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n° 07789Fiche technique14668 caractères14668
Temps de lecture estimé : 9 mn
29/09/04
Résumé:  Rencontre avec une dame du personnel d'entretien
Critères:  fh fplusag extracon voir intermast facial fellation cunnilingu fist pénétratio
Auteur : Jacques Lerouge
Monique


Je travaille dans une petite entreprise où, depuis bien longtemps, les tâches ménagères sont confiées à des sociétés d’entretien.

On voit rarement les mêmes têtes (ou alors cela ne dure jamais bien longtemps). L’avantage c’est que, parfois, on voit des têtes très agréables, parfois aussi des jeunes filles très délurées. Mais je dois dire que, passé l’effet d’optique souvent délicieux, toutes ces jeunettes ne sont plus trop de mon âge. Leurs belles plastiques ne sont plus qu’anecdotiques pour moi et je n’y trouve plus guère d’excitation.


Dans ma jeunesse, je fréquentais minettes et midinettes, parfois même des lolitas. Mais, passé un certain cap, je me suis résolument tourné vers les femmes plus mûres, voire très mûres, toujours plus âgées que moi en tout cas. Dans ces conditions elles dépassent forcément la cinquantaine et avoisinent la soixantaine quand ce n’est pas plus.


Le tournant s’est fait l’année de mes 33 ans, précisément à cause d’une de ces dames du personnel d’entretien.


A l’époque, je me souviens que je dragouillais une jeune fille d’une vingtaine d’années, très grande, brune aux cheveux très longs, qui lui descendaient pratiquement jusqu’aux fesses, avec un petit cul d’enfer qu’elle déhanchait à loisir. Elle était sympa et loin d’être farouche.

Ce n’était pas la première à qui je faisais des avances mais, pour me donner bonne conscience, je dirais que je n’étais pas non plus le seul de la boîte à courir ce genre d’aventure. La seule différence : c’est que ma femme de l’époque, je la détestais, profondément, depuis toujours. Et donc je n’avais vraiment aucun scrupule à la cocufier de toutes les façons qui soient, d’autant plus qu’elle me le rendait bien, notre union n’étant que pécuniaire.


Il y avait donc cette grande brune qui trémoussait son petit cul dans les couloirs et moi, qui la matais à fond, en attendant qu’elle ne se décide à m’en donner un peu plus.

Un jour, la voici qui s’arrête devant ma porte et nous entamons une conversation pleine de sous-entendus…

J’en étais arrivé à « Mais que diriez-vous si je vous proposais d’aller boire un verre après le travail ? » et, sans tout à fait dire « Oui » elle ne disait pas spécialement « Non ». Quelques palabres plus loin et ce serait peut-être dans la poche…


C’est alors qu’une petite dame, d’un certain âge, fit irruption devant la porte. Elle était en blouse, elle aussi, mais avait l’air sévère :



La dénommée Carole obtempéra de suite, sans rien dire, et je me retrouvai d’un coup seul à seul avec cette petite femme revêche. L’instant d’avant, j’étais en train de bander comme un fou en pensant à ma jeunette et me voici face à cette « mal baisée » acariâtre, dont les rides trahissaient le nombre d’heures de vol et dont le seul attrait était d’avoir une poitrine opulente (mais dans quel état ?). Mon excitation est retombée d’un coup face à cette emmerdeuse.


J’étais déjà en train de monter un plan dans ma tête, pour une petite visite au second étage, quand l’inimaginable se produisit :



Tout cela dit sous le ton le plus naturel qui soit. J’en suis resté complètement baba :



Je la regardais droit dans les yeux, elle n’avait vraiment pas l’air de plaisanter. Pour rien au monde : elle était sérieuse comme un pape. Elle ne souriait même pas.

Je l’avais déjà rencontrée, ça et là, les jours précédents, dans les couloirs, mais nous n’avions pas échangé deux mots, pas même un regard.



Intéressé, pour faire quoi ? Pour draguer cette vieille chouette ? D’un autre côté, c’était la première fois de ma vie qu’on me faisait des avances aussi claires. Il faut dire que n’ai jamais eu le look d’un minet, encore moins d’un sex-symbol. En ce qui me concerne, chaque partie de drague était plutôt une longue parade durant laquelle je devais jouer de finesse pour accéder à mes fins.

