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n° 07776Fiche technique19742 caractères19742
Temps de lecture estimé : 12 mn
26/09/04
Résumé:  La rencontre avec une lointaine cousine dans une soirée rock peut réserver bien des surprises.
Critères:  fffh cousins voiture voir exhib intermast fdanus fsodo
Auteur : Yvan Navy
Quatre cousines


Pour nous, cette famille était un mythe. Ils étaient brillants, ils avaient réussi. Et nous n’étions, nous, qu’une branche éloignée, des parents pauvres, tandis qu’eux brillaient au firmament de la réussite sociale.

J’ai été élevé dans ce mythe, avec un vague sentiment de jalousie envers ces lointains cousins (même pas germains) de mon paternel.


L’une de ces lointaines figures, de cette branche noble de la famille, faisait partie du conseil d’administration d’une grande banque, l’autre frère était militaire de carrière, général de brigade ou quelque chose comme ça. Je ne saurais trop dire qui était qui, précisément, tellement ils étaient étrangers à mon univers.

Ce qui est certain c’est que l’un d’entre eux avait eu quatre filles, que certaines étaient à peu près de mon âge et d’autres légèrement plus âgées. Elles venaient parfois passer leurs vacances dans une propriété à quelques kilomètres de mon village.

Ce n’était pas une petite résidence secondaire pour parisiens en goguette, mais une grosse bâtisse bourgeoise entourée par des hectares de terrain. Il y avait une ferme, des métayers, des étangs poissonneux et un relais de chasse. Et toujours de somptueuses limousines soigneusement garées dans la cour d’entrée de cet imposant manoir. Dans ma jeunesse, plusieurs fois je suis passé devant ce lieu dit en vélo. Pas une seule fois je ne me suis arrêté, préférant détourner la tête avec dégoût.

Imaginez qu’à l’époque, nous, de notre côté, nous avions systématiquement du mal à finir les fins de mois, que nous mangions trop souvent des nouilles et que mon argent de poche était réduit à sa plus simple expression. J’ai toujours perçu cette différence sociale comme grande une injustice, et j’étais parfois prêt à partir en croisade contre les droits de succession.


Pendant toute mon enfance, je n’ai pour ainsi dire jamais mis les pieds dans cette belle propriété et mes « cousines » sont restées pratiquement pour moi de parfaites inconnues.

Jusqu’au jour où cet autre cousin m’invita à cette « soirée rock »…

Le cousin en question faisait partie de l’autre branche de cette même famille, il était plutôt frimeur, mais relativement sympa. Je n’avais guère envie d’aller à cette soirée pour jeunes gens de bonne famille mais, comme il avait lourdement insisté, je m’étais laissé embarquer.

Et c’est à cette occasion que j’ai (re)fait la connaissance, entre autres, avec deux de mes cousines, les deux plus jeunes.


Bisous, bisous, échange de bons procédés : « Comme c’est dommage que l’on se rencontre si peu souvent ! »

La cadette, Marion, était une petite folle, mignonne, espiègle, très délurée, qui passait son temps à danser, à fumer, à boire et à draguer les mecs.

L’autre, Bernadette, paraissait beaucoup plus effacée, elle restait scotchée à une copine, refusait les invitations à danser, et avait l’air de particulièrement s’ennuyer. Elle n’avait pas la grâce de sa sœurette, elle était plutôt boudinée et, à priori, un peu quelconque. Outre son physique un peu ingrat, elle était, en outre, très peu avenante lorsqu’on l’abordait.


Comme je m’ennuyais particulièrement à cette soirée, et que le rock acrobatique n’a jamais été mon truc, pas plus que les vieux tubes nauséabonds d’Elvis Presley, je suis allé faire un tour tout seul, quelque part dans la nuit noire. Je me suis roulé un pétard en regardant la lune, histoire de tuer le temps : Nous sommes bien peu de choses sur terre !

Il était déjà deux heures, peut-être trois, et nous étions perdus dans un petit patelin, ils avaient loué la salle des fêtes… pour la soirée. Et moi j’étais coincé, sans voiture, tributaire de quelqu’un pour me ramener.

Un pétard en entraînant un autre, je suis rentré la tête tourbillonnante à la casbah, d’autant plus que j’étais déjà loin d’être à jeun. J’avais presque envie de vomir. Je suis tombé sur Bernadette qui était toujours avec son inséparable copine et toujours aussi peu loquace.

Par chance, la copine en question, elle, était un peu plus loquace. Et parlait, justement, d’un éventuel retour « at home ». Elle proposait même à Bernadette de la ramener. (Et moi. Et moi ? Et moi.). Elle connaissait, soi disant, un copain qui avait une tire et qui serait prêt à nous embarquer.

Je sautai immédiatement sur l’occasion, j’en avais vraiment soupé de cette galère.




C’est ainsi que je me suis retrouvé à l’arrière de cette fiat Panda, à côté de Bernadette. Nous foncions dans la nuit noire. Je soupçonnais quelque peu le conducteur de la bagnole d’être loin d’être à jeun mais, à cette époque là, on ne parlait pas encore de ces mesures drastiques et surtout James Dean était toujours notre idole : Vivre vite et mourir jeune, le reste n’est en somme que foutaises.

