langue plate.
"Oh, Denise, que fais-tu là ?" bredouilla Lisette, émerveillée, et elle écarta encore plus les cuisses. De la main, elle pêcha la queue du cocher qui regardait avec enthousiasme le jeu fascinant des deux jeunes filles et se tenait accroupi contre le lit.
"Viens un peu plus près afin que je puisse branler ta super-queue."
murmura Lisette d’une voix éraillée et tout en remuant d’un mouvement circulaire son robuste derrière sur la langue de Denise.
"Arrêtes !" dit Jacques en s’écartant, "Je dois d’abord aller pisser."
"Non, non, restes ! Laisses moi sentir ton jet ! Pisses-moi dessus !"
Haussant les épaules, Jacques se plaça devant Lisette qui se redressa un peu, tenant sa poitrine dans ses deux mains. Plein de savoir faire, il visa les deux globes élastiques et laissa couler son jet sur eux. Lisette regarda, pleine de convoitise, les perles jaunes qui jaillissaient vers elle et qui cherchaient leur chemin sur son ventre et aussi celui de Denise avant de se perdre dans les plis du drap en caoutchouc. Lisette, ravie, glissa sur le visage de Denise qui bientôt étouffa sous elle. Pour se procurer un peu de place, celle-ci mordit légèrement les lèvres du sexe de Lisette. C’était la dernière goutte qui fait déborder le vase, Lisette glapit et se tassa secouée par l’orgasme. Denise se glissa doucement de dessous elle et s’assit sur l’arête du lit. Elle attira Jacques à elle et lui prit sa queue entre les lèvres.
"Afin que tu ne jouisses pas trop vite," murmura-t-elle, et elle glissa en même temps un doigt dans son trou du cul. Jacques gémit et sa queue raide sauta en l’air comme un ressort. Peu s’en fallut qu’il ne s’échappe de la bouche de Denise. Pendant qu’elle picorait tout autour, elle remarqua Lisette, toujours étendue de tout son long sur le lit.
"As-tu déjà baisé une fois entre les nichons ?" demanda Denise, et lorsqu’il la regarda avec un froncement de sourcils, elle le poussa sur Lisette et plaça son membre raide entra les seins fermes de son amie.
Elle s’accroupit alors derrière sa tête, la prit sur ses genoux et par derrière, pressa l’un contre l’autre les deux mamelons durcis.
"C’est étroit !" laissa échapper Jacques et il commença, plein de joie, à baiser Lisette entre ses seins. Lisette regardait curieusement le gland brillant d’humidité qui apparaissait et disparaissait à chaque coup.
Lascive elle se lécha les lèvres. Denise se plaça devant l’endroit où maintenant Lisette aurait préféré avoir la petite tête violacée.
"Où est ma culotte en caoutchouc ?" demanda Lisette tout à coup.
"Je veux avoir ma culotte en caoutchouc." Denise se pencha sur le bord du lit, pêcha la culotte rose et lui la tendit. La jeune fille plaça la culotte sous son menton et recueillit dedans toute la sève lorsque Jacques éjacula. Jacques se leva de dessus Lisette, une fois de plus content de lui et du monde. La petite se redressa, replia soigneusement la culotte en caoutchouc pour ne rien perdre du jus exquis et demanda avec un regard de côté sur Denise :
"Aimes-tu la crème comme dessert ?"
"Quel genre de petite salope lubrique, es tu donc ?" dit Denise en hochant la tête et elle vit combien Lisette semblait jouir en avalant le contenu blanchâtre et visqueux de la culotte en caoutchouc. Il était presque minuit et Denise se souvint de son obligation. Elle exhorta Lisette à aller au lit.
"Tu veux être toute seule maintenant avec Jacques pour qu’il puisse encore te baiser !"
"Mais non, Lisette. Tu oublies que je suis ta femme de chambre. J’ai des responsabilités envers toi et pour cette raison, je dois maintenant te mettre normalement des couches et te conduire au lit, d’accord ?"
"Je ne veux pas aller au lit !" Lisette frappa du pied.
Denise regarda Jacques, cherchant une aide. Celui-ci inclina la tête en silence, empoigna Lisette sans un mot et lui enfila sa culotte en caoutchouc. Puis il tira la môme gigotant et vociférant sur ses genoux et lui tanna les fesses par dessus sa culotte en caoutchouc. Instantanément, Lisette l’écouta et resta tranquille. Denise était convaincue que cette portion de Lisette jouissait de toutes les fibres de son corps. Elle l’enviait même secrètement, car elle aurait aimé recevoir de cet homme la fessée sur sa culotte bien tendue. Après cela, Lisette fut une brave petite-fille. Gentiment, elle descendit sa culotte en caoutchouc découvrant ses fesses rouges, et soumise, elle écarta les jambes et se laissa mettre une couche par Denise.
Là-dessus les deux jeunes filles regagnèrent rapidement et silencieusement la maison domaniale. Devant sa chambre Lisette enlaça Denise et lui donna un baiser.
"Tu es un amour, Denise." murmura-t-elle. "Je suis contente que tu sois là. Demain de bonne heure, je te réveille. Oui ?"
