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n° 07780Fiche technique19640 caractères19640
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Temps de lecture estimé : 14 mn
26/09/04
Résumé:  L'étonnante réaction de ma collègue face à mes regards indiscrêts...
Critères:  fh collègues travail voir exhib noculotte
Auteur : Nicolas_pignon            Envoi mini-message
Ma collègue joueuse


Je dois vous l’avouer, j’ai toujours été voyeur. J’aime les femmes, toutes les femmes, leurs formes, leur silhouette, leur allure. Leurs vêtements me troublent, leur lingerie me rend fou, leurs maillots de bain me chamboulent. Sans doute sans le savoir, elles m’offrent chaque jour de grands moments de plaisir. Lorsque j’aperçois le galbe d’une poitrine dans un décolleté généreux, que je surprends le coton blanc d’une culotte sous une jupe trop courte…

Malheureusement, le plus souvent, ce plaisir est à sens unique. Même si leur comportement prouve parfois qu’elles cherchent à être remarquées, lorsqu’elles surprennent un homme pendu à leur décolleté, la plupart des femmes se sentent agressées. Les voyeurs sont mal vus, ce sont « des pervers pitoyables et vulgaires » qui violent leur intimité. Pourtant la mode exhibe les strings, les piercings aux nombrils… Mais passons !

Je cache depuis toujours ce plaisir que je prends avec les yeux. Car rares sont celles qui apprécient ces regards… À vrai dire, Sylvie est la seule exception que j’ai rencontrée.




Elle est arrivée dans mon bureau comme une fleur au mois mai. Personne n’avait vraiment fait attention à cette petite brunette discrète, un peu rondelette, débarquée dans le petit box ouvert face au mien. Notre bureau était si grand que bien souvent des consultants apparaissaient et disparaissaient sans-même qu’on ne les remarque. Mais moi, à peine installé, en ce lundi matin, je ne voyais déjà plus qu’elle.

Elle était placée précisément dans l’alignement de mon écran d’ordinateur et rien ne lui permettait de distinguer si mon regard se portait sur mes bases de données ou sur le ravissant petit décolleté de son chemisier blanc. Je pouvais l’observer!

Elle avait les yeux noisettes, un visage très doux, un petit nez retroussé, des cheveux très bruns qui contrastaient avec sa peau très blanche. Son décolleté était assez modeste, mais sa peau semblait délicieuse. Elle se tourna plusieurs fois de profil, et je pus apercevoir la délicate dentelle blanche du bonnet de son soutien-gorge, par un pli de son chemisier, entre les deux boutons fermés sur sa poitrine.

Son pantalon bleu paraissait fin et laissait deviner un petit string, à chacun de ses pas, lorsqu’elle se déplaçait dans le bureau. Du petit triangle au-dessus de ses fesses aux minces liens de tissu sur ses hanches, rien ne m’échappait. Elle dégageait un discret érotisme que j’étais sans doute le seul à percevoir.

Son pantalon était bien moulant et dévoilait des cuisses dodues mais bien proportionnées, des fesses bien rebondies et une taille plutôt fine. Quel bonheur des yeux !

Mes collègues masculins aux alentours étaient plutôt intéressés par les grandes blondes pulpeuses du bureau, qu’ils courtisaient sans retenue à longueur de pause-café. Et personne d’autre que moi ne semblait s’intéresser à ma nouvelle voisine, pourtant très mignonne…

En fin de matinée, je dus oublier un instant ma timidité pour lui demander de se joindre aux habitués du café de onze heures. Elle accepta. Je me présentai et appris enfin son prénom. Sylvie était mandatée par le service qualité pour effectuer un audit de nos procédures et méthodes de travail. L’audit ne devait durer que trois jours. La présentation de sa mission jeta un froid parmi mes collègues. Sylvie ne se sentie d’ailleurs sans doute pas trop à l’aise car elle ne nous accompagna pas aux pauses suivantes…

