n° 07867 | Fiche technique | 19492 caractères | 19492Temps de lecture estimé : 11 mn | 04/10/04 |
Résumé: Un contrôle de douane à l'issue imprévue... | ||||
Critères: fh intermast préservati pénétratio | ||||
Auteur : Tylodine (Les aléas des voyages...) Envoi mini-message |
Manille, aéroport international Ninoy Aquino, 4 heures de l’après-midi…
Un peu sonné par les huit heures de vol que je viens de subir depuis Doha, au Qatar, je gagne la zone des bagages pour récupérer mon sac de plongée.
J’ai conservé en cabine la mallette qui contient mon ordinateur et mon matériel photo, préférant le risque de me faire taxer (le tout est deux fois plus lourd que les 7kg autorisés !) à celui de voir mon précieux matériel transformé en ferraille inutilisable.
Le tapis n’en finit pas de tourner, véhiculant son habituelle cohorte de valises, cartons et sacs en tout genre…
Evidemment, mon volumineux sac se pointe bon dernier…mauvais signe, ça signifie qu’il était sous le tas, mais, bon, il a l’air intact, c’est déjà ça.
Je charge mon bazar sur un chariot déglingué et me dirige vers la sortie, lorsqu’une main ferme me tape sur l’épaule.
« Sorry sir… »
Une voix, incontestablement féminine, m’invite, dans un anglais parfait à bien vouloir m’arrêter et présenter mes papiers.
Me retournant, je me trouve en face de deux…douanières philippines, aussi dissemblables qu’il est possible de l’être.
L’une, la « chef », est une petite boulotte aux cheveux ras, habillée d’un uniforme genre shérif, avec les ray ban assortis.
L’autre, probablement une jeune recrue, pourrait, vêtue différemment, figurer honnêtement dans un casting de roman photos…
Cheveux noirs sagement coiffés en chignon, corsage dissimulant assez mal une petite poitrine bien ronde, jupe bleu marine informe, socquettes blanches et chaussures plates.
Le visage est fin, le cou gracile et les yeux légèrement bridés trahissent une influence chinoise assez marquée.
S’il n’y avait ces insignes et le badge officiel agrafé sur sa poche de poitrine, on pourrait la prendre pour une étudiante…
Je m’arrache à la contemplation de cette beauté douanière et présente passeport et billet d’avion à la chef, nettement moins sexy !
Celle-ci feuillette d’un air suspicieux le document, m’interroge sur mon aéroport d’origine, la suite de mon voyage.
Je lui explique que je dois changer d’aéroport pour prendre un vol domestique vers l’île de Camiguin, ma destination finale et qu’il ne me reste que peu de temps pour trouver un taxi et me présenter à temps pour le check-in.
Le ton monte assez rapidement et du coup la mégère des douanes m’intime l’ordre de la suivre jusqu’au bureau de contrôle pour une visite de mes bagages.
Furieux, mais me contraignant à afficher un calme apparent, j’obtempère sous les regards intrigués des autres passagers, non sans avoir capté chez la plus jeune douanière un regard dubitatif et un haussement d’épaules excédé…
Le hall traversé, le dragon enjuponné me fait entrer dans un bureau encombré, aux baies donnant sur la piste et donne à sa collègue un torrent d’instructions en Tagalog auxquelles je ne comprends bien entendu pas un traître mot.
Puis elle sort d’un pas décidé, me laissant en tête-à-tête avec la jeune philippine, à première vue mal à l’aise.
Hissant mon lourd sac à roulettes sur la table d’examen, je commençais à ôter les cadenas, symboliques, fermant les compartiments, faisant aussitôt choir, tee-shirts, slips de bains, trousse de toilette, calés aux extrémités…
Le contenu du sac commençait à couvrir toute la table, pourtant vaste…détendeurs, gilet stabilisateur, matériel photo ; lorsque ma boite à pharmacie s’ouvrit, déversant son contenu aux pieds de la douanière.
Pansements, pommades et cachets divers …et une bonne douzaine de préservatifs dans leur emballage d’aluminium !
Un sourire à peine dissimulé fait remonter les coins de sa jolie bouche lorsqu’elle se baisse pour ramasser sous la table les capotes baladeuses…
Un peu gêné tout de même, j’en profite pour admirer au passage la sublime paire de fesses révélée par son geste plaquant la jupe informe au point de dessiner en relief ce qui ressemble incontestablement à un string !
Ou les douanes philippines sont très évoluées…ou ma vérificatrice à des goûts pour la lingerie sexy !
Vous êtes certain que ces accessoires sont bien appropriés aux excursions subaquatiques ?
Et paf, elle me colle les pochettes coupables dans la main non sans me décocher un clin d’œil ironique !
La vieille taupe ne perd pas une occasion de rabaisser les stagiaires et je suis sûre qu’elle est embusquée dans le hall, se préparant à nous sauter dessus.
