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n° 07804Fiche technique14764 caractères14764
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29/09/04
Résumé:  Cette fois ci, j'avais accepté de travailler au service "réception" dans le dépôt d'une chaîne de vente par correspondance...
Critères:  hhh hplusag collègues revede hmast intermast fellation hdanus hgode hsodo
Auteur : Histochris            Envoi mini-message
Job d'été


Quand j’étais jeune, je travaillais l’été. Il fallait mettre du beurre dans les épinards, comme on dit. Etudiant à l’université, j’avais presque trois mois pour mettre de l’argent de coté. Ce que je faisais toujours avec le sérieux de mes 22 ans.


Cette fois-ci, j’avais accepté de travailler au service "réception" dans le dépôt d’une chaîne de vente par correspondance. Le travail était souvent physique, les gens que je fréquentais assez rustres, chauffeurs-livreurs, magasiniers, qui voyaient en moi le petit "bleu". Mais finalement, j’avais fini par être accepté par l’équipe réduite de ces mois d’été.

Il faisait une chaleur terrible dans le grand bâtiment au toit de tôle. À force de décharger les camions, j’étais en nage. Heureusement, que toujours grâce aux vacances, le débit était moins rapide. Mais j’avais pris le parti de travailler en short et torse nu. Comme j’étais seul, ça ne posait finalement pas de problèmes. Les routiers étaient souvent dans la même tenue.


Un jour, une camionnette arriva. Habitué, au semi remorque, je fus content de le voir arriver. Le livreur me jeta les cartons sur les quais. Je signai sa fiche. Il repartit.


J’entrepris de ranger les cartons. J’en pris deux à la fois et maladroitement, laissait tomber le premier. Il s’étala sur le sol et son contenu s’échappa du carton mal fermé. Je restais interdit devant les articles que je découvris. Une collection de godemichés. Le rouge aux joues, je me dépêchais de remettre le tout à l’intérieur. Mais je ne pus m’empêcher de regarder avec attention les articles. J’en avais déjà vu mais jamais autant.

J’étais fasciné par ces membres factices aux dimensions obscènes. Il y en avait des noirs, des roses, des lisses, des nervurés, sous emballage plastique. J’en pris un en main. Un bon diamètre. L’emballage était mal serti et du bout du doigt, je touchais le latex.

C’est alors que je sentis mon membre s’échapper de mon short slip. Je bandais comme un âne et touchant cette fausse bite.

Je repris mes esprits, terminai de tout remballer et fiévreusement, partis ranger ce carton maudit.


La journée continua mais je ne cessais de penser à ce carton. Il était là bas, rempli d’objets terribles. Je bandais sans discontinuer.

Le lendemain, je revins pour travailler. La nuit, j’avais du me masturber pour apaiser la tension de mon membre. J’avais joui en m’imaginant utiliser ce gode entre mes fesses. Jusqu’à maintenant, adepte débutant de la sodomie solitaire, je me contentais de mes doigts. Mais là je touchais au but.

Une fois entré dans mon entrepôt, je me précipitais vers ce carton. Ils étaient là. Je plongeais la main et sortit un gode. Il était noir. J’ouvris alors complètement le carton et fouillait pour les voir tous avec attention. Je découvris alors des petits flacons marqués "lubrifiant".

Tout se liguait contre moi !

Non !

Pour moi !

Je savais maintenant que j’allais essayer. J’allais profiter de cette occasion, sur mon lieu de travail, ce qui m’excitait encore plus.


Je pris le gode, défis l’emballage. Je caressai ce sexe triomphant. Il était assez gros, parfaitement lisse avec un gland bien renflé. Je passais la main sous mon short pour constater une nouvelle fois mon érection. Je sortis ma bite. Elle était moins grosse, mais tout aussi raide. J’approchais le gode de ma bouche et avalait son gland froid. Il me remplissait. Je me mis à sucer ce gadget avec passion tout en massant mon membre coulant de désir.

C’était bon de faire ça ici, à l’abri de ces piles de cartons, de colis, qui formaient un labyrinthe que je connaissais parfaitement puisque je le fabriquais tous les jours.

Je me redressai et me mis nu. Je dus abandonner ma bite de peur de venir trop vite. Mon carton, mon trésor était là devant moi, débordant d’objets sexuels. J’ouvris un autre emballage et dévoilait une bite cette fois beaucoup plus réaliste, à part sa taille, elle était difforme.

Je me mis à la sucer aussi. Je m’y croyais. Je suçais avec application, jouant avec ma langue sur le gland. J’allais et venais de l’un à l’autre. Je partouzais entre mes cartons avec des amants solides et endurants.

J’entendis quelqu’un appeler. Je reconnus la voix du chef de dépôt. Vite je me rhabillais, compressant ma bite pour qu’elle reprenne une taille plus discrète. Je rejoignis mon chef.



Je sentis ses yeux glisser sur ma peau, arriver à la ceinture, entre mes cuisses. Je sentais encore battre ma bite, qui avait perdue en raideur mais restait gonflée de sang. J’avais le cœur battant.