L’après-midi passa rapidement, mon travail ne me permit pas de m’attarder sur ma nouvelle voisine très longtemps. Je pus malgré tout apercevoir ses hanches et son nombril, profitant de l’instant où, comme une chatte, elle s’étira… Son mouvement adorable me fit fondre complètement ; je n’en perdis pas une miette. Elle déroula ses bras derrière sa tête, et tendit les jambes, presque allongée dans son fauteuil. Son chemisier se souleva presque jusqu’à son soutien-gorge. Son ventre paraissait tendre, aussi blanc et parfait que son décolleté, un peu arrondi avec un léger pli dans lequel se perdait son nombril. C’était un joli nid douillet, que j’imaginais doux sous la joue, doux sous les lèvres de milliers de baisers. Son pantalon glissa aussi légèrement le long de son ventre et le liserais blanc de son string bleu apparu. Sylvie était envoûtante… elle m’avait ensorcelé. Sans-même qu’elle ne le sache, sa seule présence dans mon champ de vision était pour moi un ravissement. Je ne pouvais détourner mon attention d’elle très longtemps.

Avant de partir, elle s’accroupit pour ranger son sac. Elle me tournait le dos et j’eus le grand plaisir d’admirer le bas de son dos et le haut de ses fesses. Dans cette position, le triangle bleu et blanc de son string dépassait aussi de son pantalon. L’image enivrante de sa lingerie intime me hanta toute la soirée et toute la nuit…




Le mardi lorsqu’elle arriva au bureau, je fus une nouvelle fois foudroyé par son charme. Elle portait une jupe serrée, droite, grise, assez classique, qui descendait jusqu’à la limite des genoux mais remontait doucement lorsqu’elle était assise et croisait les jambes. J’ai fait connaissance avec ses mollets magnifiques, tendres et effilés, et ses genoux lisses et ronds. Elle portait de petites chaussures vernies noires et je découvris avec enchantement qu’un fin bracelet doré ornait sa cheville droite. J’adore ! Ces petits bijoux exaltent discrètement l’érotisme et la sensualité de celles qu’ils habillent. C’est, sans nul doute, un des bijoux les plus sexy ! Des envies me venaient, de caresser ses chevilles, de les embrasser… et je passais un très bon moment en rêvant devant ses mollets ainsi parés.

Pour ne rien perdre de ses jambes, je devais me pencher légèrement sur le côté de mon écran ou m’allonger un peu dans mon fauteuil. Mon champ de vision incluait alors presque entièrement le dessous de son bureau. Pendant ses moments, je le savais, j’étais très vulnérable. Il me fallait donc être des plus discrets.

Je me suis donc sagement contenté de regarder son visage, ses cheveux, ses épaules, ses seins. Elle semblait de plus en plus sexy ! Le printemps avançait, les températures augmentaient et Sylvie revêtait ses habits d’été. Elle portait un débardeur blanc dont les fines bretelles se mêlaient à celles de son soutien-gorge blanc, et glissaient parfois le long de ses épaules dénudées. Elle était mon délice secret…

Plus tard dans la journée, poussée par un croisement de jambes maladroit, sa jupe remonta et dévoila encore un peu plus sa cuisse. Le souffle coupé, je découvris presque entièrement ses jambes. Ces cuisses étaient adorables. Elles n’avaient pas d’angle dur, ni de muscles trop apparents, elles étaient rondes, appétissantes. Leur peau était blanche, tendre, fraîche, parfaitement lisse.

Sylvie était sincèrement "à croquer !". J’imaginais sentir sa peau sous mes mains, sous mes baisers. Je rêvais de la tendresse de ses jambes. Par moment, elle balançait délicatement sa jambe, un peu nerveusement sans doute. C’était terriblement excitant, et je ne pouvais détourner les yeux du spectacle qu’elle m’offrait sans le savoir. J’étais en transe, face aux splendeurs de son corps.

Le soir, quand Sylvie partit, elle me lança un petit sourire, amusé, voire moqueur, et me souhaita une bonne soirée. Je la remercia en bafouillant…

C’était si étrange. Elle n’avait salué personne de la journée, et en partant, bien qu’elle eut croisé d’autres collègues, elle n’adressa une « bonne soirée » qu’à moi. Et ce sourire…

Avait-elle remarqué quelque chose ? Avait-elle surpris mes regards indiscrets ? Avait-elle deviné le trouble qu’elle provoquait en moi ? C’était tout à fait possible : l’euphorie de ses spectacles me rendait sûrement imprudent !