Tout en parlant, elle commence tout de même à remettre mes affaires dans le sac, examinant avec intérêt, détendeurs, ordinateur de plongée et autres accessoires qui transforment le voyageur-plongeur en travailleur de force.
Je profite de ces bonnes dispositions pour accélérer le mouvement, jetant à ma montre des coups d’œil de plus en plus inquiets…il ne me reste plus qu’une heure pour sortir de l’aéroport international, trouver un taxi, faire un kilomètre dans Manille pour gagner l’aéroport des Philippines Airways…pourtant situé à l’autre bout de la même piste !
Autant dire une performance inouïe lorsqu’on connaît les embouteillages déments qui paralysent 15 heures par jour les rues de la capitale !
Attendez un instant, me dit l’apprentie douanière, je vais voir si Beth n’est pas en planque à proximité, préparez-vous à filer à mon signal…
Elle entrouvre la porte, jette un coup d’œil rapide…et referme précipitamment le battant !
Un peu surpris, tout de même, j’acquiesce, et vois Deng sortant un trousseau de clés d’un tiroir, ouvrir l’autre porte du bureau, donnant sur un escalier de service.
Fronçant son adorable petit nez en une grimace comique, elle me jeta un regard aigu puis me jeta, les poings sur les hanches :
Je ne trouvais rien de sensé à répondre et la suivis aussitôt, tirant-poussant-portant mon énorme sac dans l’escalier de béton chichement éclairé…
Nous arrivâmes bientôt dans une vaste salle encombrée de ballots de toutes sortes, caisses éventrées, palettes en souffrance, bagages perdus et autres laissés pour compte du trafic aérien intense de la région.
Zigzaguant entre les obstacles, nous nous dirigions vers une porte métallique située à l’extrémité du hall lorsqu’un groupe de trois gardes armés fit son apparition à l’autre bout du hall.
Empoignant Deng, je nous jetais illico dans une sorte de réduit formé par l’affaissement de deux piles de tapis, probable saisie des gabelous locaux…
Tirant doucement mon sac de plongée (pourvu que les roulettes ne grincent pas !) je l’utilisais pour clore notre providentielle cachette.
Sauvés…provisoirement ; les gardes n’avaient rien vu.
La situation dans notre sombre caverne se révélait, par contre, rien moins que délicate !
Presque allongé sur ma douanière tombée à plat-ventre, mon bras passé autour de sa taille remontait vers le haut deux seins menus, mais bien fermes dont je pouvais sentir les pointes à chacune de ses inspirations…
Je ne tardais pas à percevoir à la partie basse de mon individu, une nette tension qui ne fit que s’aggraver lorsque Deng, pour se dégager, commença à remuer son arrière-train, lequel se trouvait précisément là où il n’aurait pas fallu qu’il fut !
Pendant ce temps, les gardes avançaient, traversant le hall, se dirigeant incontestablement dans notre direction…
La situation, au propre comme au figuré, devenait de plus en plus tendue !
J’essayais de pivoter pour me dégager, et ne fis que choir sur le dos, me retrouvant cette fois-ci avec Deng allongée sur moi…
Deux merveilleux et souples pamplemousses écrasés contre mon torse, le pubis de la malheureuse ( ?) appuyé contre mon sexe de plus en plus raide, sa bouche à moins d’un centimètre de la mienne, ses cheveux au parfum de santal balayant mon visage…
LES PAS SE RAPPROCHAIENT…Nos bouches aussi, Deng ferma les yeux et posa ses lèvres sur les miennes…ses lèvres, si douces, pulpeuses comme la chair d’une mangue dont elles avaient le goût.
Nos langues se trouvèrent sans peine et nous nous étreignîmes en silence, nous attendant à ressentir d’un instant à l’autre la poigne d’un garde ou le choc d’une crosse de fusil.
Passant ma main libre dans son dos, je m’aperçus que dans notre chute sa jupe était remontée, dégageant ses cuisses que je caressais doucement, remontant vers les fesses musclées, bien séparées par la mince bande de tissu du string.
Loin de se dérober à ma caresse, Deng remonta le derrière, permettant à ma main de partir à la découverte.
Les trois gardes étaient maintenant à proximité de notre cachette…
Mes doigts, eux, parcouraient une mappemonde à la géographie passionnante…sa peau veloutée, la vallée profonde séparant les deux hémisphères, l’équateur…pardon, la ficelle du string que je soulevais sans peine accédant bientôt à un territoire chaud et …humide.
Saugrenue, une blague entendue je ne sais ou, me revient en mémoire :"Autrefois on écartait la culotte pour voir les fesses…aujourd’hui on écarte les fesses pour voir la culotte !"
Malgré l’imminence de la catastrophe, je dus me retenir pour ne pas pouffer de rire…
AÏE !
La silhouette d’un garde masqua un instant la faible lumière tombant de plafond, je m’immobilisais, le majeur posé à l’entrée d’une chatte que je sentais venir à la rencontre de ma caresse.
Un nuage de fumée de cigarette américaine s’insinua dans notre refuge.