Après tout, elle n’était pas trop moche et même plutôt baisable, pas plus moche que moi en tout cas. Ce qui me refroidissait, c’était plus la tristesse de son visage, pas la moindre trace de sourire.

Je ne sais pas comment j’en suis venu à accepter ce rendez-vous, peut-être par simple curiosité. Il aurait été pourtant facile de retrouver la divine Carole et de passer avec elle une bien agréable soirée. Au lieu de ça, je suis allé voir sa patronne qui bataillait avec un aspirateur infernal : un bruit d’enfer. Pour pouvoir m’entendre, elle dut arrêter l’appareil.



Décidément, elle avait tout pour surprendre. Aucune équivoque : à ce rythme là, j’allais inévitablement passer à la casserole. Pourtant je me voyais mal dans ses bras, j’avais trop l’habitude de mes petites jeunettes.


Je l’ai attendue jusqu’à 21h, sagement assis dans mon bureau, m’interrogeant toujours sur le contenu de cette soirée.

Sa blouse retirée, elle se retrouvait affublée d’une jupe longue et d’un chemisier très échancré, qui mettait bien en valeur la naissance de ses seins. Sans être très sexy, il était évocateur, et j’en fus assez surpris.



Sur ce, elle referma la porte derrière elle et s’approcha lentement de moi. Elle s’était abondamment parfumée, en se changeant, et sentait très fort la cocotte. C’était assez enivrant.

Passant derrière le bureau, elle s’est tout de suite agenouillée devant moi, elle a dégrafé prestement ma braguette et a extrait ma queue sans plus attendre avant de l’emboucher. Je bandais à peine, je peux même dire qu’au début je ne bandais pas du tout. Mais, devant cette experte de la turlutte je n’ai pas tardé à durcir. Elle me pompait avec vigueur, alternant léchage et pompage, tandis que ses petites mains fines me masturbaient avec un savoir-faire évident. C’était vraiment parfait, irréprochable, aucune de mes petites jeunettes n’auraient pu l’égaler dans cet exercice :



J’étais aux anges mais, à ce rythme là, je n’allais pas tenir bien longtemps.



Je la fis se redresser, s’asseoir sur le bureau face à moi. À genoux entre ses cuisses, je ne pus que constater qu’elle n’avait pas de culotte. Entièrement nue sous sa jupe qu’elle était, cette cochonne. Une chatte plutôt large, non épilée mais relativement peu poilue, quelques longs poils clairs et clairsemés. Une odeur plutôt forte, très poivrée, mélange d’urine et de mouille. J’ai plongé dans son antre pour la goûter, elle était juteuse à souhait. Je la bouffais, je la branlais, je l’aspirais. Elle a fini par s’allonger carrément sur le bureau en écartant largement les cuisses pour que je puisse bien y accéder. Plus je la léchais et plus j’étais stimulé par ce divin nectar. Je la sentais gémir sous mes coups de langue, gémir et se tortiller.



C’est à ce moment précis que j’ai entendu du bruit dans le couloir. « Mince la ronde de nuit ».



Nous eûmes à peine le temps de nous rajuster. Monique était encore à mes côtés lorsque le veilleur de nuit fit irruption dans la pièce, attiré par la lumière qui était restée allumée.



Mais, nous voyant tellement proches l’un de l’autre et pas du tout à l’aise, je crois que, malgré tous mes efforts, j’eus beaucoup de mal à lui faire croire que « J’allais raccompagner cette dame chez elle parce que sa voiture était en panne. ».


Le « bonne soirée » qui suivit en disait d’ailleurs fort long sur ce qu’il avait compris.


Quoiqu’il en soit, nous prîmes, Monique et moi, bien sagement la direction du parking. Elle habitait vraiment à deux pas, dans des immeubles qui jouxtaient la zone industrielle, un quartier ouvrier pas trop bien famé.



