n° 07871 | Fiche technique | 15318 caractères | 15318Temps de lecture estimé : 10 mn | 04/10/04 |
Résumé: Une soirée en club, Marion la coquine se déchaîne... | ||||
Critères: fh fhhh couleurs couple couplus boitenuit voir exhib hmast intermast fellation pénétratio fsodo | ||||
Auteur : Paul |
J’ai 42 ans. J’ai connu Marion il y a déjà 8 ans et je suis tombé amoureux dès le premier regard. Brune, de beaux cheveux épais et bouclés qu’elle remonte en chignon ou laisse tomber sur ses épaules rondes, Marion a aujourd’hui 32 ans. Ses yeux bleu ciel, ses traits fins avec un nez délicatement découpé et qui remonte légèrement la rendent ravissante. Elle n’est pas très grande (1m65) mais possède un corps qui attire les regards avec un joli décolleté et une chute de reins « d’enfer ». Ma petite femme (nous sommes mariés depuis 6 ans) porte admirablement les jeans serrés qui moulent son beau cul rond et cambré ou les petites robes d’été à fines bretelles qui mettent si bien en valeur ses épaules et son dos, et le mouvement de ses hanches rondes.
En faisant la connaissance de Marion, j’ai découvert une jeune femme à la sexualité riche et épanouie. Marion adore faire l’amour et, avec elle, le risque de tomber dans la routine est inexistant ! Elle aime autant les longs câlins qu’être prise « à la hussarde » sur une table ou dans un escalier. Avec elle le sexe est un jeu sans cesse renouvelé !
Elle avait déjà pratiqué l’amour à plusieurs avant de me connaître et ne s’est pas fait prier pour me raconter ses aventures dès qu’elle a réalisé que cela m’excitait terriblement. Nous n’avons pas tardé à pimenter nos jeux de temps en temps par la présence d’un autre couple, d’un ami de passage, voire d’inconnus lors de soirées torrides en clubs « libertins ».
Un soir de la fin du printemps, nous avions passé une soirée joyeuse et bien arrosée chez des amis. Marion portait une petite robe rouge, légère et très décolletée, élégante et sexy à la fois, une robe assez longue mais près du corps, comme elle aime en porter le soir.
Dans la voiture je n’avais pas encore mis le contact qu’elle se met à m’embrasser fougueusement, en posant une main ferme sur mon pantalon là où il faut pour mettre le feu…
Elle rit avec une moue adorable :
Le « Moulin » est notre club de rencontre favori, mais nous étions jeudi, le seul soir où les hommes seuls sont admis, ce que nous préférons éviter, par peur de la foule et par préférence pour les couples qui ont comme nous l’habitude d’éviter de telles soirées.
Nous éclatons de rire tous les deux.
Imaginez cette conversation entrecoupée de baisers, ma belle épouse blottie comme une petite chatte dans mes bras et me caressant copieusement le sexe à travers mon pantalon… et vous aurez une idée de mon état d’excitation… !!
Comme il est impossible de rien refuser à Marion nous arrivons au Moulin peu après minuit.
Tout de suite Marion m’entraîne sur la piste de danse et se frotte contre moi pour un slow langoureux. Je ne peux m’empêcher de lui caresser les fesses en la serrant encore plus contre moi, son ventre contre ma queue qui durcit rapidement.
Elle a décidé de ne pas perdre de temps car je l’entends murmurer :
Inutile de dire que nous ne passons pas inaperçus. Il y a un groupe d’étudiants en goguette, des deux sexes, un peu bruyants à mon goût, deux couples plus âgés, et beaucoup d’hommes isolés, de tous âges, quelques beaux mecs parmi eux d’ailleurs que Marion a sûrement déjà repérés.
Ces donc à vingt paires d’yeux au moins que je dévoile peu à peu la jolie croupe de mon épouse. Elle porte un string en dentelle brodée noire, qui souligne superbement les fesses rondes et hautes que mes paumes pétrissent avec délice en les écartant un peu.
Je ne l’ai pas vu venir celui-là ! C’est un grand black, superbe je dois l’avouer, fin et athlétique, très élégant dans un costume gris perle et une chemise blanche sans cravate.
Ma petite femme a la robe retroussée jusqu’à la taille et un autre homme l’invite à danser !
Elle répond dans un charmant sourire, on se croirait dans un cocktail mondain :
Et elle fait passer sa robe par-dessus tête ! Puis les mains poser sur les épaules du type, très à l’aise en string et soutien-gorge, elle entame un slow avec son nouveau cavalier qui l’entraîne un peu plus loin sur la piste.