Malgré la proximité du danger, Deng tendit encore davantage sa croupe nerveuse et, comme aspiré, mon doigt s’enfonça d’un coup dans sa vulve trempée.
Les pas du premier garde s’éloignaient, je bougeais doucement ma main, envoyant un deuxième doigt rejoindre le premier arrachant à Deng un petit gémissement que j’étouffais de ma bouche.
Tandis que l’ombre du deuxième garde progressait vers nous, Deng recula encore les fesses à la rencontre de mes doigts explorateurs.
Alors que le troisième garde, rejoint son collègue, je sens une petite main qui s’insinue entre nos deux corps et vient s’assurer de la réalité de la bosse qui tend mon pantalon de toile à en faire exploser la fermeture éclair.
Le temps d’allumer une nouvelle cigarette, les gardes s’éloignent, la main de Deng se rapproche et vient masser mon sexe douloureux.
Espiègle, la terrible Deng vient de me chuchoter à l’oreille cette phrase redoutable, tout en baissant doucement le zip de mon jean.
Ne voulant pas être en reste, je la débarrasse d’une seule main de son string minuscule, la ficelle en est manifestement trempée…Ah l’humidité des tropiques !
Tandis que nous nous activons…au ralenti, les trois gardes se sont arrêtés non loin de notre cachette, devisant en fumant, le fusil sous le bras.
A tout instant le moindre bruit peut trahir notre présence…
Tandis que je tortille des fesses pour aider Deng à baisser mon pantalon, mes mains continuent à explorer les trésors que sa jupe relevée mettent à leur portée. Fesses à la peau douce comme de la soie, le velours de son mont de vénus presque glabre, la rondeur d’un ventre légèrement bombé.
Je bande comme un pur-sang tandis que Deng s’assied sur mes cuisses et appuie sa chatte humide à la base de ma verge. En extension sur ses cuisses, elle monte doucement, les mains posées sur mes épaules.
Par l’échancrure de son corsage entrouvert, je distingue dans la demi-obscurité les deux petits seins légèrement pendants…je pense à des oranges avec leurs pointes saillantes.
Deng, les yeux fermés, continue à se caresser avec ma pine douloureuse, je sens la caresse de ses lèvres brûlantes et humides comme une petite bouche sur ma peau tendue.
Elle monte, se frotte sur mon gland et, au moment ou je crois qu’elle va se laisser aller, recule et redescend, une fois…deux fois, je crois que je vais exploser…non, elle s’arrête, prend quelque chose dans la poche de son chemisier…
J’entends un petit bruit de papier déchiré et…un contact frais sur le bout de mon dard…que? Un préservatif !
J’ai à peine le temps de comprendre que la capote est en place et qu’une main décidée pointe mon engin droit sur la cible.
Se laissant descendre doucement elle m’avale littéralement et nos ventres se touchent.
A quelques mètres de nous, les gardes se sont arrêtés et discutent allant et venant entre notre pile de tapis et un tas de palettes vides sur lequel ils ont posé leurs "Riot-guns".
L’un d’eux semble intrigué par quelque chose et il me semble qu’il vient dans notre direction, Deng l’a entendu aussi et se serre contre moi. Je sens les parois de son vagin se contracter autour de ma bite tandis qu’elle blottit sa tête contre mon épaule.
Le garde approche, dit quelques mots à ses collègues qui éclatent de rire, et s’éloigne d’un pas nonchalant.
Soulagée, ma douanière n’attend pas plus longtemps et repart à l’attaque, montant et descendant sur mon vit, ses petits seins agitant leur aréole brune sous mon nez comme pour me provoquer encore davantage. Je sens une onde de plaisir palpiter à la base de mon sexe tandis que Deng augmente sa cadence sans se soucier des vigiles qui s’éloignent enfin vers le fond du hangar.
Un gémissement continu s’échappe de ses lèvres entrouvertes tandis qu’un bout de langue vient humecter ses lèvres. Sentant le moment critique approcher, je la prends dans mes bras et la bâillonne de ma bouche, nos langues mêlées à en perdre le souffle.
Un liquide chaud se mit à couler sur mon ventre alors que des spasmes de jouissance nous emportaient, je ne pus tenir plus longtemps et explosais en jets brûlants dans la chatte de mon amante à en faire craquer la mince enveloppe de latex qui nous séparait.
Je continuais à bouger doucement, mon gland devenu tellement sensible que j’eus l’impression d’une brûlure, une délicieuse torture que Deng prolongea de longues minutes avant de s’affaler sur moi, hors d’haleine et ruisselante de sueur.
Combien de temps sommes nous restés soudés dans cette petite mort, dix, vingt minutes ?
C’est elle qui parla la première…
J’en restais sans voix…je venais de me faire harponner de belle façon, mais comment résister ?
Une chose (au moins !) m’intriguais tout de même…
Deng pouffa, et, s’étirant comme une chatte repue, me répondit :