n° 07807 | Fiche technique | 8946 caractères | 8946Temps de lecture estimé : 6 mn | 30/09/04 |
Résumé: Martine est une bonne copine... | ||||
Critères: fffh voir exhib fellation cunnilingu pénétratio uro | ||||
Auteur : Bendé |
Martine est une bonne copine.
Je ne dis pas cela uniquement pour la rime, c’est une copine de longue date, elle se confie beaucoup à notre couple, et nous nous sommes souvent confié à elle dans les tracas que la vie sait nous amener, même pour des choses intimes de notre couple.
Martine n’est pas une excitée mais elle n’est pas prude et parle facilement de sexe.
Elle a quitté il y a deux ans un homme avec qui elle a vécu pleins d’aventures formidables et est tout juste entrain de s’en remettre.
Comme elle le fait depuis qu’elle est seule, elle a loué une maison en Ardèche en ce début d’été et nous a invité à partager ce temps avec elle et quelques amis, la maison est grande, le temps est beau et le coin formidable, encore très sauvage.
Nous nous retrouvons à huit, cinq femmes et trois hommes, et passons notre temps entre marches, siestes et apéros ! Nous aurions tord de na pas profiter du coin, avec deux rivières un peu sèches en été mais qui savent faire des « piscines », pour ceux qui connaissent, dans des coins très retirés qui nous permettent de nous baigner nus, ce qui est agréable !
Cet après midi tout le monde se repose d’une marche qui a été assez longue et très chaude hier et quand martine lance un « qui vient se baigner ? », nous ne sommes que cinq à dire « moi ! » et je suis le seul homme.
Nous sautons dans des voitures, chacun à peine vétu et c’est parti. Nous arrivons sur le lieu, tout semble tranquille, garons la voiture et faisons le petit Kilomètre à pied en plaisantant tranquillement.
Tout se conjugue pour mettre mes sens en émoi ! Je suis le seul homme parmi cinq femmes, le chemin est très accidenté et on s’aide mutuellement à passer les obstacles, je te donne la main, je te pousse un peu les fesses, tout cela en plaisantant et en voyant je crois chacune des petites culottes présentes ça fini par faire de l’effet et quand, arrivés à destination, on se met nus pour plonger, mon sexe, sans être bandé, n’est pas à une position de repos complète et ces quatre femmes s’en rendent compte je le vois à quelques coups d’œils!
Et maintenant jeux dans l’eau, rinçage d’œil toutes ces formes de fesses différentes, ces seins eux aussi gros, petits, qui bougent facilement avec les mouvements… on se chamaille un peu en jouant avec un morceau d’écorce qui flotte sur l’eau et c’est l’occasion de frottements et de voir des duels féminin tout à fait érotiques !! Ce fut vraiment un super moment !
Je savais que ça ne serait pas une partouse, nous nous connaissions trop, mais ça aura été un moment d’un érotisme merveilleux ce qui vaut, à mon sens, bien autant. Ma femme aussi n’était pas insensible, je la connaissais assez pour voir qu’elle était excitée et elle me fit des réflexions coquine sur la taille de mon sexe qu’elle massa discrètement.
La suite me permis de voir que toutes étaient un peu excitées par ce moment ! je vais essayer de vous décrire comment je l’ai su : ma femme et Mireille, qui devaient s’occuper du repas, hasard du tirage au sort, filèrent vite devant pendant que nous finissions de nous préparer. Je restais donc avec Martine et Laurence, une femme très rigolote, peu bavarde mais dont Martine m’a raconté quelques épisodes de vie un peu croustillant, et nous voilà partis pour le chemin du retour.
Ce chemin, je n’avais pas fait attention les autres fois, s’avère encore plus difficile au retour et nous avons deux gros fou rires : d’abord quand Martine s’étale de tout son long aux pieds de Laurence, nous montrant ainsi qu’elle n’avait pas remis de culotte sous sa robe. Laurence, tout en riant d’un beau rire léger, s’est mise à caresser les fesses, les cuisses et même le beau sexe très poilu de Martine qui semblait profiter de ces quelques caresses avant que Laurence ne lui tende la main, et cinq minutes plus tard, comme en écho, c’était au tour de Laurence de se retrouver je ne sais comment, les fesses à l’air, elle non plus n’avait pas remit de culotte, devant Martine qui du coup lui a rendu ses caresses agrémentées, elle était à hauteur, d’un bisou sonore sur les fesses !