Je ne sais ce qu’ils se disent, je reste là avec la robe dans les mains, je la vois rire en posant le front sur l’épaule de l’homme, et lui qui lui caresse les épaules et le dos, qui la serre contre lui.
Je me sens terriblement jaloux et en même temps l’idée que ce type va peut-être baiser ma femme m’excite terriblement. Imaginer Marion avec un noir m’a toujours excité, surtout depuis qu’elle m’a confié y avoir déjà goûté et avoir apprécié…
Maintenant je n’ai plus besoin d’imaginer. Je vois très bien d’où je suis installé avec un scotch (j’en ai bien besoin !) deux mains sombres palper franchement les belles fesses claires, et je les trouve très beaux tous les deux.
Il lui murmure dans l’oreille et elle rit, elle rit ! Elle a défait deux boutons de la chemise blanche et glissé ses mains sur le torse puissant. Je réalise qu’en lui pétrissant les fesses à pleines mains, il la soulève presque dans un va-et-vient qui ne laisse aucun doute : ce type frotte ma femme contre sa queue ! Et elle qui se laisse faire….
Soudain elle se détache de lui et là, à deux mètres, en le fixant dans les yeux de ses jolis yeux bleux, elle commence à se caresser ! Je commence à paniquer un peu car autour de la piste une dizaine de types matent le spectacle avidement…
En même temps je la trouve divinement belle… Une main caresse un sein, l’autre a plongé sans honte dans la culotte et chacun peut voir ce qu’elle y fait…
Le black tourne autour d’elle en souriant et elle le suit des yeux. On peut voir dans son pantalon qu’il bande comme un taureau et doit être superbement monté.
Enfin elle s’approche de lui à un mètre et sans complexe le bras tendu elle lui agrippe la queue ! De loin sur ses lèvres qui sourient on devine un « wouah ! » admiratif et polisson…
Il y a un murmure d’excitation dans la salle.
Sans lâcher prise elle promène alors un regard amusé sur les hommes qui n’en perdent pas une miette, s’arrêtant un instant sur chacun d’eux et chacun doit sentir une giclée d’adrénaline en croisant le regard clair qui lui dit « ça te plait ? Tant mieux ! ».
Cette fois, si je n’avais pas encore compris que ma petite femme chérie est bien décidée à se comporter comme une vraie salope, je serais fixé !
Et je n’ai encore rien vu…
Sans lâcher son cavalier qu’elle tient fermement « par la queue » elle se dirige alors vers le plus grand des « coins câlin », celui qui est accessible à tous, aucune porte et murs de verre…
Aussitôt suivie de tous les hommes présents, les uns s’engouffrant à leur suite, les autres préférant se poster derrière les vitres.
De là où je suis-je ne les vois plus. Je laisse passer un moment pour reprendre mon calme, finir mon verre, et imaginer Marion. C’est très excitant de l’imaginer là, tout près, sans la voir…
Mais la curiosité est la plus forte et je me dirige à mon tour vers le salon vitré.
Ce que je vois est une des images les plus violemment érotiques que je puisse imaginer.
Marion et son ami se sont entièrement déshabillés. Au milieu de tous ces hommes ils forment un couple magnifique. Il est debout, la queue dressée, elle à genoux les mains dans le dos, sa jolie frimousse sous la bite, à la toucher, prenant tout son temps… de temps en temps, le bout du nez effleure le membre, de temps en temps la langue rose passe sur les lèvres.
Quand elle embouche l’épaisse queue sombre d’un coup, la faisant presque entièrement disparaître, l’atmosphère devient électrique. Tout autour, les mecs se branlent sans se gêner en la regardant pomper.
Et elle pompe, elle pompe profondément, régulièrement, sans faire semblant ! Ce n’est pas une petite pipe de chatte joueuse, non ! Pas de léchouille, cette bite-là elle la veut au fond de la gorge à chaque aller et retour, ça se voit, c’est une pipe de vraie bouffeuse de queues et l’assistance ne s’y trompe pas.
Du coin de l’oeil elle lorgne les bites dressées autour d’elle tout en suçant. Marion adore voir un homme se caresser, je dois dire qu’elle est servie !
A genoux devant le noir elle se tient fermement des deux mains à ses fesses musclées.