Donc quatre jeunes torchés qui foncent sur une petite route déserte en plein milieu d’une grande forêt. Pas un bruit, nous n’avions rien à dire, ni les uns, ni les autres, ce long passage au cœur des ténèbres avait vraiment quelque chose de magique.

Je ne sais trop comment, dans ce contexte, il m’est venu l’idée de mettre la main aux fesses de ma voisine. Peut-être est-ce le fait d’avoir remarqué que le conducteur passait beaucoup de temps à reluquer les cuisses de sa passagère, cuisses qui étaient, semble-t-il, outrageusement dénudées. Il devait être en train de se monter un plan sur la comète pour essayer de trouver une stratégie pour se l’emballer. Elle n’était pas farouche. D’un autre côté, il nous avait, nous, complètement oubliés. Il avait vraiment la tête ailleurs, d’ailleurs il s’était trompé de route plusieurs fois de suite.


Profitant du fait que Bernadette venait de se pencher en avant pour essayer d’aider le conducteur dubitatif à résoudre un épineux problème directionnel (un croisement sans aucune indication), j’ai glissé une main derrière elle, et ce jusqu’à ses fesses. Ensuite, elle a eu la bonne idée de se rasseoir tout simplement sur ma main.

J’aurais pu m’attendre à une baffe, un geste d’agacement ou une réflexion désagréable.

Dans le meilleur des cas, hautement improbable il est vrai, elle aurait pu, à l’inverse, se pencher vers moi et s’abandonner à un long baiser passionné (Mais il faut quand même pas trop rêver).

Mais là, rien, aucune réaction, pas même un regard, elle continuait à scruter la nuit noire, comme si de rien n’était, en échangeant de temps en temps deux, trois mots avec le conducteur, toujours aussi paumé sur ces routes de campagne. Pas une seule réaction face à cette main qui lui collait désormais au cul, qui lui palpait même légèrement le fessier.


Qui ne dit mot consent ? J’en profitai alors pour aller plus avant dans mes attouchements. Ce n’était pas véritablement facile, ma main était coincée et passablement engourdie. J’aurais pourtant aimé aller de l’avant, glisser vers sa chatte et m’enfoncer en elle. Je m’étais mis à bander très fort, en pensant à cette cousine qui se laissait tripoter sans rien dire.

Mes doigts glissèrent finalement sous sa culotte, dans la raie de ses fesses, juste au niveau de son petit trou.

Après tout, puisque sa chatte était inaccessible, il me restait ce petit trou que je pouvais désormais toucher du doigt et titiller.

Quelle salope ! Elle se laissait toucher le cul. J’aurais voulu mouiller mon doigt et m’enfoncer en elle mais là c’était vraiment impossible, c’est donc à sec que ma dernière phalange a pénétré dans son derrière.


Cela a duré comme cela encore des tonnes de kilomètres. Mon doigt bougeait toujours faiblement dans son cul. Elle ne disait toujours rien, ne me regardait toujours pas, feignant de m’ignorer.

Nous avons fini par retrouver notre route. Logiquement, Bernadette était la première arrivée à destination. Sa copine est sortie, a repoussé le siège avant et Bernadette s’est extraite sans aucun mal de la voiture, se désemboîtant, par la même occasion, de mon doigt vicieux.

Elle nous a dit « au revoir » de loin, sans trop me regarder, à ma grande déception.


Quelques kilomètres plus loin, c’était mon tour de descendre. J’ai laissé les deux amoureux en tête-à-tête après un court « merci », heureux de rentrer enfin au bercail.

Ce soir-là je me suis masturbé en reniflant mon doigt. Si l’on m’avait dit ça avant, que je doigterais un jour le cul d’une de mes cousines…




* * *




Quelques semaines plus tard, j’avais depuis longtemps oublié cet incident.

Mais je reçois une lettre parfumée, odorante, mystérieuse, juste une petite carte et ces quelques mots :



« Depuis l’autre jour, je ne pense plus qu’à cette nuit-là. J’ai très envie de te revoir.

Lundi 18, je serai toute seule à la maison, alors si tu veux passer en début d’après-midi. J’attends ta venue avec impatience.

J’aimerais beaucoup que l’on continue là où nous nous sommes arrêtés.


Signé : Bernadette »



Fichtre, si je m’attendais à ça. Je me suis branlé toute la matinée en reniflant sa lettre.

Comme quoi les désirs des nanas sont impénétrables et ne cesseront jamais de me surprendre. Mais quelle salope ! Mais quelle salope ! Ainsi, ça lui avait plu de se faire doigter le cul et elle avait envie d’aller plus loin. Quelle petite vicieuse !


Nous n’étions que le 2 : Plus de quinze jours à attendre. Plus de quinze jours à fantasmer sur elle, sur son cul. Dans mon souvenir, elle était certes boudinée, mais elle avait un très joli visage. D’ailleurs les quatre sœurs avaient un très joli visage, le visage de leur mère qui était, elle aussi, une très jolie femme. Si elle était plus ingrate que ses sœurs, c’est simplement parce qu’elle ne souriait jamais, un peu comme si elle était incapable de sourire.


