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n° 07767Fiche technique8473 caractères8473
Temps de lecture estimé : 6 mn
24/09/04
Résumé:  On peut faire plaisir même de loin.
Critères:  f h voir exhib vidéox fmast hmast fellation fgode
Auteur : Chaud      

Série : Mes histoires

Chapitre 02 / 02
Exhibition nocturne


J’avais remarqué depuis quelques temps un bel inconnu que je croisais parfois dans la cour de mon immeuble ou bien à l’occasion dans les boutiques des alentours, mais je n’arrivais pas à savoir s’il s’agissait d’un nouveau voisin ou d’un visiteur, et je ne me posais pas non plus plus de questions que ça à ce sujet !

Hier soir je me suis rendue compte qu’il s’agissait en réalité d’un invité de mes voisins d’en face, car c’est derrière leur fenêtre que je l’ai vu s’encadrer, sans que ceux-ci aient déménagé à ma connaissance.

Je n’ai pas pu retenir un mouvement de contentement, car il s’agissait véritablement d’un mec plutôt sexy, qui avait franchement attiré mon attention à chaque fois que je l’avais aperçu.

Et il se tenait à présent juste derrière la fenêtre des voisins, qui, de l’autre côté de la cour, faisait face à celle de mon salon.


J’étais confortablement installée sur mon sofa, en tenue légère - car il faisait chaud depuis quelques jours et je me mettais simplement en débardeur et en petite culotte pour me balader dans mon appartement - et je zappais sans trop prêter d’attention à ce qui se passait sur l’écran quand, détournant le regard vers ce qui se passait en face, je l’ai distinctement vu passer deux fois puis s’arrêter.


Sans d’abord y faire très attention j’ai continué à zapper jusqu’à ce que je tombe sur XXL (c’est une de mes chaînes préférées, vous devinez pourquoi !) et qu’une scène intéressante absorbe toute mon attention.


Il s’agissait d’une magnifique fellation, effectuée sur une très belle queue par une nana apparemment passionnée par son sujet, ce qui changeait des habituels regards de veau trop souvent croisés dans ce type de prestations.

Cette fille, une jolie blonde aux longs cheveux brillants, bimbo juste comme il faut, semblait s’éclater comme pas permis à tourner sa scène : elle suçait lentement la queue de son partenaire tout en coulant de temps à autre à la caméra un oeil coquin dans lequel se lisait une franche lubricité, bien paillarde et bien communicative.


La scène était filmée en gros plan, et à la voir faire ainsi glisser la hampe de l’acteur entre ses pulpeuses lèvres légèrement soulignées de gloss, je n’ai pas tardé à sentir un certain émoi m’envahir.

Elle allait plutôt doucement, rentrant toute la queue du type dans sa bouche avant de la laisser lentement ressortir, le tout avec un mouvement de lèvres extrêmement sensuel et gourmand, et des bruitages suggestifs en diable.

Elle n’oubliait pas de lui caresser les boules tandis qu’elle le suçait, et il accueillait ses caresses avec un plaisir évident.


Sans vraiment m’en rendre compte, j’ai glissé ma main entre mes cuisses, me touchant d’abord légèrement puis plus précisément au fur et à mesure que mon excitation augmentait . Peu de temps après, j’étais fort mouillée.


J’avais plus ou moins oublié le voisin quand, tournant la tête, je me suis aperçue qu’il n’avait pas bougé, semblant d’après l’angle de sa tête m’observer avec attention.

Mes fenêtres étaient ornées de rideaux qui, sans être épais, étaient assez foncés pour arrêter la plupart des regards, mais j’imaginais qu’il devait être possible de distinguer quelques détails à condition d’y mettre un peu du sien, ce qui supposait forcément un tempérament d’espion que mes voisins habituels ne possédaient à ma connaissance pas !


J’ai vu le type retirer son tee-shirt et je me suis demandé s’il allait bientôt dormir, mais il ne semblait pas vouloir bouger de devant sa fenêtre.

Puis il a levé la main et j’ai eu l’étonnement de le voir me faire un petit coucou, d’un geste assez décontracté.

Pour le moins étonnée, ayant toujours la télécommande dans une main, j’ai répondu à son geste en sortant l’autre de ma petite culotte avant de l’y replonger de plus belle.