Il se plaça en face de moi et son autre main partit entre mes cuisses. Quand ses doigts touchèrent mon membre, je me mis à transpirer, et à souffler comme un bœuf. Son autre main quitta mon épaule et descendit sur mon flanc. Elle passa sur ma fesse et glissa sous le tissu de nylon. Je sentis ses doigts glisser entre mes fesses. Il sortit ma bite de mon short.



D’un coup, il tira mon short vers le bas. Je me retrouvais les fesses à l’air.



Il me poussa au milieu des cartons, dans mon abri, dont il m’avait vu sortir.



Il me précédait, tout en me tirant par le sexe. Il découvrit mon trésor.



J’obéis et retirais mon short et mes baskets. Il se massait le sexe à travers le pantalon, il caressait sa bite tendue sous son pantalon de toile.



Je repris ma fellation sur cette bite. Je bandais. Je sentais mon jus couler de mon sexe. Petit à petit, je prenais goût à cette exhibition forcée. J’avalais le plus loin possible ce sexe. Je me montrais le plus possible. Je posais un pied sur un empilement de cartons, et lui montrais mes fesses, tout en me tournant vers lui, pour qu’il me voit avaler la bite.

Il finit par sortir son sexe de son pantalon. Une bite pas très longue mais épaisse. Il commença à se branler sans me quitter des yeux.



Je lui donnais satisfaction en écartant mes fesses.



Moi, j’étais complètement parti. Emporté très loin par la vague de mes fantasmes.

Je m’allongeais à même le sol de béton.



Je pris l’autre gode, le plus lisse et le suçais, déposant un maximum de salive dessus. Je relevais mes cuisses sur mon ventre et le pointait entre mes fesses.

Les yeux écarquillés, il me regardait faire. Il ne cessait de grogner et de dire : « Putain de petite salope ! »

Soudain, son téléphone portable sonna. Il sursauta et lâcha sa bite. Il regarda qui l’appelait. Il décrocha.



Sa bite avait perdue de sa fierté à cause du coup de téléphone. À genoux, je vins m’installer entre ses cuisses. J’avais déjà sucé deux ou trois copains mais jamais un homme. J’attrapais son membre semi rigide. Je le branlais un peu. Il me força à approcher mon visage. J’ouvris la bouche et le prit tout entier. Il gémit.

J’entendis les portes battantes claquer.



J’entendis deux voix. Des pas. Ils approchaient ! ils allaient me découvrir ! Je suçais avec de plus en plus de passion la bite de mon patron.



Je vis les deux magasiniers les plus anciens en train de me regarder.



« Tant pis », pensais-je.


Ils s’approchèrent et m’entourèrent. Je sentis leurs mains se poser sur moi. Je repris la bite en bouche. Le premier sortit immédiatement sa bite et s’approcha. Je compris le message, abandonnait un instant le patron et avalait celle-ci beaucoup plus sérieuse. Le patron s’échappa et je l’entendis déplacer des cartons. Je me foutais de savoir. Je voulais sucer. Sentir le sperme de ces hommes sur moi, dans ma bouche.



Les deux autres regardaient, le sexe sorti.

La sodomie commença. J’acceptais sans difficultés la pénétration, grâce à la vaseline et à l’habitude. Il n’eut pas de pitié et m’encula au plus profond. Je gémissais avec force.



La sodomie était de plus en plus hard, je gémissais de plus en plus. Je m’agitais sur la surface des cartons, écartant au maximum mes fesses avec mes mains.



J’ouvris la bouche et il s’y plaça. Je le suçais, la tête pendant dans le vide. Il donnait de petits coups de reins pour me baiser. Je sentis le gode se placer. Il était gros. Je dus faire un effort pour accepter son intromission. Il rampa en moi, écrasant mes chairs, distendant mes muscles.



Oui, le gode se plantait en moi avec facilité. Depuis le temps que je rêvais de cette scène.

Mon ventre s’ouvrait. Le patron se branlait au-dessus de moi. Je l’attirais et le pris en bouche tout en continuant à branler l’autre.



L’autre m’enculait avec régularité, commentant la dilatation de mon cul. Puis soudain, il retira l’engin, je le vis se dégrafer et sortir sa bite. Il me sodomisa tout de suite.



Le patron sortit sa bite et éjacula à gros jets sur mon bas ventre. Je le massais pour le vider entièrement. Il fut remplacé et le dénouement fut le même, puis une fois encore.

Ils étaient tous là, m’entourant et regardant ce qu’ils avaient fait de moi. Mon index jouait dans la flaque crémeuse de leurs semences. Lentement, en le regardant droit dans les yeux, j’avalais tout leur jus mélangé. Ils n’en revenaient pas.

Puis je pris ma bite en main et me mis à me masturber doucement. Ma bite avait repris toute sa taille. Il la fixait, un instant, je crus même que le patron allait venir me sucer mais il n’osa pas à cause des deux autres. J’éjaculais violemment. Ma semence jaillit, s’éleva au-dessus de moi et retomba sur mon ventre.


Ce fut ma première prestation sexuelle dans cette entreprise. C’était une nouvelle expérience avec des hommes mûrs qui me changeait de mes relations de faculté. En plus eux n’étaient pas homosexuels. Ils étaient juste pervers et cela m’excitait encore plus. Tout l’été fut très chaud.