Combien de fois je me suis branlé en pensant à elle durant ces quinze jours, je ne saurais trop le dire. Bernadette devenait pour moi une véritable obsession.




* * *




Le 18 vers 13 heures, j’ai pris ma mobylette (j’avais le permis, mais toujours pas de tire), direction la grande propriété de mes cousines.

13h30, j’étais dans la grande cour, je sonnais à la porte.


Mais là, stupeur, ce n’est pas Bernadette qui vient m’ouvrir mais Aline, la seconde et, derrière elle, je vois Aude, l’aînée, qui me fait également un coucou.



Mais c’est quoi ce traquenard ?

J’avais rêvé plus d’intimité.


Smac, smac, un bisou à Aline. Smac, smac, un bisou à Aude :



J’allais demander un jus de fruit, mais voici Marion, la petite dernière, qui sort comme une furie de la cuisine :



Putain, merde, c’est raté pour Bernadette, elle ne devait pas avoir prévu que ses trois sœurs seraient là ce jour là. Je suis on ne peut plus déçu.



Dans ce salon grandiose, au milieu du mobilier Louis XVIII et des bibelots de bourge, je me sens comme un chien dans un jeu de quille. Je m’affale dans un fauteuil, entouré par ces trois cousines rieuses qui me taquinent. J’en ai presque oublié Bernadette, d’autant plus qu’au 3ème punch ça commence sérieusement à me monter à la tête.


D’un autre côté, leur compagnie est plutôt agréable. Aude est une grande femme épanouie avec des formes sculpturales, à faire pâlir d’envie le plus coincé des dandys. Aline est une brunette à lunettes à l’allure très stricte. On a du mal à lui faire esquisser un sourire. Quant à Marion, elle papillonne, comme toujours, c’est une petite foldingue qui ne tient pas en place. Elles sont foncièrement différentes les unes des autres, aussi bien en ce qui concerne le caractère que physiquement, à croire qu’elles ne sont pas issues du même père. Seuls leurs visages angéliques leur donne vraiment un air de famille, quoique, à y bien regarder, la petite dernière a les traits beaucoup plus épais que ses deux sœurs.


Nous discutons de tout, de rien, de pas grand chose en fait, et toujours aucune nouvelle de Bernadette. Je l’ai presque oubliée quand j’entends Aude dire :



Heureusement que je n’avais plus rien dans la bouche sinon j’aurais tout recraché. Le rouge m’est monté aux oreilles tout d’un coup, je me suis senti au bord de l’explosion.



C’est Aline qui vient de parler.



Saoul comme je suis, je suis incapable du moindre geste, d’autant plus que je suis entouré de toutes parts.

Se tournant vers sa sœur, prenant un air catastrophé, Aline prend les choses en mains :



Je me suis senti blêmir devant mes 2 inquisitrices. Seule Marion, plus détachée, semblait rigoler en sous-cape.



Sur ce, et contre toute attente, la voici qui se retourne et qui relevant sa jupe d’un coup dévoile un beau fessier que ne masque aucune culotte :



Et, tournant sa tête vers moi, je la vois mouiller un de ses doigts, une expression lubrique dans le visage, avant de se le glisser prestement dans l’anus :



Disant ces mots, la voici qui se retourne à son tour et me présente son fessier. Ecartant sans plus attendre son mini string, son doigt glisse prestement dans son petit trou.

Et les deux sœurs de se doigter le cul quelques secondes devant mes yeux ébahis.



Elles se retournent vers leur sœurette qui éclate de rire :



Elle compte sur ses doigts avec un air particulièrement malicieux :



Et sur ce, elle se tourne à son tour, baisse rapidement son jean. No culotte, fesses à l’air et penchée en avant, elle se doigte à son tour le troufignard, quelques secondes, d’interminables secondes, de quoi me faire pâlir.



Je n’ai même pas eu besoin de répondre.



Et elles éclatent toutes les 3 d’un rire joyeux !



J’étais toujours engoncé dans mon fauteuil, incapable du moindre geste, quand je les vis s’en aller joyeusement, en riant comme trois folles qui venaient de faire une bonne farce.





* * *




J’ai mis encore quelques minutes à émerger. Quelle aventure !

Je me suis relevé et j’ai gravi lentement les marches de l’escalier, me demandant encore quelle surprise allait encore m’attendre en haut.

La porte du fond était entrouverte.


Sur le lit m’attendait le spectacle étonnant d’une jeune femme potelée, entièrement nue, à quatre pattes. Elle m’attendait.

En m’entendant, elle a mouillé son doigt et a tourné la tête puis, sans plus attendre, elle se l’ai enfoncé dans le fondement. Son regard vitreux en disait long sur son envie.


Puis, saisissant un flacon de lubrifiant, je la vis s’enduire abondamment les doigts avant de se les enfoncer un à un entre les fesses, un puis deux, puis trois, bientôt 4



Ainsi commença mon premier enculage.