"Bon, mon trésor. Mais maintenant il faut dormir. Plus de bêtise !"
Denise et elle lui rendit son baiser. Lentement elle monta l’escalier et entra dans sa chambre. Sur le lit, grand-père Pierre était assis. Effrayée, Denise pressa la main sur sa bouche. Grand-père leva la lampe de chevet vers elle et la regarda curieusement.
"Eh bien ! Fille de nuit dévergondée !" dit-il sèchement, "Vous semblez avoir très bien baiser avec Jacques ? De quelle façon ? Et aussi avec Lisette cette petite coquine lubrique ? Avouez-le !"
Résignée, Denise se laissa tomber sur le lit à côté du grand-père, à ce moment tout lui était égal.
"Oui, vous avez raison." Répondit-elle à voix basse. "Nous étions chez Jacques. J’ai encore mal partout où le drôle m’a prise."
Le grand-père cligna des yeux.
"Je me l’imagine, Mademoiselle. Lorsque j’ai voulu, tout à l’heure, respirer un peu d’air frais, j’ai vue encore de la lumière chez Jacques.
Je me suis dit qu’il y avait quelque chose là-dessous et alors j’ai décidé de venir ici et d’attendre la petite demoiselle. Je crois maintenant que je dois vous mettre au lit."
Denise sentit tout à coup, un besoin extraordinaire de se confier au vieil homme.
"Oui, faites-le. Je vous en prie, conduisez-moi au lit."
"Vous, petite-fille mal élevée, vous !" murmura le grand-père, contrefaisant une voix sévère. Alors il releva Denise, déboutonna sa petite robe et commença à la déshabiller. En souriant béatement, il détacha les bas, les roulant, les ôta de ses chevilles. Cérémonieusement il dégrafa le porte-jarretelles. Maintenant, Denise se tenait devant lui uniquement vêtue de sa culotte en caoutchouc. Grand-père Pierre claqua de la langue en connaisseur. Alors il dit, provoquant :
"Petite fille mal élevée, venez recevoir la fessée sur votre culotte bien tendue, avant de vous expédier au lit, pas vrai ?" Il grimaça d’une façon presque canaille. Denise inclina la tête et spontanément se coucha sur ses genoux. D’une main elle tendit fortement la culotte sur ses fesses et, provocante, elle remua son derrière.
"Pas mal !" dit grand-père Pierre, et sans façon il lui glissa par-devant une main entre ses cuisses et de l’autre lui tanna le derrière jusqu’à ce qu’elle fut tout étourdie. Denise se mordit le poignet. Les coups appliqués à la même place lui firent monter les larmes aux yeux.
Mais elle avait tellement désiré cette punition, et elle se sentait si peu punie. Tout le contraire. À chaque coup qu’elle recevait, elle jouissait de plus en plus et lorsqu’elle sentit la queue durcie du grand-père se presser contre son ventre, elle était de nouveau toute trempée entre les jambes.
"Oui, continuez, donnez la fessée à votre petite fille mal élevée ! Tenez bon, oui je l’ai mérité… Haaa… Ooh… Je jouis… Ooh… !"
D’une secousse elle serra les jambes et sentit comme sa sève coulait dans la culotte. Combien d’orgasmes avait t’elle eu aujourd’hui ?
Grand-père Pierre laissa disparaître l’excitation de Denise et releva sa taille svelte comme un ressort et la laissa glisser sur le lit. À la vue de la culotte humide, du drap en caoutchouc dans je lit, il leva les sourcils et dit :
"Ou vous connaissiez déjà le drap en caoutchouc avant que vous arriviez, ou vous vous êtes laissée convaincre vite et bien par ma fille, depuis un jour."
"Non, pas votre fille, Monsieur, mais Lisette. Elle me l’a parfaitement montré."
"Naturellement." dit-il. "J’aurais du m’en douter. La coquine court toute la journée dans sa culotte en caoutchouc et pisse dans ses couches comme un bébé."
Pendant qu’il parlait, il s’était penché sur Denise et avait commencé à la caresser doucement. Denise s’imagina sentir le bout de ses doigts sur tout le corps. De la nuque jusqu’au bout des orteils, elle ressentit un picotement agréable. Détendue elle ferma les yeux, ses doigts tâtèrent la braguette du pantalon du grand-père et délivrèrent la queue noueuse et dure.
"Je veux avoir une sucette pour dormir." murmura-t-elle.
Languissante, elle se tourna sur le côté et se mit à sucer le bout de sa queue. Grand-père la laissa faire et caressa légèrement la pointe de ses seins. Lorsqu’il se déversa, un sourire apparut sur son visage et gardant les yeux fermés elle recracha sa semence. D’un mouvement nonchalant, du bout de la langue elle lécha la dernière goutte laiteuse au coin de sa bouche, ensuite elle s’étira sur le drap en caoutchouc, glissa une main entre ses cuisses et s’assoupit en paix. Grand-père frisa sa barbe et perdu dans ses pensées, quitta la chambre. Le premier jour caoutchouté de la femme de chambre Denise au domaine de Saint-Montagneux, prenait fin.