Très vite elle a raison de sa résistance. Il jouit en criant, se cambrant pour pousser sa bite plus avant dans la gorge de ma femme. Et elle, la petite garce, elle serre les lèvres autour de la tige pour ne rien perdre, tandis que de grands jets de foutre chaud doivent lui tapisser le fond de la bouche…
Quand il s’est bien vidé les couilles elle le repousse d’un coup et passe sur le dos les cuisses ouvertes, allongée sur les coudes, son adorable petit nez relevé, en promenant sur les mateurs un petit air provocant, un air d’être au prochain qui la voudrait…
Le flottement ne dure que quelques secondes, avant que l’un des plus âgés ne se laisse littéralement tomber entre les cuisses de Marion, guidant une verge de taille modeste vers la chatte offerte. Quand il la pénètre elle ferme les yeux avec un soupir de plaisir.
Au moment où elle rouvre les yeux elle a un sourire ravi sur ses lèvres ouvertes et chacun peut voir qu’elle n’a encore rien avalé du sperme du noir !
Les yeux dans les yeux de son baiseur et déguste le foutre à petites gorgées, en faisant bien voir qu’elle en a plein la bouche et qu’elle adore ça !! Ah ! voir ma petite femme, parfaite épouse et jeune maman, si douce, si tendre, sortir une langue rose brillante du sperme de cet inconnu, et s’en pourlécher les lèvres tout en se faisant sauter par un autre inconnu devant tout le monde… Hummmm… jamais elle ne m’avait autant excité !
Celui qui la saute pour le moment assez piteusement ne tarde pas à répandre sur le ventre doux de Marion deux ou trois pauvres giclées incolores. À sa place vient un solide gaillard, très poilu, doté d’une courte mais épaisse et vigoureuse queue qui disparaît vite entre les plis délicat de la petite vulve adorée.
Celui-ci se met à la bourrer avec ardeur et le spectacle redevient de premier ordre. Langoureusement étendue les bras au-dessus de la tête, Marion s’abandonne avec délice à des coups de queue qui secouent joliment ses belles formes. Soit malgré elle, soit par malice, elle a laissé échapper un filet de sperme qui lui coule sur le menton et dans le cou.
Elle a avalé tout le reste !
Elle est divinement belle.
Tous, il vont lui passer dessus, tous, l’un après l’autre et souvent par deux car Marion aime « être baisée la bouche pleine » comme elle dit joliment. Et certains vont prendre un deuxième tour, ce qu’elle ne refuse pas car à ces hommes ce soir elle va tout donner.
Son bel amant noir sera le premier à qui elle réclamera de lui prendre le cul. À quatre pattes, bien cambrée, elle prend cette queue impressionnante dans l’anus sans broncher, se mordant juste les lèvres au premier passage du gland.
Et d’autres vont suivre dans la même voie, ravis de l’aubaine offerte par la belle enculée. On lui propose un bandeau sur les yeux qu’elle accepte avec joie, et je sais que ne pas même savoir qui la baise lui paraît encore meilleur…
Je veux la prendre moi aussi en anonyme et je viens me placer mais un autre type se présente en même temps que moi et par un bête réflexe de politesse je le laisse passer devant. Il lui prend le cul sans ménagement en la tenant par les cheveux.
J’ai envie de lui dire « hé ! doucement quand même » mais le visage de Marion m’avertit que c’est inutile. Le visage renversé en arrière, la bouche ouverte, les seins ballants, elle pousse des rugissements de plaisirs tandis qu’une bite de plus lui déchire les entrailles.
A mon tour je vais la prendre, délaissant l’anus un peu trop dilaté pour la chatte douce et moelleuse, délicieusement serrée sur ma queue. Elle m’accueille comme un autre, un queuteur de plus, heureuse que cela continue, avide de jouir encore.
Je change de position pour le plaisir de la voir me chevaucher, ce qu’elle fait avec une énergie intacte. Elle est si belle dans cette attitude, avec ses cheveux fous et ses beaux seins dressés ! Une grosse bite vient chatouiller sa joue et elle cherche à l’emboucher en riant tandis que l’autre par jeu la retire à chaque fois… Pour prendre sa revanche elle ne lâche plus sa prise une fois ses lèvres bien en place autour de la bite, et il jouit sur sa bouche, son nez, ses seins sur lesquels je vois couler une grosse goutte de sperme au moment où j’explose à mon tour….
A la fin de la nuit elle me rejoint au bar, toute nue, défaite, couverte de sueur, de sperme séché, avec un grand sourire. Pour rire je veux lui faire croire que je n’ai pas quitté le bar :
Et nous éclatons de rire.