J’ai alors eu envie de faire quelque chose de très provocant : je me suis levée et je suis carrément allée ouvrir le rideau, sans complexe.

Le voisin n’a pas bougé, mais j’ai pu le voir sourire, et j’ai fait de même.

Puis je me suis réinstallée confortablement dans mon sofa. J’étais suffisamment éloignée de la fenêtre pour être sûre que seul mon mateur inhabituel pouvait me voir, et j’ai bientôt eu l’idée de placer un miroir sur le canapé de façon à ce qu’il puisse aussi y voir le reflet du film porno que j’étais en train de regarder.

Il ne distinguait sans doute pas vraiment les détails, mais ce n’était pas ce qui m’intéressait. Le simple fait de savoir ce que j’étais en train de faire allait sans doute l’exciter bien plus que s’il avait eu le nez collé à la télé.

Et en effet, j’ai bientôt vu distinctement sa main frotter sa queue que j’espérais bien dure.


J’ai fait glisser ma culotte le long de mes cuisses, puis je me suis débarrassée de mon débardeur, afin d’être enfin nue et libre, et comme par magie j’ai fait aparaitre un vibro de sous le coussin du canapé. J’en gardais quelques uns planqués un peu partout, histoire de les avoir sous la main à la moindre envie, et caché dans le sofa j’en gardais un très joli, en gélatine rose.

Je l’ai porté à ma bouche et j’ai commencé à le sucer langoureusement. Le mec en face s’est mis à se branler à mon rythme.

Dans le film porno, la fille a arrêté de sucer son mec pour se mettre à quatre pattes, prête pour une levrette endiablée. L’éclairage était superbe, la scène était magnifique, et voir ce membre conquérant pénétrer activement cette petite chatte avide me faisait beaucoup d’effet.

Et à mon grand étonnement, je n’ai pas tardé à voir le voisin attraper quelque chose sur sa gauche puis le ramener devant son visage : il s’agissait d’une paire de jumelles.

Tout de suite, j’ai réagi en me mettant à quatre pattes, sans aucune pudeur. Imaginer cet inconnu me mater à la jumelle - et par la même occasion mater le miroir qui projetait maintenant une splendide scène de sexe debout - m’excitait comme une folle et je n’ai pas tardé à me goder avec énergie.


Je pouvais difficilement voir mon partenaire à distance, mais l’idée de son regard sur mon cul et ma chatte luisante - ce qu’il ne voyait sans doute pas d’ailleurs - me rendait plus vicieuse encore, désireuse d’être prise, ne serait-ce que par ses yeux. Il se caressait à nouveau, une main sur la queue et l’autre tenant ses jumelles devant ses yeux. C’était à la fois drôlatique et puissamment excitant.


J’enfonçais le gode bien à fond, de plus en plus vite, et quand je me suis souvenue que c’était un vibro, j’ai basculé l’interrupteur et j’ai poussé la puissance à fond.

Être ainsi baisée par cet engin - un de mes préférés il faut le dire - me faisait en général jouir super vite. J’aimais quand je m’en servais avoir également sous la main une belle queue à sucer, mais ça marchait bien sans aussi, et le plaisir m’envahissait, inéluctable.

Il ne m’a pas fallu très longtemps pour sentir l’orgasme venir, et je me suis cambrée en arrière en jouissant, traversée par un mouvement nerveux si violent que le miroir que j’avais disposé sur mon sofa est tombé, se brisant par terre en douze morceaux.

Peu traumatisée par ce petit accident, je me suis simplement rassise face à lui, me carrant confortablement dans le fond de mon canapé, pour souffler un peu.

Je regardais mon étrange partenaire . Il était assis lui aussi, sur le sol devant sa fenêtre, et il semblait faire quelque chose qui nécessitait qu’il regarde par terre.

Trente seconde plus tard, il s’est relevé et a fait le geste de me lancer quelque chose, qui est tombé par ma fenêtre ouverte.

C’était une petite balle de mousse, autour de laquelle se trouvait fixé à l’aide d’un élastique un petit bout de papier.


Le sourire aux lèvres, je l’ai déplié. Il disait : "La prochaine fois que je vous croise dans la cour, je vous emmène acheter un miroir beaucoup plus grand".