Je me sentis si mal que je me promis de rester sage et ne plus regarder que mon écran. Je passai la soirée à me poser des questions. J’étais persuadé que la ravissante Sylvie me considérerait maintenant comme le petit voyeur du bureau. Je m’endormis finalement en espérant, sans trop y croire, qu’elle n’avait souri que par politesse envers son plus proche voisin de bureau…




Le mercredi matin, j’eus droit au même sourire que la veille, accompagné d’un : "Bonjour Nicolas". Je bafouillai à nouveau un timide : "Bonjour Sylvie". Les idées se bousculaient dans ma tête, et je ne savais toujours pas quoi penser. Elle n’avait salué aucun des mes nombreux collègues. Je décidai encore de mettre ce favoritisme sur le compte de notre proximité géographique…

Elle portait une robe bleue, serrée, stretch, fine et légère, qui lui arrivait à mi-cuisse. Un soutien-gorge, apparemment sans bretelle, lui serrait la poitrine. J’aurais voulu chercher le dessin de ses dessous à travers le coton, vérifier la présence de son bracelet à la cheville, et surtout, caresser du regard ses jambes presque totalement dénudées… cela me frustrait au plus haut point, mais je n’osais plus la regarder. Je me demandais même si elle ne me tendait pas un piège, afin de me prendre en flagrant délit.

Pourquoi l’aurait-elle fait ? C’était stupide, mais j’étais pétrifié.

En milieu de matinée, presque malgré moi, comme un réflexe, je me suis penché doucement, un très court instant, pour apercevoir ses jambes. En un quart de seconde, je vis qu’elle portait encore son bracelet si sexy… elle avait aussi des chaussures ouvertes, avec un petit talon et des lanières de cuir qui entrelaçaient sa cheville. Je ne pus m’empêcher encore une fois de me pencher, pour confirmer ce que j’avais cru voir : lorsqu’elle était assise, les jambes croisées, de mon point de vue imprenable, je pouvais admirer ses cuisses… En me baissant encore un peu, je pourrais même presque entrapercevoir sa culotte… Mais… Attention !!! Oups !!! Ça y est !!! Sylvie m’a vu !!!


Elle m’a eu en flagrant délit. Nos regards se sont croisés. J’ai rapidement détourné les yeux, je me suis replongé dans mon écran, mais je sais que c’est trop tard. Elle ne peut plus douter. Elle sait. Elle a percé mon secret, découvert mon vice, compris mes manigances.

Je sens mes oreilles chauffer, je dois être rouge pivoine ! J’ai le cœur qui s’accélère. Je me sens mal. J’ai envie de quitter le bureau en courant.

Que va-t-elle faire ? Se moquer de moi ? Me faire des remontrances ? Me faire la morale ? Faire un scandale ? Me mettre une baffe ? Changer de bureau ?

Inquiet, je jette un oeil furtif par-dessus mon écran. Elle sourit.

Elle sourit ?!

Elle fixe son écran, mais semble s’amuser, elle rit presque !

Je comprends ! Elle se moque de moi !

Je ne sais plus où me mettre. Elle m’a démasqué alors que je tentais de mater sa culotte ! Quelle honte ! Je suis pitoyable. La charmante, l’envoûtante Sylvie qui me plait tant, sait maintenant que je suis un voyeur.

Petit à petit, je tente de me rassurer. Cela aurait pu être pire. Se moquer de moi, c’est une bonne réaction finalement. C’est mieux que la colère.

Et soudain, je réalise qu’elle n’a absolument bougé. Elle sait pourtant qu’elle est dans ma ligne de mire, que je suis voyeur, qu’elle est vulnérable et que, dans cette position, elle ne peut se cacher. Elle n’a même pas cherché à tirer sur sa robe… elle reste là, les yeux dans son écran, sans bouger, avec sa robe toujours légèrement retroussée sur ses cuisses, et ces petits sourires énigmatiques. Elle n’est pas indignée, et ne paraît pas non plus mal à l’aise.

Finalement, cela ne semble pas lui avoir déplu ! Quelle serait sa réaction si elle me surprenait à nouveau les yeux égarés sur ses jambes ? Et si j’osais… ? Peut-être Sylvie aime-t-elle se sentir la proie de mes regards ?