A peine sortis du parking, je sentais déjà sa main entre mes jambes, tandis que je conduisais. Elle alla droit au but et commença à palper. Devant cette caresse directe, je me remis à bander. D’une main experte elle eut tôt fait de dégrafer mon pantalon. Et, tandis que je garais la voiture, elle sortit ma queue déjà bien dure, et se pencha aussi sec vers mon gland pour le goûter. Elle m’avala entièrement, fit quelques allers et retours, une bonne pipe de pro.


Elle mouilla son doigt avant de replonger vers mon dard. Et je sentis le doigt s’insinuer entre mes fesses et me fouiller le fondement : quelle petite cochonne ! Elle me pompait comme une reine alors que dans l’immeuble d’en face n’importe qui d’un peu curieux aurait pu nous surprendre.


Elle finit malgré tout par se redresser.



L’instant d’après dans l’ascenseur, je lui roulais une pelle d’enfer, en malaxant ses gros seins un peu mous. Tombants, certes, mais encore acceptables.


Arrivés à l’étage, elle bloqua l’ascenseur et se laissa dépoitrailler, et pétrir et téter. N’importe qui aurait pu arriver, ça ajoutait à notre excitation. Poitrine en avant, elle se donnait totalement, je ne tardai pas à lui mordiller ses tétins érigés.

Ensuite, n’en pouvant plus, elle sortit prestement de l’ascenseur seins à l’air, se dirigea vers son appartement et nous nous y engouffrâmes.


Le salon donnait sur une grande baie vitrée qui s’ouvrait sur un balcon. Aucun rideau, il est clair que les voisins de l’immeuble d’en face avaient une vue plongeante sur son appart, d’autant plus que la lumière crue du plafonnier devait leur faciliter la tâche. Pourtant, elle insista pour que ce soit sur le canapé que l’on continue nos ébats. Les voyeurs d’en face avaient à peine besoin de jumelles pour reluquer : petite séance de pompage, petite séance de cunni, ramonage sur canapé, défonçage sur le tapis, plus quelques figures hétéroclites qui nous permirent de varier les plaisirs.

N’en pouvant plus, je finis par retirer la capote pour lui asperger copieusement le visage, avant de recommencer à l’asticoter. Je la branlais avec tellement de force que je finis presque par la fister. Plusieurs fois des jets de jouissance s’échappèrent de sa connasse, elle criait, elle couinait, elle se trémoussait. J’ignore combien de fois elle a joui ce soir-là mais, à chaque fois, je recommençais, avec mes doigts, avec ma bouche et bientôt avec ma queue qui s’était remise à bander.


A la fin, elle s’est levée :



Moi non plus, je n’en pouvais plus, j’avais mal aux mains à force de la branler, j’avais les lèvres brûlées par l’acidité de son jus. J’étais allé jusqu’au bout de mes limites pour que cette divine salope aille, elle aussi, au bout de ses limites.


Elle est sortie à poil sur le balcon. Sans aucune gêne apparente. Elle s’est allumé une clope, je l’ai suivie.



Mon orgueil de mâle a fait le fanfaron.



Mon orgueil de mâle est retombé d’un coup. Il faut dire qu’avec mes midinettes, j’avais l’habitude qu’elles tombent en admiration devant mon savoir-faire. Or là, tout d’un coup, je m’apercevais que je n’étais peut-être pas si doué que ça.



Dans l’immeuble d’en face, un type tapi dans l’ombre nous regardait. De là où il était, il devait voir surtout les seins de ma partenaire, entièrement nus et libérés. Mais, pour le reste, il avait peut-être aussi assisté à nos ébats.



Je m’apprêtais à lui demander s’il s’agissait toujours des mêmes mecs, mais je me suis ravisé, cela ne me regardait pas, après tout.

Nous avons bu un thé et mangé quelques gâteaux puis, sur le coup de 2 heures, elle m’a fait comprendre qu’elle était fatiguée et qu’il était préférable que je rentre chez moi.

Par la suite elle a dû faire appel à moi une petite dizaine de fois, toujours à l’improviste, quand elle avait envie. J’ai beaucoup appris entre ses mains et j’ai surtout appris à aimer les femmes matures et épanouies. Depuis ce jour je ne peux plus m’en passer.