« Vous avez fini toutes les deux ! » dis je en revenant d’un petit pipi dans un buisson. « Y’a pas de mal à se faire du bien » me répond Martine en rigolant pendant que je lui poussais les fesses pour qu’elle monte le passage ou Laurence était tombée « et n’en profite pas toi non plus, sinon on va tout dire à qui tu sais ! »
Je ramasse mon sac à dos et relève le nez et je vois les deux femmes qui me regardent en rigolant ! Elles savent très bien que je vois sous les mini jupes alors qu’elle me tendent les bras pour m’aider à leur tour, elles ont toutes les deux un sourire coquin. Après avoir regardé à droite et à gauche sans me cacher je fais un petit commentaire sur la beauté du paysage, et quand je leur tends les mains Laurence enlève la sienne et emprisonne deux secondes ma main sous sa jupe éclate de rire avant de m’aider enfin !
Cent mètres plus loin, un gros tronc barre le chemin et toutes les deux continuent à faire les idiotes et font semblant de ne pas réussir à passer tout en ne se rendant pas compte apparemment qu’elles n’arrêtent pas de montrer leurs fesses sous les jupes qui se soulèvent facilement ! « J’ai la solution » dit Laurence « Viens ici Bernard » et nous voilà tous les trois avec force rires entrain de « faire un pont humain » comme disait Laurence. Je me laisse faire comme de la pâte à modeler et me retrouve tout tordu le dos labouré par je ne sais quoi, en équilibre sur un pied, les deux mains faisant le tour d’une branche et se réunissant pour servir de prise à ces dames ! Laurence teste la solidité, un pied dans mes mains l’autre quelque part sur le tronc, moi à moitié étouffé sous elle.
« Faut qu’je fasse pipi » nous dit Martine en continuant à rigoler et voilà qu’elle nous abandonne comme ça « Je t’attends » lui dit Laurence et elle s’installe. Elle ne met pas deux secondes à s’apercevoir que son clito est à portée de mes lèvres et n’hésite pas une seconde à soulever sa jupe et à se frotter sans retenue à mes lèvres et mon nez avant que je ne rentre moi-même en action !! Après un court moment de silence, elle me soulage un peu de son poids et commence à râler en se frottant de plus en plus fort. Le retour de Martine ne freine en rien ses élans et la main qui se glisse sous sa jupe et lui frotte les fesses l’amène vite au plaisir qui inonde ma bouche.
« Super ! A toi » dit elle en descendant tranquillement, et Martine tout naturellement se met en position, soulève sa jupe et se frotte à son tour ! Ma langue fatigue mais se remet avec plaisir à la tache, savourant ce changement de goût et de géographie intime. Laurence regarde de près en soulevant un peu la robe et en caressant les fesses d’une Martine que je trouve déjà bien humide et qui rapidement râle avec une voix très grave.
Laurence a la bonne idée de descendre un peu la main et de rencontrer dans mon short un sexe tout dur qui ne la laisse pas indifférente ! Vu la position, elle ne peut pas baisser le short, mais je n’ai heureusement pas mis de slip et elle peut donc sortir mon membre dans l’entre jambe. Elle s’agenouille, me saisit les couilles d’une main et enfourne dans une bouche habile mon sexe qui ne demandait que ça !
Martine monte très vite et ses cris très particuliers m’amène moi aussi au septième ciel et je lâche tout dans la bouche d’une Laurence qui savoure autant que je savoure le jus assez abondant de Martine qui pour l’occasion m’arrache quelques cheveux !! Laurence se relève et viens embrasser ma bouche puis le sexe de Martine qui se laisse faire en lui caressant la tête. Nous nous embrassons tous les trois en remettant un peu d’ordre dans nos tenues légères.
C’est presque sans un mot que nous rejoignons la maison ou notre absence n’a pas attiré l’attention.
Le soir ma femme su bien m’exciter en me reparlant de l’après midi et nous fîmes l’amour divinement. Elle me dit que Mireille lui avait dit avoir trouvé notre baignade très érotique et lui avait demandé textuellement : « de commencer seule à faire à manger le temps qu’elle aille se donner du plaisir avec son mari ». À peine le frein à main serré Mireille avait disparu, et ma femme avait entendu un sonore râle de plaisir avant de la voir réapparaître dans la cuisine avec un grand sourire.