Mais si son sourire était aussi une forme d’avertissement ? Si je recommence, je pourrais bien avoir droit au sort auquel j’ai échappé la première fois ! J’ai peur. J’hésite. Mais elle sourit toujours ! Je ne tiens plus. Toutes ces questions finissent par m’empêcher de réfléchir. Je veux encore une fois la regarder. Je serais trop bête de ne pas le faire ! Son corps est si beau ! Ses pieds, ses chevilles, ses mollets, ses genoux, ses cuisses. Je craque, je me penche…


Je m’aperçois qu’elle a légèrement bougé, car elle me fait maintenant complètement face. Seule sa tête est restée dirigée vers son écran. Ses épaules sont orientées vers moi. Je glisse alors mes yeux sous son bureau… Ce que j’y vois fait battre mon cœur si fort, qu’il résonne dans tout mon corps… j’en tremble. Elle a décroisé ses jambes, les a même légèrement écartées, parfaitement dans mon axe. J’y découvre sa lingerie intime, en dentelle orange.

Je suis toujours aussi rouge. J’ai chaud. Mon ventre se tord… j’oublie presque de respirer. Elle ne bouge pas, ne me regarde pas. Elle fait l’innocente, face à son PC. Pourtant je vois poindre un sourire sur ses lèvres pincées. Il n’y a pas de doute possible, Sylvie se montre à moi intentionnellement !

Elle écarte encore doucement ses jambes, sa jupe remonte imperceptiblement. Je découvre ses fesses, tendres, appétissantes. Je dévore des yeux sa culotte. Le tissu est très fin, un peu transparent au niveau du pubis. Elle s’allonge un peu dans son fauteuil, écarte encore ses jambes et relève doucement ses fesses. La lumière parvient alors en haut de ses jambes et éclaire ses dessous. L’ombre d’une petite touffe noire apparaît sous le tissu ajouré. Je suis scotché. Paralysé. Je ne peux plus bouger. Je profite de son spectacle intime, sans en perdre une miette. Je ne me cache plus. Dans son petit box, personne d’autre que moi ne peux la voir. Son spectacle n’est que pour moi. Je n’arrive pas à y croire !

Cela dure une éternité, je prends tout mon temps pour la contempler, je ne perds rien, je ne me cache plus. Mais Sylvie continue de travailler ou du moins, faire semblant de travailler : un clic de souris par-ci par-là.

Brusquement elle se relève, rajuste sa robe, et part vers l’imprimante récupérer un gros dossier dont elle devait attendre l’édition depuis le début de son exhibition. Est-ce fini ? Que va-t-elle faire ? Elle revient. Toujours sans m’adresser le moindre regard, elle s’assoit, pose son document sur sa table, et s’y plonge résolument. Elle serre les jambes. Son petit jeu semble fini. Mais je la surveille encore du coin de l’œil, j’attends patiemment. Concentrée sur sa lecture, elle s’accoude au bureau et se penche sur ses dossiers. Elle m’offre ainsi un nouveau mirage : son décolleté béant. J’y admire ses seins, enserrés entre les mains de dentelle blanche de son soutien-gorge. Je les imagine doux et délicats. Je rêve de les cajoler tendrement. Je les caresse des yeux. Malgré mes efforts, je ne parviens pas à distinguer ses tétons, ni ses aréoles. Mais je reste là, hypnotisé par sa poitrine.


Il est bientôt midi. Sylvie tourne enfin la tête vers moi. Un sourire coquin éclaire son visage. Elle me jette même un petit clin d’œil, puis rassemble ses affaires, prend son sac, et sort du bureau. En passant, elle me lance un « Bon appétit » et disparaît.

Je n’ai même pas répondu ! Je suis encore abasourdi. Je ne pense qu’à ce que je viens de voir : une exhibition privée, juste pour moi. Ai-je rêvé ? N’était-ce qu’un fantasme ? un mirage ?

Après la pause déjeuner, Sylvie revient tout sourire, se rassoit, me regarde un instant, puis se replonge, pleine de courage et de détermination, dans sa paperasse, avec la même position complice que ce matin. Là, bouché bée, je me rends compte que son soutien-gorge a disparu. Elle s’accoude sur son bureau, face à moi, et je découvre ses petits seins, petites poires fraîches et tendres, lisses, se balançant librement. Au milieu de ses petites aréoles d’un brun très clair, ses tétons pointent ostensiblement en effleurant le tissu de sa robe. À nouveau, je suis pris tout entier par l’émotion. Ce spectacle magique me paralyse. Elle s’est déshabillée pour moi. Et, en plus de la vision impudique de sa poitrine, elle me dévoile maintenant l’ampleur de son excitation, me laisse percevoir son plaisir.

Il est un peu plus de 15h et Sylvie a enfin fini sa lecture. Apparemment, elle se lance maintenant dans la rédaction d’un rapport. Assise à nouveau au fond de son fauteuil, je ne peux plus voir ses seins. Elle croise les jambes, mais sa robe ne glisse pas. J’observe ses jambes, sans toutefois pouvoir distinguer ni ses fesses ni sa culotte. Mais ses chaussures et son bracelet suffisent à entretenir mon exaltation.

La tension sexuelle ambiante est presque palpable. Plusieurs collègues passent entre nous. Sylvie ne bouge pas. J’ai peur qu’en passant, ils ne jettent un œil dans son décolleté. Curieusement, je suis jaloux à l’idée qu’elle puisse révéler la beauté de ses seins à d’autre que moi ! Mais, les pauvres, semblent complètement aveugles. Et je reste seul à connaître le secret de sa poitrine dénudée…

Je ne sais pas ce qui l’a déclenché, mais j’ai l’impression qu’un nouveau jeu vient de commencer. Sylvie vient de décroiser ses jambes et se tortille délicatement dans son fauteuil pour s’y allonger tout doucement. Je m’étends aussi un peu dans mon siège. Je m’installe dans l’axe optimal pour ne rien perdre des ses manœuvres sous la table. Je suis prêt. Je suis tout entier concentré sur ses jambes. Je l’implore du regard de m’offrir à nouveau les trésors de son intimité. Elle le sait. Elle le voit. Elle écarte progressivement les jambes. Mes yeux, tels des mains, remontent doucement le long de ses cuisses. Par un lent et sensuel mouvement du bassin, elle me dévoile… son sexe ! Je suffoque. Sa culotte a disparue ! Elle a du l’enlever en même temps que son soutien-gorge ! Je ris même un instant de cette surprise, à laquelle j’aurais pu m’attendre ! Sylvie me gâte encore, et j’en suis plus que ravi !

Je comprends, avec une excitation que je ne peux plus cacher, qu’elle ne porte, en fait, rien d’autre que sa robe légère. Et je découvre, stupéfait, son pubis, puis sa vulve, Graal inespéré de son intimité… Mais elle continue d’écarter les cuisses. Je distingue peu à peu ses petites lèvres, son clitoris. Son sexe luit, inondé de plaisir. Elle comble mes fantasmes de voyeur les plus fous ! Puis, elle se remet tout d’un coup au travail en pianotant sur son clavier, tout en gardant sa position. Quel spectacle ahurissant ! Sylvie m’exhibe ses trésors, tout en travaillant innocemment.

Par moment, elle se tourne furtivement vers moi, pour vérifier d’un coup d’œil que je ne perds rien de son show secret. Ces yeux coquins, ses tétons excités qui transpercent imperceptiblement le tissu de sa robe, son sexe mouillé… m’indiquent sans équivoque qu’elle prend, par ce jeu, tout autant de plaisir que moi. Cela va bien au-delà de tous mes rêves.

Je dois avouer que, de mon côté, l’excitation est aussi très intense. Mon ventre baigne dans une douce chaleur. Mon sexe, gorgé de sang, bande si fort qu’il doit se deviner à travers mon pantalon. D’ailleurs, certains de ses regards se portent sur le bas de mon ventre. À voir son petit sourire, il semble que mon excitation ne lui a pas échappé non plus.


Le jeu dura sans interruption jusqu’à 18h. Puis Sylvie me regarda et me sourit avec beaucoup de tendresse. Je fondis littéralement.

Elle rassembla ses affaires, pris son blouson, se leva, vint vers moi et me dit juste :

"Voilà, ma mission est finie, je m’en vais. Bonne continuation. J’espère qu’on se reverra… En tout cas, ce fut un plaisir…"

Je bafouillai que j’espérais aussi la revoir très bientôt. Je lui souris et la regardai partir, aussi vite qu’elle était arrivée. Je n’arrivais toujours pas à croire ce que nous venions de vivre. J’étais triste que ce soit fini, mais tellement heureux d’avoir vécu ce rêve.

Sylvie m’a changé la vie. Elle m’a prouvé que le voyeurisme est un jeu qu’il est possible et, surtout, merveilleux de partager. Il suffit finalement de rencontrer la bonne partenaire. Je la cherche toujours, mais maintenant, je sais qu’elle existe…